logo
#

Dernières actualités avec #GrammyAwards

La mairesse de Toronto remet les clés de la ville à The Weeknd
La mairesse de Toronto remet les clés de la ville à The Weeknd

La Presse

time3 days ago

  • Entertainment
  • La Presse

La mairesse de Toronto remet les clés de la ville à The Weeknd

La mairesse de Toronto remet les clés de la ville à The Weeknd (Toronto) Toronto a offert à The Weeknd, l'interprète de Can't Feel My Face, les clés de la Ville, alors que le chanteur revient donner quatre concerts dans sa ville natale. Cassidy McMackon La Presse Canadienne Samedi matin, la mairesse de Toronto, Oliva Chow, a remis cette distinction au chanteur originaire de Scarborough, reconnaissant la façon dont il a « refaçonné la musique moderne » et soutenu des causes humanitaires et sanitaires à Toronto comme à l'étranger. The Weeknd – Abel Tesfaye, de son vrai nom – se dit honoré de recevoir les clés de l'endroit où il a trouvé sa voix, ajoutant qu'il s'engage à aider la prochaine génération à trouver la sienne. En plus d'avoir remporté quatre Grammy Awards, le chanteur est également reconnu pour ses contributions philanthropiques à des organismes de bienfaisance torontois et internationaux. Il a reçu le Quincy Jones Humanitarian Award de la Black Music Action Coalition pour son engagement. The Weeknd donnera quatre concerts au Centre Rogers de Toronto au cours des deux prochaines semaines.

Chuck Mangione, virtuose américain de la trompette et icône du smooth jazz, s'est éteint à 84 ans
Chuck Mangione, virtuose américain de la trompette et icône du smooth jazz, s'est éteint à 84 ans

Le Parisien

time5 days ago

  • Entertainment
  • Le Parisien

Chuck Mangione, virtuose américain de la trompette et icône du smooth jazz, s'est éteint à 84 ans

Le monde du jazz est en deuil. Le célèbre trompettiste américain Chuck Mangione est mort ce mardi à 84 ans à son domicile de Rochester, dans l'État de New York. Il est décédé dans son sommeil, selon une maison funéraire locale. « L'histoire d'amour de Chuck avec la musique a été caractérisée par son énergie sans limites, son enthousiasme décomplexé et sa joie pure qui rayonnait depuis la scène », a écrit sa famille dans un communiqué au journal Rochester Democrat & Chronicle . Figure emblématique du smooth jazz, Chuck Mangione puisait son inspiration dans le jazz fusion de Miles Davis , lequel incorporait des instruments électroniques au jazz classique. Mangione enrichissait cette base en y intégrant des éléments de guitare flamenco et des rythmes disco. Le musicien était un virtuose de la trompette, connu pour son magistral titre « Feels So Good », sorti en octobre 1977, qui a permis à un large public de découvrir le jazz. Ce morceau phare a propulsé l'album du même nom au statut de double disque de platine, et a considérablement accru la notoriété du jazzman. Au cours de sa carrière, le trompettiste a été récompensé de deux Grammy Awards . Le premier, obtenu en 1977 pour « Bellavia » (meilleure composition musicale), était un hommage à sa mère. Le second trophée lui a été décerné pour « Les enfants de Sanchez », en tant que meilleure performance instrumentale pop en 1979. Tout au long de sa carrière, le musicien aura marqué les esprits par sa proximité non surjouée avec le public, comme l'indique sa famille : « Son admiration pour ses fidèles fans du monde entier était sincère, comme en témoigne la fréquence à laquelle il s'asseyait au bord de la scène après un concert, le temps de signer des autographes pour les fans venus le rencontrer, lui et le groupe. »

Gojira 2025 : les géants français du metal en tournée dans toute la France… et des places encore disponibles !
Gojira 2025 : les géants français du metal en tournée dans toute la France… et des places encore disponibles !

