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« Quatre ans de plus » : Donald Trump montre à Macron et Zelensky une casquette qui sous-entend qu'il va se représenter
« Quatre ans de plus » : Donald Trump montre à Macron et Zelensky une casquette qui sous-entend qu'il va se représenter

Le Parisien

time2 days ago

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  • Le Parisien

« Quatre ans de plus » : Donald Trump montre à Macron et Zelensky une casquette qui sous-entend qu'il va se représenter

Une photo historique en marge du sommet historique. Après les discussions entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et la délégation européenne, ce lundi, une photo publiée sur X par une conseillère du président américain, Margo Martin, montre le milliardaire en train de tenir une casquette « quatre ans de plus » devant les dirigeants ukrainien et français. President @realDonaldTrump showing President Zelenskyy and President Macron his 4 More Years hat 🤣🇺🇸 — Margo Martin (@MargoMartin47) August 19, 2025 Un slogan qui laisse entendre la possibilité pour Donald Trump de se représenter lors des prochaines élections en 2028. Pourtant la Constitution américaine l'interdit. Le 22e amendement de la Constitution souligne que « Nul ne pourra être élu à la présidence plus de deux fois ». Malgré ce texte clair, l'occupant de la Maison Blanche n'hésite pas, depuis sa réélection en 2024, à faire planer le doute à ce sujet. Se représenter en 2028 ? « Probablement pas » avait-il répondu, sur la chaîne américaine CNBC le 5 août, tout en précisant « J'aimerais me présenter. Je n'ai jamais eu d'aussi bons résultats dans les sondages ». « Tout le monde veut que je me présente » « J'ai 28 points d'avance sur tous les autres. Tout le monde veut que je me présente » avait-il aussi dit en souriant devant ses casquettes, le 8 août, au président Azerbaïdjan Ilham Aliyev venu, à la Maison Blanche, signer un accord de paix avec l'Arménie. Ce lundi, lors de la rencontre avec Volodymyr Zelensky, le président américain soulignait également avec intérêt que le président ukrainien avait reporté les élections de son pays en raison de la guerre avec la Russie. « Voyons voir : dans trois ans et demi, vous voulez dire que si nous (les États-Unis) entrons en guerre avec quelqu'un, il n'y aura plus d'élections » déclarait-il avant d'ajouter « Je me demande ce que les fausses informations diraient à ce sujet ». Pour le moment, le président américain soutient que le vice-président actuel JD Vance est « très probablement » son successeur comme candidat républicain pour les élections de 2028. Pour rappel si Donald Trump souhaite briguer un troisième mandat, il faudrait une révision de la Constitution, soit l'adoption des deux tiers de la Chambre des représentants et du Sénat ainsi que les trois quarts des assemblées législatives des États.

Faut-il dérouler le tapis rouge à Poutine?
Faut-il dérouler le tapis rouge à Poutine?

24 Heures

time2 days ago

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Faut-il dérouler le tapis rouge à Poutine?

Accueil | Opinion | Éditorial | Opinion Alors que la Suisse a proposé d'accueillir une rencontre Poutine-Zelensky à Genève, on est en droit de se demander si le président russe est le bienvenu dans notre pays. Éditorial Publié aujourd'hui à 19h12 Alors que Donald Trump est à l'initiative pour organiser une conférence pour la paix en Ukraine entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, la Suisse a très vite proposé d'offrir ses bons offices. Une idée d'abord suggérée par Emmanuel Macron, qui voit bien Genève accueillir l'événement. Mais il paraît illusoire que cela se produise. Car notre pays a décidé de prendre parti dans ce conflit en s'alignant sur les sanctions économiques européennes visant les intérêts russes et ceux qui en sont proches. Berne a toujours misé sur une ligne claire: la défense de l'Ukraine face à son agresseur. Ignazio Cassis peut bien assurer une immunité à Vladimir Poutine, celui-ci gardera bien en tête la position suisse. Mais au-delà d'une possible rancune du Kremlin, on peut aussi se poser la question de l'opportunité d'accueillir un tel sommet. Si on ne peut que saluer la volonté de chercher une résolution au conflit, est-ce bien le rôle de la Genève internationale, capitale de la paix et des droits humanitaires, de dérouler le tapis rouge à un chef d'État recherché? On est en droit d'en douter après que Poutine s'est assis sur les Conventions de Genève pendant plus de trois ans et demi. Et la question se pose d'autant plus que les conditions de paix réclamées par le président russe ressemblent davantage à un chantage vis-à-vis de son homologue ukrainien. Il cherche à se donner le beau rôle plutôt qu'à parvenir à un accord. Dans ces conditions, Genève court le risque d'être le théâtre des manigances d'un Poutine désormais dans les bonnes grâces de Trump. Plus d'articles sur les négociations pour la paix en Ukraine Julien Culet est responsable de la rubrique Suisse-Monde-Economie. Il a rejoint la rubrique Suisse en 2018 en tant que correspondant à Genève pour «Le Matin Dimanche». Il a auparavant travaillé durant 5 ans au sein de la rédaction du «20 minutes». Plus d'infos @JulienClt Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Vladimir Poutine est un « un ogre à nos portes », qui a « rarement tenu ses engagements », estime Emmanuel Macron
Vladimir Poutine est un « un ogre à nos portes », qui a « rarement tenu ses engagements », estime Emmanuel Macron

