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a day ago
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Crystal Palace dénonce une « terrible injustice » après sa rétrogradation en Ligue Conférence due au maintien en Ligue 1 de l'OL
Conséquence du maintien de l'OL en Ligue 1 et de la multipropriété de John Textor, Crystal Palace, initialement qualifié pour la prochaine Ligue Europa, devra se contenter de la Ligue Conférence. Le président Steve Parish s'est dit « dévasté » par la décision de l'UEFA. « Je suis dévasté pour les joueurs, les supporters et le staff. » Ces mots sont ceux de Steve Parish, président de Crystal Palace, dans une interview accordée à Sky Sports et relayée par les médias du club. Le président des Eagles a du mal à digérer la décision prise par l'UEFA, vendredi, d'écarter le club londonien de la Ligue Europa à la suite du maintien de l'Olympique Lyonnais en Ligue 1. En effet, depuis son maintien dans l'élite, Lyon est autorisé à prendre part à la Coupe d'Europe. Or, la saison dernière, Crystal Palace et l'Olympique Lyonnais appartenaient tous les deux au groupe Eagle de John Textor et l'UEFA interdit à deux équipes d'un même propriétaire de jouer la même compétition européenne. Et même si Eagle a vendu ses parts du club londonien (45 % pour 200 M€) fin juin, la vente est intervenue trop tard pour l'instance européenne. Parish espère un coup de main de Ceferin Le président de Palace, Parish, s'est dit « dévasté » par cette décision, « surtout pour les supporters ». Il a dénoncé une « terrible injustice » et annoncé que le club londonien prenait « des conseils juridiques pour examiner ses options, y compris un éventuel appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) ». Parish a expliqué qu'il préférerait de loin « que quelqu'un intervienne dans ce processus ». « Nous pensons que M. Ceferin (le président de l'UEFA) ou quelqu'un d'autre pourrait le faire », a même déclaré le président des Eagles. Une affaire qui pourrait rythmer l'été avant la reprise des compétitions officielles.
L'Équipe
2 days ago
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L'Olympique Lyonnais a présenté sa situation financière après son maintien en Ligue 1
L'Olympique Lyonnais a publié ce vendredi, deux jours après l'annonce de son maintien en Ligue 1 par la DNCG, un point détaillé sur sa situation financière et l'effort qu'il a consenti pour convaincre la Commission fédérale d'appel. L'Olympique Lyonnais a rendu public, ce vendredi soir, le montant de l'effort financier qu'il a consenti pour obtenir mercredi, devant la Commission fédérale d'appel de la DNCG, son maintien en Ligue 1. Comme révélé par L'Équipe, « les besoins sur l'exercice 2025-2026 sont couverts par la trésorerie disponible sur les comptes bancaires du groupe au 30 juin 2025, complétée par un apport de 87 millions d'euros réalisé par les actionnaires d'Eagle Football Holdings (la société qui chapeaute l'OL, Botafogo et Moleenbek) », explique le communiqué publié par Eagle Football Group. Il évoque aussi « une garantie bancaire de 30 millions d'euros pour couvrir d'éventuels besoins supplémentaires », et non 37 comme nous l'avions avancé. 117 millions d'euros mobilisés L'Olympique Lyonnais aurait donc mobilisé, en tout, 117 millions d'euros. « Grâce à cet apport de liquidités, la continuité d'exploitation n'est plus dépendante des opérations menées par Eagle Football Holdings en lien avec la cession des parts détenues dans Crystal Palace et une introduction en Bourse sur le NYSE (la Bourse de New York) », explique-t-il, affichant encore une fois la rupture, dans la méthode, avec John Textor, l'ancien président, poussé à la démission le 30 juin dernier. Cette fois, promis, l'OL ne sera plus ce mauvais payeur qui cumule les arriérés auprès du moindre prestataire : « Les prévisions pour la saison 2025-2026 démontrent une capacité à couvrir l'ensemble des besoins d'exploitation, et de respecter les engagements financiers pris auprès des principaux fournisseurs et agents, ainsi que le règlement des dettes sociales avec la mise en place d'échéanciers (...) L'équipe de direction demeure engagée dans une démarche de transparence et de conformité, et poursuit ses efforts pour assurer la stabilité financière et opérationnelle du club à long terme. » Des promesses de sérieux et de rigueur, plus une centaine de millions d'euros et la mise à l'écart de John Textor : finalement la DNCG n'en demandait pas plus.
Le Parisien
2 days ago
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Football : Lyon bien autorisé à jouer la Ligue Europa… pour le plus grand malheur de Crystal Palace
Repêché in extremis en Ligue 1 , l'Olympique Lyonnais sera bien inscrit en Ligue Europa, a annoncé vendredi l'UEFA qui a également décidé de rétrograder Crystal Palace en Ligue Conférence au nom de la règle sur la multipropriété, les deux clubs ayant partagé le même actionnaire, un certain John Textor. L'OL « ne sera pas exclu » de la C3 après la décision mercredi de la commission d'appel de la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) ne pas reléguer administrativement le club en Ligue 2, a expliqué l'organe de contrôle financier des clubs (CFCB) dans un communiqué. Mais Lyon et Crystal Palace enfreignaient les règles UEFA de la multipropriété en étant contrôlés tous deux par Eagle Football. Un conflit d'intérêt fréquents dans le football européen. Pour s'éviter un tel désagrément, il aurait fallu réaliser quelques modifications administratives, comme l'ont fait les propriétaires saoudiens aux commandes de Manchester City et Gérone, ou encore Ineos avec Manchester United et Nice. John Textor n'a pas pris cette précaution. Or, si depuis le fantasque homme d'affaires a annoncé la vente de ses parts dans le club londonien, la transaction n'a pas encore été réalisée . Par conséquent, il fallait qu'un des deux clubs bascule dans la coupe inférieure. Il s'agira de Crystal Palace. Qualifié pour la C3 grâce à sa victoire historique - il s'agit du premier titre du club - en Coupe d'Angleterre face à City mais obligé de céder sa place en raison d'un point de règlement très précis, le classement dans son championnat national. Palace a fini 12e de Premier League, Lyon 6e de Ligue 1 .
