Dernières actualités avec #Manhattan


Le Figaro
4 days ago
- Sport
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Coupe du monde des clubs : en vidéo, la démonstration de force du Collectif Ultras Paris à Times Square
LE SCAN SPORT - Le PSG a proposé une offre tout compris à ses plus fervents supporters afin de pouvoir assister aux phases finales de la compétition à New York. Nombre d'entre eux ont répondu à l'appel, inondant le cœur de Manhattan. Times Square est Rouge et Bleu. Passé l'euphorie de la demi-finale de Coupe du monde des clubs face au Real Madrid, les supporters du PSG ont souhaité poursuivre la fête sur Times Square, vendredi soir. Invité par le club, qui leur a proposé une offre tout compris pour assister aux phases finales, une centaine de membres du Collectif Ultras Paris (CUP) a envahi la place la plus connue de New York pour entonner des chants qui ne cessent de résonner depuis la finale de la Ligue des champions gagnée face à l'Inter Milan. Dimanche, le club de la capitale peut définitivement entrer dans l'histoire du football mondial puisqu'il a l'occasion de remporter son cinquième trophée cette saison après la Ligue 1, le Trophée des champions, la Coupe de France et la Ligue des champions. Rendez-vous à 21h au Metlife Stadium pour un match de gala face à Chelsea, quatrième de Premier League et vainqueur de la Ligue Conférence.


Le Parisien
4 days ago
- Sport
- Le Parisien
« Oh pour toi PSG », la vidéo du rassemblement festif des supporters parisiens à Time Square
Les touristes venus du monde entier ont dû se demander s'ils ne s'étaient pas trompés de destination, de ville. Célèbre dans le monde entier Time Square à New York avait des airs de Paris vendredi soir . Des centaines de supporters du PSG s'étaient en effet donné rendez-vous au cœur de Manhattan pour faire monter la pression avant la finale de la Coupe du monde des clubs entre leur équipe et Chelsea programmée dimanche (21 heures en France) au Metlife Stadium dans le New Jersey. Pendant plusieurs minutes ils ont chanté le fameux hymne de l'équipe qui a résonné à travers l'Europe ces derniers mois : « Oh pour toi Paris-SG ». Depuis plusieurs jours la « Grosse pomme » a pris l'accent français, des centaines de supporters parisiens ont en effet pris leurs quartiers dans la ville. Si certains sont là en vacances, ou sont venus par leurs propres moyens, la plupart ont profité de l'offre du club parisien . Pour 500 euros, le PSG proposait le vol aller-retour, l'hôtel, les transferts depuis et jusqu'au stade ainsi qu'un billet pour la demi-finale face au Real Madrid puis la finale. Ils espèrent voir leur équipe réaliser un incroyable quintuplé après avoir déjà remporté la Ligue 1, le Trophée des champions, la Coupe de France et la Ligue des champions .