Le Parisien

time2 days ago

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Vladimir Poutine est un « un ogre à nos portes », qui a « rarement tenu ses engagements », estime Emmanuel Macron

Nommer son ennemi. N'est-ce pas ce que vient de faire le président Macron ? Vladimir Poutine est « un prédateur, un ogre à nos portes » qui « a besoin de continuer de manger » pour « sa propre survie », a averti mardi le chef de l'État, appelant les Européens à « ne pas être naïfs » face à la Russie qui sera « durablement une puissance de déstabilisation ». « Depuis 2007-2008 (l'intervention russe en Géorgie, NDLR), le président Poutine a rarement tenu ses engagements. Il a constamment été une puissance de déstabilisation. Et il a cherché à revoir les frontières pour étendre son pouvoir », a souligné le président français dans un entretien sur LCI. Le président français pense que « la Russie est devenue durablement une puissance de déstabilisation et une menace potentielle pour beaucoup d'entre nous ». « Un pays qui investit 40 % de son budget dans de tels équipements, qui a mobilisé une armée de plus d'1,3 million d'hommes, ne reviendra pas à un état de paix et un système démocratique ouvert du jour au lendemain », a-t-il prévenu. « Je ne vois pas le président Poutine vouloir la paix maintenant » « Donc, y compris pour sa propre survie, il (Poutine) a besoin de continuer de manger. Voilà. Et donc c'est un prédateur, c'est un ogre à nos portes. Je ne dis pas que dès demain, c'est la France qui sera attaquée, mais enfin c'est une menace pour les Européens (…) Il ne faut pas être naïfs », a insisté le chef de l'État. Cet entretien a été réalisé lundi à l'issue de la réunion à Washington entre Donald Trump et plusieurs dirigeants européens où a été annoncée la tenue d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine. VidéoAllocution de Macron : « La Russie est une menace pour la France et pour l'Europe » Mais, dans un autre entretien à la chaîne américaine NBC News, Emmanuel Macron n'a pas caché qu'il ne partageait pas l'optimisme de Donald Trump sur la possibilité d'arriver à un accord de paix. « Quand je regarde la situation et les faits, je ne vois pas le président Poutine vouloir la paix maintenant, mais peut-être je suis trop pessimiste », a-t-il déclaré. L'avenir le dira.

Guerre en Ukraine : les images historiques de la rencontre entre Trump, Zelensky et les Européens à Washington
Guerre en Ukraine : les images historiques de la rencontre entre Trump, Zelensky et les Européens à Washington

Le Figaro

time3 days ago

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Guerre en Ukraine : les images historiques de la rencontre entre Trump, Zelensky et les Européens à Washington

En images, le sommet entre Trump, Zelensky et ses alliés européens à la Maison-Blanche Dans un ballet diplomatique inédit, Emmanuel Macron et six dirigeants européens se sont rendus à Washington lundi, pour faire bloc autour de Volodymyr Zelensky. «Cette guerre va se terminer», a dit Donald Trump lundi en recevant Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, qui ont affiché leur volonté de travailler ensemble à la paix et à la sécurité future de l'Ukraine. Le premier ministre britannique Keir Starmer, le président français Emmanuel Macron, la première ministre italienne Georgia Meloni, le chancelier allemand Friedrich Merz, le président finlandais Alexander Stubb, le secrétaire général de l'OTAN Mark Rutte et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen; tous avaient fait le déplacement ce lundi à la Maison-Blanche avec Volodymyr Zelensky pour rencontrer Donald Trump dans le cadre de négociations pour mettre fin à la guerre russe en Ukraine. Publicité La «meilleure» conversation «Je pense que nous avons eu une très bonne conversation avec le président Trump, c'était vraiment la meilleure», a déclaré le chef de l'État ukrainien, au début d'une réunion avec son homologue américain et les dirigeants de plusieurs puissances européennes. Le président Trump a couvert ses invités de compliments amicaux. Ces derniers l'ont en retour remercié vivement pour ses efforts de médiation. Sans entrer dans les détails, il a assuré que les États-Unis «seraient impliqués» dans la sécurité future de l'Ukraine, un sujet crucial pour Kiev et les Européens. «Nous leur donnerons une très bonne protection», a-t-il promis, après avoir déjà récemment précisé que toute garantie de sécurité devrait être inventée hors du cadre de l'Otan, pour être acceptée par Moscou. Le président américain a annoncé qu'il appellerait son homologue russe plus tard lundi.

