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Ludvig Äberg, avant le British Open : « Gagner un Majeur ? J'ai l'impression d'avoir les outils pour y arriver »
Ludvig Äberg, avant le British Open : « Gagner un Majeur ? J'ai l'impression d'avoir les outils pour y arriver »

L'Équipe

time19 hours ago

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Ludvig Äberg, avant le British Open : « Gagner un Majeur ? J'ai l'impression d'avoir les outils pour y arriver »

Deux ans après son entrée fracassante dans le monde professionnel, Ludvig Äberg fait partie des cadors du golf mondial. Solide membre du top 10, le Suédois de 24 ans croit en ses chances avant le début du British Open et ce malgré deux cuts ratés au PGA Championship et à l'US Open. Deux ans après son entrée fracassante dans le monde professionnel, Ludvig Äberg fait partie des cadors du golf mondial. Solide membre du top 10 (il est 9e cette semaine après avoir été 4e il y a un an), le Suédois de 24 ans aborde son deuxième British enrichi par l'expérience de l'an dernier, quand la tempête de Troon avait emporté son swing et ses certitudes. Et même s'il reste sur deux cuts ratés en Majeur, au PGA Championship et à l'US Open, le cyborg au sourire carnassier croit en ses chances d'ouvrir son compteur en Grand Chelem, comme il l'a confié lors d'une table ronde organisée par son sponsor Mercedes-Benz. Le British Open « Je me sens mieux préparé » « L'an dernier, je me souviens que c'était difficile, que nous avions dû faire face à des défis naturels compliqués, avec beaucoup de vent. Mais je me souviens aussi à quel point c'était cool. J'adore l'aspect historique de ce jeu, c'est ce qui m'excite le plus. Ce tournoi existe depuis 1860, et j'ai vraiment ressenti cela l'an dernier. J'aurais aimé jouer un peu mieux, mais cette fois-ci, je me sens mieux préparé. J'ai grandi en jouant dans le sud de la Suède où il y a beaucoup de vent, pas forcément sur des links (parcours sablonneux en bord de mer) comme celui-ci, mais j'ai toujours aimé jouer le British Boys, le British Amateur plusieurs fois, le Lytham Trophy et Fairhaven aussi. J'ai donc eu ma part d'expériences sur ce type de parcours que j'apprécie parce que c'est très différent. Il y a beaucoup plus d'adaptation, de créativité et c'est un endroit sympa pour jouer au golf. Je pense être un peu mieux préparé que l'an dernier aux conditions. La pluie et le vent sont des facteurs que j'ai un peu sous-estimés l'an passé. Je n'avais pas abordé le tournoi en pensant que ce serait aussi important et j'ai été un peu pris au dépourvu. Cette année, je sais par expérience que c'est un gros problème et j'aurai cet état d'esprit d'acceptation, quelle que soit la situation. » Sa saison jusqu'à présent « J'ai beaucoup appris sur mon jeu et sur moi-même » « Cette année, j'ai beaucoup appris sur mon jeu et sur moi-même, sur ce qui me convient et sur ce qui ne me convient pas. J'ai vu de bonnes choses la semaine dernière en Écosse (il s'y est classé 8e), de bonnes choses sur lesquelles je peux m'appuyer et j'ai hâte de prendre le départ jeudi. Mais si je pouvais le faire d'un coup de baguette magique, je changerais probablement pas mal de choses dans ma saison jusqu'à présent. Non pas parce que mon jeu fer a été mauvais ou mon driving, ou mon wedging ou mon putting : je pense que j'ai été un peu déséquilibré dans toutes les parties de mon jeu. Je changerais donc ma façon de m'entraîner et de me préparer à ces événements, je serais plus efficace dans mes entraînements à la maison et un peu plus affûté quand le tournoi arrive. Il est possible aussi que les attentes après mes débuts réussis sur le Tour aient été difficiles à gérer. J'ai toujours eu l'idée que cela faisait partie du jeu et du fait d'être un athlète évoluant à un très haut niveau. C'est la même chose dans tous les sports, au football, au tennis ou dans n'importe quelle profession : si vous avez de bons résultats, l'attention sera beaucoup plus grande. Et je considère que j'ai beaucoup de chance d'être dans cette situation après mes deux premières années en tant que professionnel. J'attends donc beaucoup de moi aussi et il en sera toujours ainsi. » Gagner un Majeur « Avoir des objectifs, ça facilite les choses » « Il est évident qu'il faut tout mettre en place en quatre jours de tournoi, mais j'ai l'impression que les expériences que j'ai vécues en Majeurs, comme dans les autres tournois, au cours des