Le Figaro

time10-07-2025

  • Entertainment
  • Le Figaro

Gojira 2025 : les géants français du metal en tournée dans toute la France… et des places encore disponibles !

C'est officiel : Gojira, le groupe français qui a conquis les scènes metal du monde entier, revient en 2025 pour une tournée française monumentale. Et bonne nouvelle : même si certaines dates affichent déjà complet (Lille, on te regarde), il reste encore des places sur plusieurs concerts, mais elles partent vite. RÉSERVEZ VOS PLACES ICI Pourquoi ne surtout pas manquer la tournée 2025 de Gojira ? Un phénomène français devenu mondial Nés dans un garage de Bayonne en 1996, les frères Duplantier et leur bande sont devenus l'un des groupes français les plus respectés à l'international. Nommés aux Grammy Awards, plébiscités sur les plus grandes scènes comme le Wacken ou le Hellfest, et capables de décrocher la première place des charts américains : Gojira incarne aujourd'hui l'excellence metal made in France. Une tournée française dense… et des dates déjà complètes Le programme ? 13 concerts partout en France, de Carcassonne à Strasbourg en passant par Paris, Marseille ou Toulouse. La date de Lille est déjà sold out, preuve de l'engouement incroyable qui entoure ce retour. Mais de nombreuses villes ont encore des places disponibles à l'heure où vous lisez ces lignes. Un show intense, puissant, généreux Assister à un concert de Gojira, c'est vivre une expérience sensorielle totale : riffs ciselés, puissance brute, maîtrise technique impressionnante et communion totale avec un public toujours en fusion. Leur death metal progressif est un uppercut émotionnel, amplifié par une scénographie à couper le souffle. RÉSERVEZ VOS PLACES ICI Les titres légendaires… et les tubes récents De « Flying Whales » à « Silvera », sans oublier leur dernier carton « Méa Culpa (Ah ! Ça ira !) » qui les a propulsés au sommet des charts américains après leur performance dantesque à la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 : la setlist promet un best-of absolu de 30 ans de carrière. Des places encore disponibles… mais plus pour longtemps Lille est déjà complet, preuve que la demande est folle. Si vous voulez vivre ce moment historique, ne tardez pas : les dernières places sont en vente sur la billetterie officielle pour les dates suivantes : Paris, Marseille, Toulouse, Nantes, Lyon, Bordeaux… Gojira – Tournée France 2025 Du 29 juillet (Carcassonne) au 12 décembre (Strasbourg) Réservez vos billets dès maintenant avant qu'il ne soit trop tard ! Réservez vos places sur la billetterie officielle Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.

Deux générations de reines du jazz réunies au Montreux Jazz Festival
Deux générations de reines du jazz réunies au Montreux Jazz Festival

