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Grèce : au moins 40 blessés dans un accident de bus près d'Athènes
Grèce : au moins 40 blessés dans un accident de bus près d'Athènes

Le Figaro

time13 hours ago

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Grèce : au moins 40 blessés dans un accident de bus près d'Athènes

Plus de quarante personnes ont été blessées lors d'une collision entre deux bus de transport public dans la banlieue balnéaire de Voula, près d'Athènes. Un accident effroyable et un bilan très lourd. Une collision entre deux bus à Voula, près d'Athènes, a fait une quarantaine de blessés dont au moins deux ou trois graves vendredi 4 juillet. «Plus de 15 ambulances jusqu'à présent ont pris en charge environ 40 adultes et six enfants qui ont tous été hospitalisés», a indiqué à la télévision publique Ert Giorgos Mathiopoulos, président du syndicat des employés des urgences hospitalières (EKAV). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Selon l'Agence de presse grecque Ana, le nombre de blessés s'élève à 47 dont dix enfants. Les causes et les circonstances de l'incident font l'objet d'une enquête, a indiqué de son côté la Direction de la circulation routière OASA. Selon les premières images diffusées par les médias grecs, un bus à l'arrêt a été percuté par un second bus par l'arrière. Publicité L'accident est survenu à 11h30 locales (8h30 GMT) sur l'avenue longeant la côte balnéaire d'Athènes, près de la plage de Voula, très fréquentée par les Grecs et les touristes en cette période estivale où les températures atteignent 35°C, habituelles pour la saison.

Grèce : un nouvel incendie fait rage près d'Athènes, des habitants évacués
Grèce : un nouvel incendie fait rage près d'Athènes, des habitants évacués

Le Parisien

time14 hours ago

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  • Le Parisien

Grèce : un nouvel incendie fait rage près d'Athènes, des habitants évacués

La Grèce en proie aux flammes. Alors que l'incendie qui sévit en Crète depuis trois jours est « en recul », selon les pompiers, un nouveau feu poussé par des vents violents s'est déclenché vendredi près d'Athènes. Cet incendie s'est déclaré sur la commune de Koropi, à 30 km à l'est d'Athènes. Les habitants ont reçu l'ordre de quitter cette zone périurbaine qui compte de nombreuses habitations au milieu de la végétation via des messages envoyés par la Protection civile sur leurs téléphones portables. « Le feu est arrivé à l'intérieur des cours des maisons », a mis en garde le maire de Koropi, Dimitris Kiousis, sur la chaîne de télévision publique ERT . « L'incendie est en cours. Tous les habitants (dans les zones menacées) ont été évacués », a également indiqué Thodoris Grivas, maire adjoint de Koropi, sur la même chaîne. « Nous ne connaissons pas encore l'étendue de la catastrophe », a-t-il ajouté. Au moins deux bombardiers d'eau et deux hélicoptères luttent contre les flammes attisées par des vents forts qui soufflent sur l'Attique, la région d'Athènes et dans la capitale grecque. Le feu ravage des oliviers et des broussailles, selon des images diffusées par la chaîne télé publique ERT. Jeudi après-midi, un autre feu déclenché à 30 km à l'est d'Athènes, près du port de Rafina, a finalement été maîtrisé dans la soirée après avoir entraîné l'évacuation d'environ 300 personnes. Quelques maisons et véhicules ont été toutefois endommagés, selon le maire des communes de Spata-Artemida, Dimitris Markou, cité par la ERT. Par ailleurs, le feu déclenché mercredi soir près de la ville d'Ierapetra , dans le sud-est de la Crète , l'une des principales destinations touristiques de Grèce, ayant provoqué 5 000 évacuations dont de nombreux touristes , « est en recul », a indiqué à l'AFP le service des pompiers. « Il reste des craintes de reprises mais il n'y a plus de grand front », a indiqué le porte-parole des pompiers, Vassilios Vathrakoyannis. Quelque 230 pompiers, 48 véhicules et six hélicoptères restent mobilisés sur le terrain, près de la ville côtière de Iérapetra. Mais l'affaiblissement des vents dans cette région difficile d'accès a permis l'amélioration de la situation. Le porte-parole des pompiers avait toutefois prédit jeudi soir des prochains jours « difficiles » en Grèce en raison d'une hausse des températures attendue associée à des vents violents, notamment dans la région d'Athènes. Le risque d'incendies reste d'ailleurs très élevé vendredi dans plusieurs régions, dont celle d'Athènes, l'Attique, selon la Protection civile grecque. La Grèce a jusqu'ici été épargnée par la canicule qui frappe une partie de l'Europe, en particulier l'Espagne, le Portugal et la France . Mais à partir de ce week-end, les températures vont grimper et atteindre jusqu'à 43 °C dans certaines régions grecques, selon les prévisions météorologiques de la chaîne ERT.

