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Menteuse franchit le cap du million
Menteuse franchit le cap du million

La Presse

timea day ago

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Menteuse franchit le cap du million

Menteuse a récolté plus de 1 million de dollars au box-office depuis sa sortie, a annoncé Immina Films. Cela en fait le film québécois le plus populaire jusqu'ici en 2025. La Presse Le long métrage réalisé par Émile Gaudreault et mettant en vedette Anne-Élisabeth Bossé et Antoine Bertrand a récolté 296 173 $ au cours de son deuxième week-end en salle, selon la firme Cinéac, totalisant un peu plus de 1,2 million de recettes depuis sa sortie, le 10 juillet. Menteuse est ainsi arrivé au troisième rang du box-office, derrière les superproductions américaines Superman et Jurassic World – Rebirth. « Ce succès confirme ce qu'on pressentait : les gens avaient envie de rire, de se retrouver, de décrocher du quotidien », s'est réjoui André Dupuy, président de la maison de production Amalga, dans un communiqué. Lisez notre critique du film

Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse, meilleur démarrage québécois cette année
Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse, meilleur démarrage québécois cette année

La Presse

time14-07-2025

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Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse, meilleur démarrage québécois cette année

La comédie québécoise Menteuse, d'Émile Gaudreault, a franchi la barre des 500 000 $ au box-office après seulement cinq jours en salle. Il s'agit des meilleures recettes pour un film québécois dans ses premiers jours d'exploitation cette année. Uniquement cette fin de semaine, l'œuvre produite par Immina Films a cumulé 348 190 $ au Québec, se classant au troisième rang derrière les superproductions américaines Superman et Jurassic World – Rebirth. Dans un communiqué, le président du distributeur, Patrick Roy, remarque que « Menteuse est le 11e film le plus populaire en Amérique du Nord ce week-end, avec 77 cinémas, alors que le film [qui le précède] au 10e rang est présenté sur 510 écrans ». En plus des salles québécoises, la suite de Menteur est offerte dans quelques cinémas en Ontario et au Nouveau-Brunswick. Alors que les six films qui suivent Menteuse dans le top 10 du week-end sont américains, une autre production d'ici, Deux femmes en or, de Chloé Robichaud, ferme le palmarès avec une récolte de 9349 $, portant son total à tout juste en dessous de 740 000 $ après sept semaines à l'affiche.

Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse
Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse

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time14-07-2025

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Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse

La comédie québécoise Menteuse, d'Émile Gaudreault, a franchi la barre des 500 000 $ au box-office après seulement cinq jours en salle. Uniquement cette fin de semaine, l'œuvre produite par Immina Films a cumulé 348 190 $ au Québec, se classant au troisième rang derrière les superproductions américaines Superman et Jurassic World – Rebirth. Dans un communiqué, le président du distributeur, Patrick Roy, remarque que « Menteuse est le 11e film le plus populaire en Amérique du Nord ce week-end, avec 77 cinémas, alors que le film [qui le précède] au 10e rang est présenté sur 510 écrans ». En plus des salles québécoises, la suite de Menteur est présentée dans quelques cinémas en Ontario et au Nouveau-Brunswick. Alors que les six films qui suivent Menteuse dans le top 10 du week-end sont américains, une autre production d'ici, Deux femmes en or, de Chloé Robichaud, ferme le palmarès avec une récolte de 9349 $, portant son total à tout juste en dessous de 740 000 $ après sept semaines d'exploitation.

