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DIRECT. Mondiaux de natation : suivez la dernière journée avec les finales de Marchand et du relais 4x100m 4 nages
DIRECT. Mondiaux de natation : suivez la dernière journée avec les finales de Marchand et du relais 4x100m 4 nages

Le Parisien

time03-08-2025

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DIRECT. Mondiaux de natation : suivez la dernière journée avec les finales de Marchand et du relais 4x100m 4 nages

DIRECT. Mondiaux de natation : suivez la dernière journée avec les finales de Marchand et du relais 4x100m 4 nages Ce dimanche 3 août, dernière journée des Mondiaux de natation à Singapour. Côté Français , Damien Joly est en lice en finale du 1500 m nage libre, tout comme Léon Marchand qui disputera les finales du 400 m 4 nages et du relais 4 × 100 m 4 nages avec les Bleus.

Mondiaux de natation : en attendant Léon Marchand, les Bleus en finale du 4x100m 4 nages
Mondiaux de natation : en attendant Léon Marchand, les Bleus en finale du 4x100m 4 nages

Le Figaro

time03-08-2025

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Mondiaux de natation : en attendant Léon Marchand, les Bleus en finale du 4x100m 4 nages

Le relais français a signé le 7e temps des séries grâce, notamment, à un gros finish de Maxime Grousset (3'32''35). En finale, avec Léon Marchand, les Bleus viseront le podium. Le relais français sera bien au départ, ce dimanche vers 14h40 (heure française), de la finale du 4x100m 4 nages. Qu'importe, donc, ce 7e chrono, seulement, en séries, quand la Chine championne olympique a, elle, pris la porte, de même que l'Australie. Il suffisait de voir la joie des Sud-Coréens, derniers qualifiés, pour comprendre que l'important, comme aiment à le dire tous les nageurs, réside dans le fait d'avoir un couloir en finale. Ce que les Bleus ont obtenu, non sans mal, avec un dernier 100m crawl de Maxime Grousset impressionnant, le double champion du monde du 50 et du 100m papillon ramenant les siens d'une 6e place inquiétante sur la série à une 3e plus en adéquation avec leurs ambitions. Reste désormais à voir qui partira pour la finale, et sur quelle nage. Seul Yohann Ndoye-Brouard est partant certain sur le dos. Si Léon Marchand se sent capable de doubler finale du 400m 4 nages et finale du relais en l'espace d'une petite demi-heure, la brasse lui reviendra, Jérémie Delbois paraissant encore trop tendre à ce niveau. Ce qu'a confirmé Denis Auguin, le DTN de la natation hexagonale, en lâchant : «Si on veut viser la médaille, on est trop juste en brasse et il faut forcément tenter quelque chose. Ce que nous allons