Cinq mille habitants et touristes évacués après un violent incendie en Grèce
Cinq mille habitants et touristes évacués après un violent incendie en Grèce

24 Heures

time17 hours ago

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Cinq mille habitants et touristes évacués après un violent incendie en Grèce

De milliers de personnes ont dû quitter leur logement à cause d'un feu qui s'est vite propagé jeudi dans le sud-est de l'île grecque. Publié aujourd'hui à 11h56 Des pompiers combattent un incendie de forêt à Ierapetra sur l'île de Crète, poussé par des vents violents. AFP/Costas Metaxakis L'incendie dans l'île de Crète en Grèce , qui a entraîné l'évacuation de 5'000 personnes, était «en recul», a annoncé vendredi le porte-parole des pompiers vendredi à l'AFP. «Le feu est en recul en Crète», a indiqué Vassilios Vathrakoyannis. «Il reste des craintes de reprises mais il n'y a plus de grand front», a-t-il ajouté. Quelque 230 pompiers, 48 véhicules et 6 hélicoptères restent mobilisés sur le terrain, près de la ville côtière de Iérapetra. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Il existe des foyers dispersés et plusieurs zones chargées de fumée, d'où partent de petites et parfois plus importantes reprises de feu, ont signalé les services de pompiers à l'agence de presse ANA. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Mais l'affaiblissement des vents dans cette région difficile d'accès ont permis l'amélioration de la situation. Des jours «difficiles» s'annoncent en Grèce Le porte-parole des pompiers avait toutefois prédit jeudi soir des prochains jours «difficiles» en Grèce en raison d'une hausse des températures attendue associée à des vents violents, notamment dans la région d'Athènes. Le risque d'incendies reste d'ailleurs très élevé vendredi dans plusieurs régions, dont celle d'Athènes, l'Attique, selon la Protection civile grecque. En Crète, l'une des principales destinations touristiques de Grèce, l'incendie, qui s'est déclenché mercredi après-midi, a poussé les autorités à évacuer «3000 touristes et 2000 habitants dans la nuit de mercredi à jeudi», avait assuré le président de l'Union des hôteliers de la région, Yorgos Tzarakis, à l'AFP. A une trentaine de kilomètres à l'est d'Athènes, près du port de Rafina, un feu , qui s'est déclaré jeudi après-midi en raison de vents importants, a pu être maîtrisé dans la soirée. Les températures vont grimper Les pompiers restaient toutefois en alerte dans cette zone périurbaine, proche de l'aéroport international d'Athènes, en raison des risques de reprise de feu poussé par des vents intenses qui soufflent sur la région. L'incendie, qui a entraîné l'évacuation de 300 personnes, a détruit quelques maisons et des véhicules, selon le maire des communes de Spata-Artemida, Dimitris Markou, sur la chaîne publique ERT. Il a également entraîné des perturbations dans le trafic des ferries à destination et en provenance d'îles touristiques comme Mykonos. La Grèce a jusqu'ici été épargnée par la canicule qui frappe une partie de l'Europe, en particulier l'Espagne, le Portugal et la France. Mais à partir de ce week-end, les températures vont grimper et atteindre jusqu'à 43°C dans certaines régions grecques, selon les prévisions météorologiques de la chaîne ERT. La Grèce et les feux de forêts Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Prêts à passer à la caisse pour visiter Santorin et Mykonos?
Prêts à passer à la caisse pour visiter Santorin et Mykonos?

24 Heures

time17 hours ago

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Prêts à passer à la caisse pour visiter Santorin et Mykonos?