La menteuse et ses victimes
La menteuse et ses victimes

La Presse

time11-07-2025

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La menteuse et ses victimes

À l'arrière : les acteurs Catherine Chabot (Chloé) Véronique Le Flaguais (Claire), Pierrette Robitaille (Louison) et Luc Senay (Georges). Devant : le réalisateur Émile Gaudreault et les comédiens Anne-Élisabeth Bossé (Virginie) et Antoine Bertrand (Phil). Nous avons demandé aux acteurs du film Menteuse, la suite du succès Menteur, de nous parler de leur personnage et de leur relation avec le mensonge. Anne-Élisabeth Bossé (Virginie Gauthier) PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Anne-Élisabeth Bossé incarne Virginie, la menteuse de la suite de Menteur. « Virginie ment au point de nuire. Elle provoque malgré elle des humiliations, décrit Anne-Élisabeth Bossé, tête d'affiche du long métrage. Plus je réfléchis au mensonge, plus je me rends compte que j'en fais souvent. Je dis que ça ne me dérange pas, alors que ça me dérange un peu. Je fais des choses à contrecœur, parce que je me dis que l'autre personne va avoir de la peine. » Certains mensonges sont-ils moins néfastes que d'autres alors ? « Je pense sincèrement qu'on a le droit de mentir. Toute vérité n'est pas bonne à dire. Dans mon métier, on essaie d'être les gardiens de notre image et de notre vie personnelle. Tout le monde ne mérite pas le tréfonds de mon âme. Ne pas dire toute la vérité est un mur contre l'intrusion », estime l'actrice. Antoine Bertrand (Phil Aubert) PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Antoine Bertrand joue de nouveau Phil, le chum de Virginie. Est-ce qu'Antoine Bertand et son personnage se ressemblent un peu ? « Je tolère difficilement le mensonge, mais Phil est plus psychorigide que moi. En même temps, il ne peut pas être relaxe, parce qu'il sait que chaque mensonge peut potentiellement être celui qui va tout faire basculer. Il a le même point de vue que le public. Et quand on bascule, les spectateurs commencent à rire et ma vie devient un enfer », raconte le comédien en souriant. Dans la vie, il se qualifie de « très mauvais menteur », mais croit que c'est parfois une question de « survie ». Selon lui, dans « les moments importants où il faut être honnête et qu'on choisit le mensonge, on a tous eu une petite voix qui a demandé 'Es-tu sûr ?'. Ce n'est pas inconscient. » Catherine Chabot (Chloé Therrien) PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Catherine Chabot reprend le rôle de Chloé, désormais amie de Virginie. « Je suis vraiment comme le personnage de Chloé. Je dis trop de choses. Je n'ai aucun filtre, confie sans la moindre retenue Catherine Chabot. Si une amie me demande si une robe lui fait bien, je me fais le devoir de lui dire la vérité. Il y a toujours une façon de le dire. » Deux facteurs expliquent la relation avec la vérité et le mensonge de l'actrice. D'abord, dans sa famille, « tout le monde dit ce qu'il pense ». Puis, elle assure être incapable de mentir. « Je rougis, je rigole. Je dis à l'avance les cadeaux de Noël que j'ai achetés. Je ne suis pas capable de garder une surprise. » Après une première rencontre de 15 minutes, nous n'avons aucune difficulté à la croire ! Pierrette Robitaille (Louison Hébert) PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Pierrette Robitaille rejoint la distribution dans le rôle de Louison, la mère de Virginie. La réputée actrice s'ajoute à la distribution de Menteuse dans le rôle de la mère de Virginie. Les changements d'univers lui permettent d'incarner différentes versions d'elle-même. « Je pars d'une femme très déprimée à une très forte, autoritaire, puis à une autre qui n'est plus affectée par rien. Pour un acteur, c'est super ! » Pierrette Robitaille indique qu'elle n'est « pas une menteuse du tout ». « Je n'ai pas recours à cette façon de me sauver de quelque chose. Je n'ai pas cette inspiration d'inventer une menterie pour me rendre service ou rendre service à l'autre. Cependant, je suis une personne très positive. Je vais toujours voir les bons côtés des autres, puis ne pas trop parler des moins bons. Certains pourraient dire que je cache la vérité… » Véronique Le Flaguais (Claire Aubert) PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Véronique Le Flaguais interprète encore Claire, la mère de Phil. De retour dans la peau de la mère de Phil, Véronique Le Flaguais admet qu'elle a déjà dit des faussetés comme sa belle-fille dans le film. « J'étais en présence d'une femme qui avait un enfant, puis elle avait des problèmes que toutes les mères peuvent avoir. Je lui ai dit : 'Je te comprends, c'est la même chose pour moi', mais je disais ça pour qu'elle ne se sente pas seule. Michel [Côté] n'était pas loin et m'a demandé : 'Pourquoi t'as dit ça ? Ce n'est même pas vrai'. Il ne comprenait pas pourquoi je mentais, et je lui ai expliqué que c'était pour la rassurer. » La comédienne ajoute : « Je mens quand c'est utile ou carrément pour me rendre intéressante », puis elle éclate de rire. Luc Senay (Georges Aubert) PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Luc Senay incarne de nouveau le père de Phil, Georges. Pour Luc Senay, reprendre le rôle du père de Phil était « un cadeau du ciel ». « J'aime comment [le réalisateur Émile Gaudreault] travaille. Il est d'une efficacité redoutable. En presque neuf ans de collaboration, j'ai vu l'évolution de sa maîtrise de l'humour. […] Là, il nous a fait faire toutes sortes de variantes inimaginables de nos personnages et c'était du gâteau ! » Comme l'acteur qui joue son fils, Luc Senay se qualifie de « très mauvais menteur ». « Je me suis essayé. Je m'essaye encore parfois. Mais je deviens rouge. C'est rare que je bégaie, mais là, je me mets à bégayer. » Menteuse est présentement à l'affiche. Lisez notre critique de Menteuse