faire, et nous assumerons quoi qu'il se passe. Mais Léon peut faire les deux.» Publicité Probablement Grousset en papillon et Le Goff en crawl Ensuite, il y avait deux possibilités : après sa performance de la matinée, Grousset pouvait rester sur ce rôle de finisseur et garder le crawl, ce qui maintiendrait Clément Secchi en papillon. Ou alors le staff hexagonal décidait de décaler Grousset sur sa nage de prédilection, ce qui propulserait Yann Le Goff, médaillé de bronze samedi avec le relais 4x100m nage libre mixte, dans le rôle du dernier relayeur. Une dernière éventualité qui tient nettement la corde, à en croire Auguin, même si tout peut encore évoluer d'ici l'instant T. Yohann Ndoye-Brouard (53''41 sur le 100m dos) : «J'ai voulu contrôler les adversaires qui étaient à côté de moi mais quand j'ai vu à l'arrivée que l'Italien était loin devant, je sais qu'il faudra faire mieux ce soir en finale. Heureusement, derrière, les gars se sont donnés et sur cette finale, je pense qu'il y a vraiment quelque chose à faire. Les champions olympiques sont dehors, donc il y a de la place.» Jérémie Delbois (1'00''92 sur le 100m brasse) : «C'était une très belle expérience pour moi de vivre cela avec que des gars médaillés olympiques. Franchement, j'étais motivé, et peut-être un peu trop crispé du coup. J'ai senti que je suis passé au travers sur le premier 50 mais j'ai donné le maximum au retour. J'ai pris beaucoup de plaisir.» Il y a une super dynamique dans cette équipe de France. Clément Secchi Clément Secchi (50''91 sur le 100m papillon) : «Je me suis régalé. J'adore le relais avec les copains. Je suis parti un peu fort sur le premier 50 en 23''1, donc forcément je le paie au retour. Mais je n'ai jamais nagé aussi vite que ça, donc je suis content. J'ai donné le relais à Maxime, double champion du monde, rien que ça. C'était une super course. On va voir ce que décide le staff pour la finale. On a une sacrée équipe, avec plusieurs stars et plein de gars autour qui montent, qui vont chercher des demies et des finales mondiales. Il y a une super dynamique dans cette équipe de France.» Maxime Grousset (47''11 sur le 100m crawl) : «C'est cool, on passe, ce qui était le principal. D'autant plus quand on voit que des nations comme l'Australie et la Chine ont pris la porte. Les Australiens n'avaient pas un énorme relais. En revanche, que les Chinois ne soient plus là, cela nous fait du bien (sourire). Je me suis senti bien. J'ai fait plutôt une belle course, avec un bon chrono. J'ai eu mal à la fin. Mais après avoir ressenti autant d'émotion hier, je suis content d'avoir vécu cela aujourd'hui avec l'équipe.»