Une taxe de 20 euros par personne est désormais exigée pour visiter Santorin et Mykonos, qui suffoquent sous l'arrivée des croisiéristes. Publié aujourd'hui à 11h30 En 2024, Santorin (photo) et Mykonos ont respectivement accueilli 1,34 et 1,29 million de passagers, soit des augmentations de 4 et 8,4%. Getty Images En bref: La Grèce impose désormais une nouvelle taxe aux croisiéristes visitant ses îles les plus prisées. Depuis mardi, les passagers des paquebots de croisière accostant à Santorin et Mykonos sont soumis à une contribution de 20 euros par personne. Cette mesure s'inscrit dans un effort national pour gérer l'afflux touristique croissant qui met à rude épreuve les infrastructures locales. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Adoptée l'an dernier par le Parlement grec , cette taxe varie selon les destinations et les saisons. Durant l'été, du 1er juin au 30 septembre, elle atteint 20 euros pour les deux joyaux des Cyclades, tandis qu'elle se limite à 5 euros pour les autres îles de l'archipel. Ce sont les compagnies de croisière qui devront initialement s'acquitter de ces montants avant de les intégrer probablement dans leurs tarifs. Les ravages du tourisme Les autorités grecques espèrent collecter jusqu'à 50 millions d'euros annuels grâce à cette initiative. Ces fonds seront destinés à l'amélioration des infrastructures, particulièrement les installations portuaires souvent inadaptées à l'accueil simultané de plusieurs navires de grande taille. À Santorin, célèbre pour ses vues spectaculaires sur la caldeira, un plafond de 8000 passagers de croisière par jour a déjà été instauré pour limiter la saturation. L'essor du tourisme de croisière en Grèce se poursuit malgré ces nouvelles contraintes. En 2024, le pays a enregistré une hausse de 13,2% du nombre de croisiéristes, atteignant 7,9 millions de visiteurs. Santorin et Mykonos ont respectivement accueilli 1,34 et 1,29 million de passagers l'année dernière, soit des augmentations de 4 et 8,4%. Cette pression touristique engendre des défis considérables pour ces petites îles: embouteillages, pénuries d'eau en haute saison, difficultés dans la gestion des déchets et risques d'éboulements sur la caldeira de Santorin, où les constructions se multiplient. Des habitants dénoncent également la pollution générée par les paquebots et le faible impact économique des visiteurs qui ne restent que quelques heures. L'introduction de cette taxe suscite des réactions contrastées. Le président de l'Autorité portuaire de Mykonos a récemment demandé son report, critiquant une «concurrence déloyale» entre les îles. De son côté, l'industrie des croisières défend son modèle économique, arguant qu'elle génère deux milliards de dollars de revenus annuels en Grèce malgré sa part relativement modeste (2%) dans le volume touristique mondial. Le surtourisme en Grèce Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

La Grèce et la Turquie luttent contre de violents incendies
La Grèce et la Turquie luttent contre de violents incendies

La Presse

timea day ago

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La Grèce et la Turquie luttent contre de violents incendies