Mentir pour faire plaisir… et rire
Mentir pour faire plaisir… et rire

La Presse

time04-07-2025

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Mentir pour faire plaisir… et rire

Six ans après Menteur, « celle-qui-ment-à-tout-vent » menace à son tour de rompre l'équilibre de notre univers. La Presse a rencontré les artisans de Menteuse, qui prend l'affiche le 9 juillet. Commençons par rafraîchir votre mémoire. À la fin de Menteur, quand les mensonges de Simon Aubert (Louis-José Houde) sont sur le point de déclencher la troisième guerre mondiale, Virginie Gauthier (Anne-Élisabeth Bossé), la blonde de son frère jumeau Phil (Antoine Bertrand), dévoile à son amoureux des pans de sa vie secrète : elle a eu une aventure, elle a joué les REER du couple au casino et elle braconne. Puis, à la toute fin, les moines annoncent que la planète est encore en danger, car un nouveau menteur s'est manifesté. Le dernier plan du film d'Émile Gaudreault révèle qu'il s'agit de Virginie. Ce n'était toutefois pas la conclusion prévue au départ. « Pendant le montage, on s'est aperçus que la fin originale était une mauvaise idée. On l'a enlevée, mais on avait désormais une histoire qui se terminait sans éclat. Pendant une nuit d'insomnie, je me rappelle très bien, j'ai réalisé qu'il y avait aussi une menteuse dans notre film. On a tourné une petite scène pour boucler [Menteur] et c'est à partir de ce moment qu'on s'est dit qu'une suite pourrait être intéressante », raconte le cinéaste québécois, de retour derrière la caméra pour Menteuse. Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Dans Menteuse, Virginie ment pour faire plaisir aux autres. En explorant les raisons qui expliquent son comportement, les coscénaristes Éric K. Boulianne, Sébastien Ravary et Émile Gaudreault ont déterminé que ses loisirs, qu'elle garde secrets, servent de soupape à des émotions refoulées. « Elle est tellement douce et chaleureuse qu'elle a besoin de sortir sa rage et sa colère », résume le réalisateur. Pour Anne-Élisabeth Bossé, « retrouver le personnage de Virginie a permis de lui bâtir une psyché plus complexe ». « Sa colère refoulée vient du fait qu'elle veut tellement être une présence lumineuse et aimante qu'elle ne se met aucune limite. Sa seule façon d'évacuer est sa vie secrète. » Comme dans le premier film, elle devra retrouver son premier mensonge pour espérer un retour à la normale dans sa vie. Le genre des mensonges Dans Menteur, succès du box-office québécois à l'été 2019 avec plus de 6 millions de recettes, Simon trompait sa famille, ses collègues et ses conquêtes pour se défiler ou pour les impressionner. Ici, Virginie raconte des faussetés pour épargner ses proches, les rassurer et les encourager. Bien qu'il s'agisse de généralités, on peut prétendre que le premier film traite du mensonge au masculin et que le second l'aborde au féminin. PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE À l'arrière : les acteurs Catherine Chabot, Véronique Le Flaguais, Pierrette Robitaille et Luc Senay. À l'avant : le cinéaste Émile Gaudreault et les comédiens Anne-Élisabeth Bossé et Antoine Bertrand. Les membres de la distribution avec qui nous avons échangé sont pour la plupart d'accord. Émile Gaudreault également, mais il comprend les motivations de Virginie. « Anne-Élisabeth pensait qu'on l'avait écrit pour elle, mais je me reconnais dans son personnage. J'ai toujours été un people pleaser. J'ai cette volonté que les gens autour de moi soient heureux », confie le réalisateur. L'actrice estime que les femmes ont parfois du « tact à outrance ». Ce qui est féminin dans le film, et qui est un peu backé par des lectures que j'ai faites, c'est ce qu'on appelle le syndrome de la fille aînée. Les femmes vont essayer de tenir la famille ensemble, d'être le liant émotionnel. C'est une tâche qu'on a tendance à s'imposer. Anne-Élisabeth Bossé Pierrette Robitalle, qui incarne sa mère, Louison, croit