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Guerre en Ukraine : Moscou a mené la plus grosse attaque nocturne contre Kiev, plus de 550 drones et missiles tirés
Guerre en Ukraine : Moscou a mené la plus grosse attaque nocturne contre Kiev, plus de 550 drones et missiles tirés

Le Parisien

time19 hours ago

  • Le Parisien

Guerre en Ukraine : Moscou a mené la plus grosse attaque nocturne contre Kiev, plus de 550 drones et missiles tirés

Les pourparlers de paix entre Kiev et Moscou semblent plus que jamais dans l'impasse. L'Ukraine a affirmé vendredi que la Russie avait lancé 550 drones et missiles sur son territoire pendant la nuit. Il s'agit de l'attaque nocturne la plus massive menée par la Russie depuis le début de la guerre . « L'ennemi a attaqué avec un grand nombre de drones (…) c'est le plus grand nombre que l'ennemi ait jamais utilisé dans une seule attaque », a indiqué à la télévision ukrainienne Iouri Ignat, porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne. Dans le détail, l'armée de l'air a indiqué, dans un communiqué, que Moscou avait lancé 539 drones et 11 missiles lors de l'attaque. Les unités de défense aérienne ont abattu 268 drones et deux missiles, a-t-elle ajouté. Le Kremlin intensifie ses attaques aériennes tandis que les perspectives de paix s'éloignent. Dans un rare aveu d'impuissance, Donald Trump a reconnu jeudi n'avoir fait « aucun progrès » visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, lors d'un appel téléphonique avec son homologue russe Vladimir Poutine . « Non, je n'ai fait aucun progrès » lors de cette conversation, a déclaré le président américain à la presse, ajoutant qu'il n'était « pas content » de la guerre en cours entre les deux pays. Le président russe venait de lui dire que la Russie « ne renoncera pas à ses objectifs » en Ukraine, tout en se disant ouvert à la poursuite des négociations avec Kiev. Il s'agissait de la sixième discussion entre les deux dirigeants depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier. Elle est intervenue au lendemain de l'annonce par Washington d' une pause dans la livraison de certaines armes à l'Ukraine , plus de trois ans et demi après le début de l'offensive russe.

La Russie, premier pays à reconnaître le pouvoir taliban en Afghanistan
La Russie, premier pays à reconnaître le pouvoir taliban en Afghanistan

Le Parisien

time21 hours ago

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La Russie, premier pays à reconnaître le pouvoir taliban en Afghanistan

Une « décision courageuse » et « un exemple pour les autres », selon Kaboul. La Russie est officiellement devenue le premier pays à reconnaître l'émirat islamique instauré par les talibans en Afghanistan . Une reconnaissance officielle qui s'accompagne de la mise en place du drapeau taliban depuis ce jeudi 3 juillet au sommet de l'ambassade afghane à Moscou . Jusqu'ici, l'émirat islamique fondé en 2021 par les talibans, après quatre décennies de guerre civile, n'avait été reconnu officiellement par aucun autre État. Et demeurait très isolé sur la scène internationale, les pays occidentaux lui reprochant leurs visions austères de la loi islamique et les restrictions imposées aux femmes et aux filles notamment dans l'éducation et la vie publique . Les talibans recherchent activement la reconnaissance et les investissements internationaux pour reconstruire un pays dévasté par les guerres intestines avec le gouvernement soutenu par les Occidentaux et celles plus lointaines avec l'URSS entre 1979 à 1989. Ce rapprochement est symptomatique d'une intensification des coopérations des autorités talibanes avec ses voisins régionaux ainsi que de grands acteurs des relations internationales comme la Chine ou la Russie. Du côté russe, on estime que cet « acte de reconnaissance officielle du gouvernement de l'Émirat islamique d'Afghanistan donnera un élan au développement d'une coopération bilatérale productive entre nos pays dans divers domaines ». « Nous voyons d'importantes perspectives de coopération dans le domaine commercial et économique, en particulier dans les projets liés à l'énergie, aux transports, à l'agriculture et aux infrastructures », précise le ministère des Affaires étrangères russes. Ce renforcement des liens entre les deux pays pourrait aussi permettre selon Moscou de « renforcer la sécurité régionale ». En 2024, Poutine avait déjà indiqué que les talibans étaient des « alliés dans la lutte contre le terrorisme » . Ce rapprochement entre les deux pays n'est pas le premier. Le Kremlin avait déjà ouvert un bureau de représentation commerciale à Kaboul. Et la Cour suprême russe avait également retiré en avril 2025 le mouvement taliban de la liste des organisations considérées comme terroristes.

