Dernières actualités avec #Jade
Le Figaro
2 days ago
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Louise est le prénom féminin le plus donné en 2024, mais connaissez-vous sa véritable signification ?
L'Insee vient de dévoiler le classement des prénoms les plus donnés en France en 2024. Chez les filles, c'est Louise qui arrive à la première place. Mais connaissez-vous vraiment la signification de ce prénom ? Ce jeudi 9 juillet, l'Insee a dévoilé son classement des prénoms les plus attribués en France en 2024. Du côté des filles, la première place du classement est une fois de plus occupée par le prénom Louise, donné à 3 125 fillettes en 2024. Classée à la quatrième position en 2023, Jade gagne deux places avec 3 055 naissances, suivie de très près par Ambre avec 2 815 naissances en France. Mais alors, comment expliquer cet engouement autour du prénom star de l'année, Louise ? Et quelle est sa véritable signification ? Louise, un prénom ancien d'origine germanique Louise est dérivée du prénom germanique Hlodowig dont les racines germaniques Hlod- et -wig signifient «gloire» et «combat». Louise signifie donc approximativement «glorieuse combattante» ou «illustre au combat». Nous les fêtons chaque année le 15 mars. Publicité Louise, un prénom chargé d'histoire À l'origine, Hlodowig est un prénom masculin. Son évolution au fil des siècles conduit à la naissance du prénom Louis et à celle de sa forme féminine : Louise. Pendant longtemps, ce prénom sera surtout attribué dans les familles nobles et fortunées avant de s'étendre dans les autres classes de la société au XIXe siècle, où il connaît rapidement un vif succès. Top 10 des prénoms de fille en France
Le Parisien
09-07-2025
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Louise, Gabriel, Léon… Voici le top 10 des prénoms les plus donnés aux filles et aux garçons en 2024
Louise, Gabriel, Léo ou encore Jade. Ces prénoms, comme chaque année ou presque, trustent les premières positions des prénoms les plus donnés dans l'Hexagone, selon l'Insee . L'organisme a publié ce jeudi son classement annuel pour 2024. Peu de changements ont été observés. Dans le palmarès féminin, les quatre premières places sont occupées par Louise, Jade, Ambre et Alba, un quatuor de tête similaire à celui de l'an passé. À la première place, on retrouve Louise, déjà tenante du titre l'an passé, avec 3 125 bébés nommés ainsi en 2024. Deuxième l'an passé, Ambre se place désormais au troisième rang avec 2815 naissances, remplacée à la deuxième place par Jade avec 3 055 naissances. Alice confirme sa place et sa percée dans le top 10. Chez les garçons, le podium évolue. Gabriel et Raphaël sont toujours aux deux premières places avec respectivement 4 550 et 3 470 naissances. Mais Louis repasse devant Léo pour décrocher la troisième marche du podium. Noah profite lui de la chute des Maël au neuvième rang pour s'inviter dans le top 5. Parmi les changements notables dans le top 10 masculin, l'apparition des Léon à la dixième place et la sortie des Isaac. Chez les filles, pas de nouvelle venue dans le top 10. Pour établir son classement, l'Insee s'est appuyé sur les données du Fichier des prénoms attribués aux enfants nés en France, y compris dans les départements d'outre-mer (DOM) enregistrés à l'état civil. Les personnes nées à l'étranger sont cependant exclues de ces données.
