
Un nouveau festival brassicole dans les Laurentides
PHOTO FOURNIE PAR LE FESTIVAL BRASSE TES LAURENTIDES
Un nouveau festival brassicole dans les Laurentides
On se dirige à la gare de Prévost ce week-end pour déguster une (ou plusieurs) bière artisanale de la région lors du premier festival Brasse tes Laurentides.
La microbrasserie Shawbridge est derrière ce tout nouveau festival qui veut célébrer le savoir-faire brassicole des Laurentides.
Pendant les trois jours, les festivaliers pourront découvrir dans un lieu emblématique du coin les produits de 12 microbrasseries et producteurs locaux, dont la brasserie Herman et la microbrasserie L'Entêté.
Des camions de cuisine de rue seront sur place pour remplir les panses.
L'évènement festif sera également ponctué de performances musicales et une zone familiale sera là pour amuser petits et grands.
Du 18 au 20 juillet, à la gare de Prévost
Consultez la page Facebook du Festival Brasse tes Laurentides
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Un nouveau festival brassicole dans les Laurentides
La microbrasserie Shawbridge est derrière un tout nouveau festival brassicole. PHOTO FOURNIE PAR LE FESTIVAL BRASSE TES LAURENTIDES Un nouveau festival brassicole dans les Laurentides On se dirige à la gare de Prévost ce week-end pour déguster une (ou plusieurs) bière artisanale de la région lors du premier festival Brasse tes Laurentides. La microbrasserie Shawbridge est derrière ce tout nouveau festival qui veut célébrer le savoir-faire brassicole des Laurentides. Pendant les trois jours, les festivaliers pourront découvrir dans un lieu emblématique du coin les produits de 12 microbrasseries et producteurs locaux, dont la brasserie Herman et la microbrasserie L'Entêté. Des camions de cuisine de rue seront sur place pour remplir les panses. L'évènement festif sera également ponctué de performances musicales et une zone familiale sera là pour amuser petits et grands. Du 18 au 20 juillet, à la gare de Prévost Consultez la page Facebook du Festival Brasse tes Laurentides


La Presse
13 hours ago
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Tristesse et stupéfaction au lendemain de l'incendie de la scène principale
Tristesse et stupéfaction au lendemain de l'incendie de la scène principale (Boom) « On en a presque pleuré, c'était horrible » : les premiers festivaliers débarquant à Tomorrowland, en Belgique, étaient sous le choc jeudi au lendemain du gigantesque incendie qui a détruit la scène principale de cet évènement électro à la fréquentation monstre. Jeremy AUDOUARD avec Matthieu DEMEESTERE à Bruxelles Agence France-Presse Jeudi à la mi-journée, une vingtaine d'heures après le sinistre dont les images ont fait le tour du monde, il n'était pas question d'annuler le festival. Il compte 15 autres podiums répartis sur 34 hectares à Boom, dans le nord de la Belgique, et près de 40 000 personnes étaient attendues dès jeudi pour camper à la veille des premiers concerts. « C'était trop triste, vraiment on en a presque pleuré, c'était horrible », lâche à l'AFP Marie en arrivant sur le site avec tout son équipement. « Mais on est content que cela puisse se tenir quand même, on est dans l'ambiance, et puis Tomorrowland c'est une grande famille ! », ajoute cette Belge en laissant éclater sa bonne humeur. Au-delà de l'espace camping, le « DreamVillage », l'incertitude planait sur les accès possibles au grand espace autour de la grande scène, où sont attendus des dizaines de DJ vedettes de l'électro en l'espace de deux week-ends, jusqu'au 27 juillet. PHOTO TOM GOYVAERTS, BELGA, FOURNIE PAR AGENCE FRANCE-PRESSE Les files pour entrer au « DreamVillage » « Nous avons passé la nuit à travailler sur de possibles solutions », a indiqué jeudi matin la direction du festival sur les réseaux sociaux. « C'est impossible d'exprimer ce que nous ressentons. » Autre tâche impossible : recenser