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Sidérurgie : en grande difficulté, Novasco (ex-Ascometal) se dirige vers un redressement judiciaire
Sidérurgie : en grande difficulté, Novasco (ex-Ascometal) se dirige vers un redressement judiciaire

Le Figaro

time3 days ago

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Sidérurgie : en grande difficulté, Novasco (ex-Ascometal) se dirige vers un redressement judiciaire

En difficulté, le groupe Novasco, nouveau nom du sidérurgiste Ascometal depuis sa reprise en juillet 2024 par le fonds d'investissement Greybull capital, a rendez-vous au tribunal à Strasbourg le 11 août, où sa mise en redressement judiciaire pourrait être prononcée, a-t-on appris samedi de source syndicale. «La date du 11 août a été confirmée par (le mandataire judiciaire) pour que Novasco soit placé en redressement judiciaire», a annoncé à l'AFP Gazi Yildiz, délégué syndical central CGT, exerçant dans l'aciérie d'Hagondange (Moselle), site sur lequel se trouve aussi un centre de recherche. Dans la semaine, six candidats à la reprise ont été auditionnés, avait expliqué à l'AFP Yann Amadoro, secrétaire (CGT) du comité social et économique (CSE). Selon les premiers retours, des potentiels candidats «auraient des intérêts pour différents sites. Mais pour l'instant rien de concret sur Hagondange», qui emploie 450 personnes en Moselle. Publicité Greybull n'a apporté que 1,5 million d'euros Avec ses trois autres sites d'usinage et de parachèvement, à Custines (Meurthe-et-Moselle), Saint-Étienne (dans le quartier du Marais) et Leffrinckoucke (Nord), Novasco emploie environ 760 personnes. «Dans ce cas-là, ce que demandent les salariés d'Hagondange, c'est de pouvoir avoir l'assurance qu'il y ait des fonds qui soient sécurisés pour payer les mesures d'accompagnement de départ», selon Yann Amadoro. Le placement de l'entreprise en redressement judiciaire, avec une période d'observation, donnera «du temps, que ce soit pour trouver une solution ou pour négocier des mesures acceptables», selon Yann Amadoro. L'entreprise, qui fabrique des aciers spéciaux, notamment pour le secteur automobile, avait été reprise en juillet 2024 par Greybull capital, qui devait injecter 90 millions d'euros, avec le soutien de l'État, qui devait apporter 85 millions d'euros. L'État a versé 75 millions d'euros, et 10 millions sont attendus en août, selon Gazi Yildiz. À l'inverse, le fonds britannique Greybull n'a apporté que 1,5 million d'euros, selon les syndicats. Si l'État a rempli son engagement financier, il n'a pas été «suffisamment attentif au déroulement du plan», déplore Yann Amadoro. «À partir du moment où l'État finance un projet comme celui-là, on s'attend à ce que l'argent public qui est mis dedans soit fléché et que l'État prenne toutes les garanties pour s'assurer que le projet se déroule comme prévu». Les employés poursuivront la semaine prochaine le blocage des flux de transport sur le site. Car «vu le timing, le seul levier que l'on a, c'est de garder la main sur les stocks», selon Yann Amadoro.

Pour lutter contre les cyanobactéries, cette base de loisirs utilise… des ultrasons !
Pour lutter contre les cyanobactéries, cette base de loisirs utilise… des ultrasons !

Le Parisien

time3 days ago

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Pour lutter contre les cyanobactéries, cette base de loisirs utilise… des ultrasons !

Retraitée originaire des Vosges, Elisabeth Royer a pris ses habitudes au camping de Mittersheim ( Moselle ), qui longe l'étang du village. Aujourd'hui, assise à contempler l'étendue d'eau sur laquelle trône un toboggan géant en plastique, elle surveille, ravie, sa petite-fille Aelia, 7 ans. La mamie de 66 ans, qui revient chaque année occuper avec son mari Raymond un mobile home à proximité est aux anges. Oubliés, les nombreux épisodes d'interdiction d'accès à la baignade qu'elle a vécus depuis son arrivée en 2014. En cause : les cyanobactéries et les mesures de sécurité qui interdisaient de tremper le pied dans l'eau. « Et en vacances, se rafraîchir en se baignant ça change tout. À défaut, on gonflait une petite piscine devant notre mobile home pour que les enfants s'amusent, mais ce n'est pas pareil… »

Rassemblement évangélique des gens du voyage : colère et lassitude autour de Grostenquin en Moselle
Rassemblement évangélique des gens du voyage : colère et lassitude autour de Grostenquin en Moselle

Le Parisien

time6 days ago

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Rassemblement évangélique des gens du voyage : colère et lassitude autour de Grostenquin en Moselle

