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Vers un deuxième match de Lionel Messi au stade Saputo ?
Vers un deuxième match de Lionel Messi au stade Saputo ?

La Presse

time18 hours ago

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Vers un deuxième match de Lionel Messi au stade Saputo ?

Contrairement aux histoires d'Agatha Christie les plus captivantes, ne gardons pas le meilleur pour la fin : Lionel Messi, jouera, jouera pas au stade Saputo, samedi soir ? La réponse courte : c'est très probable, mais on ne peut l'avancer hors de tout doute. La réponse longue : Lionel Messi a fait le voyage avec l'Inter Miami pour affronter le CF Montréal, samedi soir, dans l'enceinte de la rue Sherbrooke. L'entraîneur-chef des Floridiens, Javier Mascherano, a souligné vendredi matin que son équipe avait eu assez de repos depuis sa défaite contre le Paris Saint-Germain, dimanche dernier, en huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs. « Par chance, on a eu une longue semaine et ça nous a bien servis, a-t-il dit devant les médias de Miami. On a donné deux jours de congé [aux joueurs], surtout ceux qui ont joué beaucoup de minutes. Alors oui, Leo est disponible, et à moins d'un pépin inattendu, il va faire le voyage. » Lorsqu'un joueur prend place dans les vols nolisés pour un match sur la route en MLS, ça veut généralement dire qu'il sera sur la feuille de match. Et dans le cas de Miami, ce serait tout à son avantage de mettre toutes les chances de son côté face au CF Montréal, et donc de sortir sa Ferrari Messi du garage. Certes, le CFM est dernier dans l'Est, et l'Inter pourrait très bien se passer de son talisman argentin pour venir à bout du Bleu-blanc-noir, on s'entend. Mais en MLS, tout le monde peut battre tout le monde. Et Montréal est sur une séquence de deux victoires en trois matchs. Il jouera chez lui. Le risque de reposer Messi pourrait ne pas en valoir la chandelle du côté des Herons. PHOTO BRYNN ANDERSON, ASSOCIATED PRESS Lionel Messi contre le PSG lors de la Coupe du monde des clubs Aussi, après ses quatre matchs en Coupe du monde des clubs, Miami a pris du retard dans le championnat domestique. Le voilà en 7e position dans l'Est, avec quatre matchs en main. Ce club, avec tous ses grands investissements en infrastructures et sur le terrain, vise les grands honneurs en 2025. Et pour ça, il faut commencer par engranger des points. Autre facteur en faveur d'une présence de Lionel Messi sur la pelouse du stade Saputo ce samedi : s'il y a un match qu'il pourrait vouloir sauter, ce serait peut-être plutôt celui sur le synthétique de la Nouvelle-Angleterre, mercredi prochain. Ce sera là un deuxième match en cinq jours qui va s'inscrire dans une séquence folle de 7 matchs en 25 pendant le mois de juillet pour Miami. Bref, les probabilités sont bonnes de voir Lionel Messi à l'œuvre pour un deuxième été de suite dans Hochelaga-Maisonneuve. Il y a là quelque chose comme une bonne histoire pour le soccer québécois. Le danger Messi, même « déconnecté » Maintenant, une présence de la Pulga devant le CFM, ça ne lui fait pas nécessairement plaisir, sportivement. Au dernier match entre les deux clubs, là-bas en mai, Miami l'avait emporté 4-2, avec deux réussites de Messi et de Luis Suárez, respectivement. Montréal n'avait jamais vraiment été dans le coup, même après les buts de Dante Sealy et Victor Loturi. Samuel Piette s'en souvient très bien. PHOTO FOURNIE PAR LE INTER MIAMI Lionel Messi à l'entraînement « J'ai l'impression qu'on était entre deux, a-t-il raconté vendredi matin, au Centre Nutrilait. On voulait être patients, parce qu'il faisait chaud. On ne voulait pas se précipiter et perdre de l'énergie. Mais en même temps, on avait peur de prendre des risques pour se faire avoir en contre. […] Avec des gars comme Messi et Suárez, ça va très, très vite en contre. » Cette fois, dit-il, il leur faudra être « encore plus vigilants » lorsque le CFM sera en phase offensive, et « mieux gérer le ballon ». Piette a maintenant affronté deux fois Messi et Suárez. Et son constat, c'est qu'il faut « toujours avoir un œil sur lui ». « Autant quand Miami a le ballon que quand c'est nous qui l'avons, Messi fait un peu ce qu'il veut, analyse le capitaine québécois. Parfois, il peut être vraiment déconnecté. Le ballon est dans leur coin en zone défensive à droite, et lui peut être complètement à l'opposé à gauche. » D'où ce besoin de vigilance constant. Comme on le sait, dans la version moderne de Lionel Messi, il peut être invisible pendant 89 minutes d'un match, mais changer le cours de la rencontre avec un coup de baguette magique qui prend tout le monde au dépourvu. C'est aussi un peu pourquoi Marco Donadel juge « difficile » de se préparer pour un match contre cette équipe de Miami, qui a également joué sur le tableau de la Coupe des champions de la CONCACAF, en début de campagne. « Miami s'en vient [samedi] après avoir joué le double de nos matchs, probablement, cette saison, a avancé l'entraîneur. Comment vont-ils gérer leur énergie ? Joueront-ils à leur niveau maximal ? On respecte leurs joueurs, mais on veut tirer profit de toutes les situations possibles. » « J'espère être à la maison, pas à Miami » Pour Samuel Piette, ça commence à devenir « un peu plus normal » d'affronter ce qu'il estime être le meilleur joueur de l'histoire. Mais même s'il « comprend l'effervescence » liée à sa venue à Montréal, il espère quand même que le stade Saputo vibrera au rythme des hommes en bleu, blanc et noir, samedi soir. « Ça fait une différence, dit-il. C'est très cliché de le dire, mais honnêtement, quand t'es dans un moment plus creux, ou au contraire, dans un moment où tu pousses, t'as besoin de ce 12e homme. Ça donne un boost d'énergie. Donc on espère que la foule se range derrière nous, puis qu'il n'y ait pas de chants Messi. » Marco Donadel, qui s'est nourri de l'énergie du stade Saputo samedi dernier en célébrant avec véhémence la première victoire de son équipe à domicile cette saison, le souhaite aussi. « J'espère être à la maison, et pas à Miami, a lâché l'Italien, sourire en coin. […] On a besoin des supporters de notre côté. Avec eux, et avec le désir que nous avons de continuer de bien faire les choses, je pense qu'on peut bien faire contre Miami. J'en suis certain. »

Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern
Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern

Le Figaro

time19 hours ago

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Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern

L'attaquant parisien s'est exprimé face à la presse ce vendredi, à la veille du quart de finale contre le Bayern, samedi, à Atlanta. «Je suis à 100% pour débuter mais c'est le coach qui décide», a déclaré l'attaquant du Paris-SG Ousmane Dembélé ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00), à Atlanta. «Je me sens à 100%, ça fait maintenant neuf, dix jours que je m'entraîne bien avec l'équipe et je suis à 100% pour débuter, c'est le coach qui décide», a-t-il dit à la presse, après une séance collective au campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). Dembélé, blessé le 5 juin avec les Bleus, a manqué les trois premiers matches du Mondial avant de rentrer en cours de jeu contre l'Inter Miami en huitième de finale (4-0). Publicité «J'aime jouer au football. Regarder jouer son équipe en tribune ce n'est pas facile, j'ai envie d'aider l'équipe à gagner ce titre», a confié le candidat au Ballon d'or, aux statistiques (33 buts, 15 passes décisives) et à l'influence déterminantes. On a une petite revanche à prendre. Ousmane Dembélé Contre le Bayern Munich, qui a battu le PSG 1-0 en Ligue des champions en novembre dernier, «on a une petite revanche à prendre, on sait que c'est une équipe difficile mais on est beaucoup plus forts qu'au mois de novembre», a souligné Ousmane Dembélé. «Il y a beaucoup de choses qui ont changé, les joueurs ont clairement élevé le niveau, j'ai élevé le niveau aussi, et on a énormément de confiance, on sait ce qu'on doit faire sur le terrain, on peut battre n'importe quelle équipe», a ajouté l'international français. «Il faudra de la concentration, mettre du rythme, jouer comme d'habitude, et surtout bien défendre car c'est une équipe redoutable», a analysé le numéro 10. «Notre plus grande source de motivation, c'est vraiment ce sentiment de revanche, quand on avait perdu chez eux, ça avait été très dur après», a indiqué pour sa part Bradley Barcola. «Ça avait été un des déclics, cette défaite nous avait fait mal et prendre conscience qu'on n'avait plus beaucoup de chances pour continuer en Ligue des champions, et ça nous avait encore plus motivés», a ajouté Barcola.