sur les réseaux tous les messages d'empathie et autres émojis de cœur brisé envoyés par les artistes habitués des lieux. « C'est déchirant », a réagi la DJ gantoise Charlotte de Witte, icône de la scène électro. « Rester unis pour toujours », a posté jeudi le duo Dimitri Vegas et Like Mike, autres vedettes belges pour lesquelles les abonnés sur Instagram se comptent en millions. Ils étaient censés se produire aussi sur la mégascène devant des dizaines de milliers d'admirateurs, comme David Guetta ou Lost Frequencies. Quelque 400 000 personnes sont attendues sur les deux week-ends. Avant l'incendie, certains des avions spécialement affrétés pour ce rendez-vous avaient déjà atterri en Belgique, et les évènements prévus à Bruxelles et Anvers pour accueillir les visiteurs lointains ont aussi été maintenus. « On a gardé espoir » Venu d'Italie avec un petit groupe, Giulio relativise : après le feu, « on a gardé espoir, le festival se tient malgré tout, c'est mieux que rien », dit ce trentenaire. Mercredi en début de soirée, les images du brasier filmées par des témoins ont rapidement fait un nombre astronomique de vues sur les réseaux sociaux. PHOTO TOM GOYVAERTS, ARCHIVES BELGA, FOURNIE PAR AGENCE FRANCE-PRESSE On y voit un spectaculaire panache de fumée noire grossir à mesure que le feu parti de la gauche de la grande scène ravage entièrement son décor féerique digne de DisneyLand. Il n'a laissé qu'un squelette d'échafaudages de 160 mètres de large sur 45 de hauteur. Il n'y a eu aucun blessé. Des témoins ont évoqué des détonations d'engins pyrotechniques, sans que l'on sache encore si ces engins, peut-être lancés en guise de tests, sont la cause du feu. Dès mercredi soir, le parquet d'Anvers a annoncé avoir saisi un juge d'instruction d'une enquête pour « incendie involontaire ». Créé il y a vingt ans par deux frères flamands, dans un pays précurseur en musique électro, Tomorrowland est devenu une marque de référence dans cet univers, sorte de multinationale de la fête sous décibels amplifiés. Un festival d'hiver se tient chaque année dans la station de ski de l'Alpe d'Huez, en France, et une édition a aussi été créée au Brésil.


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Oui, les joueurs de Survivor puent !
Les conditions de vie plus que rudimentaires des concurrents de Survivor Québec suscitent un déluge de questions, telle une averse philippine qui s'abat sur un abri en feuilles de palmier. C'est donc le moment de lever le voile – et le bandana – sur tous les secrets, même les plus intimes, de la populaire téléréalité de Noovo. D'abord, oui, les membres des tribus puent. Sueur, mauvaise haleine, humidité, ils dégagent de mauvaises odeurs, car les règlements leur interdisent d'apporter déodorant, shampoing, dentifrice, rince-bouche, savon et tout autre article de toilette. « Ils sentent surtout le feu et les gens qui ont eu chaud », explique la recherchiste sur les îles de Survivor Québec, Marie-Ève Dutrisac. Rajoutez à ces parfums exotiques des effluves de souliers mouillés et des vêtements lavés au sable qui ne sèchent jamais et vous obtenez l'expérience olfactive totale de la téléréalité pilotée par Patrice Bélanger. Toujours au rayon des soins personnels, les brindilles vertes qui leur servent de soie dentaire et de brosse à dents sont des tiges de feuilles d'ipil, un petit arbre qui pousse dans les régions chaudes. Les candidates qui ont leurs règles pendant l'émission peuvent évidemment demander des tampons ou des serviettes hygiéniques au paramédic présent sur chacune des îles. Une fois utilisé, l'article doit être emballé dans une feuille (trouvée dans la jungle, bien sûr) et remis à la production, qui en dispose. Pas question de les enterrer sur la plage ou de les jeter dans l'océan, on s'entend. Avant le début des tournages, les joueurs reçoivent d'ailleurs une formation spécifique sur le type de