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Maître Coq et Le Gaulois prennent un engagement pour leurs poulets jugé « historique » par L214
Maître Coq et Le Gaulois prennent un engagement pour leurs poulets jugé « historique » par L214

Le HuffPost France

time5 days ago

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Maître Coq et Le Gaulois prennent un engagement pour leurs poulets jugé « historique » par L214

ANIMAUX - Free chicken. L' association L214 s'est félicitée ce jeudi 17 juillet de la décision du leader français de la volaille LDC de se conformer à des critères plus sévères de bien-être animal pour l'élevage de ses poulets des marques Maître Coq et Le Gaulois. « Le Gaulois et Maître Coq abandonnent les pires pratiques », poursuit dans un communiqué l'association de défense des animaux, qui a mené campagne pendant trois ans contre le groupe. C'est « une avancée historique », ajoute L214. Sur son site internet, à la rubrique « élever durablement », c onsultée jeudi par l'AFP, le groupe LDC indique que « dans le cadre de sa politique d'amélioration du bien-être et de la protection des animaux, (il) lancera en 2026 pour ses marques Le Gaulois et Maître Coq de nouvelles gammes European Chicken Commitment (ECC) dans l'objectif d'étendre ces pratiques de production afin d'atteindre 100 % des gammes sous ECC d'ici 2028 ». Pas plus de 15 poulets par mètre carré Par ailleurs, « LDC permettra à tous ses clients qui se sont engagés (ou s'engageront) à respecter l'ensemble des critères de l'ECC, d'être en mesure de pouvoir honorer leurs engagements à l'échéance de 2028 ». Pour autant, le groupe assure aussi que « déjà 89 % des élevages en France sont engagés dans ces démarches d'élevage durable en 2024. Notre objectif : 100 % d'ici à 2025 ». Mais pour L214, tous les cahiers des charges retenus n'étaient pas aussi stricts que celui de l'ECC. Le standard ECC stipule notamment que l'élevage n'abrite pas plus de 15 poulets par mètre carré et ne recourt pas à une souche génétique à croissance ultra rapide, source de souffrance pour les bêtes, explique Brigitte Gothière, la directrice de L214. « Cet engagement de LDC est le fruit de trois années de campagne publique et d'un dialogue constructif que nous saluons. Il représente une avancée importante pour faire reculer les souffrances des animaux et trace la voie que toutes les entreprises agroalimentaires doivent désormais suivre », a-t-elle ajouté, évoquant « un signal fort à l'industrie agroalimentaire ». « Nous dialoguons avec toutes les parties prenantes de notre écosystème pour le développement durable du Groupe LDC et de ses filières partenaires », a indiqué à l'AFP un porte-parole de LDC, qui assure 40 % de la consommation française de volaille.

Bien-être animal : Maître Coq et Le Gaulois tournent le dos aux élevages intensifs, l'association L214 se réjouit
Bien-être animal : Maître Coq et Le Gaulois tournent le dos aux élevages intensifs, l'association L214 se réjouit

Le Parisien

time5 days ago

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Bien-être animal : Maître Coq et Le Gaulois tournent le dos aux élevages intensifs, l'association L214 se réjouit

L'association de défense des animaux L214 s'est félicitée jeudi de l'engagement pris par le groupe LDC , numéro un français de la volaille, à respecter d'ici 2028 les critères du standard « European Chicken Commitment » (ECC) pour ses marques Maître Coq et Le Gaulois. Cette charte vise à améliorer les conditions d'élevage des poulets, en interdisant notamment les souches à croissance ultra-rapide et en limitant la densité à 15 animaux par mètre carré. « Le Gaulois et Maître Coq abandonnent les pires pratiques », s'est réjouie l'ONG, qualifiant cet engagement d'« avancée historique ». Selon Brigitte Gothière, directrice de L214 , « cet engagement est le fruit de trois années de campagne publique et d'un dialogue constructif que nous saluons ». Un message fort pour faire reculer les souffrances des animaux qui s'adresse, selon elle, à l'ensemble de l'industrie agroalimentaire. Sur son site, LDC précise que ces nouvelles gammes labellisées ECC seront lancées dès 2026 pour ses marques Le Gaulois et Maître Coq, avec l'objectif d'atteindre 100 % de conformité d'ici 2028. L'entreprise, qui assure environ 40 % de la consommation française de volaille, indique également vouloir accompagner ses clients engagés dans cette transition. L'entreprise affirme par ailleurs que 89 % de ses élevages en France sont déjà engagés « dans des démarches d'élevage durable » en 2024, avec un objectif de 100 % dès 2025. L214 nuance toutefois cet affichage, estimant que tous les cahiers des charges retenus jusqu'ici n'étaient pas aussi stricts que celui de l'ECC.

