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21 hours ago
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Un bracelet solidaire Louis Vuitton, une exposition florale Dior, le dernier sac Nanushka... L'Impératif Madame
Retour sur ce que la rédaction veut impérativement partager cette semaine. Un bracelet pour la bonne cause Le bracelet Silver Lockit Louis Vuitton. Louis Vuitton Depuis plus de 9 ans, Louis Vuitton s'engage aux côtés de l'UNICEF afin de promouvoir la protection des droits des enfants à travers le monde. Une union solidaire qui, cette saison, invite le rappeur australien Felix Lee du groupe Stray Kids, également ambassadeur de bonne volonté UNICEF, à réinterpréter le Silver Lockit dans une nouvelle collection exclusive. Résultat : une boucle d'oreille, un bracelet chaîne ou cordon et un pendentif se présentent avec un cadenas miniature en argent recyclé certifié gravé d'un cœur bleu gravé du mot « Dream » (« Rêve », en français) juste à côté du logo de la maison de luxe. Le bracelet cordon, lui, est disponible en quatre coloris : jaune, bleu, rose et noir. Pour chaque achat d'un bracelet Silver Lockit, 100 dollars seront reversés à l'UNICEF, ainsi que 200 dollars pour l'achat de chaque boucle d'oreille, bracelet en argent ou pendentif Silver Lockit. A.B. À découvrir sur Le jardin secret Dior L'exposition Dior, Jardins Enchanteurs. Musée Christian Dior Publicité Le musée Christian Dior de Granville (50400) célèbre l'amour du couturier pour la nature, avec sa nouvelle exposition : Dior, Jardins Enchanteurs. Installée au sein du parc de la villa Les Rhumbs (à Granville), dans laquelle Christian Dior a grandi, cette exposition met en lumière l'inspiration florale qui a nourri son imagination dès ses débuts. «Ayant hérité de ma mère la passion des fleurs, je me plaisais surtout dans la compagnie des plantes et des jardiniers», écrivait-il. À travers des archives, des silhouettes haute couture et des parfums emblématiques comme Diorissimo ou Miss Dior, les visiteurs découvrent comment cette passion pour les jardins s'est perpétuée à travers ses pièces et a été transmise en héritage aux successeurs de la maison. Une ode poétique à la nature à admirer du 12 avril au 2 novembre 2025. E.M À découvrir du 12 avril au 2 novembre 2025 à la villa Les Rhumbs de Granville. Moncler prend de la hauteur La nouvelle collection Moncler. Moncler Moncler investit les hauteurs d'un gratte-ciel new-yorkais avec la troisième édition de Studio Ascenti, un concept expérientiel lancé par la marque française en collaboration avec Highsnobiety (un média numérique de streetwear). À cette occasion, Moncler dévoile sa collection de chaussures automne-hiver 2025 dans un décor panoramique, entre ciel et design. Pensées pour conjuguer technicité et esthétique urbaine, les nouvelles silhouettes sont présentées : la botte Altive, les sneakers Trailgrip LP et Trailgrip Apex2. L'expérience immersive propose aux invités d'essayer les modèles dans un décor inspiré des sommets, grâce à des zones de test scénographiées. L'événement s'inscrit dans une démarche plus large d'exploration créative, en invitant notamment l'artiste Jessy Nite à animer un atelier de tissage de paracord, matière utilisée pour créer des ornements à fixer sur les chaussures. Après Milan et Paris, Moncler affirme son identité entre performance, style et innovation au cœur de la grosse pomme. E.M Nanushka dévoile un nouveau sac pour ses 20 ans Le sac Sandi de Nanushka. Nanushka À l'occasion de son 20e anniversaire, la maison hongroise Nanushka présente le Sandi, un sac pensé comme une pièce intemporelle. Son nom, diminutif de la fondatrice et directrice artistique Sandra Sándor, reflète l'identité de la marque : un équilibre entre fonctionnalité, lignes contemporaines et artisanat de qualité. Fabriqué en Italie, le Sandi se décline