vingt-quatre derniers mois, m'ont fait prendre conscience que je pouvais y arriver. Que j'avais les capacités et les outils pour remporter un Grand Chelem. Dans un tournoi comme celui-ci, la motivation pour gagner et être performant est à son maximum. Tous les joueurs qui sont là ont le même état d'esprit. Comme je l'ai déjà dit, j'aime l'histoire. Lorgner un trophée sur lequel sont gravés tous ces grands noms du jeu, qui remontent aux années 1970, 60, 50, c'est ce qui m'enthousiasme. Il est important d'avoir des objectifs. Ça facilite les choses de savoir ce que l'on veut atteindre et comment y parvenir. Mais il est difficile de dire ''hé, je veux gagner tel ou tel tournoi'' parce que je suis plus un gars qui s'appuie sur le processus. Si je fais telle chose, à l'entraînement ou dans ma préparation, cela me donnera une chance d'y arriver. Lorsque je suis passé professionnel en juin 2023, je me souviens que tout ce que je voulais, c'était entrer dans le top 50 mondial, car cela signifiait que je pourrais jouer tous les Majeurs l'année suivante. Une fois que j'y suis parvenu, je voulais gagner un tournoi, puis un grand tournoi, et participer à la Ryder Cup, ce que j'ai réussi à faire. » La Ryder Cup « Je ne veux plus jamais manquer une édition » « C'est l'année de la Ryder Cup (du 26 au 28 septembre à Bethpage) et tous les Européens que je connais veulent faire partie de cette équipe. J'ai vécu une expérience formidable il y a deux ans (à Rome) et après ça, je ne veux plus jamais manquer une édition. La chose la plus importante que j'ai retirée de cette semaine a été d'apprendre à connaître un peu plus mes coéquipiers. La plupart d'entre eux, les McIlroy, Rahm ou Rose, je ne les avais vus jouer qu'à la télé et je ne leur avais jamais parlé. C'était donc à la fois très cool, mais j'étais aussi très nerveux à l'idée d'être rookie. Heureusement que j'ai pu gagner en Suisse (Omega Masters, début septembre 2023) juste avant. Égoïstement, c'était vraiment bien d'avoir au moins une victoire professionnelle à mon actif et d'avoir été choisi en même temps. Mais comme tout débutant, je me demandais si j'allais être assez bon. Mardi dernier, nous avons eu un petit dîner décontracté en Écosse avec Luke Donald (le capitaine européen), et l'accueil du public américain (dans la banlieue de New York) a été un sujet de conversation. Qu'on le veuille ou non, ce sera un facteur, et ce sera différent de tout autre tournoi classique. Luke a beaucoup d'expérience dans ce domaine et il sera un excellent capitaine pour aider les membres de l'équipe à embrasser la situation au lieu d'essayer de la fuir. » Ses parties en Ecosse avec Martin Couvra « Il a certainement une belle carrière devant lui » « J'ai trouvé qu'il avait bien joué la semaine dernière quand nous avons partagé les deux premiers tours de l'Open d'Écosse. Je me souviens de lui quand il était encore amateur, nous avons souvent joué ensemble en Europe et en Afrique du Sud. Ses cheveux un peu longs sortaient de sa casquette (rires). Il a réussi de belles choses jusqu'à présent, évidemment en gagnant sur le Challenge Tour en tant qu'amateur, puis en obtenant sa carte pour le DP World Tour où il a gagné en Turquie (en mai). Il peut vraiment jouer du bon golf. J'ai pu voir la façon dont il contrôlait le vol de la balle dans le vent, dont il faisait rouler la balle sur les greens de manière très efficace. Il a certainement une belle carrière devant lui. Pour qu'il continue à bien jouer, il faut qu'il reste ce petit enfant, ce gars qui veut vraiment apprendre des autres et s'amuser sur un parcours, c'est très important. C'est sympa de voir de jeunes Européens monter en puissance comme lui. » Sa passion pour le foot « Steven Gerrard était le héros de mon enfance » « Je jouais moi-même au football quand j'étais gamin et Steven Gerrard était le grand héros de mon enfance. Je l'aimais en tant que joueur, mais aussi comme capitaine du Liverpool Football Club dont je suis toujours supporter. Ce qu'il s'est passé il y a deux semaines (les décès de Diogo Jota et de son frère, tués dans un accident de voiture) est absolument terrible. J'ai été vraiment bouleversé et triste quand j'ai appris la nouvelle, pour la famille et pour le club. Le Paris-Saint-Germain nous a éliminés en Ligue des champions, et même s'ils ont été battus en finale de la Coupe du monde des clubs, ça reste la meilleure équipe d'Europe. Après Liverpool... (Rires.) »

