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« Une image un peu classe » : Picard s'installe au Petit-Colombes, « un super signal » pour ce quartier populaire
« Une image un peu classe » : Picard s'installe au Petit-Colombes, « un super signal » pour ce quartier populaire

Le Parisien

time2 days ago

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  • Le Parisien

« Une image un peu classe » : Picard s'installe au Petit-Colombes, « un super signal » pour ce quartier populaire

« Ils ont une belle image et elle rejaillit sur le quartier… » Ce samedi matin, Brigitte et Alain ont fait un détour par le magasin qui fait parler dans le quartier du Petit-Colombes : le nouveau Picard Surgelés, sur le boulevard Charles-de-Gaulle, presque en face du Leclerc provisoire. Picard a ouvert ses portes le 22 juillet et malgré un des week-ends les plus calmes de l'année, les clients s'y sont succédé samedi. Il n'y avait pas foule ni émeute mais la nouvelle moyenne surface de 223 m2 de Colombes (Hauts-de-Seine) était rarement vide.

Qualifications du Grand Prix de Belgique 2025 de formule 1, course à venir
Qualifications du Grand Prix de Belgique 2025 de formule 1, course à venir

L'Équipe

time3 days ago

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Qualifications du Grand Prix de Belgique 2025 de formule 1, course à venir

Norris largement en tête Un morceau de bravoure signé Lando Norris, en particulier dans le passage de Pouhon, où il a à peine lâché les gaz. Il colle 6 dixièmes à Leclerc et même Piastri ne parvient pas à faire mieux, repoussé à 2 dixièmes. il y a 3min Leclerc meilleur temps Le Monégasque s'adjuge le meilleur tour, devant son ancien coéquipier Sainz. Il vient de tourner en 1'41"635. Malgré un record dans le premier secteur, Hamilton ne parvient qu'à signer le 6e temps provisoire. il y a 4min Ça y est, à moins de dix minutes de la fin de la Q1, les chronos commencent à tomber. Sainz prend le meilleur temps, en 1'41"691, devant Lawson et Albon. Verstappen s'est lui positionné entre les deux McLaren. il y a 5min Seulement trois chronos viennent de s'ajouter à ceux des McLaren. Russel et Antonelli se placent aux 3e et 4e places, à 5 dixièmes. Bortoleto est provisoirement 5e. il y a 6min Hier, Piastri a réalisé le record du tour en 1'40"510. Une amélioration significative par rapport au précédent record détenu par Hamilton depuis 2020, en 1'41"252. il y a 8min Piastri signe le meilleur tour dans une Q1 qui prend son temps pour démarrer. 1'41"998 pour l'Australien, devant Norris pour 78 millièmes. il y a 9min Colapinto effectue un tour de reconnaissance avec des gommes mediums. Les autres pilotes sont chaussés de pneus tendres. il y a 10min Les deux Mercedes sont encore dans les stands, comme les deux Red Bull, Hadjar et Bortoleto. Pour la marque à l'étoile, le week-end belge est totalement à l'envers. Antonelli avait fait une erreur en SQ1 et s'était qualifié dernier, tandis que Russell avait terminé 12e. Les deux mononplaces étaient loin du compte en course sprint aussi. il y a 12min Incident dans les stands Nico Hülkenberg a tenté de forcer le passage à Stroll dans la voie des stands pour essayer de s'intercaler, mais le Canadien n'a pas voulu céder et a roulé sur l'aileron avant de la Sauber. Changement de pièce pour Hülkenberg et incident noté par la direction de course. il y a 20min Alpine doit se reprendre La première partie de la journée s'est mal passée pour Alpine. Pierre Gasly n'a pas été classé lors du sprint, à cause d'un problème de fuite d'eau. Le Français s'est élancé après deux tours et n'a même pas rallié l'arrivée. Il avait pourtant réalisé un solide 8e chrono la veille. Quant à Colapinto, parti des stands, il a roulé en fond de peloton tout au long de la course. il y a 29min Tout baigne pour Haas Les voitures américaines sont à l'aise à Spa sur le sec, avec une configuration d'aileron peu chargé en appui. Esteban Ocon a terminé 5e tandis que son coéquipier Ollie Bearman s'est classé 7e. Avec McLaren, c'est la seule équipe à avoir placé ses deux monoplaces dans les points. « Il reste tout à faire » a cependant rappelé le pilote français. il y a 33min Hamilton veut prendre sa revanche Les qualifications du sprint se sont avérées désastreuses pour Lewis Hamilton hier. Coupable de deux erreurs, le Britannique avait été éliminé dès la première partie, qualifié seulement 18e. Il a pointé du doigt un nouveau composant sur sa voiture qui a causé ses tourments. Reste donc à redresser la barre. il y a 43min Les compteurs remis à zéro Après le sprint, les équipes ont eu la possibilité de modifier les réglages des voitures, ce qui ne sera plus le cas après les qualifications pour la course demain. Il ne faudra pas se tromper car la météo s'annonce mauvaise demain. Si Max Verstappen a roulé avec peu d'appui et un aileron arrière déchargé en sprint, ce choix pourrait lui coûter cher si la course se déroule sous la pluie, à l'image de ce qu'il s'est passé pour lui il y a trois semaines à Silverstone. Il faudra donc faire le bon choix en prévision de demain.

