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«Je voudrais débuter en Bourse en plaçant 5000€, puis continuer d'investir pour atteindre 50.000€. Est-ce une bonne méthode?»
«Je voudrais débuter en Bourse en plaçant 5000€, puis continuer d'investir pour atteindre 50.000€. Est-ce une bonne méthode?»

Le Figaro

timean hour ago

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«Je voudrais débuter en Bourse en plaçant 5000€, puis continuer d'investir pour atteindre 50.000€. Est-ce une bonne méthode?»

Vie des entreprises, fonctionnement du marché, droit boursier, ... La rédaction du Figaro Patrimoine et Bourse se saisit de vos questions et vous apporte son expertise. Démarrer en Bourse n'est jamais évident. Est-ce le bon moment, quelles valeurs privilégier, quels montants leur allouer, … ? Les questions sont nombreuses et les réponses ne sont pas gravées dans le marbre. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Du bon sens et de la patience Tout d'abord, il n'y a pas de moment idéal pour débuter en Bourse : c'est sur le long terme que s'envisagent ces investissements afin de lisser la performance dans le temps, et les fonds engagés doivent l'être dans cette optique. Ensuite, la stratégie que vous envisagez est de bon sens. Amorcer avec une somme entre 5000 et 10.000€ permet d'initier plusieurs positions et ainsi de répartir les risques dès le départ. Publicité Avec une enveloppe de 50.000€, vous avez le temps de faire les choix les plus judicieux, sans vous précipiter. Enfin, la diversification doit rester une boussole : mettre tous ses œufs dans le même panier n'est jamais une bonne idée, et encore moins en Bourse. Panacher valeurs de croissance, de rendement et, à la marge, une ou deux plus spéculatives, devrait vous permettre de construire un portefeuille équilibré… et performant.

«Laissons-nous porter par la légèreté de l'été et acceptons son souffle dissident»
«Laissons-nous porter par la légèreté de l'été et acceptons son souffle dissident»

Le Figaro

time14 hours ago

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«Laissons-nous porter par la légèreté de l'été et acceptons son souffle dissident»

HUMEUR - Et si l'été était annonciateur de bonnes nouvelles ? La saison estivale nous invite à regarder la réalité d'une façon plus douce et moins dogmatique, écrit Thomas Moralès. Dernier ouvrage paru : « Tendre est la province » (Les Équateurs, 2024). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Cet été, ne surfons pas la vague du défaitisme. Elle est décidément trop facile à prendre. Elle est intellectuellement paresseuse et mortifère pour les artères. N'y succombons pas même si la nostalgie nous y pousse parfois ! Il en va de notre dignité et aussi de notre équilibre mental. Résistons à l'appel de la neurasthénie ! L'actualité désespérante de ces dernières semaines nous apporte son lot de guerre et de misère, de volte-face gouvernementale et d'abrutissement généralisé ; chaque jour, elle creuse un peu plus le désespoir des nations jadis civilisées, elle finit par anesthésier l'esprit, lui ôter toute capacité d'émerveillement. Nous serons bientôt inaptes à percevoir la beauté des choses inutiles. Publicité À ce moment-là, nous serons un pays perdu. Sans faire preuve d'un optimisme béat, nous ne sommes pas des coachs de vie, mais plutôt d'un relativisme balnéaire donc salutaire, n'abordons pas ces longues vacances, la peur au ventre. Il ne s'agit pas de nier l'insécurité galopante et le gel des espérances, le décrochage scolaire ou l'hémorragie des élites. Pour continuer à avancer et à croire en un possible destin commun, il faut se laisser porter par la légèreté de cette saison, accepter son souffle dissident, lui donner une chance de nous racheter, voire de nous éclairer. Car l'été est propice au relâchement des nerfs et à l'organdi des souvenirs, il nous oblige à regarder la réalité d'une façon plus douce et moins dogmatique, à nous reconnecter à notre moi profond, c'est-à-dire à la France des musées, des forçats de la route, des flonflons, des lectures sous la tonnelle, du rosé bien frappé et d'une télévision de jouvence. Partout, à Paris et dans nos provinces, l'été, au-delà de la féérie du barbecue et de la réhabilitation du slow, laisse entrevoir des portes de sortie. Oui, des échappatoires aux mornes destins. Des points de fuite ou de chute. Prenons-les ! Accrochons-nous collectivement à ces dérisoires et indispensables sas de survie. Sans eux, nous sombrerions. Sans eux, nous braderions notre identité qui n'est pas un gros mot, encore moins une prison sectaire aux plus vociférants de nos compatriotes. L'été chasse les diviseurs du poste et des assemblées. Dans quelques jours, le Tour de France partira du Nord pour filer vers la Normandie, puis s'attaquera aux monts et aux cols, les grimpeurs animeront alors nos après-midi. Cette leçon d'histoire et de géographie, durant trois semaines, nous invitera à réciter les grandes étapes de la fable ronde. Nos bénédictions de juillet s'appellent Mont-Dore, Mont Ventoux, Col du Tourmalet, Col de la Madeleine ou Col du Pré. Ce Tour lève le voile sur des terres et des Hommes qui d'habitude n'intéressent pas les médias. Le vélo n'est pas porteur de division, il consolide les générations et leur transmet le relais de la mémoire. L'été, on a le droit de refuser les injonctions et les snobismes cultureux, regarder « La Grande Vadrouille » et « L'Année des méduses » n'est pas incompatible, s'empiffrer d'épisodes de la série « Alf » sur la chaîne Gulli et de « The New Avengers » sur Ina Madelen. Thomas Moralès Un pays qui ne partage pas un imaginaire commun court à sa perte existentielle. Cet été, profitons de la climatisation des musées, Boudin expose ses ciels duveteux à Marmottan, Doisneau déploie sa frise populaire et banlieusarde chez Maillol, l'animal dans les arts est l'honneur à Landerneau et Giacometti fait une halte au Musée Cantini de Marseille. L'été, on peut refuser les nouvelles injonctions littéraires en lisant des poches périmés : «Paris au mois d'août» de René Fallet ou «L'été finit sous les tilleuls» de Kléber Haedens. Ou préférer suivre les aventures de la famille Durrell à Corfou ou s'imprégner du bonheur à Souillac de Tillinac. Pour les plus studieux, il n'est pas interdit de lire Interrogatoire, l'interview d'Emmanuel Berl par Patrick Modiano. L'été, on a le droit de refuser les injonctions et les snobismes cultureux, regarder «La Grande Vadrouille » et «L'Année des méduses» n'est pas incompatible, s'empiffrer d'épisodes de la série «Alf» sur la chaîne Gulli et de «The New Avengers» sur Ina Madelen. L'été, Purdey, Gambit, Bourrel, Maigret ou un extraterrestre mesurant 83 cm et amateur de chats appartiennent au même cercle de la raison. L'été, on peut aussi verser une larme en revoyant les entretiens de Christian Defaye sur la RTS, notamment celui de Lea Massari qui vient de nous quitter. Cet été, Souchon et ses fils passeront en concert par Hauterives, Bouillargues et Carcassonne. Au début de cet été, il est même possible de faire quelque chose de banni socialement : s'enivrer de voitures anciennes au Mans Classic et apprécier le charisme de Brad Pitt dans une monoplace à 300 à l'heure au cinéma.