Maxime Grousset, forfait sur 50 m, gère sa série du 100 m papillon aux Mondiaux
Maxime Grousset, forfait sur 50 m, gère sa série du 100 m papillon aux Mondiaux

L'Équipe

time01-08-2025

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Maxime Grousset, forfait sur 50 m, gère sa série du 100 m papillon aux Mondiaux

Lors de cette 6e journée des Championnats du monde, Maxime Grousset et Clément Secchi se sont qualifiés, vendredi matin, pour les demi-finales du 100 m papillon. Le relais du 4x200 m a décroché sa place en finale et attend désormais l'arrivée de Léon Marchand dans le quatuor. Après l'effervescence de la veille avec Léon Marchand et la finale du 100 m, la matinée de vendredi a encore été très dense. Juste avant d'entrer en lice, maxime Grousset a annoncé sa décision (logique) de zapper le 50 m. « C'est tout simplement parce que je me sens mieux en pap autant profiter à 100 % de ce que je peux faire en pap », a-t-il commenté. Sur 100 m pap, il possède la meilleure performance mondiale de la saison et peut espérer réaliser le doublé 50-100 pap. Même si le Néo-Calédonien a avoué « avoir un peu ruminé » jeudi soir sa 7e place sur la course reine, il a géré sa série en réalisant le 11e chrono en 51''36. « C'était une course facile, correcte, je n'allais pas tout mettre dès ce matin, a-t-il expliqué. Je suis un peu loin sur les murs, il y a plein de choses à revoir. Je ne cherchais que de la fluidité et de la facilité ce matin. » Dans la même série, Clément Secchi a accroché sa place en demi-finales en réalisant le 16e chrono en 51''58. « J'ai eu chaud, la qualif pour un centième. C'est très serré, le 8e est à deux dixièmes. On va tout faire pour entrer en finale, j'y crois, a estimé le Marseillais. L'attente était longue, je suis plutôt content, c'est mon meilleur temps le matin. On a fait le taf. » Comme le relais 4x200 m composé de Roman Fuchs, Rafael Fente-Damers, Corentin Pouillart et Yann Le Goff. Le quatuor a pris la 8e place en 7'06''88 et offre la possibilité à Léon Marchand d'entrer en piste ce soir pour la finale. Même si les chances de médaille sont faibles, le quadruple champion olympique a envie de nager avec les copains. « On est outsiders, c'est bien, souligne Yann Le Goff. Tout reste à faire et l'objectif principal était d'accéder en finale. Maintenant on va s'amuser, essayer d'aller chercher quelque chose de beau. » En revanche, l'aventure s'arrête pour Nikita Baez. Le Lyonnais qui vit ses premiers Mondiaux n'a pas passé le cut des séries sur 50 m avec le 22e temps (22''06) : « Je suis parti avec zéro expérience aux Championnats du monde, je fais mon 2e meilleur temps, explique-t-il. Tout n'est pas à jeter mais ça a été assez challengeant nerveusement et émotionnellement durant ces dernières semaines. » Le Serbe Andrej Barna s'est montré le plus rapide en 21''46 devant Jack Alexy et Egor Kornev (21''52). Le champion olympique Cameron McEvoy a maîtrisé en 21''53. Ça ne passe pas pour Kyle Chalmers, 20e en 22''06. Sur 200 m dos, Pauline Mahieu a vécu une grosse désillusion. Au bord des larmes, la nageuse de Canet ne s'expliquait pas une telle déconvenue (24e en 2'12''33) : « C'était super dur. Je n'ai pas réussi à relancer, la fin de course a été interminable. J'avais mal dans tout le corps dès le 100 m, je savais que ce serait très compliqué ce matin mais je pensais que ça passerait sauf que là j'étais vraiment à l'ouest. » Le 800 m avec le très attendu duel Ledecky/McIntosh n'a pas délivré de grand message. Les favorites sont là. Katie Ledecky s'est baladée en 8'14''62 et Summer McIntosh, dans la série précédente, a déroulé en 8'19''88. La surprise est venue de la présence d'Anastasiia Kirpichnikova qui avait annoncé après le 1500 m qu'elle allait zapper le 800 m. Elle a changé d'avis pour ne pas avoir de regret mais termine 11e en 8'28''97. « Si j'ai une chance, je veux toujours essayer. Si je n'avais pas essayé, j'aurais pensé tous les jours que j'aurais pu faire quelque chose. Là, je suis sûre (sourire). Pas de regret. Ce n'est pas ma compétition, je suis en vacances. A Jakarta (stage de l'équipe de France), je nageais très vite, je pensais faire mes meilleurs temps ici et non. Dans ma tête, c'était bien mais avec le niveau des filles, ce n'est pas bon. »

Aux Mondiaux de Singapour, Léon Marchand vise toujours plus haut
Aux Mondiaux de Singapour, Léon Marchand vise toujours plus haut

24 Heures

time30-07-2025

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Aux Mondiaux de Singapour, Léon Marchand vise toujours plus haut

