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Quatre suggestions d'œuvres sur la nature
Quatre suggestions d'œuvres sur la nature

La Presse

time20-07-2025

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Quatre suggestions d'œuvres sur la nature

Les beaux jours se prêtent à merveille à la détente, mais pas besoin de mettre son cerveau en vacances pour autant. Voici quatre suggestions de nos chroniqueurs pour se divertir et réfléchir sous le soleil, un thème à la fois. Cette semaine, la nature. Dis-moi pourquoi ces choses sont si belles On connaît la passion pour les plantes du frère Marie-Victorin, l'un des plus grands scientifiques de l'histoire du Québec. Dans ce film, la cinéaste Lyne Charlebois s'intéresse à un autre pan de la nature vers lequel l'auteur de la Flore laurentienne a tourné sa curiosité et son esprit analytique : les femmes. Et une femme en particulier, la botaniste (trop peu connue) Marcelle Gauvreau. Basé sur leur correspondance, le film montre l'intolérable montée du désir jamais assouvi entre ces deux êtres à qui on a juste envie de dire « mais allez donc faire l'amour, bon Dieu ! ». J'y ai vu un hommage tant à la science et à la beauté qu'aux relations humaines. Philippe Mercure, La Presse Dis-moi pourquoi ces choses sont si belles, de Lyne Charlebois, mettant en vedette Mylène Mackay et Alexandre Goyette. Offert sur Crave (abonnement requis) et à la location et à l'achat sur AppleTV et Amazon Prime. Animaux du chagrin IMAGE TIRÉE DU SITE DES LIBRAIRES Animaux du chagrin, Maïté Snauwaert, Boréal, collection Liberté grande, 2025, 224 pages Pourquoi les animaux nous bouleversent-ils et pour quelle raison avons-nous tant de pudeur à en parler ? Peut-être parce que nous n'osons pas admettre qu'ils nous apprennent tant sur la vie que sur la mort, ces « derniers émissaires de l'étrangeté du monde » selon l'auteure. Animaux de ferme, animaux sauvages, animaux domestiques, Maïté Snauwaert ratisse large dans Animaux du chagrin, un petit bijou de réflexions qui se déclinent en une série de textes où la profondeur se mêle à l'émotion. Une écriture fine dont la teneur philosophique vous fera voir le vivant « non humain » autrement. Chantal Guy, La Presse Animaux du chagrin, Maïté Snauwaert, Boréal, collection Liberté grande, 2025, 224 pages Comme le feu Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 2:25 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Paul Ahmarani incarne un scénariste qui retrouve son vieil ami réalisateur (Arieh Worthalter) dans sa pourvoirie avec sa fille, son fils et leur ami. Les tensions entre ces deux ex-collaborateurs, l'un névrosé, l'autre à l'ego surdimensionné, remontent vite à la surface, alors que les adolescents vivent leurs propres intrigues sentimentales. Dans un registre plus tragicomique que ses précédents longs métrages, le Québécois Philippe Lesage (Les démons, Genèse) signe son film le plus ambitieux, le plus abouti et le plus accessible, primé en 2024 au Festival de Berlin et offert sur la plateforme canadienne Crave depuis le 5 juin. Marc Cassivi, La Presse Comme le feu, de Philippe Lesage, mettant en vedette Paul Ahmarani, Noah Parker, Arieh Worthalter. Offert sur la plateforme Crave et à la location et à l'achat sur AppleTV et Amazon Prime Video. La 6e extinction – Comment l'homme détruit la vie IMAGE TIRÉE DU SITE DES LIBRAIRES La 6e extinction – Comment l'homme détruit la vie C'est un véritable électrochoc, ce livre, qui vient d'avoir 10 ans et n'a pas pris une ride. Il prend la forme d'un long reportage (divisé en 13 chapitres, qui racontent chacun « le destin d'une espèce ») pour lequel la journaliste Elizabeth Kolbert a parcouru le monde afin de bien saisir l'ampleur de la catastrophe à laquelle l'humanité fait face. Le sujet de l'extinction potentielle de l'humanité est « morbide », reconnaît l'essayiste. Mais son livre est tellement bien conçu qu'il se révèle, par-dessus tout, éclairant. C'est le genre de livre, pour paraphraser Franz Kafka, qui nous réveille d'un coup de poing sur le crâne. Et c'est ce dont nous avons besoin. Alexandre Sirois, La Presse La 6e extinction – Comment l'homme détruit la vie, Elizabeth Kolbert, Guy Saint-Jean Éditeur, 400 pages

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