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12 hours ago
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On a testé quatre recettes de glace sans sorbetière, voici notre avis sur chacune
Une recette de crème glacée à la vanille et noix de coco. RECETTE - Si les températures redescendent peu à peu en France, l'été n'en est pas moins installé et va durer encore un peu. Pour parer aux chaleurs ou tout simplement se faire plaisir, plusieurs journalistes du HuffPost ont testé des recettes de glaces à réaliser chez soi, sans sorbetière. Qu'elles soient à la crème, au chocolat ou aux fruits, elles sont toutes différentes. Mais elles ont un point commun : elles sont très simples à faire et vont vous rafraîchir en douceur. Les voici, avec les points positifs et négatifs de chacune, en toute subjectivité. La recette : 200 g de yaourt Skyr, 120 ml de lait demi-écrémé, 10 g d'édulcorant, 1 cuillère d'extrait de vanille. Passez le tout dans un blender, puis ajoutez des pépites de chocolat noir, des morceaux de noisettes ou des fruits rouges coupés en petits morceaux. Mettre 4 heures minimum au congélateur. Les points positifs : la facilité et rapidité de la recette et le goût franchement satisfaisant. Au moins je sais ce qu'il y a dedans par rapport à toutes les glaces de supermarché, même les « frozen yogurt » soi-disant « healthy » mais où en fait il y a plein de sucre. Les points négatifs : la texture, un peu « glaçon ». La lecture de ce contenu est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur tiers qui l'héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l'affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies 'Contenus tiers' en cliquant sur le bouton ci-dessous. La recette : le principe, c'est de congeler ses bananes trop mûres et de les mixer avec un peu de lait animal ou végétal pour faire la base de la glace. Il vous faut 3 bananes mûres coupées en rondelles et congelées au préalable, un demi-verre de lait végétal - on peut doser au fur et à mesure en fonction de la texture qu'on recherche, ou de la capacité de son blender à gérer les bananes congelées. Voilà pour la base, ensuite, on peut y rajouter absolument tout ce qu'on veut pour la parfumer. J'utilise du lait d'avoine parce que je trouve que ça va bien avec la banane, un peu d'extrait de vanille et de la cannelle pour relever un peu le goût. Ensuite, selon ce qu'il y avait dans mes placards et mes envies, j'ai essayé d'y rajouter des pépites de chocolat, du beurre de cacahuète sur le dessus, des fruits rouges frais. Et tout était toujours bon. Les points positifs : c'est hyper facile à faire, hyper modulable en fonction de ses envies. Quand je veux quelque chose de peu sucré, je mets des fruits. Quand j'ai envie que ce soit consistant, je mets des noix ou des amandes. Quand je veux quelque chose de réconfortant, je mets du chocolat. Les points négatifs : j'achète désormais trop de bananes ! La lecture de ce contenu est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur tiers qui l'héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l'affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies 'Contenus tiers' en cliquant sur le bouton ci-dessous. La recette : 1/2 pastèque (petite), 1 verre de lait, ici végétal (rajoutez-en un peu si ce n'est pas assez mixé), 100 g de framboise, 2 cuillères à soupe de sirop d'agave. Récupérez l'intérieur de la pastèque et congelez-la. 6 heures après ou le lendemain, mixez-la avec le lait, les framboises fraîches, le sirop. Râpez un peu de citron sur le dessus. Les points positifs : tous les ingrédients sont bons, donc même si ça ne marche pas, ça peut faire un smoothie. Les points négatifs : une fois la pastèque congelée, mon blender - qui est pourtant habituellement assez costaud - n'a pas réussi à la mixer. Pour que ça marche, j'ai dû ajouter tellement de lait végétal que le résultat a fini par être complètement liquide, sans la jolie texture de la vidéo. Dans le doute, j'ai essayé de remettre une partie du résultat au congélateur. J'ai fini avec un smoothie pastèque framboise (c'était quand même bien) et un glaçon. Une recette de crème glacée à la vanille et noix de coco. La recette : 4 œufs, 300 ml de crème liquide entière, 100 g de sucre, 1 gousse de vanille, de la noix de coco râpée. Faire monter les blancs d'œufs en neige, y ajouter le sucre. Dans un autre saladier, faire monter la crème mélangée à la vanille. Mélangez le tout. Placez dans un plat, répartir de la noix de coco sur le mélange. Mettre au congélateur. Vous pouvez faire des variantes et ajouter à la base ce que vous voulez : fruits, fruits secs, caramel au beurre salé, copeaux de chocolat etc. Les points positifs : c'est très bon, ça a le goût d'une crème chantilly coco glacée. On peut éventuellement réduire le sucre et ajouter de la noix de coco rapée. Les points négatifs : ce n'est pas « léger ».