Volailles : L214 se félicite de l'abandon par LDC de certaines pratiques d'élevage
Volailles : L214 se félicite de l'abandon par LDC de certaines pratiques d'élevage

Le Figaro

time5 days ago

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Volailles : L214 se félicite de l'abandon par LDC de certaines pratiques d'élevage

L'association L214 s'est félicitée jeudi de la décision du leader français de la volaille LDC de se conformer à des critères plus sévères de bien-être animal pour l'élevage de ses poulets Maître Coq et Le Gaulois. Pour l'association de défense des animaux, qui a mené campagne pendant trois ans contre le groupe, c'est «une avancée historique», «Le Gaulois et Maître Coq abandonnent les pires pratiques». Sur son site internet, à la rubrique «élever durablement», consultée jeudi par l'AFP, le groupe LDC indique que «dans le cadre de sa politique d'amélioration du bien-être et de la protection des animaux, (il) lancera en 2026 pour ses marques Le Gaulois et Maître Coq de nouvelles gammes European Chicken Commitment (ECC) dans l'objectif d'étendre ces pratiques de production afin d'atteindre 100% des gammes sous ECC d'ici 2028». Publicité 89% des élevages français engagés Par ailleurs, «LDC permettra à tous ses clients qui se sont engagés (ou s'engageront) à respecter l'ensemble des critères de l'ECC, d'être en mesure de pouvoir honorer leurs engagements à l'échéance de 2028». Pour autant, le groupe assure aussi que «déjà 89% des élevages en France sont engagés dans ces démarches d'élevage durable en 2024. Notre objectif: 100% d'ici à 2025». Mais pour L214, tous les cahiers des charges retenus n'étaient pas aussi stricts que celui de l'ECC. Le standard ECC stipule notamment que l'élevage n'abrite pas plus de 15 poulets par mettre carré et ne recourt pas à une souche génétique à croissance ultra rapide, source de souffrance pour les bêtes, explique Brigitte Gothière, la directrice de L214. «Cet engagement de LDC est le fruit de trois années de campagne publique et d'un dialogue constructif que nous saluons. Il représente une avancée importante pour faire reculer les souffrances des animaux et trace la voie que toutes les entreprises agroalimentaires doivent désormais suivre», a-t-elle ajouté, évoquant «un signal fort à l'industrie agroalimentaire». LDC, qui assure 40% de la consommation française de volaille, n'a pas répondu dans l'immédiat aux sollicitations de l'AFP.

Pour mettre fin au litige des « ralentisseurs illégaux », le gouvernement va modifier la règle
Pour mettre fin au litige des « ralentisseurs illégaux », le gouvernement va modifier la règle

Le Figaro

time11-07-2025

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Pour mettre fin au litige des « ralentisseurs illégaux », le gouvernement va modifier la règle

Pour clore la polémique sur les 400.000 ralentisseurs jugés non conformes, le gouvernement prépare un nouvel arrêté visant à régulariser définitivement ces installations. C'est sûrement la fin du feuilleton des «ralentisseurs illégaux» . Depuis quelques années, deux associations - la Ligue de Défense des Conducteurs (LDC) » et « Pour une mobilité sereine et durable (PUMSD) » - mènent un combat sans relâche contre 400.000 ralentisseurs qu'elles considèrent comme non conforme aux règles en vigueur. Leur arme : le décret n°94-447 du 27 mai 1994 qui fixe des règles strictes pour l'implantation des ralentisseurs. Hauteur maximale de 10 cm pour les dos-d'âne, et les ralentisseurs trapézoïdaux, une longueur devant être comprise entre 4 et 10 mètres selon le type, interdiction sur les routes à grande circulation, obligation de les combiner avec d'autres aménagements... Publicité Sauf que les collectivités se contentent souvent d'appliquer les «recommandations officielles» du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema), qui ne tiennent pas compte de toutes les normes de ce décret. Et voilà l'origine de ces 400.000 ralentisseurs litigieux. Le gouvernement a trouvé la parade L'affaire est remontée jusqu'au Conseil d'État, qui a confirmé que ces ralentisseurs ne respectaient pas le décret de 1994, refusant pour autant leur destruction, selon un principe de droit public «d'indestructibilité des ouvrages publics». Une rédaction qui mettait les mairies concernées par ces 400.000 ralentisseurs dans l'embarras. Les associations avaient prévenu, «la décision administrative pourra permettre de poursuivre les élus au civil et au pénal en cas d'accidents liés à ces aménagements ». Face à cette impasse juridique, le gouvernement a trouvé une parade : modifier les règles du jeu. Le ministère des Transports prépare un nouvel arrêté qui va élargir le cadre réglementaire des ralentisseurs routiers. L'arrêté définira «les caractéristiques géométriques des 5 types de ralentisseurs ainsi que les conditions de leur implantation sur la chaussée». Selon nos informations, le but est d'harmoniser les règles du décret de 1994 avec les recommandations officielles du Cerema. Les associations sont furieuses Officiellement le gouvernement souhaite «remédier à cette situation qui fragilise la pérennité des aménagements mis en place par les gestionnaires routiers» et poursuivre des objectifs «d'apaisement de la circulation », ou encore de «de bonne cohabitation de l'ensemble des usagers sur l'espace public». Pour les deux associations, «ce choix est purement politique : il sacrifie la sécurité pour éviter de froisser les élus locaux et désavouer les fonctionnaires du Cerema». Elles vont même plus loin, accusant le gouvernement de porter une atteinte grave à l'État de droit et à la sécurité juridique. « En tentant de contourner cette décision par voie réglementaire, le gouvernement compromet l'autorité normative du juge administratif, fragilise la confiance dans le droit applicable, et porte atteinte – indirectement mais réellement – à l'indépendance des juridictions administratives, pourtant constitutionnellement protégée », veut conclure Antonin Morelle, président de PUMSD.

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