The Open 2025 : Escale à Portrush
The Open 2025 : Escale à Portrush

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time2 days ago

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The Open 2025 : Escale à Portrush

Au programme cette semaine du podcast Swing, une émission spéciale consacrée au 153e British Open, qui aura lieu en Irlande du Nord. Émission spéciale British Open 2025. Le dernier Majeur de l'année se déroule cette semaine en Irlande du Nord du côté du Royal Portrush : parcours, favoris, les Français engagés, vous saurez tout sur cette 153e édition. Romain Langasque, qui participe à son 6e British Open, sera avec nous, sans oublier notre quiz spécial Portrush !

« En début d'année, j'étais au bord du burn-out » : comment l'Australienne Grace Kim a su se ressaisir pour triompher à Évian à l'issue d'un final à suspense
« En début d'année, j'étais au bord du burn-out » : comment l'Australienne Grace Kim a su se ressaisir pour triompher à Évian à l'issue d'un final à suspense

L'Équipe

time3 days ago

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« En début d'année, j'étais au bord du burn-out » : comment l'Australienne Grace Kim a su se ressaisir pour triompher à Évian à l'issue d'un final à suspense

L'Australienne Grace Kim, qui s'est imposée après deux tours de play-off à Évian, remportant ainsi son premier Majeur, a avoué avoir touché le fond en début d'année. L'image du chip de Grace Kim a déjà fait le tour du monde. Restera-t-il dans la postérité, comme ce coup de génie de Tiger Woods, à Augusta, en 2005, réalisé autour du green du 16 ? Ceux qui étaient massés autour du 18 du parcours d'Évian, c'est certain, se souviendront à jamais de cet instant de folie qui vous fait dresser les poils, de ce premier trou de play-off entre Grace Kim et Jeeno Thitikul, la Thaïlandaise. Quand ils ont vu le deuxième coup d'hybride 4 de l'Australienne rebondir sur le chemin goudronné et tomber dans le ruisseau, ils se sont dit que The Amundi Evian Championship était terminé avec un succès de Jeeno Tithikul, la numéro 2 mondiale, si impressionnante depuis le début de la saison. « J'étais déçue de voir ma balle dans l'eau, raconta Kim, en conférence de presse, mais au golf, tant que c'est pas fini... » Oui, tant que c'est pas fini, il y a encore un peu d'espoir. Celui de réussir un miracle, ou de voir son adversaire s'écrouler en commettant une énorme bourde. L'Australienne de 24 ans s'est appliquée pour dropper sa balle, trouver la meilleure position possible dans le rough pour ne pas rater cette approche, celle de la dernière chance. Elle a choisi un sandwegde (58 degrés) et la magie a opéré pour une trajectoire parfaite et une balle qui termine au fond du trou. À cet instant, on a vu Thitikul accuser le coup, sonnée par cet uppercut golfique. Quelques instants plus tôt, elle avait déjà pris un choc, sur le 18, alors qu'elle menait (-14), en assistant à l'eagle de Kim pour revenir à sa hauteur et en ratant un putt de 3 mètres pour le birdie de la victoire. Et son cauchemar n'était pas terminé. Sur le deuxième trou de play-off, encore disputé sur le 18, l'Australienne réussissait un nouvel eagle, avec un putt de 5 mètres en descente parfaitement dosé. Ce sport est dingue vous fait passer par toutes les émotions possibles en quelques secondes. Dingue et brutal pour celles et ceux dont c'est le métier. L'hommage à son entourage Il y a quelques semaines, J. J. Spaun, juste après sa victoire lors de l'US Open, avait raconté qu'il revenait de loin, qu'il avait sérieusement songé à changer de vie, à abandonner sa carrière professionnelle pour devenir