Le quadruple champion olympique a entamé ce mercredi ses championnats du monde. Malgré un programme allégé, le nageur français a en point de mire le record du monde du 200 m 4 nages. Publié aujourd'hui à 11h42 Le nageur français Léon Marchand est aligné dans le 200 m 4 nages et le 400 m 4 nages de ces Mondiaux de natation à Singapour. AFP Engagé aux Mondiaux de Singapour avec un programme allégé , Léon Marchand espère y démontrer dès ce mercredi les progrès réalisés cette saison sur le dos et le crawl, deux domaines qui doivent lui permettre de viser encore plus haut. Cette semaine dans la cité-état, le Français a décidé de s'aligner uniquement sur deux courses: les 200 et 400 m quatre nages. Un menu bien plus modeste que celui de l'été dernier à Paris, où il avait été l'auteur d'une semaine complètement dingue, conclue avec quatre titres olympiques individuels . «C'était le bon moment pour alléger un peu après les Jeux et me relancer tranquillement», a-t-il expliqué aux médias du monde entier samedi, à la veille du début de la compétition planétaire. «J'essaie de rester calme. L'approche va être un peu différente cette fois (…), ça me permettra de respirer un peu.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Un programme allégé à Singapour Pour son entrée en lice dans la compétition très tôt ce mercredi matin (5 h 00, heure suisse), le nageur français a signé le meilleur temps des séries du 200 m 4 nages (1 min 57 sec 63). Il a devancé l'Américain Shaine Casas, son camarade d'entraînement à l'université d'Austin, et le Japonais Kosuke Makino. Il s'élancera en demi-finales vers 13 h 00 mercredi. Le Toulousain devrait plonger jeudi à 13 h 23 heure suisse pour la grande finale du 200 m 4 nages. Le départ des séries de la seconde discipline disputée par le Français, le 400 m 4 nages, sera donné très tôt dimanche (4 h 20 du matin, heure suisse). Il devrait sans grande difficulté se qualifier et pouvoir nager la finale prévue à 20 h 00 à Singapour (14 h 00 heure suisse). À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Chatouillera-t-il le record de Lochte? Le programme a beau être plus léger, les ambitions restent élevées pour le Toulousain qui, après celui du 400 m quatre nages, rêve de s'emparer du record du monde de la distance inférieure. «Bien sûr que j'ai envie de battre le record du 200 m 4 nages. Je ne sais pas si ce sera dans quelques jours ou dans quelques années, mais ma curiosité me pousse à disputer ces courses, à chercher à aller plus vite», assume-t-il. Car à Paris, Marchand avait frôlé la vieille marque de l'Américain Ryan Lochte (1 min 54 sec 00), échouant pour seulement 6 centièmes. Le quadruple champion olympique s'est envolé à l'autre bout du monde pour améliorer ses performances en crawl et en dos. Il a également fait des progrès en brasse et en papillon. AFP Analyse faite de sa course, il en avait alors conclu que la dernière longueur lui avait coûté le record. «Ce qui a fait la différence, c'était mon crawl», a-t-il estimé. «Alors j'ai vraiment travaillé dessus.» Pour améliorer ses performances en crawl, le nageur polyvalent s'est donc envolé en début d'année pour l'Australie, où il s'est nourri des conseils de Dean Boxall, illustre coach de natation connu pour son expertise de la discipline. «Plus puissant» et «plus stable» Revenu aux États-Unis, et malgré des blessures qui ont impacté sa reprise, le Français a pu constater ses progrès en la matière. «Aujourd'hui, je suis plus puissant, plus stable, je prends plus d'eau, ma tête tourne moins», estime-t-il. «J'espère pouvoir utiliser tout ça dans mon 200 m 4 nages.» Léon Marchand analyse sa progression et estime qu'il est désormais «plus puissant» et «plus stable» en crawl. AFP Mais outre le crawl, le quadruple champion olympique a également identifié le dos comme point faible relatif. «Léon continue d'évoluer», s'est félicité son entraîneur toulousain Nicolas Castel. «Ce sont des choses que j'ai constatées assez vite lors du stage de préparation à Jakarta.» «Il y avait une évolution technique. En dos, je trouve qu'il a un bateau plus solide, une tête davantage fixée, ce qui lui donne un meilleur alignement, une meilleure efficacité. Et on retrouve ces qualités-là en crawl», a analysé Castel, qui le couve depuis l'enfance. Des progrès dans toutes les disciplines «Je peux dire qu'il a progressé sur ces deux nages, mais il ne s'est pas contenté de travailler ces deux-là: il a aussi continué à travailler le papillon et la brasse», insiste-t-il. À 23 ans, le héros de Jeux de Paris possède de toute façon encore une importante marge de progression, estime son entraîneur. «Paris, ce n'est pas son apogée», affirme-t-il. «Il peut encore progresser sur plein de petites choses: des transitions, des reprises de nage… C'est très fin aujourd'hui, mais il continue de gagner en puissance, en vitesse. Il se perfectionne. Il reste curieux, il a envie de tester des nouveautés, d'explorer d'autres pistes.» Sur Léon Marchand Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Mathilde Schott est journaliste au sein de la cellule numérique de Tamedia. Elle a obtenu son Master à l'Académie du journalisme et des médias (AJM) de l'Université de Neuchâtel en 2024. Elle a auparavant travaillé pour Keystone-ATS, la RTS, Blick et le Quotidien Jurassien. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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