Dernières actualités avec #Italie


Le Figaro
6 hours ago
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Michèle Laroque rejoint le casting de la saison 5 d'Emily in Paris
L'actrice française donnera la réplique à Lily Collins et à Philippe Leroy-Beaulieu dans les prochains épisodes inédits de la série à succès de Netflix. Plaisir coupable ou phénomène de société, Emily in Paris continue de passionner. La cinquième saison, actuellement en tournage entre la France et l'Italie, vient d'ajouter un nom supplémentaire à son casting. Michèle Laroque rejoint la distribution de la série portée par Lily Collins, comme l'annonce la plateforme Netflix. Elle prêtera ses traits à Yvette, une amie de longue date de Sylvie Grateau, jouée par une autre célèbre française, Philippine Leroy-Beaulieu. Publicité Les prochains épisodes d'Emily in Paris accueilleront d'autres nouveaux visages. Bryan Greenberg, que les fans de la série Les Frères Scott connaissent pour avoir joué Jake Jaglieski, un père adolescent. Ce dernier incarnera un américain vivant à Paris. L'actrice britannique Minnie Driver est également annoncée dans le rôle d'une princesse. La saison 5 sera mise en ligne dans le courant de l'année 2025. Gabriel veut reconquérir Emily Par contre, Camille Razat ne sera pas de retour dans la série. Après l'intrigue autour de la fausse grossesse de son personnage, la jeune femme avait été éclipsée de la trame principale. Au contraire de Lucien Laviscount et Lucas Bravo, respectivement dans les rôles d'Alfie et de Gabriel. Les deux prétendants d'Emily rempilent. Pourtant, le Français avait émis il y a quelques mois des réserves. «J'aimerais qu'il retrouve un peu de panache. Sur la dernière saison, l'écriture était dans cette idée des années 90 où les amoureux s'éloignent, s'embrassent, s'éloignent à nouveau… Tout est basé sur le manque de communication. C'est un peu archaïque», avait-il confié au Figaro-TV Magazine. À la fin de la quatrième saison, Emily décide de quitter la capitale française tant aimée pour Rome. Aux bras du beau Marcello, ce qui ne gâche rien. La jeune femme obtient une promotion, devenir responsable de nouveau bureau de L'Agence Grateau, installé en Italie. Gabriel, laissé sur le carreau à Paris, lui, est bien décidé à reconquérir Emily.


Le Figaro
6 hours ago
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Mercato : le Lyonnais Amin Sarr file en Italie (officiel)
Prêté au Hellas Vérone l'été dernier, l'attaquant suédois de 24 ans est définitivement transféré au sein du club italien. Amin Sarr et l'OL, c'est terminé. Recruté en janvier 2023 à Heerenveen, l'attaquant suédois de 23 ans est transféré au Hellas Vérone. Une transaction «à 5 M€, dont 1,5 M€ de bonus, assorti d'un intéressement de 15 % sur un futur transfert», comme le rapporte le club rhodanien. Sarr avait fait l'objet d'un prêt avec option d'achat au sein du club italien l'été dernier, lui qui a précédemment été prêté à Wolfsburg et qui n'a joué que 18 matchs à Lyon. Cette rentrée d'argent ne fera pas de mal en vue du passage en appel devant la DNCG, la semaine prochaine, même si la nouvelle patronne Michele Kang, devra trouver une somme bien plus forte pour obtenir le maintien en L1.


L'Équipe
7 hours ago
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Théo Faure officiellement à Trente
Le champion d'Italie a officialisé l'arrivée du pointu champion olympique Théo Faure, 25 ans, en provenance de Cisterna. C'est officiel : Théo Faure rejoint Trente la saison prochaine. Le club transalpin, du nom de Trentino volley, a officialisé la signature du pointu champion olympique pour deux saisons. Faure, 25 ans, faisait le bonheur de Cisterna depuis deux saisons, auteur de 790 points en 44 matches. Quatrième meilleur marqueur (520 points) et attaquant (449) du dernier championnat italien, remporté par Trentino (qui avait au passage sorti Cisterna en quarts de finale), le pointu de 2,02 m (49 sélections) avait été le premier Français à terminer la Superlega en tant que meilleur marqueur, en 2024. Le fils de l'international Stéphane Faure et de l'ancienne professionnelle Beate Bühler (indoor et beach), formé à Toulouse et passé par Montpellier (2021-2023, champion de France en 2022), disputera la Ligue des champions aux côtés des champions du monde 2022 Riccardo Sbertoli, Alessandro Michieletto et Daniele Lavia. Il est le quatrième joueur français à rejoindre le club italien sacré champion d'Europe pour la quatrième fois en 2024 et d'Italie pour la sixième fois cette année, après Renaud Herpe (2009-2010), Jenia Grebennikov (2018-2020), et Matthieu Garcia (joker médical au cours de la saison 2023-2024).


