Dernières actualités avec #Labubu


Le Figaro
2 days ago
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Labubu : voici le bon plan pour acheter ces peluches tendances en évitant les arnaques
À côté du site Pop Mart et des sites de revente officiel, comme Amazon, des sites frauduleux prétendent commercialiser des peluches Labubu en promo. Ne vous laissez pas prendre au piège. Voici toutes les clés pour débusquer les arnaques au Labubu. Le fabricant de jouets chinois Pop Mart est à l'origine de la sensation commerciale du moment. La peluche Labubu n'en finit plus d'enflammer les réseaux sociaux. Les célébrités l'utilisent comme accessoire de mode et les fans se l'arrachent à prix d'or. Ils attendent les nouvelles collections avec impatience et partent en quête des fameuses boîtes mystères, dont le contenu est secret, dans l'espoir de tomber sur le Labubu le plus rare. Mais voilà, le formidable engouement autour du monstre-lapin Labubu a aussi sa part d'ombre. Des faussaires en profitent pour créer des contrefaçons et piéger les consommateurs avec des sites de vente trompeurs. Pour éviter les arnaques, vous devez faire confiance aux revendeurs officiels, comme Amazon, qui dispose d'une page shopping dédiée aux peluches Labubu. Acheter un Labubu sur la boutique officielle Pop Mart sur Amazon Les bons plans du moment vus sur Amazon : Où acheter un vrai Labubu et éviter les arnaques ? Acheter un Labubu authentique relève parfois du parcours du combattant. Il faut bien comprendre que Pop Mart entretient volontairement la rareté de sa peluche fétiche, pour créer l'évènement autour des nouveautés et des collections exclusives. Les peluches Labubu sont souvent en rupture de stock, même sur le site officiel Pop Mart, qui reste le principal canal de vente. Aussi, vous devez vous méfier des sites qui mettent en avant des offres promo tapageuses sur des boîtes mystères Labubu. Ils proposent sans aucun doute de fausses peluches. N'hésitez pas à visiter régulièrement la boutique officielle Labubu sur Amazon, pour ne pas rater les nouveautés et commander une pièce authentique à coup sûr. Amazon propose notamment une figurine Labubu Lemon Tea à 36 euros. Cliquez ici pour profiter de l'offre Amazon sur les peluches Labubu Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.


Le Parisien
3 days ago
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Le meilleur site pour acheter des figurines Labubu au meilleur prix
Repérées dans les vidéos TikTok, les figurines Labubu de Pop Mart s'invitent sur les sacs des influenceuses les plus suivies. Imaginés par l'artiste hongkongais Kasing Lung, ces it-toys au look « ugly-cute » mêlent humour noir, esprit kawaii et design arty. Chaque figurine est vendue dans une blind box : impossible de savoir à l'avance sur quel personnage vous allez tomber. Et c'est justement ce qui rend cette collection si addictive. Déclinées également en sacs ou coques de téléphone, ces créations séduisent les fans de culture pop et de mode alternative. Bonne nouvelle : AliExpress propose plusieurs modèles avec des remises attractives. Chaque référence est certifiée conforme et authentique. C'est le moment de craquer ! La boutique officielle Pop Mart est désormais accessible sur AliExpress et les Labubu y sont proposés à prix attractif. AliExpress est le meilleur site pour shopper des Labubu à prix mini Suivez la tendance et adoptez les figurines Labubu de Pop Mart. Démarrez ou enrichissez votre collection avec les personnages de la série Mokoko, disponibles à l'unité au prix de 12,89 euros, ou en coffret de 10 blind boxes affiché à moins de 127 euros. Pour faire plaisir aux fans de la marque phénomène, vous pouvez aussi shopper le sac à fleurs en peluche The Monsters. Cet adorable accessoire est au prix imbattable de 36,99 euros, avec livraison gratuite à domicile comprise. Envie de personnaliser votre iPhone 16 Pro aux couleurs de Labubu ? La coque pour smartphone Pajama Party et ses 5 figurines décoratives Pop Bean est à prix avantageux. Ne tardez pas à passer commande, les ventes explosent sur AliExpress et les stocks sont limités.