La Presse
08-07-2025
- Politics
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Un homme s'avoue coupable de contacts sexuels sur une mineure
Un homme s'avoue coupable de contacts sexuels sur une mineure Un homme de Québec a reconnu lundi avoir agressé une enfant de 10 ans qui vivait dans la famille d'accueil de la DPJ gérée par ses parents, où a régné pendant des années une véritable culture du viol. Chrystopher Jean a abusé de la confiance que lui accordait la petite Jade* alors qu'elle avait entre 10 et 11 ans. L'homme qui a aujourd'hui 26 ans était chargé de « garder » les enfants de la famille d'accueil et profitait du contexte pour l'agresser. Son père, Éric Jean, a été condamné en novembre 2023 à 10 ans de prison pour abus sexuels envers deux victimes hébergées chez lui, dont Jade. « Chrystopher Jean était comme un grand frère pour [Jade] », a déclaré la procureure de la Couronne, Me Marie-Lou Gagnon, au palais de justice de Québec lundi matin. M. Jean était accusé d'incitation à des contacts sexuels et d'agression sexuelle. Seul le chef d'accusation de contacts sexuels a été retenu contre lui. Il n'avait pas d'antécédents criminels. Maison des horreurs Jade a vécu l'horreur au sein de sa famille d'accueil. En plus d'avoir été agressée sexuellement durant des années par son père d'accueil, elle a aussi été victime du fils, Chrystopher Jean. Attouchements aux fesses, aux seins, pénétration des doigts ou frottement du pénis sur le vagin, M. Jean a multiplié les contacts sexuels déplacés envers la fillette entre décembre 2016 et 2017, selon le résumé conjoint des faits déposé à la cour. Les premiers attouchements remontent à une période où Chrystopher Jean était lui-même mineur, âgé de 17 ans. Alors qu'il a 18 ans, il attire la fillette vers la salle de bains pour « essayer quelque chose ». Il exige ensuite qu'elle ferme les yeux et ouvre la bouche. Il baisse son pantalon pour qu'elle lui fasse une fellation. Il demande qu'elle avale son sperme, ce qu'elle fait avant d'aller cracher dans le salon. À l'époque, Jade a 11 ans. M. Jean en a 18. À une autre occasion, la petite écoute un film avec l'accusé dans son lit. Il lui touche les seins et les fesses sous ses vêtements et l'oblige à avoir une relation sexuelle, sans protection. Il demande ensuite « d'essayer » une pénétration anale. Il cesse quelques instants plus tard comme la petite lui indique avoir trop mal. Cinq ans après les infractions commises par Chrystopher Jean, Jade s'est confiée à son entourage en 2022. Elle a porté plainte la même année. La famille blâme la DPJ La déclaration de culpabilité de M. Jean a été accueillie plutôt tièdement lundi par la famille de Jade, qui dit que l'accusé « a pris la porte facile pour s'en sortir » avec un seul chef d'accusation. « Le gros morceau reste la négligence de la DPJ », affirme la mère de la victime, rencontrée à la sortie de la salle d'audience. Elle dit ne pas comprendre comment une telle situation a pu durer aussi longtemps dans un même foyer d'accueil. « Je voyais que ça n'allait pas bien avec cette famille-là, puis je parlais, mais au bout du compte, c'était toujours moi le problème », raconte la mère. « J'ai toujours eu zéro crédibilité avec [la DPJ] », dit-elle. Accompagnée d'un chien de soutien, Jade s'est dite « énervée » de la déclaration de culpabilité sur un seul chef d'accusation de celui qu'elle a déjà considéré comme son grand frère. « Ma fille est brisée à vie. C'est un long processus, c'est très difficile », a ajouté sa mère, visiblement émue. L'avocate Valérie Assouline, qui représente Jade et une autre victime, entend poursuivre le CIUSSS de la Capitale-Nationale à ce sujet. La poursuite « avance bien », indique la mère de Jade. Culture du viol Le plaidoyer de M. Jean s'inscrit dans une série de plusieurs au sujet d'un même foyer d'accueil à Québec, où plusieurs enfants placés par la DPJ ont été agressés. Des abus y ont été commis par trois hommes adultes, dont Chrystopher Jean et son père Éric Jean, mais aussi par des mineurs qui s'agressaient entre eux, a révélé une enquête de La Presse publiée en avril 20241. Jade est la deuxième personne à dénoncer des abus sexuels qui ont eu lieu dans cette famille entre 