Un tête-à-tête entre Trump et Zelensky aura bien lieu dans le Bureau ovale, six mois après leur clash
Un tête-à-tête entre Trump et Zelensky aura bien lieu dans le Bureau ovale, six mois après leur clash

Le HuffPost France

time3 days ago

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Un tête-à-tête entre Trump et Zelensky aura bien lieu dans le Bureau ovale, six mois après leur clash

INTERNATIONAL - Faire bloc. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et des dirigeants européens dont Emmanuel Macron se rendent ce lundi 18 août à Washington pour appuyer la position de Kiev, sommé par le président américain d'accepter des concessions après le sommet Trump-Poutine en Alaska qui n'a pas permis d'arrêter les combats en Ukraine. Précédée de nouvelles frappes russes sur plusieurs villes ukrainiennes, cette rencontre à la Maison Blanche sera une première dans ce format depuis le début de l'invasion russe, en février 2022. Elle doit permettre d'aborder notamment de possibles concessions territoriales et la fourniture de garanties de sécurité, pour mettre fin au conflit. Mais elle marquera également le grand retour de Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale. Ce même lieu où le 28 février dernier, en direct sur les télévisions du monde entier, Donald Trump et J.D. Vance avaient cherché à humilier le président ukrainien à l'extrême, l'accusant de « jouer avec la Troisième Guerre mondiale » et de manquer de « gratitude » envers la première puissance mondiale. Il était parti sans avoir tenu aux côtés du président américain leur conférence de presse et leur déjeuner de travail prévus. Un large groupe de dirigeants européens présents Ces images avaient consterné les alliés européens des États-Unis et de l'Ukraine, et marqué un tournant dans les relations entre Washington et Kiev, après un soutien américain affirmé et jamais remis en cause durant la présidence de Joe Biden. Si les relations se sont un tant soit peu apaisées entre Trump et Zelensky depuis, c'est aussi pour éviter un scénario similaire que seront présents cette fois-ci à la Maison Blanche le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l'Otan Mark Rutte, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Tous ces dirigeants doivent arriver autour de 12 heures, heure locale (18 heures en France) à la Maison Blanche, tandis que Volodymyr Zelensky doit faire son arrivée à 13 heures (19 heures en France) et être par Donald Trump. Le dirigeant ukrainien, qui s'est réjoui de cette « unité » européenne, a souligné ce dimanche depuis Bruxelles qu'il ne savait « pas exactement » de quoi Vladimir Poutine et Donald Trump avaient parlé en Alaska et qu'il était impatient d'avoir plus de détails. D'abord un tête-à-tête Trump-Zelensky Au niveau du programme, Volodymyr Zelensky s'entretiendra tout d'abord ce lundi en tête-à-tête avec Donald Trump, a indiqué une source proche du gouvernement allemand. Une conférence de presse est également attendue avant leur entretien bilatéral, selon Politico, autour de 13 h 10 (19 h 10, heure de Paris). Une première mauvaise nouvelle est peut-être à redouter pour Volodymyr Zelensky : selon CNN, le vice-président américain J.D. Vance devrait de nouveau participer à la réunion, lui qui s'était montré particulièrement agressif à son encontre en février dernier. Toujours selon Politico, les différents dirigeants européens devraient ensuite se joindre à eux pour une « photo de famille » aux alentours de 14 h 30 (20 h 30 en France), avant une rencontre conjointe prévue à 15 heures (21 heures, heure de Paris). L'ensemble devrait se terminer entre 17 heures et 18 heures, heure locale (soit entre 23 heures et 0 h en France), même s'il est évidemment bien difficile de prévoir des horaires précis pour ce genre d'événements, notamment en raison du nombre de participants. « Contraindre la Russie à une vraie paix » Si l'on peut espérer que le niveau de tension soit loin de celui affiché en février dernier, reste que les positions du président américain demeurent toujours très éloignées de celles de son homologue ukrainien. « Le président ukrainien Zelensky peut mettre fin à la guerre avec la Russie presque immédiatement s'il le veut, ou il peut continuer à combattre », a averti Donald Trump dans une série de messages sur son réseau Truth Social où il a clairement mis la pression sur le dirigeant ukrainien afin qu'il renonce à certaines exigences. « Pas question » pour Kiev de récupérer le contrôle de la Crimée annexée par Moscou en 2014, ni d'entrer dans l'Otan, a ainsi averti le milliardaire, se félicitant qu'il n'y ait « jamais eu autant de dirigeants européens en même temps » à la Maison Blanche. De son côté, Volodymyr Zelensky a affirmé ce dimanche soir que l'Ukraine partage « le profond désir de mettre fin à cette guerre rapidement », ajoutant que « la paix (devait) être durable ». « J'espère que notre force conjointe avec l'Amérique, avec nos amis européens, contraindra la Russie à une vraie paix », a-t-il souligné sur les réseaux sociaux. On en saura peut-être un peu plus après cette réunion.

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