Le Parisien
5 days ago
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Labubu, ces petites peluches ultra tendances sur TikTok : voici où acheter les authentiques
Difficile d'ouvrir TikTok ces dernières semaines sans tomber sur un Labubu. Cette petite créature aux grandes oreilles pointues et au sourire malicieux est partout : en vidéos d'unboxing, en collection ou mise en scène dans des situations drôles. À l'origine, c'est une figurine signée Pop Mart, marque déjà connue pour ses jouets design et ses séries limitées. Mais sur le réseau social, le Labubu a pris une ampleur folle : vous le voyez s'accrocher aux sacs à main, trôner sur des bureaux ou accompagner des looks du quotidien. Beaucoup se filment en train de les déballer, de les collectionner par dizaines ou de les intégrer à leur déco. Résultat : tout le monde se les arrache, et peut-être que vous aussi finirez par craquer. Mais où trouver un véritable Labubu ? C'est la question du moment.


24 Heures
27-07-2025
- Entertainment
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Labubu et scoubidou: ces gadgets qu'on a trimballés fièrement
Phénomène pop culture – Labubu, scoubidou: ces gadgets qu'on trimballe comme des gamins Totoche, Kiki et faux «tattoo»… On a tous succombé à un accessoire débile. Et si le succès du phénomène Labubu révélait notre irrépressible envie de rester enfants? Valentina San Martin Nées en 2015, les figurines Labubu sont désormais plus tendance que jamais. IMAGO/VCG Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : La figurine Labubu, créée par l'artiste Kasing Lung, connaît un succès mondial. Pop Mart transforme ces jouets design en véritables objets de collection prisés. Les prix oscillent entre 42 et 139 francs dans les boutiques suisses. L'engouement s'explique par son design unique mêlant mignonnerie et monstruosité. À première vue, un Labubu ressemble à une erreur de casting… une sorte de malheureux mélange entre une peluche, un Gremlins et un lapin sous LSD. Pourtant, cette créature à l'allure étrange affole les influenceuses et les collectionneurs. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Né en 2015 de l'imagination de l'artiste hongkongais Kasing Lung, Labubu a été propulsé à l'échelle mondiale par Pop Mart, une entreprise chinoise spécialisée dans les figurines en édition limitée, vendues sous blister surprise (le «blind box» que l'on achète sans savoir quelle figurine il contient). Grâce à un univers visuel hypercodé et à une stratégie marketing millimétrée, Pop Mart est devenu un poids lourd du jouet design… et un géant de la Bourse: son action a explosé de plus de 600% en un an, rapporte BFM Bourse. Labubu, c'est le hit de cette success story. Mi-grotesque, mi-adorable, il incarne cette tendance des jouets qui mêlent nostalgie enfantine, collection obsessionnelle et esthétique pop décalée. Il existe aujourd'hui dans une multitude de déclinaisons: pirate, ange, astronaute ou licorne. Chaque figurine a sa propre personnalité, et parfois, une valeur spéculative. Car certaines séries rares s'échangent à prix d'or sur les sites de revente, transformant l'objet en fétiche d'initié. La hype est telle que plusieurs célébrités comme Lisa de Blackpink, Rihanna ou encore Dua Lipa s'en sont emparées, contribuant à en faire un accessoire de style autant qu'un jouet de collection. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos En Suisse, les figurines sont disponibles en ligne sur le site du fabricant, mais aussi dans des boutiques physiques comme Du à Aigle (VD), Paulus Shop à Lausanne et à Granges (SO), nous apprend le quotidien «20 minutes». Selon le modèle, les prix varient entre 42 et 139 francs. Mais il faut souvent s'armer de patience pour s'en procurer un: certains modèles sont en rupture de stock et les délais de livraison peuvent aller jusqu'à dix jours. Des listes d'attente ont même été mises en place. Le contenu qui place des cookies supplémentaires est affiché ici. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Autoriser les cookies Plus d'infos Mais pourquoi un tel engouement pour un machin en plastique de 12 centimètres? Parce que Labubu coche toutes les cases du doudou pour les adultes: un design mignon mais légèrement flippant, un univers narratif riche et, surtout, une esthétique régressive mais pas cucul. Labubu, c'est l'enfance remixée pour les grands. Et il n'est pas le seul. Depuis les années 80, chaque génération a vu défiler son lot de gadgets absurdes, attendrissants ou purement décoratifs – mi-jouets, mi-accessoires. Retour sur cinq d'entre eux qui ont marqué nos sacs à dos, nos trousses, nos cous et nos poches. La chaussette de bébé: doudou présmartphone Avant les protections solides que l'on connaît aujourd'hui, il y avait: la chaussette de bébé. DR Avant les coques design et les protections antichutes en silicone, il y a eu… la chaussette. Ce petit étui molletonné, à rayures ou décoré de motifs enfantins (nounours, cœurs, petites fleurs…), a connu un véritable âge d'or entre 2004 et 2008. Popularisé dans les boutiques de téléphonie comme accessoire rigolo, l'objet détourne littéralement l'imaginaire de la petite enfance pour l'appliquer à une technologie en voie de personnalisation. En d'autres termes: un téléphone, ça méritait aussi son doudou. Plus qu'un simple étui, la chaussette de téléphone est un symbole du tournant adolescent de la société connectée: l'époque où l'on commençait à styliser son rapport à la technologie, avant même l'arrivée des réseaux sociaux. Le scoubidou: artisanat compulsif Les scoubidous: une tendance qui commence dans la cour d'école. IMAGO/ Si le mouvement DIY («Do It Yourself») connaît un essor numérique depuis les années 2010, le scoubidou représentait déjà une pratique artisanale massive à l'échelle scolaire. Loin de n'être qu'un bricolage en plastique, le scoubidou a été un véritable phénomène collectif. Ces fils en PVC, vendus en lots arc-en-ciel, servaient à créer des porte-clés et objets décoratifs à force de patience… et d'acharnement. Mais saviez-vous que fabriquer des scoubidous a eu des effets positifs sur votre enfance? En effet, plusieurs études montrent que les activités manuelles comme le tressage, les perles ou la fabrication de petits objets favorisent le développement global des tout-petits. Non seulement elles améliorent la motricité fine et les capacités cognitives (planification, attention, créativité), mais elles jouent aussi un rôle dans la construction de l'identité sociale: en partageant ces rituels créatifs – comme les bracelets brésiliens dans les années 90 –, les enfants développent un sentiment d'appartenance, d'expression personnelle et de collaboration. Le collier «tattoo»: bijou plastique Le ras-du-cou a connu la gloire dans les années 90. Getty Images Apparu dans les années 90, ce collier élastique noir imitant un tatouage tribal a été l'un des symboles les plus visibles de la préadolescence féminine. Vendu aux caisses des magasins d'accessoires, il incarnait une tentative d'appropriation des codes grunges et rebelles… sans risque réel. Objet plastique bon marché, porté au ras du cou, il suggérait une forme de transgression soft: entre le jeu d'enfant et le vrai bijou d'adulte. Mais au-delà de la mode passagère, ce type d'accessoire relève de ce que l'on pourrait qualifier de «mimétisme identitaire». Selon une étude parue dans la revue académique «Sage Journals», spécialisée dans les sciences sociales, les adolescents utilisent les vêtements et accessoires comme des marqueurs visibles de leur appartenance à un groupe tout en cherchant à affirmer leur individualité. Le style, ici, devient alors un langage socialement codé. Autre exemple frappant: un article de 2021 portant sur les «tweens» (ces préados, entre l'enfance et l'adolescence) montre que le choix de tels objets – colliers, chouchous, barrettes – participe à un rituel collectif de construction de soi. Les