Guerre en Ukraine : un mort lors d'une attaque ukrainienne, nouvelles frappes sur Kiev
Guerre en Ukraine : un mort lors d'une attaque ukrainienne, nouvelles frappes sur Kiev

Le Figaro

time21 hours ago

  • Le Figaro

Guerre en Ukraine : un mort lors d'une attaque ukrainienne, nouvelles frappes sur Kiev

Le ministère russe de la Défense a dit avoir intercepté et détruit 48 drones ukrainiens au cours de la nuit. Du côté ukrainien, les autorités ont annoncé 19 blessés dans la nuit, dont 14 ont été hospitalisés. Les attaques se poursuivent. Une personne a été tuée dans la nuit de jeudi à vendredi par une attaque de drones ukrainiens dans la région de Rostov, dans le sud de la Russie. C'est ce qu'a annoncé le gouverneur régional. Les autorités ukrainiennes, de leur côté, ont fait état d'au moins 19 blessés dans des frappes russes sur Kiev. «Des drones ont attaqué les districts d'Azov, Millerovsky et Tarasovsky dans la nuit. Les militaires ont repoussé l'attaque aérienne, mais hélas cela n'a pas été sans conséquences tragiques», a écrit sur Telegram le gouverneur intérimaire de la région russe de Rostov, Iouri Sliousar. Publicité Dans le village de Dolotinka du district de Millerovsky, un drone s'est écrasé contre un immeuble résidentiel de deux étages, tuant une enseignante à la retraite, a précisé Iouri Sliousar, ajoutant que les autres attaques avaient causé des dégâts matériels parfois importants, mais aucune victime. Des drones ukrainiens ont également visé vendredi à l'aube la région de Moscou, faisant un blessé léger dans le district de Serguiev Possad, selon la cheffe de ce district, Oksana Erokhanova. 48 drones ukrainiens interceptés Dans le même district, des chutes de débris de drones ont provoqué un incendie dans une sous-station électrique, ce qui a causé des coupures de courant, a ajouté Oksana Erokhanova. Le ministère russe de la Défense a dit avoir intercepté et détruit 48 drones ukrainiens au cours de la nuit, dont 26 dans la région de Rostov. Du côté ukrainien, les autorités de Kiev ont annoncé que des frappes de missiles et de drones russes contre plusieurs districts de la capitale avaient fait au moins 19 blessés dans la nuit, dont 14 ont été hospitalisés. Selon la compagnie ferroviaire nationale ukrainienne, Ukrzaliznytsia, les bombardements russes ont endommagé l'infrastructure ferroviaire dans l'ouest de la ville, entraînant le déroutement du trafic.

Le rare aveu d'impuissance de Donald Trump après son appel avec Vladimir Poutine
Le rare aveu d'impuissance de Donald Trump après son appel avec Vladimir Poutine

Le HuffPost France

timea day ago

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Le rare aveu d'impuissance de Donald Trump après son appel avec Vladimir Poutine

INTERNATIONAL - Un rare aveu d'impuissance. Après un appel d'environ une heure avec son homologue russe Vladimir Poutine, Donald Trump a reconnu, ce jeudi 3 juillet, ne pas avoir réussi à faire avancer le dossier ukrainien et à faire changer d'avis le maître du Kremlin. « Non, je n'ai fait aucun progrès » lors de cette conversation, a déclaré le président américain à la presse, ajoutant qu'il n'était « pas content » de la guerre en cours entre l'Ukraine et la Russie. Le président russe venait de lui dire que la Russie « ne renoncera pas à ses objectifs » en Ukraine, tout en se disant ouvert à la poursuite des négociations avec Kiev. Moscou campe sur ses positions Il s'agissait de la sixième discussion entre les deux dirigeants depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier. L'échange a été qualifié devant les journalistes de « franc » par le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov. La Russie « continue à rechercher une solution politique et négociée au conflit » avec l'Ukraine, a affirmé le président russe à son homologue, selon Iouri Ouchakov. Vladimir Poutine a « souligné la volonté de la partie russe de poursuivre le processus de négociation » entamé à Istanbul, où ont récemment eu lieu deux sessions de pourparlers directs russo-ukrainiens aux maigres résultats. Mais « la Russie ne renoncera pas à ces objectifs », a martelé Iouri Ouchakov. Moscou réclame notamment de l'Ukraine qu'elle lui cède quatre régions partiellement occupées, en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce à entrer dans l'Otan. Des conditions inacceptables pour Kiev. Volodymyr Zelensky veut parler à Donald Trump Vladimir Poutine et Donald Trump ont également évoqué les conflits au Moyen-Orient, dont la récente guerre entre l'Iran et Israël et la Syrie, le chef de l'État russe ayant plaidé pour un règlement « exclusivement par des moyens politiques et diplomatiques » Cette discussion est intervenue au lendemain de l'annonce par Washington d'une pause dans la livraison de certaines armes à l'Ukraine, plus de trois ans et demi après le début de l'offensive russe. Les États-Unis sont le principal pourvoyeur d'aide militaire à l'Ukraine et cette décision risque de mettre Kiev dans une position difficile à un moment où les troupes russes continuent d'avancer sur le front. En déplacement au Danemark jeudi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé les Européens à accroître leur soutien face à ce qui s'apparente à un désengagement américain. Dans ce contexte, le chef de l'État ukrainien a dit espérer s'entretenir avec Donald Trump « demain (vendredi ndlr) ou dans les prochains jours ». Les deux dirigeants s'étaient rencontrés en marge du sommet de l'Otan à La Haye la semaine dernière. Mardi, c'était le président français Emmanuel Macron qui avait parlé au téléphone avec Vladimir Poutine, pour la première fois depuis 2022, à l'encontre de la politique visant à isoler le maître du Kremlin prônée par les Européens.