Dans les armoires de sa mairie, le document est soigneusement rangé. Franck Rémy contient sa sourde colère. « On a encore la lettre dans nos archives. Quand on voit que le Premier ministre lui-même, Édouard Philippe , nous promettait solennellement en 2017 que c'était la dernière fois, il y a des questions à se poser », commente le premier magistrat de Guessling-Hémering. Avant d'ajouter, tranchant : « Quand l'État ne tient pas ses promesses, c'est la démocratie qui est malmenée » Avec quatre autres communes des environs ( Grostenquin , Bistroff, Lelling, Lixing-lès-Saint-Avold), le maire de cette commune rurale de Moselle avait pourtant pris les devants : non, il n'était pas question de recevoir, une nouvelle fois, le rassemblement évangélique « Vie et lumière » des gens du voyage . Mais la préfecture, qui a reçu cette semaine les cinq maires, a confirmé leurs craintes.

Moselle : les parents d'un bébé décédé placés en détention provisoire
Moselle : les parents d'un bébé décédé placés en détention provisoire

Le Parisien

time6 days ago

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Moselle : les parents d'un bébé décédé placés en détention provisoire

Les parents d'un nourrisson de quatre mois décédé lundi ont été mis en examen et placés en détention provisoire, a confirmé ce jeudi le parquet de Metz ( Moselle ) à l'AFP. Le père, né en 2000 et la mère, née en 1996, ont été mis en examen pour « violences volontaires ayant entraîné une infirmité sur mineur de (moins de) 15 ans par ascendant », « meurtre sur mineur de (moins de) 15 ans » et « soustraction aux obligations légales de parent ». Ils ont été écroués. Le bébé est décédé lundi au CHRU de Nancy où il avait été héliporté dans un état critique depuis l'hôpital de Sarrebourg (Moselle), commune de résidence des parents. Il présentait un hématome à une tempe, selon une source policière. L'autopsie réalisée « confirme que son décès est dû à l'intervention d'un tiers », a indiqué mercredi soir la vice-procureure de Metz Élise Bozzolo. Le couple faisait déjà l'objet d'une enquête pour « violences volontaires ayant entraîné une infirmité sur mineur de (moins de) 15 ans par ascendant ». Le nourrisson avait déjà été hospitalisé en avril pour une fracture, alors qu'il n'avait qu'une dizaine de jours, et il avait été placé judiciairement entre le 7 avril et le 11 juillet. Les parents avaient alors plaidé la thèse d'un accident domestique. Le tribunal pour enfants avait ordonné la restitution du bébé à la mère, il y a quelques jours. Selon France 3 Lorraine , la mère et le père sont des militaires en activité et ils ne vivent pas ensemble. La femme de 29 ans a été placée en détention provisoire à Metz, l'homme de 25 ans à la maison d'arrêt de Nancy-Maxéville (Meurthe-et-Moselle). Le couple n'a pas d'autre enfant.

Mort d'un bébé de quatre mois en Moselle : les parents mis en examen et écroués
Mort d'un bébé de quatre mois en Moselle : les parents mis en examen et écroués

Le Figaro

time6 days ago

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Mort d'un bébé de quatre mois en Moselle : les parents mis en examen et écroués

Les parents du bébé décédé lundi en Moselle suite à «l'intervention d'un tiers» ont été mis en examen, notamment pour «meurtre sur mineur», et placés en détention provisoire. Les parents, âgés tous deux d'une vingtaine d'années, d'un nourrisson de quatre mois décédé lundi 21 juillet, ont été mis en examen et placés en détention provisoire, a appris l'AFP ce jeudi 24 juillet auprès du parquet de Metz. Le père, né en 2000 et la mère, née en 1996, ont été mis en examen pour «violences volontaires ayant entraîné une infirmité sur mineur de (moins de) 15 ans par ascendant», «meurtre sur mineur de (moins de) 15 ans» et «soustraction aux obligations légales de parent». Ils ont été écroués. Publicité L'autopsie réalisée «confirme que son décès est dû à l'intervention d'un tiers» Le bébé est décédé lundi au CHRU de Nancy où il avait été héliporté dans un état critique depuis l'hôpital de Sarrebourg (Moselle), commune de résidence des parents. Il présentait un hématome à une tempe, selon une source policière. L'autopsie réalisée «confirme que son décès est dû à l'intervention d'un tiers», a indiqué mercredi soir la vice-procureure de Metz Elise Bozzolo. Le couple faisait déjà l'objet d'une enquête pour «violences volontaires ayant entraîné une infirmité sur mineur de (moins de) 15 ans par ascendant». Le bébé avait en effet déjà été hospitalisé en avril pour une fracture, alors qu'il n'avait qu'une dizaine de jours. Il avait été placé judiciairement entre le 7 avril et le 11 juillet. Les parents avaient alors plaidé la thèse d'un accident domestique. Le tribunal pour enfants avait ordonné la restitution du bébé à la mère, il y a quelques jours. Le couple n'a pas d'autre enfant.

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