
Déjà plus de 500 000 $ pour Menteuse, meilleur démarrage québécois cette année
Il s'agit des meilleures recettes pour un film québécois dans ses premiers jours d'exploitation cette année.
Uniquement cette fin de semaine, l'œuvre produite par Immina Films a cumulé 348 190 $ au Québec, se classant au troisième rang derrière les superproductions américaines Superman et Jurassic World – Rebirth.
Dans un communiqué, le président du distributeur, Patrick Roy, remarque que « Menteuse est le 11e film le plus populaire en Amérique du Nord ce week-end, avec 77 cinémas, alors que le film [qui le précède] au 10e rang est présenté sur 510 écrans ». En plus des salles québécoises, la suite de Menteur est offerte dans quelques cinémas en Ontario et au Nouveau-Brunswick.
Alors que les six films qui suivent Menteuse dans le top 10 du week-end sont américains, une autre production d'ici, Deux femmes en or, de Chloé Robichaud, ferme le palmarès avec une récolte de 9349 $, portant son total à tout juste en dessous de 740 000 $ après sept semaines à l'affiche.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


La Presse
5 minutes ago
- La Presse
Un nouveau festival brassicole dans les Laurentides
La microbrasserie Shawbridge est derrière un tout nouveau festival brassicole. PHOTO FOURNIE PAR LE FESTIVAL BRASSE TES LAURENTIDES Un nouveau festival brassicole dans les Laurentides On se dirige à la gare de Prévost ce week-end pour déguster une (ou plusieurs) bière artisanale de la région lors du premier festival Brasse tes Laurentides. La microbrasserie Shawbridge est derrière ce tout nouveau festival qui veut célébrer le savoir-faire brassicole des Laurentides. Pendant les trois jours, les festivaliers pourront découvrir dans un lieu emblématique du coin les produits de 12 microbrasseries et producteurs locaux, dont la brasserie Herman et la microbrasserie L'Entêté. Des camions de cuisine de rue seront sur place pour remplir les panses. L'évènement festif sera également ponctué de performances musicales et une zone familiale sera là pour amuser petits et grands. Du 18 au 20 juillet, à la gare de Prévost Consultez la page Facebook du Festival Brasse tes Laurentides


La Presse
2 hours ago
- La Presse
La chanteuse Connie Francis s'éteint
(Los Angeles) La chanteuse américaine des années 1950 et 1960 dont les succès incluent Pretty Little Baby, Connie Francis, est morte à l'âge de 87 ans. Associated Press Sa mort a été annoncée jeudi par son ami et attaché de presse, Ron Roberts, qui n'a pas fourni de détails supplémentaires dans l'immédiat. Francis était une artiste phare de l'ère pré-Beatles, rarement hors des classements entre 1957 et 1964. Capable de séduire aussi bien les jeunes que les adultes, elle a enregistré plus d'une dizaine de chansons classées au top 20, à commencer par Who's Sorry Now ?, et incluant les titres numéro 1 Don't Break the Heart That Loves You et The Heart Has a Mind of Its Own. Comme d'autres vedettes adolescentes de son époque, elle a également joué dans plusieurs films, dont Where the Boys Are et Follow the Boys. PHOTO ECKEHARD SCHULZ, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Connie Francis, en 2004 La chanteuse n'avait que 17 ans lorsqu'elle a signé un contrat avec MGM Records, après plusieurs apparitions dans des émissions de variétés télévisées. Ses premiers enregistrements ont été peu remarqués, mais elle a ensuite sorti sa version de Who's Sorry Now ?, une vieille ballade de Ted Snyder, Bert Kalmar et Harry Ruby. Cette reprise a également connu peu de succès au départ, jusqu'à ce que Dick Clark la joue dans son émission American Bandstand en 1958. Francis a enchaîné avec des succès pour adolescents, tels que Stupid Cupid, Everybody's Somebody's Fool et Lipstick on Your Collar. Ses disques sont devenus des succès mondiaux, alors qu'elle a réenregistré ses chansons originales en italien et en espagnol, entre autres langues. Ses concerts à travers les États-Unis affichaient rapidement complet. Concetta Rosemarie Franconero est née le 12 décembre 1937 à Newark, dans le New Jersey. Elle n'avait que trois ans lorsque son père lui a offert un accordéon pour enfant. L'année suivante, elle a commencé à chanter et à jouer de cet instrument lors de divers évènements publics. À neuf ans, elle a commencé à apparaître dans des émissions de télévision, notamment Arthur Godfrey's Talent Scouts et The Perry Como Show. C'est Godfrey qui lui a suggéré de raccourcir son nom de famille. PHOTO REED SAXON, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Dick Clark et Connie Francis, en 1980. Dick Clark l'a présentée à plusieurs reprises dans American Bandstand, et elle a affirmé plus tard que sans son soutien, elle aurait abandonné sa carrière musicale.


