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Le Parisien
07-07-2025
- Sport
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Affaire Auradou-Jegou : un an après le scandale en Argentine, le plan des Bleus pour éviter de nouveaux excès
Un scandale nocturne. Un fiasco comportemental étalé sur plusieurs heures très alcoolisées dans la nuit du 6 au 7 juillet 2024 à Mendoza. Où dans la foulée de la victoire du XV de France face à l'Argentine (13-28) au pied de la cordillère des Andes, l'arrière des Bleus Melvyn Jaminet tient des propos ouvertement racistes sur Instagram pendant que deux autres de ses partenaires, Hugo Auradou et Oscar Jegou , ont eu une relation sexuelle avec une femme qui les accuse ensuite de viol. Depuis, le Toulonnais a pris 34 semaines de suspension et demeure insélectionnable en Bleu, tandis que la justice argentine a abandonné les poursuites contre le troisième ligne de La Rochelle et le deuxième ligne de Pau. Ce dernier, de retour comme son partenaire en équipe de France pendant le Tournoi des Six Nations, figurait même parmi les titulaires samedi du premier des trois test-matchs disputés par le XV de France en Nouvelle-Zélande .


Le Parisien
07-07-2025
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Affaire Auradou-Jegou : un an après, le quotidien « toujours difficile » de la plaignante
C'était il y a un an : une tournée d'été du XV de France en Amérique du Sud, un succès contre l'Argentine à Mendoza (28-13), une troisième mi-temps alcoolisée, l'exclusion du groupe bleu de Melvyn Jaminet à la suite de la diffusion d'une vidéo dans laquelle il tenait des propos racistes, et le début de la retentissante affaire Auradou-Jegou , du nom des deux joueurs accusés de « viol aggravé en réunion » par une femme de 39 ans, quelques heures après cette nuit du 6 au 7 juillet 2024. Arrêtés, temporairement incarcérés puis mis en examen pendant près de cinq mois, le deuxième ligne de Pau et le troisième ligne de La Rochelle avaient finalement bénéficié d'un non-lieu le 10 décembre . Cet abandon des charges avait été confirmé en appel le 18 février, la justice argentine soulignant dans son argumentaire « le manque d'éléments permettant de soutenir une accusation sérieuse » et qualifiant la décision de « seule solution possible au regard des preuves réunies » au cours de l'instruction.