en deux versions : Symbol, brodé à la main des motifs Kopjafa inspirés de l'artisanat hongrois, et Lock, plus épuré, orné d'une métallerie dorée et d'une poignée rigide. Les deux modèles partagent une silhouette structurée, à la ligne triangulaire, et s'accompagnent d'une bandoulière ajustable pour varier les portés. Présenté en avant-première lors du défilé printemps-été 2025 à New York, le nouveau sac incarne la volonté de Nanushka de proposer des pièces durables, fidèles à son éthique. Un nouveau chapitre pour la ligne maroquinerie de la maison. E.M À découvrir sur Camperlab fait vibrer Paris Le premier défilé Camperlab. Camperlab Publicité Être une marque de mode et défiler pour la toute première fois est toujours un moment à marquer d'une pierre blanche. Plus encore lorsqu'on est une entreprise spécialisée dans les chaussures. À l'instar de Camperlab qui, dans le cadre de la dernière Fashion Week masculine de Paris printemps-été 2026, s'est offert son tout premier show sur l'avenue de la République. Quelques mois seulement après avoir dévoilé sa première boutique dans la capitale (au cœur du quartier très animé du Marais), la marque lancée il y a 10 ans et pilotée par directeur artistique Achilles Ion Gabriel a misé sur un défilé dystopique entre jeux d'ombre et de lumière. Au programme : une collection unisexe façonnée autour de costumes tartan, de denim imprimé, d'ensembles en cuir audacieux et, pour la première fois, l'apparition d'un nouveau logo et monogramme du label. Comme pour marquer encore plus l'évolution de Camperlab, plus prête que jamais à conquérir Paris. A.B. À découvrir sur Vers une mode éthique et au-delà… Un accord signé en faveur de la mode éthique. PR YOU x PA-TATA-TATA «Si nous voulons que la mode avance et soit meilleure, il faut travailler ensemble et trouver des manières de faire coïncider nos différences culturelles», s'est exprimé Juan Priou, CEO de PR YOU, agence spécialisée dans le développement des jeunes designers et dans la mode éthique et inclusive. Le 26 juin, PR YOU a en effet signé un accord sous forme de mémorandum d'entente avec l'agence créative Singapourienne PA-TATA-TATA. Le tout avec la présence de Foo Teow Lee, ambassadrice de Singapour à Paris. L'idée de ce projet étant surtout d'officialiser « les relations culturelles en matière de mode et d'accessoire, et les élever au rang d'intérêt diplomatique.» De cet accord naissent également deux partenariats : l'un avec PR YOU sur les relations publiques internationales, «se concentrant sur le storytelling des marques émergentes asiatiques et leur fonctionnement éco-responsable», l'autre avec le studio créatif et slow fashion Algieri Paris afin de créer des activations immersives et sur-mesure. De quoi faire perdurer l'amitié Franco-Singapourienne, tout en défendant une mode toujours plus respectueuse et ouverte à tous. A.B. Moynat ouvre une nouvelle boutique Avenue Montaigne La nouvelle boutique Moynat. Moynat Moynat, l'un des plus anciens malletiers français, a de quoi bomber le torse puisqu'il inaugure cette saison une nouvelle boutique au cœur de Paris. Et plus précisément au sein d'une des rues les plus prestigieuses de la capitale : l'avenue Montaigne. Pour l'occasion, la maison fondée en 1849 revisite son emblématique cabas en toile de la collection M dans une nouvelle version, plus moderne et audacieuse. Le tout avec une installation exclusive imaginée par l'artiste londonien Michael Samuels, «offrant une interprétation contemporaine de la relation durable de Moynat avec le mouvement et la forme», précise un communiqué. Un projet qui renforce un peu plus la présence de la marque à Paris, déjà présente dans d'autres adresses de prestige : la rue Saint-Honoré, Rive Gauche et les Galeries Lafayette. V.H.D.F. La boutique Moynat ouvre ses portes le 27 juin au 34, avenue Montaigne à