enseignant. Trop dur, trop stressant, car trop aléatoire. Kim a un peu dit la même chose : « Me retrouver là, avec ce trophée, c'est inespéré. Il y a quelques mois, j'avais perdu ma motivation, j'étais remplie de doutes. Et quand le doute s'installe, ça fait boule de neige. En début d'année, j'étais au bord du burn-out. Sur le circuit américain, j'ai gagné très tôt (2023) et, après, j'ai été en course pour gagner encore mais ça ne marchait pas. Ce n'était pas technique mais mental. J'ai lutté. J'ai eu de sacrées conversations avec mon équipe. » Son entourage l'a aidée à remonter la pente, à retrouver l'envie de jouer, à accepter l'erreur, à gérer l'imperfection, le swing qui dérape, le mauvais rebond sur un fairway. « Je sais l'importance d'avoir une bonne team autour de soi . C'est crucial d'avoir ces gens qui sont capables de vous tirer vers le haut. » C'est aussi crucial d'avoir de bonnes mains et un excellent petit jeu. À lire aussi La nouvelle approche de Roussin-Bouchard Saddier-Couvra, le British Open les attend Owen Wilson : «Quand j'ai vu Messi arriver vers moi...» J. J. Spaun, un destin hollywoodien

Nadaud : « Il va me falloir un peu de temps pour que ça redescende »
Nadaud : « Il va me falloir un peu de temps pour que ça redescende »

Le Figaro

time3 days ago

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Nadaud : « Il va me falloir un peu de temps pour que ça redescende »

En terminant 21e ex aequo, la joueuse d'Aix-les-Bains signe une superbe performance pour son premier Majeur. Les yeux brillants, Nastasia Nadaud affichait une mince satisfaite à l'issue de son quatrième et dernier tour disputé à l'Amundi Evian Championship ce dimanche. Le rêve n'était pas passé loin… À découvrir Le classement mondial des meilleurs joueurs de Golf Nastasia, quel est le bilan de votre semaine à Evian ? Publicité Cette semaine, c'est sûr que j'ai passé quatre journées de dingues sur ce parcours. Elles étaient toutes très différentes, mais j'ai fait du mieux que je pouvais chaque fois, je pense que c'est le plus important. Qu'est-ce que tu retiens ? J'ai essayé d'être là, après chaque shot que j'ai tapé. Que ce soient des shots excellents ou des shots un peu moins bons. L'attitude que j'ai eue cette semaine, c'est quelque chose à garder pour les semaines futures, c'est sûr. Sur le trou n°9, vous signez un double bogey…Avez-vous senti, à ce moment-là, qu'une part du rêve s'envolait un petit peu ? Je ne me suis jamais laissée emporter par les rêves, pour être honnête. Publicité Vous n'avez jamais rêvé de gagner ce tournoi ? Si, si, si ! Bien sûr, mais je veux dire, que je n'étais pas là à me dire, je dois absolument gagner. Moi, j'étais juste là pour faire mon truc. Mais ça m'a mis quand même un petit coup au moral, ce double bogey. Je suis quand même contente la manière dont j'ai tenu sur la fin parce que je n'aurais pu finir beaucoup plus haut. Je me suis quand même bien accrochée, donc ça c'est positif. Ce qu'il faut garder de ce tournoi, c'est vraiment l'attitude que j'ai eue. Je n'ai jamais eu autant de public sur un tournoi. Donc, c'était assez sportif. Aujourd'hui, avez-vous réalisé ? Non, toujours pas. Je pense qu'il va me falloir une petite semaine et un peu de temps pour que ça redescende un peu, là. Quel est votre moment préféré de la semaine ? Publicité Mon moment préféré de la semaine ? Franchement, c'est le troisième tour dans sa globalité. Jouer avec Nelly (Korda) et Minjee (Lee). Et moi-même, je me suis très bien sentie cette journée-là. Donc franchement, je pense que c'est mon highlight de la semaine. (Propos recueillis en conférence de presse)

