Dernières actualités avec #Israël


Le HuffPost France
27 minutes ago
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Guerre à Gaza : Le Hamas prêt à négocier, Trump espère un accord avec Israël « la semaine prochaine »
INTERNATIONAL - Une avancée rare. Donald Trump a déclaré vendredi 4 juillet qu'il « pourrait y avoir un accord sur Gaza la semaine prochaine », alors qu'une une visite à la Maison blanche du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est prévue ce lundi. À la question d'un journaliste à bord d'Air Force One lui demandant s'il était optimiste quant à un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, le président américain a répondu « très », mais a ajouté « cela change de jour en jour ». De son côté, le Hamas a annoncé vendredi soir être prêt à « engager immédiatement » des négociations sur la mise en œuvre d'une proposition d'accord de cessez-le-feu à Gaza où, selon la Défense civile, l'offensive israélienne a fait 52 morts en 24 heures. « C'est bien. Ils ne m'en ont pas informé. Nous devons en finir avec cela. Nous devons faire quelque chose pour Gaza », a réagi Donald Trump à cette annonce. « Une trêve de 60 jours » L'annonce du mouvement islamiste palestinien intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour rencontrer Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre. Donald Trump avait assuré mardi qu'Israël avait accepté de finaliser les termes d'un cessez-le-feu. Selon une source palestinienne proche des discussions, la proposition « comprend une trêve de 60 jours » pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Le Jihad islamique, principal mouvement palestinien allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Dans un communiqué, il a dit vouloir « aller vers un accord » tout en demandant des « garanties supplémentaires » permettant d'assurer qu'Israël « ne reprendra pas son agression » une fois les otages libérés. L'armée israélienne a poursuivi vendredi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d'aide humanitaire. La dernière trêve en janvier 2025 Une première trêve d'une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, ont permis le retour de nombreux otages israéliens en échange de la libération Palestiniens détenus par Israël. En mars, faute d'accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a coupé l'arrivée de l'aide humanitaire à Gaza (ne desserrant que partiellement son blocus en mai) avant de reprendre son offensive sur le petit territoire côtier, où quelque 2,4 millions de Palestiniens vivent dans conditions terribles selon l'ONU et des ONG. L'attaque du 7-Octobre a fait 1219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Au moins 57 268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire de représailles israélienne sur la bande de Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l'ONU.


Le Parisien
an hour ago
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Guerre à Gaza : Donald Trump estime qu'il « pourrait y avoir un accord » dès « la semaine prochaine »
Espoir et méfiance. Vendredi, Donald Trump a déclaré qu'il « pourrait y avoir un accord sur Gaza la semaine prochaine », alors qu'une visite à la Maison-Blanche du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, est prévue lundi. À la question d'un journaliste à bord d'Air Force One lui demandant s'il était optimiste quant à un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza , le président américain a répondu « très ». Il a toutefois ajouté : « cela change de jour en jour ». De son côté, le Hamas a annoncé, vendredi soir, être « prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en œuvre » d'une proposition de trêve à Gaza, parrainée par Washington et transmise par la médiation du Qatar et de l'Égypte. « C'est bien. Ils ne m'en ont pas informé », a déclaré Donald Trump interrogé sur le sujet, ajoutant : « Nous devons en finir avec cela. Nous devons faire quelque chose pour Gaza ». Donald Trump avait assuré, mardi, qu'Israël avait accepté de finaliser les termes d'un cessez-le-fe u. Selon une source palestinienne proche des discussions, la proposition « comprend une trêve de 60 jours » pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Le djihad islamique, principal mouvement palestinien allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Dans un communiqué, il a dit vouloir « aller vers un accord » tout en demandant des « garanties supplémentaires » permettant d'assurer qu'Israël « ne reprendra pas son agression » une fois les otages libérés.


La Presse
8 hours ago
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L'ONU recense 613 morts près de convois humanitaires
Des Palestiniens inspectent les dommages d'une frappe israélienne dans le centre de la bande de Gaza Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme a recensé 613 morts à Gaza près de convois humanitaires et de points de distribution d'aide gérés par une organisation américaine soutenue par Israël depuis le début de ses activités, fin mai. Associated Press Vendredi, des frappes aériennes israéliennes ont tué 15 Palestiniens à Gaza, tandis que 20 autres personnes ont été tuées par balle alors qu'elles attendaient de l'aide, a indiqué à l'Associated Press la morgue de l'hôpital qui a recueilli leurs corps. La porte-parole Ravina Shamdasani a déclaré que le Haut-Commissariat n'était pas en mesure d'attribuer la responsabilité de ces meurtres. Elle a toutefois affirmé qu'« il est clair que l'armée israélienne a bombardé et tiré sur des Palestiniens qui tentaient d'atteindre les points de distribution » gérés par la Fondation humanitaire de Gaza. Dans un message adressé à l'Associated Press, Mme Shamdasani a précisé que sur le total recensé, 509 morts étaient « liées à la Fondation humanitaire de Gaza », c'est-à-dire sur ses sites de distribution ou à proximité. La Fondation humanitaire de Gaza a nié tout décès ou blessure grave sur ses sites et affirme que les tirs en dehors de leur voisinage immédiat relèvent de la compétence de l'armée israélienne. Une autre journée meurtrière D'autres décès ont été signalés à proximité des sites de distribution d'aide dans la nuit de vendredi, selon des responsables de l'hôpital Nasser de Khan Younès. Au moins trois Palestiniens ont été tués près des sites d'aide de Rafah, qui sont proches de deux sites gérés par la fondation. Dix-sept autres sont morts alors qu'ils attendaient le passage de camions à l'est de Khan Younès. Sur les 15 Palestiniens tués lors des frappes de vendredi, huit étaient des femmes et un était un enfant, a indiqué l'hôpital. Les discussions de trêve se poursuivent Le Hamas a déclaré vendredi qu'il menait des discussions avec les dirigeants d'autres factions palestiniennes afin d'examiner une proposition de cessez-le-feu qui lui a été présentée par les médiateurs égyptiens et qataris. Le président américain Donald Trump a affirmé mardi qu'Israël avait accepté les termes d'un cessez-le-feu de 60 jours à Gaza et a exhorté le Hamas à accepter l'accord avant que la situation ne se détériore. Le ministère de la Santé de Gaza a annoncé que le nombre de Palestiniens tués sur le territoire avait dépassé les 57 000. La guerre a commencé lorsque des militants dirigés par le Hamas ont attaqué le sud d'Israël, tuant 1200 personnes et prenant environ 250 otages.