Paris. Firn la nouvelle marque de cosmétique engagée La gamme de cosmétique Firn. Firn Publicité Sacha Bostoni, le co-fondateur de Jimmy Fairly, la marque de lunettes au succès incontesté, se lance dans l'aventure de la beauté et plus particulièrement du soin. Et s'associe pour ce projet à Clémence de Stabernath et Raphaele Four. Avec Firn, du nom de la couche de neige recristallisée sur les glaciers, le trio entend bousculer les codes de la cosmétique en proposant un complexe digne des grands noms de la cosmétique mais à prix accessible : «Firn offre l'excellence et le progrès à un prix juste.» On trouvera notamment une gamme de sérums à partir de 25 euros et la Crème régénérante multi-corrective visage sera vendu 55 euros. Pour réussir ce pari, il a en effet travaillé avec le professeur Fred Zülli, pionnier de la recherche scientifique mondiale sur les cellules souches végétales. Ce dernier développe pour la marque le Complexe STM30 (Thirty Days Stem Cell Complex) avec pour objectif de booster le renouvellement des cellules de la peau. «Ces dernières vont augmenter de 75% leur production de nouvelles cellules au contact de cellules souches alpines ». Avec à la clé des résultats cliniques visibles sur les rides, les cernes et la déshydratation. Mais Firn veut aussi s'engager pour la planète, en préservant une nature précieuse et rare optimisée in vitro. Et pour aller jusqu'au bout de ses convictions, le projet 1 % For Farming sanctuarisera un pour cent du chiffre d'affaires de la marque au profit de fournisseurs d'ingrédients naturels de la filière cosmétique. Une marque à découvrir dès aujourd'hui sur le pop-up estival de Oh My Cream. Et dès la rentrée dans les deux points de vente parisiens (dans le Marais et rue Montorgueil) qui devraient, eux aussi, bousculer les codes de la cosmétique. J.F. À découvrir sur


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a day ago
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«Labubu», «Sonny Angel», «Dark Dudes»... Pourquoi veut-on toutes d'affreux grigris sur nos sacs ?
Le phénomène se répète chaque décennie sans s'essouffler : décorer son sac à main de grigris et bijoux fantaisie qui frôlent parfois le mauvais goût. Passage en revue d'une tendance qui perdure. À chaque génération sa babiole attitrée. Peu importe l'âge, on se souvient forcément d'une tendance de breloques de sacs qui a marqué notre jeunesse. Des animaux aux figurines en passant par les pins, tout est prétexte à la personnalisation de son sac à main. Aujourd'hui, même les marques de luxe investissent ce terrain, tous les styles sont permis et ce, sans modération. La papesse en la matière reste Jane Birkin. Son emblématique sac Birkin, qui sera mis aux enchères le 10 juillet prochain, était orné de perles, de montres et même de photos. C'est l'actrice et chanteuse qui inspire le retour de ce phénomène et son écho viral sur Tiktok, où des vidéos de customisation de sacs cumulent des millions de vues avec le hashtag #JaneBirkinFyingBag. À travers celles-ci, les utilisateurs personnalisent leurs sacs Birkin avec une multitude de breloques parfois signées Hermès. Publicité Car les maisons de luxe ont embrassé le mouvement et présentent à leur tour, divers modèles de porte-clé : animaux, fruits ou bijoux. Hermès propose ainsi des cadenas ou des chevaux en cuir, Louis Vuitton préfère les homards et les crabes surdimensionnés ou les cerises pailletées et chez Gucci, ce sont les chiens saucisse au quadrillage de la griffe qui retiennent notre attention. De quoi s'offrir un petit bout de luxe pour décorer son sac, à défaut de pouvoir s'offrir un sac de luxe. Plus les charms sont décalés, colorés ou conséquents, plus on est à la mode. Mais les foulards de soies plus classiques sont aussi tolérés, enroulés de façon faussement négligée autour des anses ou en le laissant pendre