chercheurs expliquent que ces accessoires permettent aux jeunes filles d'explorer leur rapport au corps et au style tout en maintenant un lien affectif avec l'univers de l'enfance. En clair: un collier à moins de 10 francs, mais chargé de sens. Les Totoches: miniaturisation régressive Sur un porte-clé ou en collier, ces petites tétines pouvaient se porter de mille et une façons. DR Phénomène étrange et parfaitement assumé des années 90, les Totoches – ces minitétines en plastique coloré, parfois pailletées ou phosphorescentes, souvent accrochées en grappes à une chaîne – ont envahi les cours de récré au même titre que les pogs, les billes ou les cartes Pokémon. On les collectionnait, on les échangeait, on les portait fièrement autour du cou comme un trophée. Le plus souvent, c'était une affaire de quantité, mais aussi de rareté: certaines teintes translucides ou fluos faisaient figure d'objet convoité. Leur succès repose sur un paradoxe fascinant. À la fois symbole ultime de la petite enfance (la tétine comme archétype de la dépendance et de la régression) et accessoire ostentatoire de préadolescence, la Totoche incarnait un entre-deux. Elle permettait de jouer avec les codes de l'enfance tout en s'en moquant légèrement. Ce type d'accessoire permettait aussi de renforcer un sentiment d'appartenance, à une classe, un groupe, une microtendance. Comme l'expliquent plusieurs travaux en sciences sociales, ce genre de phénomène obéit à des logiques rituelles: on adopte un code visuel commun, on l'applique, puis on le dépasse. La Totoche, au fond, c'était un passage. Et si elle fait sourire, c'est justement parce qu'elle rappelle ce moment suspendu entre le doudou et la parure. Kiki: mascotte à emporter En plus d'être un accessoire trendy, Kiki a eu droit à son lot de produits dérivés. imago/Revierfoto Né au Japon en 1974 sous le nom de Monchhichi, Kiki débarque en Europe dans les années 80 et devient instantanément culte. Avec sa fourrure brune et sa tétine à clipper dans la bouche, il incarne une nouvelle génération de peluches: transportables, personnalisables, presque humaines. Moins «animal» que ses prédécesseurs, plus expressif que les jouets standard, Kiki s'inscrit dans une époque où l'objet peluche commence à devenir un compagnon social à part entière. Mais ce qui distingue vraiment Kiki d'un simple doudou, c'est son statut semi-public. Il sort de la chambre pour être exposé, promené, montré. Il trône sur les cartables, s'accroche aux anses de sac à dos, s'invite même sur les photos de classe. Son succès prolongé (des années 80 à nos jours) témoigne de sa puissance iconique: Kiki n'est pas juste mignon, il est mémorable. Enfance portable et nostalgie active Tous ces objets ont un point commun: ils rendent l'enfance visible, affichable, presque revendiquée. Ce sont des mini-objets sans réelle utilité pratique, mais à forte valeur symbolique. Ils nous parlent de nos goûts, de nos liens sociaux, de notre manière de créer du style à partir de l'inutile. Dans un contexte de saturation numérique, où les adultes sont de plus en plus sollicités par la productivité, ces objets agissent comme des antidotes à la pression moderne. Ils réinjectent de la douceur, du jeu et une forme de naïveté dans le quotidien. Les enfants aussi bien que les adultes ont besoin de fétiches rassurants, de grigris, de symboles régressifs. Ce n'est donc pas un hasard si Labubu, cousin trash de Kiki, revient aujourd'hui. On s'accroche à des objets mignons, mous, colorés, absurdes – parce qu'ils nous rappellent qu'on n'est pas obligés d'être tout le temps sérieux. Et qu'on n'a jamais complètement grandi. Cet article vous a plu? Découvrez davantage de contenus dans l'édition actuelle de l'e-paper «Le Matin Dimanche» et dans nos archives. Chaque dimanche matin, retrouvez également votre journal en caissettes près de chez vous. Vous pouvez aussi vous inscrire à notre newsletter. 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