24 Heures

time07-07-2025

  • Entertainment
  • 24 Heures

Deux générations de reines du jazz réunies au Montreux Jazz Festival

Accueil | Culture | Festivals | La jeune fille du Bronx et la grande dame de Détroit partageront la Scène du Casino à Montreux lundi soir. Avec deux approches très différentes de l'art du chant. Publié aujourd'hui à 10h13 Dianne Reeves: une diva toujours en quête d'aventures vocales. JERRIS MADISON En bref: La première remarque, c'est que ce style de concert purement jazz réunissant le même soir le gratin des grandes chanteuses du genre est devenu suffisamment rare et précieux au Montreux Jazz Festival pour être célébré dans la joie. Il faut quasi remonter à une trentaine d'années pour trouver une nuit comparable (Shirley Horn, Betty Carter et Helen Merrill une même nuit de 1994!). La seconde remarque est celle de la complémentarité de deux chanteuses exceptionnelles, qui, lundi soir, mettront leur immense talent sur une Scène du Casino (re)transformée en club jazz glamour et merveilleux. Dianne Reeves, la technique et l'aventure Commençons par la reine Dianne Reeves, 68 ans désormais, native de Détroit, Michigan. C'est sa huitième apparition à Montreux, où elle s'est produite dès 1989. Elle a cinq Grammy Awards du meilleur album de jazz vocal au compteur; seule Ella Fitzgerald a fait mieux. Sa voix: mezzo-soprano, chaude, un sens du drame, deux octaves et demie, et une façon de chanter feu d'artifice. Car voilà une fabuleuse improvisatrice, moderne et foutraque, avec un style qu'on dit parfois proche d'une sorte de théâtre vocal. Dianne raconte des histoires, ou plutôt fait de chaque chanson la sienne et la nôtre, jouant sur les genres, les variations, démontant les accords. Reeves est ainsi une chanteuse assez technique, qui transforme chaque show en un genre de master class, mais elle se sert de cette science sidérante du chant jazz pour sans cesse jouer sur les émotions, celles du rire, celles des larmes, celles des hauts et des bas mélodiques. Samara Joy: une approche vocale à la fois vintage et profondément moderne. AB+DM Dans sa formidable discographie, essentiellement chez Blue Note, il est rude de devoir indiquer des préférences. Mais «Art & Survival», sorti en 1994, stupéfie par sa dimension d'héritage et de spiritualité. Plus récent, «Beautiful Life», paru en 2014, est un album où le prestige des invités rejoint son goût pour le R'n'B ou la fusion: Gregory Porter, Robert Glasper ou l'incroyable Esperanza Spalding y font des apparitions. Plus classique, avec son répertoire de ballades acoustiques, «A Little Moonlight», sorti en 2003, démontre son sens des racines et des standards du jazz. Samara Joy, la note de velours bleu Puisque l'on parle jazz classique, passons à Samara Joy, 25 ans, fille du Bronx new yorkais, qui vient pour la première fois au Montreux Jazz. C'est la star qui monte: elle en est déjà à cinq Grammy Awards dans diverses catégories. Personne n'a fait mieux à son âge. Mais sa manière de chanter est cependant très différente de son aînée. Elle est, précisément, plus classique, moins aventureuse, plus vintage. C'est une différence fondamentale de vision de l'art du chant, pas seulement une nuance de style. Samara, voilà une soprano presque lyrique. Elle ne force jamais: elle pose les notes, pas de vibrato, juste de la retenue, de la finesse, de l'élégance, du cristal chanté souvent sur un répertoire du Great American Songbook. Étrangement, elle n'a cependant jamais l'air d'imiter les chanteuses d'autrefois: son swing doux et chaleureux recolore les mélodies avec une vraie modernité, on n'est jamais tout à fait dans le revival, mais plutôt dans une manière d'histoire continuée entre le jazz des Fifties et de 2025. Elle n'a pas peur des silences, Miss Joy, elle ne chante jamais pour impressionner, mais bien pour réchauffer les âmes. Trois albums, dont les deux derniers chez Verve, un répertoire qui oscille entre mélodies célèbres («'Round Midnight», «Misty») et des pépites trop méconnues: «Social Call», composé en 1955 par le saxophoniste Gigi Gryce, ou une nouvelle adaptation d'un thème de Charles Mingus. Tout cela pour un accueil critique et public superlatif: Samara Joy et sa jeunesse représentent ce qui est arrivé de plus miraculeux dans le jazz vocal ces dernières années. Au final, soulignons surtout qu'il ne s'agit pas, lundi soir, de l'ancienne diva contre la petite jeune qui regarde le ciel. Ni non plus de l'aventure vocale contre le classicisme de la note de velours bleu. Il s'agit, Dianne Reeves ou Samara Joy, de chanter du jazz, et de dire l'art du chant chacune à sa manière: les deux, à ces hauteurs, sont rares et merveilleuses. Allez, viens, on va au Montreux Jazz Christophe Passer, né à Fribourg, travaille au Matin Dimanche depuis 2014, après être passé notamment par le Nouveau Quotidien et L'Illustré. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store