Des pompiers luttent contre un incendie de forêt sur l'île grecque de Crète, au sud du pays, le 3 juillet 2025. La Grèce et la Turquie luttent contre de violents incendies (Athènes) La Grèce et la Turquie font face à de violents incendies jeudi, qui ont entraîné l'évacuation de 5000 personnes sur l'île de Crète et près d'Athènes, et causé la mort de deux personnes dans la province turque d'Izmir. Agence France-Presse Un homme de 80 ans, confiné au lit, a été retrouvé mort dans une maison endommagée par le feu dans la ville d'Ödemis, située dans une région touristique près d'Izmir dans l'ouest de la Turquie, selon l'agence privée turque DHA. PHOTO CENGIZ MALGIR, ASSOCIATED PRESS Un incendie fait rage dans une zone forestière à Çeşme, près d'Izmir, en Turquie, le 3 juillet 2025. PHOTO CENGIZ MALGIR, ASSOCIATED PRESS Un hélicoptère largue de l'eau pour éteindre un incendie à Çeşme, près d'Izmir, en Turquie, le 3 juillet 2025. PHOTO CENGIZ MALGIR, ASSOCIATED PRESS Un incendie fait rage près des éoliennes de Çeşme, près d'Izmir, en Turquie, le 3 juillet 2025. 1 /3 Le ministre turc de l'Agriculture et des Forêts Ibrahim Yumakli a par ailleurs annoncé sur X le décès d'un ouvrier forestier qui luttait contre les flammes dans cette même ville. « Le principal problème est la vitesse du vent qui atteint jusqu'à 85 km/h, ce qui fait que le feu se propage très rapidement », a souligné le gouverneur d'Izmir, Süleyman Elban, présent sur place jeudi. En Grèce, à une trentaine de kilomètres à l'est d'Athènes, près du port de Rafina – actif notamment pour les navires à destination de certaines îles touristiques –, un feu s'est déclaré jeudi après-midi, attisé par les vents importants qui soufflent dans cette zone périurbaine. « D'importants moyens terrestres et aériens luttent pour contenir l'incendie », a annoncé Vassilios Vathrakoyannis, porte-parole des pompiers lors d'un point de presse, avec 170 pompiers déployés, 48 véhicules, 17 avions et 7 hélicoptères. Quelque 300 personnes ont été évacuées et 51 secourues, a-t-il indiqué. Il a également prévenu que les prochains jours « s'annoncent difficiles » en Grèce en raison d'une hausse des températures attendue associée à des vents violents, notamment dans la région d'Athènes. Mais jeudi soir, la situation sur ce front était meilleure d'après les pompiers grecs. PHOTO COSTAS METAXAKIS, AGENCE FRANCE-PRESSE Un hélicoptère largue de l'eau sur un incendie de forêt sur l'île grecque de Crète, au sud du pays, le 3 juillet 2025. Aéroport international Les fumées se sont répandues jusqu'aux abords de l'aéroport international d'Athènes sans toutefois perturber le trafic aérien. « La situation est très difficile », avait assuré Dimitris Markou, le maire des communes de Spata-Artemis, proches de l'aéroport, à l'agence de presse ANA avant la maîtrise partielle du feu. « Le front de feu est vaste. Les vents changent de direction », avait-il ajouté. La route principale en direction d'Athènes qui avait été fermée à la circulation dans la journée était de nouveau accessible jeudi soir tout comme le port de Rafina. En Crète (Sud), l'une des principales destinations touristiques de Grèce, l'incendie qui s'est déclenché mercredi dans des broussailles a poussé les autorités à évacuer « 3000 touristes et 2000 habitants dans la nuit de mercredi à jeudi », a assuré le président de l'Union des hôteliers de la région, Yorgos Tzarakis, à l'AFP. PHOTO STEFANOS RAPANIS, REUTERS Des pompiers tentent d'éteindre un incendie de forêt sur l'île de Crète, en Grèce, le 3 juillet 2025. « La plupart des touristes ont été transférés dans le nord de l'île », la plus grande de Grèce, a-t-il ajouté, joint par téléphone. Des renforts ont été envoyés d'Athènes pour aider les pompiers locaux dont la tâche est rendue difficile par l'intensité des vents qui soufflent sur la région. Terrain accidenté La lutte contre le feu est rendue particulièrement difficile par le terrain accidenté et aride dans cette partie l'île. Quelque 270 pompiers, 10 hélicoptères et des drones luttent contre les flammes, selon les pompiers. Selon des médias, des maisons et des cultures, en particulier des serres, ont été endommagées dans cette région productrice de légumes et de fruits. Outre l'agriculture, Iérapetra, qui compte 23 000 d'habitants, est une station balnéaire. Comme sur le reste de l'île, la saison touristique bat son plein. PHOTO ALEXANDROS AVRAMIDIS, REUTERS Une maison endommagée près d'Iérapetra, sur l'île de Crète, en Grèce, le 3 juillet 2025 Le mois de juillet est chaque année « le plus chaud de l'été et le risque d'incendie est toujours très fort », a souligné le porte-parole des pompiers grecs. Au cours des dernières 24 heures, 40 incendies de végétation et de forêt se sont déclarés, selon M. Vathrakoyannis. La Grèce a jusqu'ici été épargnée par la canicule qui frappe une partie de l'Europe, en particulier l'Espagne, le Portugal et la France. PHOTO ALEXANDROS AVRAMIDIS, REUTERS Un incendie de forêt fait rage près d'Iérapetra, sur l'île de Crète, en Grèce, le 3 juillet 2025. Mais à partir de ce week-end, les températures vont grimper et atteindre jusqu'à 43 °C dans certaines régions grecques, selon les prévisions météorologiques de la chaîne ERT. Le risque d'incendie reste lui aussi très élevé vendredi dans plusieurs régions, dont celle d'Athènes, l'Attique. Située dans le sud-est de l'Europe sur la Méditerranée, la Grèce est particulièrement vulnérable aux incendies chaque été, alimentés par des vents violents, la sécheresse et des températures élevées. Quelque 45 000 hectares avaient été brûlés, selon le WWF Grèce et l'Observatoire national d'Athènes. Mais 2023 reste l'année la plus destructrice en matière de superficie brûlée avec près de 175 000 hectares partis en fumée et 20 morts.

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