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24 Heures
6 days ago
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Voici comment Trump a insulté le président libérien à Washington
Le président américain, qui recevait mercredi cinq de ses homologues africains à la Maison-Blanche, a complimenté Joseph Boakai pour son niveau d'anglais, langue officielle du Liberia. Publié aujourd'hui à 08h17 Trump a rencontré cinq présidents africains pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais. Getty Images via AFP/Win McNamee Donald Trump a complimenté mercredi à la Maison-Blanche le président du Liberia, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, alors qu'il s'agit de la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest. «Merci, et dans un si bon anglais, si beau», a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison-Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais. «Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle? Où avez-vous étudié? Au Liberia ?», a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre «oui monsieur» à la dernière question. «Et bien c'est très intéressant, c'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous», a conclu le président américain. L'anglais, la langue la plus utilisée au Liberia Le Liberia est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des États-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays. Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'Université du Liberia, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'État du Kansas, dans le centre des États-Unis. À lire aussi sur Donald Trump Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le HuffPost France
6 days ago
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Donald Trump félicite le président du Liberia pour son « bon anglais »... sa langue maternelle
INTERNATIONAL - Du Donald Trump dans le texte. Le président américain a complimenté mercredi à la Maison Blanche le chef d'État du Liberia, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, alors qu'il s'agit... de la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest. « Merci, et dans un si bon anglais, si beau », a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais. « Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle ? Où avez-vous étudié ? Au Liberia ? », a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre « oui, Monsieur » à la dernière question. « Eh bien c'est très intéressant, c'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous », a conclu le président américain. Coutumier des commentaires sur les accents Le Liberia est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des États-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays. Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'université du Liberia, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'État du Kansas, aux États-Unis. Ce n'est pas la première fois que Donald Trump commente l'accent anglais de ses interlocuteurs, en général plus négativement. Le 5 février dernier, alors qu'une journaliste afghane l'avait interrogé sur ses futurs projets en Afghanistan, le président américain avait répondu : « C'est une belle voix et un bel accent. Le seul problème, c'est que je ne comprends pas un mot de ce que vous dites. [...] Mais je dis juste ceci, bonne chance, vivez en paix ». Rebelote le 17 février, lorsqu'un journaliste indien l'avait interrogé sous les yeux du Premier ministre indien Narendra Modi, reçu à la Maison Blanche. « Je ne comprends pas un mot de ce qu'il dit. C'est l'accent, j'ai un peu de mal à l'entendre », avait-il dit, avant de passer la parole à un autre journaliste. « Trump ne manque jamais une occasion d'être raciste et de se tromper, et il trouve chaque jour une nouvelle façon d'être embarrassant. Demander au président du Liberia où il a appris l'anglais, alors que c'est littéralement la langue officielle, c'est le comble de l'ignorance », a réagi sur X Jasmine Crockett, représente démocrate du Texas, ajoutant : « je suis presque sûre que ce n'est pas en se montrant ouvertement offensant que l'on fait de la diplomatie... » Contactée pour un commentaire, la porte-parole de la Maison Blanche, Anna Kelly, a qualifié les remarques de Donald Trump sur l'accent du président libérien de « compliment sincère au cours d'une réunion qui a marqué un moment historique pour les relations entre les États-Unis et l'Afrique ». « Il y a un grand potentiel économique en Afrique » Le président américain avait réuni les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon à la Maison Blanche pour une rencontre centrée officiellement sur des questions commerciales, d'investissement, et de sécurité, selon des responsables interrogés par l'AFP. Au moment d'ouvrir ce déjeuner de travail, Donald Trump a cependant donné la couleur d'emblée sur la raison principale de ces invitations, qualifiant devant la presse les cinq pays d'endroits « dynamiques avec des terres de très grande valeur, de super minerais, des grandes réserves de pétrole, et des gens merveilleux ». « Il y a un grand potentiel économique en Afrique, comme peu d'autres endroits, à bien des égards », a-t-il déclaré, disant vouloir accroître l'implication des États-Unis sur le continent.


Le Figaro
6 days ago
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Quand Trump félicite le président libérien pour son niveau d'anglais, langue officielle du Liberia
«Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle?», a demandé le président américain à son homologue libérien Joseph Boakai, qu'il recevait à la Maison-Blanche. Donald Trump a complimenté mercredi 8 juillet le président du Liberia, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, alors qu'il s'agit de la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest. «Merci, et dans un si bon anglais, si beau», a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison-Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais. «Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle? Où avez-vous étudié? Au Liberia?», a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre «Oui monsieur» à la dernière question. «Et bien c'est très intéressant, c'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous», a conclu le président américain. Publicité Le Liberia est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des États-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays. Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'université du Liberia, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'État du Kansas, dans le centre des États-Unis.


La Presse
6 days ago
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Trump félicite le président libérien pour son niveau d'anglais, langue officielle du pays
Trump félicite le président libérien pour son niveau d'anglais, langue officielle du pays (Washington) Donald Trump a complimenté mercredi à la Maison-Blanche le président du Libéria, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, alors qu'il s'agit de la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest. Agence France-Presse « Merci, et dans un si bon anglais, si beau », a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison-Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais. « Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle ? Où avez-vous étudié ? Au Libéria ? », a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre « oui monsieur » à la dernière question. Et bien c'est très intéressant, c'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous. Donald Trump, président des États-Unis Le Libéria est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des États-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays. Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'université du Libéria, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'État du Kansas, dans le centre des États-Unis.


24 Heures
05-07-2025
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Liberia: L'État présente des excuses pour les deux guerres civiles
Le président du Liberia a présenté samedi les excuses de l'État pour les deux guerres civiles. Publié aujourd'hui à 00h12 Mis à jour il y a 14 minutes Le président du Liberia, Joseph Boakai, prononce son discours sur l'état de la nation au Capitole de Monrovia, le 27 janvier 2025. AFP Le président du Liberia, Joseph Boakai, a présenté samedi les excuses de l'État pour la violence et les traumatismes causés par les deux guerres civiles qu'a connues le pays. Le chef de l'État a effectué cette démarche lors d'une cérémonie de réconciliation dans la capitale, Monrovia, quelques jours après avoir participé à un hommage posthume aux anciens présidents Samuel Doe, torturé et tué au début de la guerre civile, et Williamn Tolbert, assassiné en 1980 quand le premier avait mené un coup d'État. «À cette occasion historique, je présente des excuses formelles de la part de l'État», a-t-il déclaré. «À chaque victime de notre guerre civile, à chaque famille brisée, à chaque rêve fracassé, nous disons: nous en sommes désolés», a-t-il ajouté. «L'État aurait pu faire davantage» «L'État aurait pu faire davantage», a-t-il encore déclaré. «Nous devons faire tout ce que nous pouvons pour nous assurer qu'il ne vous fasse plus défaut». Deux guerres civiles ont dévasté le Liberia entre 1989 et 2003, coûtant la vie à environ 250'000 personnes et causant massacres, mutilations, viols, et un large recours aux enfants soldats. Le pays n'a pas à ce jour jugé les responsables de crimes commis durant ces conflits. Une Commission de la vérité et de la réconciliation a appelé en 2009 à la création d'un tribunal pour juger les crimes de guerre, mais celui-ci n'a pas vu le jour, notamment parce que nombre de responsables présumés de ces crimes restent influents dans la politique nationale. Joseph Boakai a appelé samedi à «mettre en œuvre les recommandations clés de la Commission de vérité et de réconciliation». «Il n'y a pas une famille libérienne qui n'ait été touchée par la douleur, la violence et l'injustice qui ont hanté notre nation», a-t-il dit. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.