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Effectif, préparation, coach : tout savoir sur Benfica, gros morceau face à plusieurs inconnues et adversaire de Nice au 3e tour préliminaire de Ligue des champions

Effectif, préparation, coach : tout savoir sur Benfica, gros morceau face à plusieurs inconnues et adversaire de Nice au 3e tour préliminaire de Ligue des champions

L'Équipe21-07-2025
C'est donc sur l'adversaire avec le plus gros indice UEFA et les plus grosses références qu'est tombé Nice ce lundi lors du 3e tour préliminaire de Ligue des champions. La situation de Benfica, qui sera logiquement favori, n'est cependant pas idéale sur tous les points.
Le menu promettait d'être copieux et il l'a été. En guise d'entrée dans la saison, Nice, 3e de Ligue 1 l'an dernier, affrontera le Benfica Lisbonne au 3e tour préliminaire de la Ligue des champions (aller le 5 ou 6 août ; retour le 12 août). Un adversaire très costaud sur le papier, mais qui fera face à plusieurs inconnues question effectif et préparation.
L'effectif : un départ et beaucoup d'incertitudes
Même si ses 37 ans n'en faisaient plus l'un des meilleurs joueurs du monde, Angel Di Maria continuait à être essentiel à une formation dont il était l'un des détonateurs offensifs. Son départ estival, qui s'ajoute à celui du milieu turc Orkun Kökçü, oblige à repenser une partie de l'animation offensive, les deux hommes ayant respectivement été impliqués sur 13 et 14 buts en Championnat la saison dernière. Le latéral gauche Alvaro Carreras, joueur de champ le plus utilisé parti au Real Madrid, devra lui aussi être remplacé.
Le mercato est plus calme et moins clinquant dans le sens des arrivées, avec pour recrue la plus onéreuse l'éphémère Marseillais Amar Dedic (12 millions d'euros). En attendant le transfert de Richard Rios, milieu colombien impressionnant avec Palmeiras qui pourrait devenir le joueur le plus cher de l'histoire du club (la presse portugaise parle de 27 millions d'euros) et un éventuel retour de Joao Félix, ce sont donc les têtes connues qui seront les menaces les plus identifiées. À commencer par l'attaquant grec Vangelis Pavlidis, machine à marquer qui avait notamment planté 7 fois lors de la dernière C1.
L'entraîneur : Lage, le test de l'année 2
Vitoria avait amené des résultats incroyables, Benfica remportant 18 de ses 19 matches de Championnat et le titre en proposant un jeu spectaculaire. La suite a été plus mitigée, avec une première saison complète terminée à la deuxième place, une démission et une année sabbatique.
Parti ensuite pour la Premier League et Wolverhampton, il y termine 10e en 2021-2022 et prend la porte en octobre 2022 alors que son club est en position de relégable. S'ensuit alors une nouvelle période sans emploi, jusqu'à un passage catastrophique à Botafogo, leader à son arrivée : 15 matches, 4 victoires. C'est finalement à Benfica, retrouvé en septembre dernier, qu'il relance une carrière étonnante, marquée par une volonté de proposer du jeu et exploiter les transitions, quitte à prendre beaucoup de risques, souvent en 4-3-3 ou 4-2-3-1, mais sans avoir jusque-là réussi à s'installer dans la durée.
La saison dernière : si près si loin
Les Portugais font partie des équipes dont la saison a duré plus longtemps que d'habitude puisqu'elle ne s'est achevée que le 28 juin dernier. Ce jour-là, un penalty d'Angel Di Maria leur avait permis d'arracher la prolongation face à Chelsea en huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs, match finalement perdu 4-1 après une très longue interruption, mais qui restera le plus difficile des Blues lors de la phase éliminatoire.
Si le parcours en poules avait été convaincant - nul face à Boca Juniors puis succès contre le Bayern et Auckland -, le reste de la saison a été mitigé. Dans le coup pour le titre jusqu'au bout, Benfica n'avait pu remporter le match décisif lors de l'avant-dernière journée face au Sporting Portugal, sacré avec deux points d'avance. Et, si le huitième de finale de C1 reste un résultat positif, il avait laissé filer la Coupe face au même adversaire deux semaines plus tard alors qu'il menait jusqu'à la 100e (!) minute de la finale. Le seul trophée reste la plus anecdotique Coupe de la Ligue, remportée en janvier aux tirs au but face au... Sporting, évidemment.
La préparation : l'inconnue de la Coupe du monde des clubs
Le premier match de la double confrontation étant programmé avant la reprise de la plupart des Championnats (autre adversaire potentiel, Bruges, qui a remporté la Supercoupe de Belgique et débute dès ce week-end, aurait a priori eu un avantage sur ce point), Nice avait de bonnes chances de tomber face à une équipe également en pleine montée en puissance au coup d'envoi. La situation de Benfica est, à ce titre, particulière puisque les Lisboètes n'ont pas connu de grande trêve estivale. Plus frais, les Niçois, qui ont déjà disputé deux matches amicaux et montent en puissance sur le plan tactique, pourraient avoir un avantage.