feuilles d'arbre qui ne causeront pas d'irritation ou de bobos si elles entrent en contact avec leurs parties intimes. Car à moins d'en gagner lors d'une épreuve de récompense, il n'y a pas de papier de toilette dans la trousse de départ de Survivor Québec. PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE L'ÉMISSION Le candidat Ashly C'est tabou d'en parler, mais les candidats de Survivor ne vont pas tous à la selle sur la terre ferme, ce qu'Ashly appelait « aller en meeting ». La plupart préfèrent faire leurs besoins directement dans la mer. Et idéalement, à un bon rayon de distance du camp de base. Qui souhaite recréer l'atmosphère « cacatastrophique » de la croisière damnée de Netflix ? Les concurrents qui portent des verres de contact ne les retirent pas sur le bord de la plage, au grand vent. Ils les enlèvent et les remettent au dispensaire du paramédic. Même chose pour les médicaments d'ordonnance : c'est le paramédic qui les conserve et les distribue. La production fournit cependant la crème solaire et le chasse-moustiques à volonté. Par contre, il faut recevoir une permission spéciale pour obtenir des Tylenol, des Motrin ou des Advil, par exemple. Ce type d'analgésique pourrait influencer les résultats dans des défis physiques et il n'est pas question qu'une personne parte avec un avantage sur une autre. Autre détail intéressant : l'équipe de tournage qui suit les joueurs de Survivor Québec n'a pas le droit de porter des lunettes fumées. Pourquoi exactement ? Pour éviter que les concurrents se voient dans le reflet des lentilles. Ce n'est qu'à la toute fin de l'aventure, quand ils sont hirsutes, poilus et amaigris, que les finalistes ont la permission de se regarder dans un vrai miroir. Et non, les rasoirs ne sont pas autorisés, autant pour les hommes que pour les femmes. « Il ne faut pas qu'ils pensent à leur look », explique le producteur exécutif de l'émission, Francis Laforest. La productrice au contenu Marie-Ève Brassard ajoute : « L'équipe sur le terrain ne peut pas manger ni boire devant les participants. Ils n'ont pas le droit, non plus, de porter des montres afin que les joueurs ne sachent jamais quelle heure il est », note-t-elle. Les survivants de Noovo ne sont pas payés pour manger du riz blanc et des noix de coco pendant 42 jours. Comme à Occupation double, ils reçoivent une allocation symbolique d'environ 150 $ par semaine. Également, il n'y a pas de congé de tournage à Survivor Québec. L'horaire est parfois moins chargé, mais les concurrents ne peuvent pas décrocher de la partie et ils ne savent pas, à l'avance, ce qui les attend sur le calendrier. PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE L'ÉMISSION Les candidates Sarah et Marilou lors d'un conseil de tribu Le matin, les caméras arrivent entre 6 h et 7 h et s'éteignent souvent après minuit, quand les joueurs rentrent d'un conseil de tribu. Les nuits, d'une durée moyenne de quatre heures, sont donc très courtes dans ce jeu. Après trois années aux Philippines, l'équipe de Survivor Québec déménage au Panamá pour son quatrième chapitre, prévu sur les ondes de Noovo au printemps 2026. La patronne de Productions J, Julie Snyder, qui supervise la conception de Survivor Québec, croit que ce déplacement « va renouveler l'expérience, tant pour les joueurs que pour le public ». « La faune et la flore y sont différentes. Le fuseau horaire du Panamá est mieux adapté au nôtre. Il y avait 12 heures de décalage entre nous et les Philippines. Et la météo était assez stable aux Philippines, alors que ça va être plus costaud au Panamá », précise Julie Snyder. Les nouvelles tribus de 2026 se disperseront dans l'archipel des Perles, sur la côte pacifique du Panamá. La pêche y sera, semble-t-il, plus facile qu'aux Philippines, où aucun gros poisson n'a rempli d'estomac en trois saisons complètes. 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