d'un côté. Ce geste, que l'on voit depuis plus de soixante ans revient en force cette saison, notamment chez Diesel, Celine ou Casablanca. Des créatures en tout genre Dans un autre registre, de nombreuses créatures, plus ou moins attendrissantes, se sont également emparées des sacs à main à travers le temps. Dans les années 1980 et 1990, il y a eu le petit singe Kipling : ce gorille aux longs bras sortit en 1987, qui pouvait sucer son pouce tout en étant pendu à un sac. Au début des années 2000, c'étaient les petites souris Diddl en porte-clé qui débarquaient dans les cours de récré et submergeaient les sacs des plus jeunes. Dix ans plus tard, alors que le phénomène gothique Twilight fait un carton au cinéma, ce sont les Dark Dudes, ces mini-peluches sombres, voire glauques, qui prennent d'assaut les sacs des adolescents. Puis, les figurines de personnages célèbres Funko Pop (phénomène 2010-2015), les Sonny Angel, ces bébés nus aux ailes d'anges (phénomène depuis 2020) ou encore les Jelly Cat, des peluches en forme de viennoiseries ou d'animaux. En 2025, s'impose un autre spécimen sur nos sacs : les Labubu. Adoptés par diverses célébrités, à l'instar de Rihanna, Dua Lipa ou Emma Roberts, ces créatures poilues aux dents pointues et sourires espiègles sont devenues la nouvelle obsession de la Génération Z. Son succès est désormais planétaire et pas plus tard que ce 13 juin, elle est carrément apparue sur un tapis rouge. La chanteuse Cher, à New York pour le Festival du film Tribeca s'est présentée avec un Labubu bleu pendu à son sac à main. Des Labubu sur un sac Miu Miu. Raimonda Kulikauskiene / Getty Images Un contexte angoissant Le contexte politique n'est pas étranger à cette lubie pour les gadgets. Vincent Grégoire, directeur Consumer Trends & Insights du bureau de tendances Nelly Rodi, nous explique y voir deux raisons principales. «Avec ces objets, il y a un besoin de se rassurer, de porter bonheur, d'attirer l'amour et la chance plus largement. Mais ils permettent aussi de se différencier des autres». En effet, à l'heure où les gens se ressemblent, les sacs aussi. Et ces amulettes permettent à leurs propriétaires de devenir singuliers, d'affirmer une autre personnalité. Publicité Lors du CES de Las Vegas, (salon des innovations technologiques électroniques) une entreprise du nom de Yukaï Engineering a présenté un petit robot poilu baptisé Mirumi. Ce dernier est destiné à s'accrocher au sac à main, mais pas seulement. «Il est le nouveau Tamagotchi, il parle et rassure son propriétaire, devenant un compagnon presque vivant», affirme l'expert. Pourtant, d'apparence, il ne représente pas ce qu'il y a de plus rassurant (tout comme le Labubu...) et là aussi, cela s'explique. «La Gen Z est enfermée dans des algorithmes de safe place et elle désire renouer avec sa part d'ombre, en regardant des films d'horreur et en jouant à se faire peur, [...] il y a un retour de la tendance du gore», analyse Vincent Grégoire. Les conséquences écologiques Mais certains de ces ornements très prisés ne sont pas si innocents. Ils représentent un bon gâchis écologique en raison des nombreux emballages utilisés. Parmi eux, les Sonny Angels qui se trouvent dans des sachets en plastique, eux-mêmes glissés dans des boîtes cartonnées. Idem pour les Labubu, emballés de cette même façon. Ils sont par ailleurs vendus dans des «blind boxes», ce qui veut dire qu'ils ne sont pas visibles depuis l'extérieur. Une façon pour les marques d'inciter à la surconsommation puisque les aficionados n'ayant pas eu le modèle souhaité n'hésitent pas à en racheter. Le succès est d'ailleurs tel que ces deux marques sont constamment en rupture de stocks, ce qui représente des millions d'emballages partout dans le monde. Si les grigris changent, la manie de décorer et personnaliser son sac continue, elle, à traverser les époques.