Ils pourraient seulement, car Benfica va paradoxalement entrer dans le vif du sujet bien plus tôt. La rencontre de préparation face à Fenerbahçe ce samedi sera la seule occasion de tester des choses avant le premier grand rendez-vous de la saison : la Supercoupe du Portugal, prévue le jeudi 31 juillet contre le Sporting. Le Championnat enchaînera peu de temps après, avec la réception de Rio Ave calée entre l'aller et le retour de ce 3e tour préliminaire. Vu l'enjeu d'une qualification pour la Ligue des champions, la logique voudrait que les Lisboètes aient peu coupé pendant le mois sans match et arrivent déjà prêts.
L'historique : à l'équilibre face aux clubs français
Un seul club tricolore n'a jamais été battu par Benfica. En septembre 1997, Bastia, qui disputait cette année-là la Coupe de l'UEFA, avait réussi à ne pas prendre de but lors de la double confrontation, se qualifiant grâce à celui inscrit par Pierre-Yves André à l'aller. Sur la dernière décennie, les Lisboètes ont chronologiquement affronté Lyon, le Paris-Saint-Germain, Toulouse, Marseille et Monaco. Face à l'OL en 2019-2020, les deux équipes l'avaient emporté à domicile, mais les Lyonnais avaient pris pour un point le second strapontin qualificatif pour les huitièmes de C1. Trois saisons plus tard, le 1-1 de l'aller et du retour avaient suffi à Benfica pour terminer premier et filer vers un duel tranquillement remporté contre Bruges, tandis que le PSG tombait face au Bayern.
Les seules oppositions en matches à élimination directe sont encore plus récentes. En février 2024, Toulouse avait craqué en play-off aller de Ligue Europa (1-2, 0-0). Une élimination qu'avait vengée l'OM deux mois plus tard en quarts de finale à l'issue d'une double confrontation homérique achevée aux tirs au but (1-2, 1-0, 5-2 t.a.b.). Mais le dernier souvenir est plus récent : en février dernier, Monaco, déjà battu en phase de Ligue (2-3) avait été privé des huitièmes de finale de Ligue des champions après un match fou (0-1, 3-3). De quoi rappeler une évidence aux Niçois : ils ne seront pas favoris.
Angel Di Maria, l'adieu européen
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Adrien Rabiot a obtenu la requalification de ses CDD avec le PSG en CDI. À l'instar de Lassana Diarra, qui sort d'un combat de dix ans pour faire valoir le droit d'un footballeur à quitter son club en cours de contrat, les joueurs cherchent-ils à reprendre le pouvoir ? « Son objectif à lui, c'est de jouer au foot, ce n'est pas d'être le porte-étendard de quoi que ce soit. Son conflit avec le PSG, il l'a d'abord vécu comme un club qui a essayé de nuire à sa carrière (il avait été mis au placard pendant de longs mois) car il ne voulait pas signer une prolongation à leurs conditions. Maintenant, Adrien Rabiot, c'est quelqu'un qui a une conscience politique... » À en croire son avocat, Maître Romuald Palao, par ailleurs conseil de l'UNFP, le milieu de l'OM, passé par le PSG (2012-2019) et la Juventus (2019-2024), est d'abord mû par la passion du ballon rond, bien avant de penser aux conséquences de ses actes ou de ses prises de parole. 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Ils doivent être à la table des négociations » Maître Romuald Palao, avocat d'Adrien Rabiot Des départs et des arrivées qui ne pourraient avoir lieu que dans des fenêtres de tir précises (mercato hivernal et estival) pour ne pas porter atteinte à l'équité du Championnat ; un monde dans lequel les footballeurs reprendraient le contrôle de leur carrière. « Les footballeurs ne sont pas des poulets sans tête », insiste Me Palao, qui ajoute : « Ils doivent être à la table des négociations . » Le risque, sinon ? « On s'éloigne du sport, pour tomber dans l'économie », conclut-il. Depuis quelques mois, un vent nouveau souffle sur la FIFA, institution privée qui édicte, depuis la Suisse, des règles régissant le droit du travail entre les footballeurs et les clubs. La tempête est d'abord venue de Lassana Diarra, l'ancien milieu du Real Madrid (2009-2012) qui, en 2014, a fait le choix de quitter le Lokomotiv Moscou avant la fin de son contrat en vue de rejoindre le club belge de Charleroi. Sauf qu'en vertu des règlements FIFA, un footballeur a en pratique l'impossibilité de quitter un club où il est engagé, sauf à payer sa rémunération jusqu'au terme prévu du contrat. Tout club qui chercherait à l'embaucher peut être condamné solidairement à payer cette rémunération, ainsi que divers frais (recherche d'un remplaçant, par exemple). Le club recruteur s'expose aussi à des sanctions sportives pouvant aller jusqu'à l'interdiction de recrutement. En clair : aucun joueur ou presque ne peut partir en