« J'ai 200 drapeaux à mettre, ça me prend quatre heures » : le drôle de monde des supporters sponsorisés et même pas payés du Tour
« J'ai 200 drapeaux à mettre, ça me prend quatre heures » : le drôle de monde des supporters sponsorisés et même pas payés du Tour

L'Équipe

time21-07-2025

  • Business
  • L'Équipe

« J'ai 200 drapeaux à mettre, ça me prend quatre heures » : le drôle de monde des supporters sponsorisés et même pas payés du Tour

De nombreux camping-caristes du Tour décorent leurs véhicules avec des drapeaux de marques. Une drôle de passion, et un coup de pub facile pour les sponsors, qui les sollicitent. On les voit régulièrement le long du parcours, avec des centaines de drapeaux qui ne représentent aucune star du vélo. Ils se lèvent tôt pour décorer leur parcelle, et ils partent en fin d'après-midi pour prendre le chemin de la prochaine étape. Ils forment une joyeuse communauté dont les codes peuvent surprendre le profane : ce sont les camping-caristes fans de drapeaux de marques. « Les sponsors nous donnent des drapeaux, on les installe et on les désinstalle, ça nous occupe », explique Sylvie Martel, 21 Tours avec son mari Patrice, qui a vu grimper l'intérêt des entreprises : « Au départ, il n'y avait rien. Tout a commencé avec Cofidis qui nous a fait des kits complets. Les autres se sont dit qu'ils allaient les imiter. On a eu un premier drapeau, qui a appelé le deuxième, et ainsi de suite. Maintenant, on fait partie d'un club de supporters Leclerc. » La chaîne de supermarchés n'a pourtant pas d'équipe, elle s'affiche seulement sur le maillot à pois. Mais elle a compris l'intérêt de cette visibilité gratuite, comme Cofidis avant elle. « Ca me fait des frissons » : à la rencontre de Marinette et du public du Tour dans le village de Dourgne Les marques peuvent payer le champagne « Ça ne se voit pas énormément à la télé, mais ça fait partie de l'ambiance du Tour. La relation avec les camping-caristes va au-delà de juillet, souffle Florent Poleyn, responsable communication sponsoring de la société de crédit en ligne. On leur envoie de nouveaux éléments quand le design change, on parle avec eux sur la route, on les invite à des événements. » Il faut les soigner, car ils sont très convoités, à l'image d'Olivier Biron, voisin de Patrice et Sylvie depuis le départ de Lille. « C'est un Belge, mais il est gentil. On est déjà tombés sur des Flamands, l'horreur... », précise Sylvie, qui a goûté la veille à la potion emblématique d'Olivier : la Chimay, bière trappiste. « Mon fils m'a dit que j'allais passer une bonne nuit, mais pas du tout ! » Elle tape un peu, surtout quand il fait chaud. Olivier indique que « Chimay me donne plus de mille bouteilles que je distribue pendant le Tour. » Dans son frigo, il a pourtant quelques packs du concurrent Jupiler : « Je les ai payés, c'est pour moi. Jupiler m'a contacté, j'ai refusé. Je suis bien avec les moines, je ne retourne pas casaque. » Olivier est un fidèle, mais il sait négocier : « Les marques nous donnent des drapeaux, la moindre des choses est de les montrer. Mais je suis dur au début, à eux de montrer ce dont ils sont capables. Si on est aussi invités à gauche à droite, OK je les mets. Chimay m'a sollicité après m'avoir vu à la télé. Ils contribuent à certains frais, 500 euros pour mon carburant et une partie de la location du motor-home. Ils me demandent juste de mettre des banderoles. Avec certains, on fait du troc : je te donne une trappiste, tu me donnes un bob. » Présent toute l'année, il aimante du beau monde : « Je suis supporter de Wout Van Aert. Adri, le papa de Mathieu Van der Poel, vient nous voir sur les cyclocross. Quand je vois passer Wout, je crie, et quand je vois son gamin, je ne crie pas. Mais il vient boire un coup, c'est comme ça chez nous. » « On participe à la communication des marques, bénévolement et avec amour » Philippe, fan de Cochonou Les charmes de la microcélébrité, que d'autres attirent avec leur costume. Gaël Viot se déguise en druide, mais il est boucher chez Leclerc, et il est l'un des membres fondateurs du fan-club : « Mon patron a vu mon camping-car et m'a proposé de ne faire que du Leclerc, c'était parti. On a des numéros du club sur nos véhicules. Je devais être le 1 mais je n'ai pas voulu, ça peut poser des problèmes, les gens peuvent se demander pourquoi c'est le druide, le 1... On est 500 caravanes, et 40 sur le Tour. J'ai 200 drapeaux à mettre, ça me prend quatre heures. Leclerc a investi énormément dans ce projet. » Comment les coureurs cohabitent-ils dans des chambres de deux durant le Tour ? Quatre banquets sont prévus entre Lille et Paris, champagne compris pour les invités, mais certains n'ont pas besoin de ça pour afficher leur marque préférée. Philippe, ou plutôt Sauci'fan, est fou de Cochonou. Ça se voit, même si ça ne lui rapporte rien : « On participe à la communication des marques, bénévolement et avec amour. Je me suis spécialisé Cochonou après une rencontre sur internet. Je faisais la collection de 2 CV miniatures, j'avais des Cochonou, et Daminou se mêle à la discussion. Lui, c'est le plus vieux caravanier du Tour. On se retrouve tous les ans, et il m'a donné des choses pour enrichir ma collection. J'ai des jeux de société Cochonou de 1970 ! On loue un garage pour tout stocker... » Ce n'est pas gratuit. « On achète mais à des prix raisonnables, il n'a jamais eu de contact avec la marque, précise sa femme Sabine. Il est amoureux de Cochonou et du Tour, il ne peut pas choisir entre les deux. » OEcuménique, il n'écarte pas les drapeaux des autres marques pour faire « la plus belle installation possible ». Une volonté partagée par Didier Bayel, qui agrémente sa mosaïque avec des blasons de sa Normandie. « On ne nous donne pas de drapeaux d'équipe, alors que les marques en offrent dès le matin, raconte le retraité, qui montre un énorme amas de fanions sous son matelas. On est obligés d'en donner, sinon on repart avec soixante nouveaux drapeaux. J'en retire la plupart au passage des coureurs, pour éviter un accident en cas de coup de vent. Je ne veux pas les faire tomber, car j'adore avant tout le cyclisme. » Les gendarmes veillent et les marques sensibilisent aussi les camping-caristes, car il n'est pas question qu'un logo soit impliqué dans une chute. La route recèle déjà assez de dangers, et les Martel ont d'ailleurs zappé les Pyrénées. « Depuis qu'on s'est fait accrocher un rétro là-bas, Patrice ne veut plus y aller », confie Sylvie, qui a retrouvé le Tour lundi à Montpellier, jour de repos et de banquet Leclerc.