La Presse
5 days ago
- Entertainment
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Hugo pop ! La faucheuse sonne toujours deux fois
L'actrice Nicole Ari Parker qui campe le rôle de Lisa Todd Wexley dans la série And Just Like That C'est dur d'aimer, de défendre ou de se cacher les yeux comme la pirate de Manhattan Seema Patel (Sarita Choudhury) devant les derniers déboires de la série And Just Like That, qui fournit des munitions dorées sur un plateau d'argent – sûrement acheté chez Tiffany – à ses détracteurs les plus féroces. La semaine dernière, le sixième épisode de la troisième saison de ce dérivé de Sex and the City a commis une bourde encore plus tragique que le chapeau de Fraisinette qu'a porté Carrie Bradshaw (Sarah Jessica Parker) pour une simple balade dans Central Park. Donc, cette heure de télé drôle et émouvante rassemblait nos chics héroïnes new-yorkaises aux funérailles du père de la documentariste et bourreau de travail Lisa Todd Wexley (Nicole Ari Parker), qui avait raté l'appel de l'hôpital l'informant de l'état de santé critique de son papa. Culpabilité, remords, etc. Sidérés devant leurs écrans, plusieurs fans de cosmos et de tutus urbains ont hurlé à l'unisson : cette histoire est impossible, car le père de Lisa Todd Wexley – il faut toujours prononcer son nom au complet – est mort dans la première saison d'And Just Like That, diffusée en décembre 2021. Cette intrigue ne tient pas debout sur ses Louboutin. Les scénaristes auraient-ils créé un multivers sans nous prévenir ? Ces fans et fins observateurs avaient 100 % raison. Des extraits du deuxième épisode de la première saison d'And Just Like That ont ensuite circulé sur les réseaux sociaux où la charmante Lisa Todd Wexley confiait à Charlotte (Kristin Davis) que son père était mort l'année précédente et qu'elle comprenait exactement le deuil que vivait Carrie après la crise cardiaque fatale de Big (Chris Noth). Comme le facteur, la faucheuse sonne toujours deux fois dans le cas du paternel de Lisa Todd Wexley, faut croire. Je l'avoue, je ne me souvenais plus du tout de cette réplique de Lisa Todd Wexley à propos de son père disparu dans la saison 1 d'And Just Like That. Par contre, c'est étonnant que personne dans l'énorme équipe d'And Just Like That n'ait noté cette erreur dans la continuité du récit. Cette scène a été écrite, analysée, répétée, tournée, montée et diffusée sans qu'un seul employé en décèle l'incohérence. C'est vraiment difficile à justifier. Sur des quotidiennes comme STAT ou Indéfendable, où le rythme de production atteint des vitesses vertigineuses, ce type de bourde s'expliquerait plus facilement. Il y a tellement de personnages principaux et de sous-intrigues dans ces feuilletons que l'on comprendrait que les auteurs laissent tomber une des 384 balles avec lesquelles ils jonglent. Mais And Just Like That ? Il n'y a que Carrie, Miranda, Charlotte, Seema et Lisa Todd Wexley. La chaîne HBO a offert une réponse vaseuse au sujet de cette double mort : Lisa Todd Wexley parlait de son beau-père et non de son père dans la première saison d'And Just Like That. Bien oui, c'est ça. Qui gobe vraiment cette version de relations publiques ? Comme une Carrie Bradshaw observant l'écran blanc de son MacBook gris, je n'ai pas pu m'empêcher de me demander : jusqu'où sommes-nous prêts à tolérer une relation compliquée et limite malsaine avec une télésérie qu'on a trop aimée ? Aurait-on le pardon plus facile avec des amantes que l'on fréquente depuis l'été 1998 et dont on connaît tout le potentiel ? Des études scientifiques démontrent que regarder de vieux épisodes de nos séries préférées, comme Sex and the City, a des effets positifs sur notre santé mentale. En revisitant des scénarios connus, on se sent en sécurité, on atténue notre solitude et on replonge dans un état de bien-être. C'est exactement ce qui se produit avec And Just Like That. Aux côtés de Carrie, Miranda et Charlotte, nous déposons une chaussure dans leur passé de Sex and the City, une époque bénie où chacun des épisodes était taillé comme un diamant de chez Birks. Ce bagage émotif adoucit sûrement notre jugement envers And Just Like That. Parce que nous savons ce que ces personnages sont capables de donner quand on leur fournit des textes brillants. Et parce que nous avons développé un attachement sincère envers ces femmes, que nous avons vues traverser a) à Staten Island, au secours, et b) une rupture difficile sur un « post-it ». Il n'y a rien de rationnel dans cet attachement envers And Just Like That. Je prie pour que Carrie largue enfin Aidan, qui ne sert à rien, et qu'elle tombe dans les bras de l'écrivain ténébreux Duncan, qui fume la pipe pour que les téléspectateurs n'oublient pas qu'il est un écrivain ténébreux et britannique. Et vous savez quoi ? Je pardonne également la double mort du papa de Lisa Todd Wexley. Magnanime à ce point, le bonhomme. En revanche, si Big ressuscite, c'est non, je fais comme Samantha Jones (Kim Cattrall) et je me pousse à Londres, bye. Et je n'aurai aucunement la délicatesse de donner des nouvelles par texto.