Le HuffPost France
15 hours ago
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« J'ai fini en pleurs dans une cabine » : avant les vacances, acheter un maillot de bain peut devenir un enfer
ÉTÉ - « Acheter un maillot, c'est une après-midi entière dans des magasins, en sueur, avec les larmes aux yeux. » Pour Nino comme pour bien d'autres, au milieu des préparatifs enthousiasmants des vacances, il y a un achat qui tient plutôt de la corvée : se trouver un maillot de bain. Car si la perspective de passer ses journées à la plage à faire des mots croisés est plus que réjouissante, il faut d'abord trouver la tenue pour le faire. Essayages dans des cabines aux néons peu flatteurs, galères pour trouver sa taille, magasins bondés pendant les soldes d'été… Le moment a déjà de quoi effrayer. Et à l'heure où le culte de la minceur des années 90 fait son come-back et où mêmes les célébrités autrefois « body-positive » fêtent leur perte de poids sur les réseaux sociaux, essayer des deux pièces dans un centre commercial peut vite se transformer en foire aux complexes. Particulièrement quand on est bombardé d'images de « summer body » nécessairement mince, musclé, glabre… et photoshopé. Trois femmes en ont témoigné auprès du HuffPost. « Je me suis retrouvée en pleurs dans une cabine » Première épreuve : savoir quelle taille choisir parmi les élastiques, triangles et ficelles à nouer. « Ma morphologie (petite taille mais hanches et cuisses curvy) fait que je trouve rarement des maillots une pièce qui me vont : soit le bas est trop serré, soit le haut est trop flottant, raconte Nino. Pour les deux pièces, même galère : soit le haut est trop grand, soit le bas est trop petit. » C'est toujours un mauvais moment pour la jeune femme de 25 ans, qui garde un très mauvais souvenir d'une longue journée de shopping il y a deux ans. « J'y ai passé des heures, je me suis retrouvée en pleurs dans une cabine car j'avais fini par me trouver immonde. Chaque maillot qui ne va pas, c'est un rappel que mes cuisses sont 'trop grosses'. » Sans parler des coupes de maillots à la mode, très échancrés pour le bas, et qui laissent donc paraître des poils. « En tant que personne qui ne s'épile pas, je ne peux pas me sentir à l'aise dans ce genre de tenue à cause du regard masculin. Donc je dois trouver un maillot couvrant, mais à ma taille, et joli, et confortable… c'est sans fin. » « Stressant et prise de tête » Des coupes aussi inconfortables pour les bas que pour les hauts, comme le raconte Marie. « Moi, j'ai une poitrine un peu importante donc je ne peux pas porter un triangle, ou un bandeau : ça ne tient pas », témoigne la trentenaire, qui déplore que les maillots de bain soient « faits pour de silhouettes fines et minces ». Au moment de renouveler son stock elle sait que, quoi qu'il arrive, ce moment sera « stressant et prise de tête ». Marianne, 32 ans, a même réussi à éviter l'exercice pendant quinze ans, en évitant de partir en vacances à la mer ou même à la piscine. Jusqu'à l'été dernier, où elle a été forcée de sauter le pas. « Ça me stressait de fou de devoir trouver un maillot, car je déteste faire les magasins, je déteste passer en cabine d'essayage de manière générale (il y fait chaud, la luminosité est naze, je rends quasiment toujours les vêtements que je vais essayer parce qu'ils sont plus beaux sur cintre que sur moi…). Finalement j'ai commandé en ligne pour essayer chez moi », détaille-t-elle. Être obligée de replacer son maillot sans cesse À la recherche de confort, Marianne se tourne vers une marque de surf espérant qu'elle soit plus tournée vers la pratique que l'esthétique. « Mais quand je suis allée à la mer avec, le haut de bikini en triangle bougeait tout le temps et avec mes mouvements dans l'eau, j'étais obligée de le replacer et de m'inquiéter de si mes seins étaient sortis