« J'ai passé une semaine de dingue » : la Française Nastasia Nadaud satisfaite à l'issue de l'Evian Championship, son premier Majeur
« J'ai passé une semaine de dingue » : la Française Nastasia Nadaud satisfaite à l'issue de l'Evian Championship, son premier Majeur

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time3 days ago

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« J'ai passé une semaine de dingue » : la Française Nastasia Nadaud satisfaite à l'issue de l'Evian Championship, son premier Majeur

Malgré une dernière journée complexe, avec un score de + 2, la jeune Française Nastasia Nadaud se souviendra longtemps de sa participation à l'Amundi Evian Championship, le premier Majeur de sa carrière, qu'elle a terminé à la 21e place. Nastasia Nadaud aurait peut-être préféré une sortie plus heureuse. Ce dimanche, à l'Amundi Evian Championship, elle a connu un dernier tour difficile puisqu'elle a rendu une carte de + 2 pour un -6 sur quatre journées et une 21e place au classement, à égalité notamment avec Céline Boutier et Perrine Delacour. Tout se passait bien jusqu'au 7, le premier par 5... Elle était à ce moment-là -9, à deux coups de la tête. Elle jouait bien, encouragée par la foule. Croisé au bord du fairway, Renaud Gris, son coach, lâchait : « Elle tape encore mieux la balle qu'hier (samedi) et la différence va très certainement se faire sur les pars 5. » Mais en golf, tout peut se dérégler à une vitesse incroyable. Sur ce trou 5 qu'elle est capable d'attaquer en deux, elle réussissait pourtant un drive parfait, à plus de 260 mètres, mais son deuxième coup, frappé avec un fer 6, atterrissait dans le bunker de gauche. Mal placée dans le sable, elle n'a pu contrôler correctement la balle. Au final, un bogey, le premier de la journée. « Je ne réalise toujours pas » Nastasia Nadaud Sur le 9, l'autre par 5 de l'aller, elle a connu une nouvelle galère, ou plus précisément plusieurs galères qui lui ont coûté cher : un drive dans le bunker avec une position inconfortable, à nouveau, un deuxième coup un peu trop long qui trouve le rough, un troisième coup qui arrive dans le bunker, un quatrième qui tombe un autre bunker, avec un double bogey à la clé. Malgré tout, Nastasia Nadaud, l'invitée de la dernière heure, est ravie de sa semaine. « J'ai passé une semaine de dingue sur ce parcours, s'est félicitée la Française. En quatre jours différents, j'ai fait du mieux que je pouvais sur chaque journée. J'ai envie de garder mon état d'esprit, car après chaque coup, j'ai essayé d'être le plus neutre possible, que le coup soit excellent ou moins bon. Mais pour en revenir à ces pars 5, je n'ai pas eu beaucoup de chance, avec des coups moyens qui coûtent cher. J'ai pris le truc comme c'est venu. » « Après, ça m'a quand même mis un petit coup au moral, mais je suis quand même contente de la manière dont je me suis accrochée, a-t-elle poursuivi. Il faut que je garde cette attitude, et j'ai appris aussi à gérer le public. Je ne réalise pas toujours pas, il me faut un peu de temps ou une semaine pour que ça redescende un peu. » Nadaud va désormais prendre quelques jours de vacances avant de traverser la Manche pour trois événements, dont le Scottish, et le British, qui sera son deuxième Majeur.

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