L'Équipe
2 days ago
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Après le maintien de Lyon en Ligue Europa, Crystal Palace rétrogradé en Ligue Conférence
Initialement qualifié pour la Ligue Europa, Crystal Palace devra finalement se contenter de la Ligue Conférence la saison prochaine. En cause : l'impossibilité pour deux équipes détenues par le même propriétaire, en l'occurrence John Textor, d'évoluer dans la même compétition européenne. La joie s'estompe quelque peu pour Crystal Palace. Malgré son exploit face à Manchester City en finale de FA Cup le 17 mai (1-0), synonyme de qualification en Ligue Europa, le club anglais va devoir se contenter de la Ligue Conférence la saison prochaine, a annoncé l'UEFA dans un communiqué ce vendredi. Depuis son maintien en Ligue 1, Lyon est autorisé à prendre part à la Coupe d'Europe. Or, la saison dernière, Crystal Palace et l'Olympique Lyonnais appartenaient tous deux au groupe Eagle de John Textor et L'UEFA interdit à deux équipes d'un propriétaire commun de jouer la même compétition européenne. Et même si Eagle a vendu ses parts du club londonien (45 % pour 200 M€) fin juin, la vente est intervenue trop tard pour l'instance européenne. Lyon favorisé grâce à son classement en Ligue 1 Mais alors, pourquoi le club londonien a-t-il été envoyé en Ligue Conférence, et pas l'OL ? La réponse est simple : l'UEFA a décidé de trancher ce genre de cas avec le classement des deux équipes dans leurs Championnats respectifs. L'OL ayant terminé 6e de Ligue 1 et Crystal Palace 12e de Premier League, c'est le club rhodanien qui a pu conserver sa place en C3. Crystal Palace a la possibilité de faire appel de cette décision auprès du Tribunal Arbitral du Sport. Si la décision est confirmée après appel, le 7e de Premier League, Nottingham Forest, pourrait accéder à la Ligue Europa à la place des Eagles.
Le Parisien
2 days ago
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« La gouvernance en France ne fonctionne pas » : Textor s'en prend à la DNCG après son départ de l'OL
Contraint de démissionner de son rôle de président du club de Lyon il y a peu, John Textor s'est exprimé pour la première fois depuis le maintien de l'OL en Ligue 1 après le passage en appel de Michele Kang devant la DNCG ce mercredi. Il a accordé un entretien au média britannique TalkSport dans lequel il ne mâche pas ses mots contre les instances françaises. « Je crois que les gens doivent comprendre la DNCG, a-t-il d'abord avancé. Vous n'avez jamais vu une situation dans laquelle un club se rend à une audience et dispose d'importantes liquidités, d'importants flux de trésorerie entrants. En fait, on prévoyait même qu'il y aurait plusieurs centaines de millions supplémentaires avec la vente de Crystal Palace. Comment un club comme ça peut être rétrogradé ? » Dans sa ligne de mire : le fonctionnement de la DNCG et les décisions contraires d'une institution à une autre. Pour rappel, Lyon avait simplement reçu une amende de la part des instances financières de l'UEFA alors que la DNCG est allée plus loin en condamnant le club à une rétrogradation en Ligue 2 . De quoi interroger Textor. « La process de la DNCG est très subjectif, ce n'est pas noir ou blanc » a-t-il encore expliqué. L'américain n'a pas non plus épargné la LFP et son président Vincent Labrune : « La Ligue est constamment accusée de corruption . Il y a eu une plainte contre le président. » John Textor fait aussi une introspection et se remet en question le rôle qu'il a joué dans les sanctions à l'encontre de son ancien club. Il explique ne pas y être étranger : « Je pense que je suis en grande partie le problème. J'essaie d'être un agent de changement. Je pense que la gouvernance en France ne fonctionne pas. » « Si je parle d'un nouveau modèle, d'un modèle réformiste où il n'y a pas de DNCG mais des règles claires et nettes comme en Premier League, je ne suis probablement pas la personne la mieux placée pour aller demander le soutien de cette même DNCG. Donc oui, le problème, c'est moi. » Il évoque sa personnalité et sa manière de fonctionner qui ne sont pas en adéquation avec la manière dont est géré le football en France. « J'étais un perturbateur, un réformateur. Oui, le chapeau de cow-boy était drôle, mais pas pour eux. Nasser (Al-Khelaïfi) l'aimait et le trouvait drôle. On s'entend très bien . Mais non, je ne m'intègre pas très bien dans le modèle de gouvernance français. »
