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Plusieurs personnes évacuées, dont des enfants, après avoir respiré un « produit urticant » dans un camping corse
Plusieurs personnes évacuées, dont des enfants, après avoir respiré un « produit urticant » dans un camping corse

Le Parisien

time21-07-2025

  • Science
  • Le Parisien

Plusieurs personnes évacuées, dont des enfants, après avoir respiré un « produit urticant » dans un camping corse

Petit vent de panique pour les vacanciers. Dix personnes, dont quatre enfants, ont dû être évacuées lundi en fin de journée après avoir inhalé un « produit urticant » dans un camping situé à Ghisonaccia (Haute-Corse), rapportent France 3 Régions et Ici RCFM . Selon le service d'incendie et de secours de Haute-Corse, cité par nos confrères, les victimes ont présenté « des symptômes d'irritations et des gênes respiratoires plus ou moins importantes ». Le contact avec une substance urticante provoque aussi, dans la majeure partie des cas, une sensation de brûlure accompagnée de démangeaisons. Au total, ce sont près de 30 sapeurs-pompiers ainsi que l'hélicoptère de la sécurité civile Dragon 2B qui ont été mobilisés pour procéder à l'évacuation des vacanciers. Ces derniers ont tous été hospitalisés, à Bastia et Corte. Une enquête a été ouverte pour déterminer l'origine de cet incident. La piscine du camping, où se trouvaient les dix vacanciers incommodés, a été fermée, mais le reste de l'établissement reste lui ouvert.

L'entreprise du nationaliste corse Marco Furfaro, incarcéré en Italie, visée par un incendie criminel
L'entreprise du nationaliste corse Marco Furfaro, incarcéré en Italie, visée par un incendie criminel

Le Parisien

time14-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

L'entreprise du nationaliste corse Marco Furfaro, incarcéré en Italie, visée par un incendie criminel

Une affaire dont les contours restent à éclaircir. Un incendie criminel a partiellement détruit, dans la nuit de samedi à dimanche, l'entreprise d'un militant nationaliste corse actuellement incarcéré en Italie pour avoir aidé dans sa cavale un chef mafieux italien, a indiqué lundi le parquet de Bastia. L'incendie, à Lucciana ( Haute-Corse ), a touché l'entreprise « Casa di L'Ortu », propriété de Marco Furfaro, un pépiniériste de 56 ans détenu en Italie pour avoir porté assistance à Marco Raduano, mafioso italien arrêté à Aleria (Haute-Corse) le 1er février 2024. La procureure adjointe de Bastia, Annouk Bonnet, a confirmé qu'il s'agissant bien d'un incendie criminel, un grillage protégeant l'entreprise familiale ayant été « sectionné », comme l'avait révélé le quotidien Corse-Matin . Contacté, Me Marc-Antoine Luca, conseil de la famille Furfaro, a précisé que la compagne de Marco Furfaro avait déposé plainte à la suite de ce sinistre qui a totalement détruit une structure modulaire de 50 m2 où se trouvaient les bureaux de l'entreprise. « Mes clients sont totalement dégoûtés par cet acte lâche. On profite de l'incarcération, très difficile, de M. Furfaro en Italie. Si aucune piste n'est privilégiée, il semble néanmoins que (…) cet acte pourrait n'avoir aucun rapport avec l'affaire pour laquelle il est actuellement incarcéré », a confié l'avocat bastiais. En mai, par la voie d'un communiqué de presse, la femme et les filles de Marco Furfaro avaient fait état de menaces de mort à leur encontre. Marco Raduano, ancien chef de la Società Foggiana , groupe mafieux actif dans la province italienne des Pouilles (sud), a reconnu être l'auteur de l'assassinat d'un gérant de plage en août 2023 dans l'île de Beauté. Une confession qu'il a faite après avoir obtenu le statut de « collaborateur de justice » en Italie. Marco Furfaro est accusé par la justice italienne d'avoir transporté Marco Raduano lors de sa cavale, en Italie, en Espagne et en Corse, puis de l'avoir hébergé en Corse. Des faits pour lesquels il encourt six ans de prison.

Trois députés contraints de démissionner après avoir été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel
Trois députés contraints de démissionner après avoir été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel

Le Parisien

time11-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

Trois députés contraints de démissionner après avoir été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel

Dans trois décisions distinctes, issues de son rôle de juge du contentieux électoral, le Conseil constitutionnel déclare, ce vendredi matin, inéligibles trois députés, Jean Laussuc, Stéphane Vojetta (tous deux EPR, le parti macroniste) et Brigitte Barèges (UDR, le parti d'Éric Ciotti allié au RN) après avoir rejeté leurs comptes de campagne. « Inéligibles pour un an », ils sont considérés comme « démissionnaires d'office » de leurs mandats, a annoncé le Conseil constitutionnel. Par conséquent, des élections législatives partielles devront être organisées prochainement. Par ailleurs, des candidats qui n'avaient pas remporté le scrutin en juillet dernier ont aussi été déclarés inéligibles pour un an. Il s'agit de Nathalie Ballerand, candidate identitaire en Dordogne, d'Alexis Fernandez, qui avait tenté de se faire élire en Haute-Corse, et de Marie-Odile Duvillard, qui s'était présentée dans le Loiret. Ils ne pourront pas faire acte de candidature en cas de nouvelle élection anticipée ou aux élections municipales. >> Plus d'informations à venir .

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