La Presse
5 days ago
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Les fabricants d'armes déboutés par la Cour d'appel de l'État de New York
« Cette loi a une portée légitime, ce qui nous permet de confirmer le rejet de cette contestation, estime l'un des juges. (New York) Une loi de l'État de New York tenant les fabricants d'armes potentiellement responsables lorsque leurs armes sont utilisées dans des fusillades mortelles a été validée jeudi par une cour d'appel fédérale. Larry Neumeister Associated Press La décision rendue par la cour d'appel des États-Unis pour le deuxième circuit à Manhattan a validé la décision d'un juge d'Albany. Un comité de trois juges a statué que la loi de l'État de New York de 2021 n'était ni inconstitutionnelle ni vague. L'avis rédigé par la juge Eunice C. Lee a déclaré qu'une action en justice visant à empêcher l'application de la loi n'a pas démontré que la loi était « inapplicable dans toutes ses applications ». La loi oblige l'industrie des armes à feu à mettre en place des contrôles raisonnables pour empêcher la possession, l'utilisation, la commercialisation ou la vente illégales de ses produits à New York. Elle permet de poursuivre l'industrie pour des actes illégaux créant ou contribuant à des menaces pour la santé ou la sécurité publiques. La National Shooting Sports Foundation, une association professionnelle de fabricants d'armes à feu qui expédie des armes à feu à New York, avait intenté une action en justice contre cette loi, affirmant qu'elle était préemptée par la loi fédérale de 2005 sur la protection du commerce légal des armes, qui interdit les litiges susceptibles de détruire l'industrie des armes à feu. En mai 2022, la juge Mae A. D'Agostino a rejeté la plainte, refusant les arguments selon lesquels le libellé de la loi n'expliquait pas correctement ce qui était interdit. Elle a déclaré que la loi suivait étroitement le libellé de la loi générale de l'État de New York sur les nuisances publiques, qui est « une bonne loi depuis 1965 ». Les avocats des fabricants d'armes n'ont pas répondu aux demandes de commentaires dans l'immédiat. Eric Tirschwell, directeur exécutif de l'association à but non lucratif Everytown Law, a salué la décision. Il a souligné que la loi crée « une nouvelle voie pour les victimes et leurs familles afin de tenir les acteurs malveillants de l'industrie des armes à feu responsables de leur rôle dans l'épidémie de violence armée qui ravage les communautés de l'Empire State (New York) ». Everytown Law et le Giffords Law Center to Prevent Gun Violence figuraient parmi les groupes de protection contre la violence armée ayant déposé un mémoire d'amicus curiae dans cette affaire, arguant que la nouvelle loi « ne crée tout simplement pas la mêlée générale » prédite par les fabricants d'armes. Le juge Dennis Jacobs a souscrit à la décision, malgré quelques réserves. Il a écrit que l'État de New York avait « élaboré une loi générale sur les nuisances publiques, qui s'applique uniquement aux 'membres de l'industrie des armes' et est applicable par une multitude d'acteurs publics et privés ». Et il a ajouté : « L'intention du Congrès, lorsqu'il ferme une porte, n'est pas que les États forcent ainsi une fenêtre. » Le juge Jacobs, citant une récente décision de la Cour suprême, a déclaré qu'il partageait l'avis des deux autres juges du comité selon lequel la loi pouvait être appliquée conformément à la loi fédérale et à la Constitution américaine. Mais il a également argué que la loi new-yorkaise sur les armes à feu n'était « rien de moins qu'une tentative de contourner » la loi fédérale, soulignant que le gouverneur de l'époque, Andrew Cuomo a déclaré, lors de sa signature, que cette loi « réparerait les torts » causés par la loi fédérale. « Cette loi a une portée légitime, ce qui nous permet de confirmer le rejet de cette contestation. Il faudra attendre les prochaines affaires pour déterminer dans quelle mesure cette portée est limitée », a déclaré le juge Jacobs.


Le Parisien
5 days ago
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Chelsea-PSG : le programme complet des Parisiens à New York avant la finale de la Coupe du monde des clubs
Fidèle à ses habitudes, Luis Enrique a été à l'écoute de ses hommes et a décidé de les laisser au repos ce jeudi, au lendemain de l'éclatante victoire contre le Real Madrid (4-0) . Comme depuis le début de la compétition, le coach parisien met l'accent sur la récupération et a accordé à son groupe un jour off plutôt que de le convier à décrassage de lendemain de match. Satisfait du comportement de ses joueurs sur le terrain du MetLife Stadium mercredi lors de la demi-finale du Mondial des clubs remportée par le PSG contre les Madrilènes, le coach espagnol leur a offert 24 heures de répit avant de se lancer pleinement dans la préparation de la finale contre Chelsea, ce dimanche soir (21 heures). Installés en plein Manhattan, les partenaires de Marquinhos ont pu profiter de ce jour off pour retrouver leurs familles et leurs proches qui ont fait le déplacement à New York pour la fin de la compétition. Ils étaient nombreux à avoir pris place dans l'enceinte américaine mercredi pour soutenir les champions d'Europe. Une partie des joueurs a pu faire un peu de tourisme dans les rues de New York quand d'autres ont effectué du travail de récupération à leur hôtel. Les Parisiens retrouveront les terrains de la Rutgers University, dans le New Jersey à New Brunswick, ce vendredi matin pour une avant-dernière séance d'entraînement. La fin de celle-ci sera ouverte aux journalistes qui pourront interroger trois joueurs de l'effectif du PSG. Les opérations médiatiques se poursuivront en fin de journée avec une conférence de presse de Luis Enrique et du capitaine Marquinhos qui se tiendra, normalement, en fin de journée au MetLife Stadium. Habituellement organisées en veille de match, ces activités ont été avancées d'un jour par la Fifa pour permettre aux deux clubs de se concentrer pleinement sur leur préparation de match. L'ultime séance d'entraînement aura lieu samedi, en fin de matinée, à la veille de la finale face aux Blues de Chelsea qui. Une dernière répétition avant le grand rendez-vous de dimanche qui viendra clôturer une saison historique.