La Russie devient le premier pays à reconnaître le pouvoir taliban
La Russie devient le premier pays à reconnaître le pouvoir taliban

La Presse

timea day ago

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La Russie devient le premier pays à reconnaître le pouvoir taliban

Sur cette photo diffusée par le ministère russe des Affaires étrangères le 3 juillet 2025, le nouvel envoyé des talibans à Moscou, Gul Hassan, remet des copies de ses lettres de créance au vice-ministre des Affaires étrangères, Andrei Rudenko, à Moscou. La Russie devient le premier pays à reconnaître le pouvoir taliban (Kaboul) La Russie est officiellement devenue le premier pays à reconnaître l'émirat islamique instauré par les talibans en Afghanistan, une décision qualifiée de « courageuse » par Kaboul. Agence France-Presse Les talibans sont revenus au pouvoir en 2021 après avoir renversé le gouvernement soutenu par les Occidentaux et ont imposé à la population afghane une version austère de la loi islamique. « La Russie est le premier pays à avoir officiellement reconnu l'Émirat islamique », a déclaré à l'AFP Zia Ahmad Takal, le porte-parole du ministère afghan des Affaires étrangères. C'est une « décision courageuse » et elle sera « un exemple pour les autres », a commenté le ministre afghan des Affaires étrangères Amir Khan Muttaqi au cours d'une rencontre avec l'ambassadeur russe à Kaboul Dmitri Jirnov, selon une vidéo diffusée sur X. « Importantes perspectives » « Reconnu », a simplement fait savoir à l'agence de presse étatique Ria Novosti le représentant spécial du président russe Vladimir Poutine pour l'Afghanistan, Zamir Kaboulov. Une information ensuite confirmée par le ministère russe des Affaires étrangères à l'agence TASS. Cette dernière a souligné que le drapeau afghan introduit par les talibans avait été hissé pour la première fois au-dessus de l'ambassade d'Afghanistan à Moscou jeudi. Plus tôt dans la journée, le ministère russe des Affaires étrangères avait dit avoir reçu les lettres de créance du nouvel ambassadeur de l'Afghanistan en Russie, Gul Hassan Hassan. « Nous pensons que l'acte de reconnaissance officielle du gouvernement de l'Émirat islamique d'Afghanistan donnera un élan au développement d'une coopération bilatérale productive entre nos pays dans divers domaines », a souligné le ministère sur Telegram. « Nous voyons d'importantes perspectives de coopération dans le domaine commercial et économique, en particulier dans les projets liés à l'énergie, aux transports, à l'agriculture et aux infrastructures », a-t-il ajouté. Moscou compte « continuer à aider Kaboul à renforcer la sécurité régionale et à lutter contre les menaces du terrorisme et du trafic de drogue », a insisté la diplomatie russe. Elle a aussi évoqué la possibilité d'« approfondir les liens dans les domaines de l'éducation, du sport, de la culture et dans le domaine humanitaire ». Russie et Afghanistan « alliés contre le terrorisme » La Russie avait déjà pris des mesures pour normaliser ses relations avec les talibans, isolés sur la scène internationale. La Cour suprême russe avait ainsi retiré en avril ce mouvement de la liste des organisations considérées comme terroristes par le gouvernement russe. La Russie avait aussi été le premier pays à ouvrir un bureau de représentation commerciale à Kaboul après la prise du pouvoir par les talibans et avait annoncé son intention d'utiliser l'Afghanistan comme plaque tournante pour approvisionner en gaz l'Asie du Sud-Est. En juillet 2024, Vladimir Poutine avait même qualifié les talibans d'« alliés dans la lutte contre le terrorisme ». Si seuls l'Arabie saoudite, le Pakistan et les Émirats arabes unis avaient reconnu le précédent régime taliban (1996-2001), cette fois-ci, plusieurs autres États, dont la Chine, ont à l'instar du Pakistan accepté des ambassadeurs de l'Émirat islamique dans leurs capitales, sans toutefois officiellement reconnaître celui-ci. Même si elle reste limitée, la coopération avec les autorités talibanes s'intensifie avec les voisins régionaux de l'Afghanistan mais aussi avec de grands acteurs mondiaux comme la Chine et la Russie. Les restrictions imposées aux femmes et aux filles, exclues de l'éducation et de la vie publique, constituent des points de friction majeurs pour les Occidentaux. Les talibans recherchent activement la reconnaissance et les investissements internationaux, leurs pays ayant été dévasté par quatre décennies de guerre, en particulier par l'invasion soviétique de 1979 à 1989.

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