du tissu ou non », soupire-t-elle. Cette année, donc, retour à la case départ : « je veux trouver un maillot qui me convienne mieux, mais aussi qui me plaise, donc je sens que je vais y passer beaucoup de temps ». Étant diabétique par ailleurs, la trentenaire est restreinte dans ses choix : « j'ai des patchs sur le ventre et le bras, donc les une pièce par exemple, c'est mort car je dois pouvoir connecter mon appareil à insuline au patch que j'ai sur le ventre. Pourtant, ça résoudrait mon problème de seins qui ne tiennent pas dans le maillot - ce qui est ironique, sachant que je n'en ai quasiment pas ! » Malgré cette étape complexante, toutes les interrogées se sentent bien au moment de la baignade. « J'essaie de ne pas y penser quand je suis à la plage, je me dis que moi je ne regarde pas les gens et je ne les juge pas, donc probablement que les autres non plus », conclut Marianne. Quant à Nino, elle a, « par miracle », trouvé deux maillots qui lui vont et qu'elle conserve précieusement. « Ma grande peur, c'est qu'un jour ils ne m'aillent plus et que je doive recommencer mes recherches. » Et pour se sentir bien dans son corps, quelle que soit sa tenue, « ce qui m'a réellement aidée, c'est le féminisme : voir des femmes, fines, grosses, avec des morphologies différentes, ensembles pour la même cause. Ça m'a fait réaliser qu'en réalité, le monde s'en fout que j'aie des grosses cuisses. Probablement même que personne ne pense ça, et que c'est dans ma tête. »
Le HuffPost France
a day ago
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Si vous voyagez en pleine canicule, voici les erreurs à éviter pour gérer la chaleur
VACANCES - L'été risque d'être chaud. Du moins, il l'est déjà, puisque ces dernières semaines, plusieurs pays d'Europe ont été touchés par des épisodes caniculaires. Espagne, Italie, Portugal ou Grèce, autant de destinations touristiques populaires où certaines villes ont vu le mercure avoisiner les 40 degrés. La France n'est pas en reste puisque ce jeudi 3 juillet, 17 départements sont encore en alerte canicule orange. Notamment le pourtour méditerranéen, où de nombreux juillettistes devraient commencer à affluer dès ce week-end pour les vacances scolaires. Si vous aussi, vous êtes en plein dans les valises et que vous vous apprêtez à partir vers une destination très chaude, la vigilance est de mise. Car « profiter du soleil fait partie intégrante des vacances, surtout si vous vivez dans un pays où le beau temps est rare, souligne auprès du HuffPost le pharmacien Navin Khosla. Mais les températures enregistrées dans certaines destinations touristiques populaires sont extrêmement dangereuses, et beaucoup de gens n'ont jamais été confrontés à de telles températures auparavant ». Voici, selon plusieurs experts, les choses à avoir en tête avant de partir en voyage pendant une vague de chaleur. S'hydrater, encore et toujours « La plus grande erreur que font les gens est de sous-estimer la puissance du soleil », assure Melissa Yeager, rédactrice en chef adjointe du guide de voyage Lonely Planet. Vous pouvez sortir et vous dire que ce n'est pas si terrible, mais la chaleur peut vraiment vous dépasser, surtout si vous passez beaucoup de temps à l'extérieur et que vous ne vous êtes pas préparé. » Pour elle, l'hydratation est la clef. « Commencez votre journée par un grand verre d'eau. Emportez une gourde avec vous. Évitez les boissons déshydratantes comme l'alcool et si vous buvez des cocktails veillez à boire plus d'eau pour compenser. » Mauvaise nouvelle pour celles et ceux qui passeront leurs congés en Italie : le café et les Spritz comptent aussi comme des breuvages déshydratants. « Si vous pratiquez des activités de plein air, prévoyez des endroits où vous pourrez vous réapprovisionner en eau en cours de route », ajoute l'experte voyageuse. Sa règle