«Aujourd'hui, les élèves qui arrivent en prépa littéraire n'ont presque rien lu»
«Aujourd'hui, les élèves qui arrivent en prépa littéraire n'ont presque rien lu»

Le Figaro

time15 hours ago

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«Aujourd'hui, les élèves qui arrivent en prépa littéraire n'ont presque rien lu»

Réservé aux abonnés ENTRETIEN - Les premiers résultats du bac sont tombés et annoncent, comme à leur habitude, une réussite massive des candidats à l'examen. Ces notes, en plus de ne pas refléter le niveau réel des élèves, les préparent mal aux exigences de certaines filières comme les classes préparatoires, regrette la professeur agrégée de lettres. LE FIGARO. - Les premiers résultats du bac sont tombés et ils sont élevés, comme à leur habitude. Ils le seront encore davantage après les épreuves de rattrapage. Que vaut un examen obtenu par une écrasante majorité des candidats ? À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Madeleine DE JESSEY. - Le bac conserve aux yeux des lycéens sa valeur sociale de rite de passage. C'est indéniablement important pour eux, sur le plan tant personnel que psychologique, mais c'est trop peu à l'échelle nationale, compte tenu des sommes investies et des effectifs déployés, ou encore des conséquences sur le plus long terme. Que peut valoir un bac sapé par des consignes de « bienveillance » et de surnotation imposées aux correcteurs, sans parler de l'harmonisation ultérieure des notes pour éviter des redoublements massifs qui coûteraient trop cher à l'institution ? Tout cela aboutit inévitablement à des résultats non significatifs, pour ne pas dire mensongers. Les réformes récentes du bac ont-elles permis de le revaloriser quelque peu ?

Le bob emblématique des JO de Paris 2024 a donné des envies au Tour de France 2025
Le bob emblématique des JO de Paris 2024 a donné des envies au Tour de France 2025

Le HuffPost France

time19 hours ago

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Le bob emblématique des JO de Paris 2024 a donné des envies au Tour de France 2025