La Presse
4 hours ago
- La Presse
Oui, les joueurs de Survivor puent !
Les conditions de vie plus que rudimentaires des concurrents de Survivor Québec suscitent un déluge de questions, telle une averse philippine qui s'abat sur un abri en feuilles de palmier. C'est donc le moment de lever le voile – et le bandana – sur tous les secrets, même les plus intimes, de la populaire téléréalité de Noovo. D'abord, oui, les membres des tribus puent. Sueur, mauvaise haleine, humidité, ils dégagent de mauvaises odeurs, car les règlements leur interdisent d'apporter déodorant, shampoing, dentifrice, rince-bouche, savon et tout autre article de toilette. « Ils sentent surtout le feu et les gens qui ont eu chaud », explique la recherchiste sur les îles de Survivor Québec, Marie-Ève Dutrisac. Rajoutez à ces parfums exotiques des effluves de souliers mouillés et des vêtements lavés au sable qui ne sèchent jamais et vous obtenez l'expérience olfactive totale de la téléréalité pilotée par Patrice Bélanger. Toujours au rayon des soins personnels, les brindilles vertes qui leur servent de soie dentaire et de brosse à dents sont des tiges de feuilles d'ipil, un petit arbre qui pousse dans les régions chaudes. Les candidates qui ont leurs règles pendant l'émission peuvent évidemment demander des tampons ou des serviettes hygiéniques au paramédic présent sur chacune des îles. Une fois utilisé, l'article doit être emballé dans une feuille (trouvée dans la jungle, bien sûr) et remis à la production, qui en dispose. Pas question de les enterrer sur la plage ou de les jeter dans l'océan, on s'entend. Avant le début des tournages, les joueurs reçoivent d'ailleurs une formation spécifique sur le type de feuilles d'arbre qui ne causeront pas d'irritation ou de bobos si elles entrent en contact avec leurs parties intimes. Car à moins d'en gagner lors d'une épreuve de récompense, il n'y a pas de papier de toilette dans la trousse de départ de Survivor Québec. PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE L'ÉMISSION Le candidat Ashly C'est tabou d'en parler, mais les candidats de Survivor ne vont pas tous à la selle sur la terre ferme, ce qu'Ashly appelait « aller en meeting ». La plupart préfèrent faire leurs besoins directement dans la mer. Et idéalement, à un bon rayon de distance du camp de base. Qui souhaite recréer l'atmosphère « cacatastrophique » de la croisière damnée de Netflix ? Les concurrents qui portent des verres de contact ne les retirent pas sur le bord de la plage, au grand vent. Ils les enlèvent et les remettent au dispensaire du paramédic. Même chose pour les médicaments d'ordonnance : c'est le paramédic qui les conserve et les distribue. La production fournit cependant la crème solaire et le chasse-moustiques à volonté. Par contre, il faut recevoir une permission spéciale pour obtenir des Tylenol, des Motrin ou des Advil, par exemple. Ce type d'analgésique pourrait influencer les résultats dans des défis physiques et il n'est pas question qu'une personne parte avec un avantage sur une autre. Autre détail intéressant : l'équipe de tournage qui suit les joueurs de Survivor Québec n'a pas le droit de porter des lunettes fumées. Pourquoi exactement ? Pour éviter que les concurrents se voient dans le reflet des lentilles. Ce n'est qu'à la toute fin de l'aventure, quand ils sont hirsutes, poilus et amaigris, que les finalistes ont la permission de se regarder dans un vrai miroir. Et non, les rasoirs ne sont pas autorisés, autant pour les hommes que pour les femmes. « Il ne faut pas qu'ils pensent à leur look », explique le producteur exécutif de l'émission, Francis Laforest. La productrice au contenu Marie-Ève Brassard ajoute : « L'équipe sur le terrain ne peut pas manger ni boire devant les participants. Ils n'ont pas le droit, non plus, de porter des montres afin que les joueurs ne sachent jamais quelle heure il est », note-t-elle. Les survivants de Noovo ne sont pas payés pour manger du riz blanc et des noix de coco pendant 42 jours. Comme à Occupation double, ils reçoivent une allocation symbolique d'environ 150 $ par semaine. Également, il n'y a pas de congé de tournage à Survivor Québec. L'horaire est parfois moins chargé, mais les concurrents ne peuvent pas décrocher de la partie et ils ne savent pas, à l'avance, ce qui les attend sur le calendrier. PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE L'ÉMISSION Les candidates Sarah et Marilou lors d'un conseil de tribu Le matin, les caméras arrivent entre 6 h et 7 h et s'éteignent souvent après minuit, quand les joueurs rentrent d'un conseil de tribu. Les nuits, d'une durée moyenne de quatre heures, sont donc très courtes dans ce jeu. Après trois années aux Philippines, l'équipe de Survivor Québec déménage au Panamá pour son quatrième chapitre, prévu sur les ondes de Noovo au printemps 2026. La patronne de Productions J, Julie Snyder, qui supervise la conception de Survivor Québec, croit que ce déplacement « va renouveler l'expérience, tant pour les joueurs que pour le public ». « La faune et la flore y sont différentes. Le fuseau horaire du Panamá est mieux adapté au nôtre. Il y avait 12 heures de décalage entre nous et les Philippines. Et la météo était assez stable aux Philippines, alors que ça va être plus costaud au Panamá », précise Julie Snyder. Les nouvelles tribus de 2026 se disperseront dans l'archipel des Perles, sur la côte pacifique du Panamá. La pêche y sera, semble-t-il, plus facile qu'aux Philippines, où aucun gros poisson n'a rempli d'estomac en trois saisons complètes. Depuis deux saisons déjà, la production québécoise de Survivor partage ses installations aux Philippines (structures de jeux, décor de conseil de tribu) avec l'équipe suédoise qui manufacture la téléréalité Robinson, l'équivalent de Koh Lanta en France. Toutes les précautions sont prises pour que les joueurs suédois et québécois ne se rencontrent jamais. Maintenant, si les casse-têtes, le bayou, les pierres à feu et une bourse de 100 000 $ vous intéressent, les inscriptions pour la prochaine saison de l'émission vedette de Noovo se terminent le 10 août. C'est comme ça qu'on joue à Survivor Québec : en faisant caca dans l'eau, quand il le faut.