d'or est de chercher à refaire le plein de sa bouteille dès qu'elle est à moitié vide - et s'il n'y a nulle part où le faire, de faire demi-tour afin de ne pas se retrouver à sec. Ne pas éviter l'intérieur « On a tendance à penser qu'il faut être dehors quand on est en vacances, mais pendant une vague de chaleur, il est important de passer quelques heures par jour à l'intérieur ou, à défaut, à l'ombre », explique Huw Owen, cofondateur d'une plateforme de planification de vacances. Il recommande de toujours vérifier les prévisions météo, et de programmer votre journée en fonction. Bien que les bains de soleil constituent une partie importante des vacances de nombreuses personnes, vous devriez peut-être modifier vos projets pendant une vague de chaleur. « Le milieu de la journée et la fin de l'après-midi sont généralement les moments les plus chauds, alors limitez au maximum les activités en plein air pendant ces heures », conseille quant à elle Mélissa Yeager. « Préférez les activités telles que les musées, le cinéma, les repas à l'intérieur ou même une petite sieste. » Musées et galeries sont idéaux pour se rafraîchir tout en s'instruisant sur la culture et l'histoire de la région qu'on visite. Et pour la bronzette sur la plage, il est préférable de privilégier la fin d'après-midi. Ne pas essayer d'en faire trop « Soyez indulgent avec vous-même pendant une vague de chaleur », préconise Yeager. Se forcer à visiter chaque site touristique et à tout voir en un seul voyage risque surtout de vous épuiser… Et de vous priver d'autres expériences tout aussi agréables. Car, comme elle le rappelle, « passer du temps à manger une glace et à observer les gens dans un café italien peut être tout aussi enrichissant que de visiter plusieurs sites touristiques ». Même chose pour les parents, qui peuvent ressentir beaucoup de pression à créer des souvenirs parfaits de vacances pour leurs enfants. « Ils sont simplement ravis d'être là dans un nouvel endroit et de passer du temps avec vous. Ne vous en voulez donc pas si, au lieu de faire marcher tout le monde sous la chaleur pour visiter tous les sites touristiques, vous passez l'après-midi à la piscine ou à la plage », ajoute la spécialiste. Ne pas faire la grasse matinée Bien sûr, vous voulez vous reposer et vous détendre pendant vos vacances, mais si vous souhaitez passer du temps à l'extérieur, il est généralement préférable de ne pas traîner trop longtemps au lit. « Le début de matinée ou la soirée, jusqu'aux premières heures du matin, sont les moments les plus frais de la journée. Il est donc préférable de réserver ces moments-là pour les promenades, si possible, afin d'éviter la chaleur. Vous dormirez moins la nuit, mais vous compenserez pendant la journée en intégrant une sieste à votre programme. C'est un excellent moyen d'avoir plus d'énergie pour profiter de la vie nocturne, et c'est bon pour la santé. » Ne pas ignorer les signaux de votre corps « Je pense que l'erreur la plus courante que les gens commettent lorsqu'ils voyagent est de ne pas être honnêtes avec eux-mêmes sur ce qu'ils ressentent », avancer Gregory Katz, cardiologue. « Ils se disent qu'ils sont en voyage, et que pour pouvoir faire tout ce dont ils ont envie, ils peuvent ignorer les sensations étranges que leur corps leur envoie. » Des signaux qui peuvent pourtant indiquer que quelque chose ne va pas. Il recommande d'être attentif à ce que vous ressentez tout au long de la journée, en particulier si vous souffrez d'une maladie chronique. « Soyez honnête avec vous-même quant à votre profil de risque global », conseille le docteur Katz. « Prenez-vous des médicaments pour des maladies chroniques ? Diriez-vous que votre santé n'est pas très bonne ? Cela vous place dans la catégorie des personnes qui doivent être encore plus prudentes et à l'écoute de leur corps. »