SPORT - Comme un parfum de Paris 2024. À Lille, ce jeudi 3 juillet, les coureurs engagés sur le Tour de France 2025 ont participé − tradition oblige − à la présentation des équipes qui composeront le peloton de ce samedi au 27 juillet prochain. Lors de cet événement à la veille de la première étape dans la cité lilloise, les plus fins observateurs présents dans le public auront forcément remarqué un détail porté par presque chaque cycliste. Un simple bob, dont l'utilisation pourrait s'expliquer par la présence du soleil et d'une chaleur intense dans le Nord. Mais la véritable explication est à trouver ailleurs, puisqu'il s'agit du bob officiel du Tour de France 2025 qui, comme l'explique Le Figaro, a été distribué à toutes les équipes avant cette cérémonie organisée devant plus de 40 000 personnes. Détail important : ce couvre-chef se distingue par son design faisant référence aux différents maillots distinctifs, remis à chaque fin d'étape. Jaune, vert, blanc et blanc à pois rouge. Un clin d'œil discret mais qui fait son petit effet auprès des fans de la Grande Boucle. Portant le numéro 1 cette année encore, le Slovène Tadej Pogacar était le premier à arborer ce couvre-chef singulier. Qu'il s'est d'ailleurs permis d'envoyer dans la foule lors de sa présentation officielle en tant que dernier vainqueur du Tour de France. Cette 112e édition du Tour de France semble avoir puisé autant que possible dans le succès des JO de Paris 2024. L'instauration d'une dernière étape dans la capitale passant par la Butte Montmartre sonne comme un rappel de l'épreuve de cyclisme sur route des Jeux. Et il en va de même pour les bobs du Tour, clairement inspirés du succès populaire de ceux des JO. L'héritage (inattendu) des Jeux de Paris 2024 Souvenez-vous, durant les Jeux olympiques de Paris 2024, les 45 000 volontaires mobilisés avaient reçu une tenue complète aux couleurs des Jeux. Une tenue au sein de laquelle se trouvait un bob estampillé « Paris 2024 » qui avait fait de très nombreux jaloux parmi les amateurs de sports et spectateurs de l'événement. Certains s'arrachaient même à prix d'or sur les sites de revente comme Leboncoin ou Vinted. Avant que l'organisation des JO décide de le commercialiser pour répondre à une demande inattendue pour ce simple couvre-chef rose, jaune et bleu foncé de la marque Decathlon. Avec son propre bob « Tour de France 2025 », l'organisation de la Grande Boucle semble avoir senti le bon filon, quitte à dire adieu à d'autres couvre-chefs emblématiques de la reine des courses cyclistes : le célèbre bob Cochonou ou la casquette de cycliste aux couleurs du maillot du meilleur grimpeur.

"Cela traduit une certaine ignorance de la langue française" : cette faute se répand chez tout le monde
"Cela traduit une certaine ignorance de la langue française" : cette faute se répand chez tout le monde

Le Figaro

timea day ago

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"Cela traduit une certaine ignorance de la langue française" : cette faute se répand chez tout le monde

Une linguiste interrogée par Le Figaro Étudiant alerte sur une tournure de plus en plus employée et fautive sur le plan grammatical. "Je l'entends partout, dans les médias, sur Internet, dans les discussions quotidiennes." Françoise Nore, docteure en linguistique et spécialiste de la lexicologie, ne décolère pas. Depuis plusieurs années, elle observe la montée en puissance d'une tournure erronée. Une faute que l'Académie française qualifie sans détour de "grave incorrection". Selon l'institution, cette expression se "répand de plus en plus chez des locuteurs de tous âges". Cette faute n'est autre qu'un pléonasme, c'est-à-dire une redondance inutile, comme dans "monter en haut" ou "prévoir à l'avance". Dans le premier cas, par exemple, "monter" implique déjà un mouvement vers le haut et, dans le second, "prévoir" inclut déjà la notion d'anticipation. Des erreurs fréquentes, qu'un bon usage de la langue permet d'éviter. "Lorsqu'un mot est perçu comme trop bref, on a tendance à lui accoler d'autres termes pour lui donner plus de poids sonore", explique Françoise Nore. "C'est une manière d'insister, d'appuyer le propos. Mais ce n'est pas parce que c'est courant que c'est correct." La locution visée par l'Académie française et la linguiste repose sur un mot comparatif, voire superlatif, auquel on vient maladroitement ajouter… un autre comparatif. "Grammaticalement, cela ne tient pas", tranche Françoise Nore. "On a un mot qui signifie déjà 'plus mauvais', et on vient lui adjoindre 'plus' ou 'moins'. C'est une double intensité injustifiable." Vous l'aurez peut-être deviné : la locution fautive est 'plus pire ou moins pire'. Selon l'Académie française, dire "plus pire" revient à dire "plus plus mauvais". Il convient aussi d'éviter les variantes comme "moins pire", "aussi pire" ou encore "si pire". "L'emploi de cette expression est révélateur d'une méconnaissance des règles fondamentales et traduit une certaine ignorance de la langue française", déplore Françoise Nore. Pourtant, des alternatives simples existent, comme "C'est aussi grave", "C'est aussi catastrophique" ou "C'est encore pire". La linguiste va plus loin et rappelle que "pis", aujourd'hui quasi-oublié, est le superlatif de pire. "Par exemple, on devrait dire 'ces événements sont pis que ce qu'on aurait pu imaginer'. Mais, phonétiquement, pis paraît plus faible que pire, donc il a été peu à peu abandonné", explique Françoise Nore. Autrement dit, "plus pire" n'est pas seulement une erreur : c'est une double faute qui masque, au passage, un mot juste et oublié de la langue française.

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