2004 et 2021. Une autre jeune, Catherine*, a aussi été victime d'Éric Jean. Elle a dénoncé pour la première fois en 2004 des agressions sexuelles vécues dans ce foyer d'accueil. Aucune enquête n'avait été déclenchée à ce moment. L'ex-beau-frère et ami d'Éric Jean, David Hudon, est lui aussi accusé d'avoir agressé Catherine. Ce n'est que 18 années plus tard, en 2022, que l'affaire s'est rendue devant la justice avec la dénonciation de Jade. C'est pour des sévices contre cette deuxième victime, en plus de ceux commis sur Jade, que le père d'accueil a été condamné à 10 ans de prison. Entre-temps, près de 70 enfants et adolescents ont fréquenté cette famille d'accueil de Québec. Il y aurait eu au moins quatre autres victimes et huit agresseurs et présumés agresseurs dans cette famille, selon une enquête de La Presse. M. Jean comparaîtra de nouveau le 4 décembre pour connaître sa peine. La peine maximale pour contacts sexuels sur une personne mineure est de 14 ans. L'histoire jusqu'ici 2004 : Catherine dit avoir été violée par Éric Jean et David Hudon. Elle n'est pas crue par ses proches ni par les intervenantes de la DPJ à qui elle raconte l'histoire. Mai 2021 : Jade, qui a 15 ans, dénonce à la police de multiples agressions commises par Éric Jean. Novembre 2023 : Éric Jean plaide coupable d'agressions sexuelles sur deux victimes, Jade et Catherine. Juillet 2025 : Le fils d'Éric Jean, Chrystopher Jean, plaide coupable à une accusation de contacts sexuels sur une personne mineure, Jade. * La loi nous interdit de désigner les victimes par leur nom réel. 1. Lisez le dossier « Famille d'accueil de la DPJ : La maison des horreurs »
Le Figaro
05-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
«Ce n'est pas une phobie mais...» : Soprano dévoile la raison l'empêchant de participer à «Fort Boyard»
Le chanteur était l'invité d'Eric Dussart et Jade ce samedi dans «On refait la télé» sur RTL. L'occasion pour l'animateur d'offrir un scoop à ses auditeurs. «Fort Boyard» est de retour pour une nouvelle saison ce samedi. Et alors que l'émission s'apprête à dire adieu à son emblématique animateur - Olivier Minne, en partance pour le groupe M6 - elle n'est pas près de s'éteindre. En effet, après 35 ans d'existence, le jeu diffusé sur France 2 n'a pas encore épuisé son stock de personnalités invitées pour la première fois. La chanteuse Shy'm sera de retour ce 5 juillet au Fort après dix-huit années d'absence. Mais son confrère Soprano ne peut pas en dire autant. «Est-ce qu'on va enfin vous y voir cet été ?», l'a questionné Eric Dussart dans son émission «On refait la télé» sur RTL. «Je devais le faire, je devais cette année je te jure», lui a rétorqué Soprano. Une promesse qui n'a pas convaincu le présentateur radio et sa collaboratrice, Jade. «C'est une bonne technique», a-t-elle lancé. À lire aussi « Fort Boyard » : dans les coulisses du tournage de la dernière saison d'Olivier Minne Publicité Le chanteur, fraîchement acteur de cinéma avec le film Marius et les gardiens de la cité phocéenne en salle le 9 juillet, a justement invoqué un emploi du temps chargé dû à ses nouvelles activités de comédien. «Avec les Festivals et tout... Mais attendez, je vais dire pourquoi aussi. J'ai une grande phobie», a-t-il révélé tout en reprenant : «Enfin, ce n'est pas une phobie mais, c'est que je ne sais pas nager. Donc du coup, c'est un problème.» Et visiblement, beaucoup de personnes dans le studio n'en croyaient pas leurs oreilles. «Je vois, ils sont tous... Et ouais, un Marseillais qui ne sait pas nager», a-t-il déclaré en levant son index en direction de la régie. Eric Dussart, qui a pu visionner le long-métrage en avant-première, a pourtant souligné que Soprano y nageait dans certaines séquences. «J'ai travaillé un peu avant pour faire des scènes précises et du coup on a filmé d'une manière à ce que ça m'aide», a confié le chanteur de 46 ans. Il est ensuite revenu au sujet de sa présence dans «Fort Boyard». «Vraiment, on devait le faire, c'était organisé mais après à la dernière seconde ça s'est annulé», a-t-il expliqué, tandis que l'animateur a saisi la confidence en répondant : «Donc ce sera pour sûr l'année prochaine ?» «On verra bien», s'est contenté Soprano.
