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Mépris des experts, recours à l'IA... La rocambolesque bataille d'un ex-grand patron pour authentifier un tableau de Rubens
Mépris des experts, recours à l'IA... La rocambolesque bataille d'un ex-grand patron pour authentifier un tableau de Rubens

Le Figaro

time03-08-2025

  • Entertainment
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Mépris des experts, recours à l'IA... La rocambolesque bataille d'un ex-grand patron pour authentifier un tableau de Rubens

Réservé aux abonnés RÉCIT - La famille d'Éric Licoys - ancien numéro deux de Vivendi et grand amateur d'art - tente de prouver depuis 75 ans l'authenticité d'un tableau du maître flamand. Petit conseil au propriétaire d'un supposé tableau de maître en quête d'authentification : ne jamais baisser les bras, malgré l'avis tranché de certains experts. Éric Licoys, ancien numéro deux de Vivendi, ancien président du groupe Havas et galeriste, peut en témoigner. La raison ? Ce nonagénaire avenant, qui nous reçoit dans son appartement parisien, se démène depuis plusieurs décennies afin que son Bain de Diane soit attribué au célèbre artiste flamand Pierre Paul Rubens (1577-1640). « Les combats ne m'ont jamais fait peur, je l'ai démontré dans le passé », sourit le cofondateur du Parc Astérix, qui avait déjà fait face à de nombreux détracteurs avec ce projet pharaonique devenu une réussite internationale. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Rien ne pouvait donc l'arrêter dans cette nouvelle quête digne d'une série Netflix avec ses multiples rebondissements. Au casting, face à sa famille et ses soutiens perpétuellement ballottés entre espoir et déception : des directeurs de prestigieuses institutions…

Sept mois après la scission, l'ex-Vivendi ne fait toujours pas de miracle en Bourse
Sept mois après la scission, l'ex-Vivendi ne fait toujours pas de miracle en Bourse

Le Figaro

time31-07-2025

  • Business
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Sept mois après la scission, l'ex-Vivendi ne fait toujours pas de miracle en Bourse

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - La somme des valorisations de Canal+, Havas, Louis Hachette et du reliquat de Vivendi est loin d'atteindre les 16 milliards d'euros avancés avant la scission. Le groupe Bolloré fait face désormais à plusieurs procédures réglementaires. Il y a sept mois encore, ils étaient réunis sous la bannière Vivendi. Canal+, Havas et Louis Hachette Group ont publié cette semaine leurs résultats semestriels, les premiers depuis la scission du conglomérat contrôlé par le groupe Bolloré. Les anciennes filiales devenues autonomes affichent des performances solides sur fond de turbulences macroéconomiques. À l'issue d'un premier semestre riche en repositionnement stratégique, la chaîne cryptée a réalisé 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Soit une progression de 0,9 % sur un an, « hors impact de la résiliation du partenariat avec Disney et l'arrêt de C8 ». Son résultat opérationnel ajusté s'établit à 246 millions d'euros, en recul de 21,6 % sur un an, en raison de l'effet exceptionnel de l'acquisition d'OCS l'an passé. Coté à Londres, le navire amiral de l'empire Bolloré se démarque surtout par un flux net de trésorerie de 416 millions d'euros. Le groupe vient d'obtenir le feu vert pour s'emparer du sud-africain MultiChoice…

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