« C'est un garçon que l'on doit freiner » : comment Achraf Hakimi enchaîne les matches à haute intensité depuis un an
« C'est un garçon que l'on doit freiner » : comment Achraf Hakimi enchaîne les matches à haute intensité depuis un an

L'Équipe

time21 hours ago

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« C'est un garçon que l'on doit freiner » : comment Achraf Hakimi enchaîne les matches à haute intensité depuis un an

Le latéral marocain du PSG Achraf Hakimi a disputé 66 matches cette saison. Ses qualités athlétiques et de récupération en font un joueur capable de répéter les efforts. Dimanche, contre l'Inter Miami de Lionel Messi (4-0), Achraf Hakimi a disputé son 66e match de la saison, club et sélection confondus. Il l'a commencée il y a un an presque jour pour jour avec la préparation aux Jeux Olympiques de Paris, compétition au cours de laquelle le Maroc a décroché la médaille de bronze. Elle pourrait se prolonger jusqu'au dimanche 13 juillet si le PSG atteignait la finale de la Coupe du monde des clubs, dont il disputera son quart contre le Bayern Munich samedi (18 heures). « C'est un athlète, une Formule 1, commente Christophe Manouvrier, ancien préparateur physique de la sélection marocaine au temps de Vahid Halilhodzic (2019-2022). Il est dans le top 3 des joueurs que j'ai eus dans ma carrière avec Taye Taïwo (international nigérian qui a joué à l'OM) en termes de vitesse et de puissance métabolique (nombre de watts développés par kilo). » Le latéral droit, formé au Real Madrid et passé par l'Inter Milan et le Borussia Dortmund, dispose de qualités athlétiques très au-dessus des autres. C'est lui qui affiche les meilleurs résultats aux tests physiques avec le Maroc, et s'il n'en est pas de même au Paris-SG, il est assurément dans les tout premiers. « C'est un garçon que l'on doit freiner, il n'y a pas besoin de le pousser à s'entraîner même s'il préfère les exercices avec ballon que sans », poursuit Manouvrier, ancien membre des staffs de Marseille, Amiens, Caen ou de la sélection camerounaise. « Il adore le foot et veut jouer tout le temps. Il se donne toujours à fond, même lors des entraînements » Stéphane Gilli, ancien adjoint de Vahid Halilhodzic avec la sélection du Maroc « Il adore le foot et veut jouer tout le temps, confirme Stéphane Gilli, l'entraîneur du Paris FC, ex-adjoint d'Halilhodzic avec les Lions de l'Atlas. Il se donne toujours à fond, même lors des entraînements. Une personne lambda ne pourrait pas faire ce qu'il est capable de réaliser, et il est évident que la génétique compte. » Le staff joue un rôle clé Lucien Favre, son coach au Borussia entre 2018 et 2020, se souvient aussi d'un garçon « généreux dans l'effort » : « Il est passionné par le travail offensif ; après l'entraînement, il aimait rester et travailler les débordements, les centres et les frappes au but », rappelle le technicien passé par Nice (2016-2018 puis 2022-2023), bluffé par le jeu déployé par le PSG cette saison et la gestion des joueurs par le staff. Et notamment celle d'Hakimi, qui a certes beaucoup joué mais s'est aussi vu accorder des temps de repos et de décompression. Le Marocain a d'ailleurs salué, après le dernier match de groupe face à Seattle (2-0, le 23 juin), au cours duquel il a marqué, le rôle clé des équipes de Luis Enrique : « Je vais travailler avec les préparateurs physiques pour bien récupérer, et avec les nutritionnistes pour bien manger et bien dormir... » « Sur une saison, c'est tenable. Sur plusieurs, probablement moins » Christophe Manouvrier, ancien préparateur physique du Maroc Manouvrier, s'il met aussi en avant le travail du staff parisien dans la saison exceptionnelle de son ancien joueur, souligne l'aspect mental qui n'est pas neutre dans les performances d'Hakimi et sa constance au plus haut niveau : « Ça peut paraître anodin, mais la médaille de bronze remportée aux Jeux avec son pays a joué un rôle psychologique très important, de même que le succès en Ligue des champions. Cela entretient la dynamique. Et sur une saison, c'est tenable. Sur plusieurs, probablement moins. » Il reste potentiellement trois matches à Hakimi pour boucler cette longue année de labeur de manière triomphale. Et déjà se projeter sur la suivante qui s'annonce tout aussi intense, avec la Coupe du monde des nations, cette fois, en conclusion. À lire aussi Pour Dembélé, attention à la dispersion des voix Dembélé, la ruée vers l'or Thiago Silva, 40 ans, toujours «Monstro» Jota, un footballeur de plus fauché en pleine gloire

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