cours de contrat sans avoir l'assentiment de son club. Diarra, qui s'y est risqué, a été condamné à payer 10,5 millions d'euros en 2015. Le footballeur a alors commencé une longue bataille judiciaire qui l'a mené, dix ans plus tard, devant la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE). Les syndicats ont craint un accord entre Diarra et la FIFA d'Infantino À l'époque, la bataille est rude en coulisse. Les syndicats qui le soutiennent, l'UNFP en France et la FIFpro au niveau européen, craignent même que Diarra ne soit approché par la FIFA de Gianni Infantino pour signer un accord transactionnel dispendieux qui mettrait fin aux poursuites. Selon une source syndicale, ce scénario sera pris tellement au sérieux que la FIFpro proposera à Diarra une garantie de plusieurs millions d'euros pour qu'il maintienne jusqu'au bout sa plainte contre la FIFA. En octobre 2024, la décision de la CJUE tombe : les règles de la FIFA « sont de nature à entraver la libre circulation des footballeurs professionnels souhaitant développer leur activité en allant travailler dans un nouveau club », estiment les magistrats. Premier camouflet pour l'institution suisse, qui suspend ses litiges en cours. Un règlement transitoire est adopté dans l'urgence : un joueur qui rompt un contrat ne doit plus payer une indemnité que s'il est prouvé que son club « a subi un dommage ». 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Dans le cas du milieu de l'OM, la Cour d'appel de Paris s'est appuyée sur des règlements européens, pour affirmer qu'il n'était pas justifié de faire signer à un footballeur une multitude de CDD plutôt qu'un CDI, « la nécessité d'adaptation en fonction des performances du salarié concern[ant] tous les employeurs (et pas seulement les clubs de football). » « Le système est tellement basé sur le mercato, avec des petits clubs qui récupèrent de l'argent sur les gros transferts grâce à des mécanismes de solidarité. Diarra, ce n'est pas un game changer » Un agent bien installé Alors que les coups de boutoirs de la justice, française et européenne, s'enchaînent contre les règlements édictés par la FIFA, en Suisse, le marché des transferts risque-t-il d'être bouleversé ? « J'y crois pas trop, le système est tellement basé dessus, avec des petits clubs qui récupèrent de l'argent sur les gros transferts grâce à des mécanismes de solidarité, se convainc un agent bien installé. Diarra, ce n'est pas un game changer. Et Rabiot, c'est super à la marge. » Les observateurs les plus avisés auront coché sur leur agenda la date du 1er août, soit ce vendredi, à 10 heures. Ce jour-là, la CJUE doit rendre une nouvelle décision très attendue, dans l'affaire Seraing. 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Mondiaux d'escrime : les fleurettistes françaises s'inclinent en finale et prennent la médaille d'argent
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Mondiaux d'escrime : les fleurettistes françaises s'inclinent en finale et prennent la médaille d'argent

Sans n'avoir jamais pu rivaliser avec les Américaines, les fleurettistes françaises s'offrent une belle médaille d'argent à Tbilissi. C'est la cinquième breloque des Bleus dans ces Mondiaux. L'équipe de France féminine de fleuret n'a pas réalisé l'exploit lundi face aux Etats-Unis (45-24) et devra se contenter de l'argent aux championnats du monde d'escrime à Tbilissi (Géorgie). Les Bleues, déjà deuxièmes en 2023 à Milan, n'ont presque pas existé face aux Américaines, en or aux Jeux de Paris et emmenées par la championne olympique et du monde Lee Kiefer. Ces dernières ont pris les devants d'entrée, pour ne jamais lâcher la tête, et ont surtout creusé un écart considérable au fur et à mesure, devenu trop difficile à rattraper pour Eva Lacheray, Anita Blaze, Morgane Patru et Pauline Ranvier. Cette dernière avait été battue par Kiefer en finale de l'épreuve individuelle. Elle peut néanmoins rentrer satisfaite de ces Mondiaux, avec deux médailles. Publicité Une médaille de plus L'argent des fleurettistes vient s'ajouter à l'or glané par les épéistes tricolores samedi. La France compte désormais cinq médailles en comptant l'argent de Pauline Ranvier et Jean-Philippe Patrice (sabre), et le bronze de Maxime Pauty (fleuret). Déception en revanche lundi pour les sabreurs, emmenés par les frères Sébastien et Jean-philippe Patrice, et qui ont été stoppés dès les quarts de finale. La finale de sabre hommes par équipes a été remportée par l'Italie. Les journées de mardi et mercredi laisseront place désormais aux dernières épreuves par équipes, avec au programme le sabre dames et l'épée hommes.

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