Le Figaro
12 hours ago
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Gaza : le Hamas prêt à «engager immédiatement» des négociations pour une trêve
Le Djihad islamique, allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Le Hamas a annoncé vendredi soir être prêt à «engager immédiatement» des négociations sur la mise en œuvre d'une proposition d'accord de cessez-le-feu à Gaza où, selon la Défense civile, l'offensive israélienne a fait 52 morts en 24 heures. L'annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou pour rencontrer le président Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International À l'issue de «consultations internes et avec (d'autres forces) palestiniennes», le mouvement islamiste palestinien a indiqué dans un communiqué être «prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en œuvre» d'une proposition de trêve parrainée par Washington et qui lui a été transmise par la médiation du Qatar et de l'Égypte. Selon une source palestinienne proche des discussions, la proposition «comprend une trêve de 60 jours» pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Publicité Le Djihad islamique, principal mouvement palestinien allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Dans un communiqué, il a dit vouloir «aller vers un accord» tout en demandant des «garanties supplémentaires» permettant d'assurer qu'Israël «ne reprendra pas son agression» une fois les otages libérés. L'armée israélienne a poursuivi vendredi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d'aide humanitaire. Cessez-le-feu «permanent» Cette semaine, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a affirmé vouloir éliminer «jusqu'à la racine» le Hamas tout en indiquant que la priorité première était de ramener «tous» les otages encore détenus, à Gaza, «sans exception». La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Donald Trump a assuré mardi qu'Israël avait accepté de finaliser les termes d'un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l'accepter, évoquant un accord proche. Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, réclame publiquement un cessez-le-feu «permanent» et un retrait israélien de Gaza. Une première trêve d'une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, ont permis le retour de nombreux otages israéliens en échange de la libération Palestiniens détenus par Israël. En mars, faute d'accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a coupé l'arrivée de l'aide humanitaire à Gaza (ne desserrant que partiellement son blocus en mai) avant de reprendre son offensive sur le petit territoire côtier, où quelque 2,4 millions de Palestiniens vivent dans conditions terribles selon l'ONU et des ONG.


Le Parisien
12 hours ago
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Gaza : le Hamas répond positivement à la proposition de cessez-le-feu des médiateurs
Une trêve, enfin ? Le Hamas a répondu positivement à la proposition de cessez-le-feu avec Israël transmise par les médiateurs, rapporte plusieurs médias au Proche-Orient, dont le journal israélien Haaretz . Le mouvement islamiste palestinien s'est dit prêt à « engager immédiatement » des négociations sur la mise en oeuvre de la proposition. Le Hamas « a achevé ses consultations internes et avec (d'autres forces) palestiniennes concernant la dernière proposition des médiateurs en vue de l'arrêt de l'agression contre notre peuple à Gaza. Le mouvement a remis sa réponse aux médiateurs (... et celle-ci est) positive, et le mouvement est prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en œuvre de ce cadre », indique un communiqué du mouvements islamiste palestinien. L'annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou pour rencontrer le président Donald Trump , lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre. Selon une source palestinienne, la proposition « comprend une trêve de 60 jours » pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Haaretz précise que 10 otages israéliens en vie devraient être libérés, ainsi que les corps de 18 détenus décédés. Dans le même temps, l'armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d'aide humanitaire. À l'hôpital Nasser de Khan Younès, où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts. À côté, des femmes en pleurs entourent le corps d'un proche. « Mon fils est allé chercher de la farine ! Ils nous disent Venez chercher les aides , nous y allons et ils nous tirent dessus », se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d'un site de distribution d'aide. La distribution de l'aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF) , une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les États-Unis. L'ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près des sites de la GHF. La fondation nie tout incident « à proximité » de ses sites. Cette semaine, Benjamin Netanyahou a redit vouloir éliminer « jusqu'à la racine » le Hamas, l'un des buts affichés de la guerre, avec le retour des otages et le contrôle de Gaza. Il a aussi promis de ramener « tous » les otages, « sans exception ». Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque du 7 octobre , 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Cette attaque sans précédent a fait 1.219 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Au moins 57 268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués à Gaza dans l'offensive de représailles israélienne, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.