Tour de France : du vigile au distributeur de goodies, combien gagnent les petites mains de la Grande Boucle ?
Tour de France : du vigile au distributeur de goodies, combien gagnent les petites mains de la Grande Boucle ?

Le Parisien

time21-07-2025

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Tour de France : du vigile au distributeur de goodies, combien gagnent les petites mains de la Grande Boucle ?

Au printemps dernier, une offre d'emploi de l'enseigne faisait le buzz sur les réseaux sociaux : piloter, pendant trois semaines, le char customisé en poireau et intégré à la caravane du Tour . Quelque 1 900 candidats ont postulé à en croire le recruteur. La Grande Boucle génère des centaines de jobs qui suscitent beaucoup d'engouement. Et les places sont chères pour devenir distributeur de goodies, vigile ou motard sur la plus belle course cycliste de la planète . Si ces « boulots » saisonniers et itinérants, dans l'ombre des champions, sont épuisants, ils sont aussi mieux rémunérés qu'à poste égal ailleurs.

Festival Off d'Avignon : l'histoire oubliée de ces Françaises qui ont fait le Débarquement
Festival Off d'Avignon : l'histoire oubliée de ces Françaises qui ont fait le Débarquement

Le Parisien

time11-07-2025

  • Politics
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Festival Off d'Avignon : l'histoire oubliée de ces Françaises qui ont fait le Débarquement

Le 1er août 1944, la 2e division blindée du général Leclerc foule le sable normand à Utah Beach et mène plusieurs percées cruciales jusqu'à Paris. Ils sont quelque 16 000 hommes et une quarantaine de femmes à débarquer . Parmi elles, les Rochambelles, une unité d'ambulancières françaises, engagées volontaires, formée à l'initiative de la riche Américaine Florence Conrad. Estimant que les femmes devaient prendre leur part, celle-ci achète 19 ambulances pour les 14 femmes qui s'engagent auprès d'elle, à New York. À force d'obstination et de volonté, ces Françaises rallient Rabah (Maroc) et rejoignent l'armée française qu'elles entendent intégrer. Ce sera la 2e DB, l'Angleterre, puis l'Hexagone et la campagne de l'Est… Jusqu'ici, il n'y avait pas de femmes sur le front côté français.

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