Le Figaro
8 hours ago
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Coupe du monde U20 de rugby : l'équipe de France souffre mais s'en sort face au pays de Galles
Malmenés pendant plus d'une mi-temps, les Bleuets sont parvenus à battre le pays de Galles (35-21) ce vendredi à Rovigo (Italie). Et de deux pour l'équipe de France des moins de 20 ans. Mais que ce fut dur... Forts de leur large succès la semaine passée face à l'Espagne (49-11), les Bleuets – champions du monde à trois reprises en 2018, 2019 et 2023 – ont difficilement battu le pays de Galles (35-21) ce vendredi en Italie. Des Gallois que les tricolores avaient martyrisés en février dernier lors du Tournoi des six nations (63-19). Tout avait si bien commencé. Sur un magnifique mouvement des trois-quarts, l'arrière de l'UBB Echegaray, l'ailier de Bayonne Lévêque, le centre de Vannes Taccola, et l'autre bayonnais, Baptiste Tilloles, ont planté la première banderille de la rencontre grâce à ce dernier. 7-0 dès la 3e minute, la machine était lancée. Avant de s'enrayer considérablement. Maladroits, les tricolores rendent immédiatement le ballon au joueur du Poireau. En force, le pilier droit Scott en profite pour remettre les siens à égalité (9e, 7-7). Publicité Presque cinq minutes plus tard, c'était au tour des arrières gallois d'enflammer la pelouse de Rovigo. L'arrière Woods s'est joué de la défense apathique des Français en tapant par-dessus et en adressant une passe décisive à son coéquipier et ailier Bowen (15e, 7-14). Pleins de bonnes volontés, les joueurs du sélectionneur Cédric Laborde ont voulu jouer tous les ballons mais se sont exposés. Sanction immédiate avec le troisième essai de ce diable de Woods sur un bon coup de pied de recentrage de son ailier Evans (18e, 7-21). En-avant sur en-avant Sonnés, les tricolores ont cherché à réagir. Les mauvais choix, eux, ont continué à s'enchaîner. Les maladresses, aussi. Un carton jaune pour le centre de Vannes Taccola a même été accordé (20e). Une touche a été perdue. Deux mêlées ont été sanctionnées d'un bras cassé. La béré face, une équipe galloise compétitive, propre, clinique. Rien à voir donc avec celle qui s'était déplacée en France en février dernier et qui avait encaissé 63 grains... Pour illustrer au mieux la fébrilité guettant les Français, prenez le coup d'envoi de la seconde période. Le ballon ne fait pas 10 mètres. Mêlée au centre du terrain pour le pays de Galles. Un temps de jeu plus tard, bis repetita et nouvel en-avant. Tout a ensuite changé. Cédric Laborde a procédé à plusieurs remplacements et a pu s'appuyer sur un banc XXL. Le pilier du Racing 92 Njocke a aplati le deuxième essai des siens (53e). Quatre minutes plus tard, la mêlée tricolore performe et Daunivucu, sur un magnifique exploit individuel, a remis les siens à égalité. Bissu, troisième-ligne puissant de l'UBB, a lui aussi scellé le sort du match (35-21). Plus précis, les Français ont retrouvé de l'énergie et sont même passés devant sur un essai de Mousques (63e) après un jeu au pied par-dessus de Daroque. Le point noir de la journée reste la blessure du troisième-ligne de Bayonne Noa Traversier après un très vilain déblayage. Les Bleuets devront sans doute composer sans lui pour le dernier match des phases de poules le mercredi 9 juillet prochain.