que « les filles veulent régler les problèmes et que le monde soit heureux autour d'elles ». Quant à Véronique Le Flaguais, qui reprend le rôle de Claire, belle-mère de Virginie, elle estime que c'est « peut-être parce que les femmes ont plus d'empathie qu'elles ont tendance à mentir pour que les gens se sentent plus heureux ». PHOTO ÉRIC MYRE, FOURNIE PAR IMMINA FILMS Véronique Le Flaguais et Luc Senay incarnent respectivement Claire et Georges Aubert. « On va trouver notre valeur dans le fait d'être gentilles, agréables, généreuses, avenantes, polies… C'est souvent ce qu'on associe aux femmes. C'est sûr que c'est plus féminin d'essayer de rendre les autres heureux », soutient Catherine Chabot, de retour dans le rôle de Chloé Therrien, amie de Virginie. Qu'en pensent les hommes du film ? « Le personnage de Louis-José mentait pour se rendre intéressant et être essentiel. Celui d'Anne-Élisabeth le fait pour ne pas déplaire, donc être aimé. Je trouve que c'est encore plus puissant, car la motivation réside dans l'affectation », souligne Luc Senay, qui joue de nouveau Georges, beau-père de Virginie. Antoine Bertand, qui incarne son fils, abonde : « On peut regrouper certains patterns qui appartiennent à un genre ou à un autre. Celui-ci part d'une bonne place, mais les dommages du mensonge sont tout aussi nocifs. » Multivers de menteries Le comédien sait de quoi il parle. Dans Menteur, il a reçu sur la tête fruits, muffins, tuiles et luminaires, car le personnage de Louis-José Houde avait dit que son frère était le gars le plus malchanceux du monde. Cette fois, sa blonde raconte qu'il est « une drama queen » puis, plus tard, « un ado attardé ». Phil demeure l'unique personnage qui constate que la réalité change en raison des mensonges à répétition d'un de ses proches. Et puisque Virginie ne peut s'empêcher de mentir, on découvre d'autres branches du multivers, toujours de plus en plus décalées. PHOTO ÉRIC MYRE, FOURNIE PAR IMMINA FILMS Antoine Bertrand (Phil), Anne-Élisabeth Bossé (Virginie) et Catherine Chabot (Chloé), dans une scène où Phil devient ado. Ils ont bâti l'histoire autour de nos forces et de ce qu'ils voulaient nous voir jouer, puis nous, on pouvait complètement se lâcher lousse et rendre ça le plus drôle possible. Antoine Bertrand « Je ferais un film entier dans la peau de l'ado. Ça l'aurait pu être cringe as fuck, pour prendre ses mots, mais j'ai tellement eu de fun », raconte Antoine Bertand. Catherine Chabot a également adoré le tournage. « C'est un univers tellement éclaté. Jouer l'amoureuse, la fille 'éveillée' et l'attachée politique toxico m'a donné la possibilité d'aller dans des niveaux de folie qu'on voit peu ou qu'on s'accorde peu le droit de faire. C'était un cadeau du ciel », souligne la comédienne qui a fait ses débuts au grand écran dans Menteur. PHOTO ÉRIC MYRE, FOURNIE PAR IMMINA FILMS Anne-Élisabeth Bossé en version « nunuche » de Virginie Pour Émile Gaudreault, l'exploration du multivers lui a permis de dynamiser le récit et d'approfondir le personnage de Virginie. « La deuxième version avec la nunuche [d'Anne-Élisabeth Bossé], l'adolescent et Rémy [Girard] en optimiste, c'est comme un nouveau film. On a résolu plein d'affaires et on recommence. C'est la même chose quand on bascule dans le troisième univers avec la téléréalité. Mais le fil conducteur reste cohérent, car d'univers en univers, Virginie avance vers cette réalisation qu'elle s'est convaincue que ses émotions ne sont pas importantes. » Encore une fois, le cinéaste ouvre une porte pour un nouveau chapitre, qu'il aimerait voir se matérialiser dans quatre ou cinq ans. Et il a déjà une bonne idée de ce qu'il pourrait être. « Ça serait un jeune menteur. Un garçon de 13, 14 ans, qui a un mal de vivre, comme beaucoup de petits garçons. On pourrait aller dans bien des multivers ! » Menteuse prendra l'affiche le 9 juillet.

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