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Football : Lyon bien autorisé à jouer la Ligue Europa… pour le plus grand malheur de Crystal Palace

Football : Lyon bien autorisé à jouer la Ligue Europa… pour le plus grand malheur de Crystal Palace

Le Parisien11-07-2025
Repêché in extremis en Ligue 1
, l'Olympique Lyonnais sera bien inscrit en Ligue Europa, a annoncé vendredi l'UEFA qui a également décidé de rétrograder Crystal Palace en Ligue Conférence au nom de la règle sur la multipropriété, les deux clubs ayant partagé le même actionnaire,
un certain John Textor.
L'OL « ne sera pas exclu » de la C3 après la décision mercredi de la commission d'appel de la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) ne pas reléguer administrativement le club en Ligue 2, a expliqué l'organe de contrôle financier des clubs (CFCB) dans un communiqué.
Mais Lyon et Crystal Palace enfreignaient les règles UEFA de la multipropriété en étant contrôlés tous deux par Eagle Football. Un conflit d'intérêt fréquents dans le football européen. Pour s'éviter un tel désagrément, il aurait fallu réaliser quelques modifications administratives, comme l'ont fait les propriétaires saoudiens aux commandes de Manchester City et Gérone, ou encore Ineos avec Manchester United et Nice. John Textor n'a pas pris cette précaution. Or, si depuis le fantasque homme d'affaires a annoncé la vente de ses parts dans le club londonien,
la transaction n'a pas encore été réalisée
.
Par conséquent, il fallait qu'un des deux clubs bascule dans la coupe inférieure. Il s'agira de Crystal Palace. Qualifié pour la C3 grâce à sa victoire historique - il s'agit du premier titre du club - en Coupe d'Angleterre face à City mais obligé de céder sa place en raison d'un point de règlement très précis, le classement dans son championnat national. Palace a fini 12e de Premier League, Lyon 6e de
Ligue 1
.
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Son départ estival, qui s'ajoute à celui du milieu turc Orkun Kökçü, oblige à repenser une partie de l'animation offensive, les deux hommes ayant respectivement été impliqués sur 13 et 14 buts en Championnat la saison dernière. Le latéral gauche Alvaro Carreras, joueur de champ le plus utilisé parti au Real Madrid, devra lui aussi être remplacé. Le mercato est plus calme et moins clinquant dans le sens des arrivées, avec pour recrue la plus onéreuse l'éphémère Marseillais Amar Dedic (12 millions d'euros). En attendant le transfert de Richard Rios, milieu colombien impressionnant avec Palmeiras qui pourrait devenir le joueur le plus cher de l'histoire du club (la presse portugaise parle de 27 millions d'euros) et un éventuel retour de Joao Félix, ce sont donc les têtes connues qui seront les menaces les plus identifiées. À commencer par l'attaquant grec Vangelis Pavlidis, machine à marquer qui avait notamment planté 7 fois lors de la dernière C1. L'entraîneur : Lage, le test de l'année 2 Vitoria avait amené des résultats incroyables, Benfica remportant 18 de ses 19 matches de Championnat et le titre en proposant un jeu spectaculaire. La suite a été plus mitigée, avec une première saison complète terminée à la deuxième place, une démission et une année sabbatique. Parti ensuite pour la Premier League et Wolverhampton, il y termine 10e en 2021-2022 et prend la porte en octobre 2022 alors que son club est en position de relégable. S'ensuit alors une nouvelle période sans emploi, jusqu'à un passage catastrophique à Botafogo, leader à son arrivée : 15 matches, 4 victoires. C'est finalement à Benfica, retrouvé en septembre dernier, qu'il relance une carrière étonnante, marquée par une volonté de proposer du jeu et exploiter les transitions, quitte à prendre beaucoup de risques, souvent en 4-3-3 ou 4-2-3-1, mais sans avoir jusque-là réussi à s'installer dans la durée. La saison dernière : si près si loin Les Portugais font partie des équipes dont la saison a duré plus longtemps que d'habitude puisqu'elle ne s'est achevée que le 28 juin dernier. Ce jour-là, un penalty d'Angel Di Maria leur avait permis d'arracher la prolongation face à Chelsea en huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs, match finalement perdu 4-1 après une très longue interruption, mais qui restera le plus difficile des Blues lors de la phase éliminatoire. Si le parcours en poules avait été convaincant - nul face à Boca Juniors puis succès contre le Bayern et Auckland -, le reste de la saison a été mitigé. Dans le coup pour le titre jusqu'au bout, Benfica n'avait pu remporter le match décisif lors de l'avant-dernière journée face au Sporting Portugal, sacré avec deux points d'avance. 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Plus frais, les Niçois, qui ont déjà disputé deux matches amicaux et montent en puissance sur le plan tactique, pourraient avoir un avantage. Ils pourraient seulement, car Benfica va paradoxalement entrer dans le vif du sujet bien plus tôt. La rencontre de préparation face à Fenerbahçe ce samedi sera la seule occasion de tester des choses avant le premier grand rendez-vous de la saison : la Supercoupe du Portugal, prévue le jeudi 31 juillet contre le Sporting. Le Championnat enchaînera peu de temps après, avec la réception de Rio Ave calée entre l'aller et le retour de ce 3e tour préliminaire. Vu l'enjeu d'une qualification pour la Ligue des champions, la logique voudrait que les Lisboètes aient peu coupé pendant le mois sans match et arrivent déjà prêts. L'historique : à l'équilibre face aux clubs français Un seul club tricolore n'a jamais été battu par Benfica. En septembre 1997, Bastia, qui disputait cette année-là la Coupe de l'UEFA, avait réussi à ne pas prendre de but lors de la double confrontation, se qualifiant grâce à celui inscrit par Pierre-Yves André à l'aller. Sur la dernière décennie, les Lisboètes ont chronologiquement affronté Lyon, le Paris-Saint-Germain, Toulouse, Marseille et Monaco. Face à l'OL en 2019-2020, les deux équipes l'avaient emporté à domicile, mais les Lyonnais avaient pris pour un point le second strapontin qualificatif pour les huitièmes de C1. Trois saisons plus tard, le 1-1 de l'aller et du retour avaient suffi à Benfica pour terminer premier et filer vers un duel tranquillement remporté contre Bruges, tandis que le PSG tombait face au Bayern. Les seules oppositions en matches à élimination directe sont encore plus récentes. En février 2024, Toulouse avait craqué en play-off aller de Ligue Europa (1-2, 0-0). Une élimination qu'avait vengée l'OM deux mois plus tard en quarts de finale à l'issue d'une double confrontation homérique achevée aux tirs au but (1-2, 1-0, 5-2 t.a.b.). Mais le dernier souvenir est plus récent : en février dernier, Monaco, déjà battu en phase de Ligue (2-3) avait été privé des huitièmes de finale de Ligue des champions après un match fou (0-1, 3-3). De quoi rappeler une évidence aux Niçois : ils ne seront pas favoris. Angel Di Maria, l'adieu européen

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