24 Heures
8 hours ago
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Série sur Disney+: «The Bear» s'essouffle en saison 4
Série sur Disney+ – «The Bear», saison 4 Carmen Berzatto, le chef du resto gastronomique The Bear, déprime grave. La saison 4 s'achève à petit feu. Disney+, 10 x 36-69 min. Cécile Lecoultre Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk Quelle exquise surprise fut la découverte de «The Bear» en 2022, création d'un inconnu, Christopher Storer, qui déversait à feu doux les angoisses existentielles d'un cuistot à la quarantaine. De retour dans les cuisines paternelles, une gargote italienne à Chicago, Carmine décidait de transformer le boui-boui en restaurant gastronomique. Et par la même occasion, de faire le deuil de son frangin suicidé et de quelques soucis existentiels. La carte maîtresse de «The Bear» ne tient pas dans son scénario, ni même dans sa réalisation audacieuse, mais repose sur les épaules de l'acteur Jeremy Allen White. Peu connu à l'époque, ce type à la tronche de grenouille, au physique nébuleux sous les tatouages malgré des pupilles bleu myosotis, étincelle. Avec une gestuelle à la précision minimaliste digne de Buster Keaton, c'est l'homme-orchestre de «The Bear». Avec une évidence époustouflante, ce New-Yorkais s'impose en héritier des Al Pacino et autre Dustin Hoffman des années 70, ténébreux, bouillant, énervant, électrisant. «The Bear» traîne encore des effluves respirés dans les marmites des grands cinéastes italo-ricains de cette époque, les Scorsese, Coppola etc. La mise en scène y prend des touches furieusement arty, s'aventurant à des séquences entières que seule une bande-son inspirée commente, un montage syncopé de l'intime à l'universel, qui moque la logique. Comme dans tout restaurant, on ne s'y sent jamais seul, rejoint par un agacement, une colère, une tendresse. C'est même son fonds de commerce, l'équipe de The Bear concentre pas mal de charge sentimentale et ne se prive pas de l'étaler sur la biscotte de sa clientèle. Même si le ballet des petites misères de l'existence gravite autour de Carmine. Des ellipses troublantes Parfois incompréhensible par ses ellipses, le récit s'accroche néanmoins à une thématique forte, le temps qui file. «Chaque seconde compte», telle est la devise à l'enseigne de The Bear. L'urgence de vivre, de boucler une assiette montre en main ou de fonder une famille, se manifeste encore dans un chrono installé en cuisine au début de la saison 4. La pendule posée par l'Ordi, chef-comptable des lieux, égrène les minutes restantes jusqu'à la faillite promise sauf redressement financier miraculeux. Carmen Berzatto va aussi mal que ses investisseurs, mais pas pour la même raison. Le génie a trouvé une bulle dans son art perfectionné à des hauteurs stratosphériques. La gastronomie est devenue son refuge, un caisson aussi hermétique qu'un frigo pour figer l'émotion. Sorti de là, le chef peine toujours à parler à sa famille, à partager ses failles ou même à s'inventer une vie privée. Et là, ça sent le réchauffé. Au premier épisode, Carmy mate un extrait de «Un jour sans fin», se reconnaissant dans l'inertie lourde qui frappe Bill Murray. Le terrible ennui ici, c'est que la saison 4 ressemble à la troisième comme un insipide copié-collé. Le show runner Christopher Storer a beau prendre des chemins de traverse tel cet épisode entièrement hors-sol consacré au dilemme de Syd. La prometteuse sous-cheffe doit décider si elle va ou non quitter The Bear pour un concurrent. De la même manière, les employés s'offrent chacun un petit morceau de bravoure, le chef pâtissier homo pour son éternel rendez-vous manqué avec son père, la serveuse hispanique pour son complexe ancré, Richie le cousin «pauvre» des Berzatto, pour trouver sa place, etc. Mais ces efforts pour faire exister The Bear sans son chef se révèlent pathétiques. «The Bear», condamné? «The Bear» sans Jeremy Allen White semble condamné. Le noyau originel résidait dans l'audace à affronter le trou noir de trouilles existentielles, à les exposer de manière frontale, peu affriolante, terne même, franchement pas sexy. Le concept ne semblait même pas vouloir divertir, une hérésie dans le monde sériel contemporain. En fait, ce non-sens apparent apportait la petite touche qui change tout, une audace inespérée. Cette fois, assaisonnées ad libitum, les humeurs de Carmen Berzatto lassent. Lors d'un épisode fleuve de près d'une heure, qui ressemble à la fête de famille paroxysmique de la saison 3, la série prend de furieux airs de réunion dans la cuisine de John Cassavetes. Le père du cinéma indépendant américain aurait apprécié le délié des improvisations, la sauvagerie cruelle de la psychologie, la brutalité de la vérité. Voire la beauté dépiautée des masques tombés, Jamie Lee Curtis évoquant Gena Rowlands en pietà alcoolique demandant grâce. Mais c'est aussi du fort déjà-vu. Notre note: 3 étoiles Cécile Lecoultre, d'origine belge, diplômée de l'Université de Bruxelles en histoire de l'art et archéologie, écrit dans la rubrique culturelle depuis 1985. Elle se passionne pour la littérature et le cinéma… entre autres! Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.