Dernières actualités avec #NicolasSarkozy


Le Figaro
3 days ago
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Natali Husic, la femme de Louis Sarkozy, confirme sa grossesse sur Instagram
Ce samedi 12 juillet, l'épouse de Louis Sarkozy a dévoilé son baby bump sur Instagram, confirmant sa grossesse. Ils se sont mariés en septembre 2022 et trois ans plus tard ils s'apprêtent à accueillir leur premier enfant. Ce samedi 12 juillet, Natali Husic a confirmé la nouvelle en partageant une photo de son baby bump dans une story Instagram. «Happy belly, happy baby», a écrit la femme de Louis Sarkozy, que l'on peut traduire par «un ventre heureux, un bébé heureux». Sur le cliché, celle qui a épousé le fils de Nicolas Sarkozy et Cécilia Attias, est à table et dissimule son ventre rond sous un ensemble en laine blanche. La future maman se trouvait au restaurant Ralph's à Paris, en témoigne une autre photo publiée dans sa story Instagram. C'est un heureux événement pour le couple qui s'est rencontré en 2017 et qui n'hésite pas à partager ces moments de bonheur sur les réseaux sociaux. À lire aussi «Nous sommes restés sept mois à l'hôtel Fairmont» : le luxueux train de vie de Louis Sarkozy à Washington «À toutes les mères de France» L'annonce n'était pas encore officielle, mais quelques indices avaient été disséminés sur les réseaux sociaux du couple. En effet, en mai dernier, à l'occasion de la Fête des mères, Louis Sarkozy avait partagé une publication sur Instagram avec des photos de lui et de son épouse, Natali. En légende, le troisième fils de Nicolas Sarkozy avait ajouté : «À toutes les mères de France». Publicité Un indice de taille, qui laissait déjà penser que celle qui travaille dans les relations internationales attendait un heureux événement. Et dans les commentaires, les internautes s'en étaient donné à cœur joie pour féliciter les futurs parents. Finalement, la nouvelle a bel et bien été confirmée par Natali Husic en personne.


Le Figaro
5 days ago
- Politics
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Henri Guaino et Pierre Lellouche : «Comment la France peut-elle se réarmer ?»
GRAND ENTRETIEN - À la veille du 14 juillet, l'ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy et l'ancien ministre des Affaires européennes font le point sur la politique de défense de la France. LE FIGARO. - Dans un contexte géopolitique qui n'a peut-être jamais été aussi tendu depuis la seconde guerre mondiale, notre armée est-elle prête à faire face aux nouveaux défis ? Pierre LELLOUCHE. - Notre armée actuelle est le résultat direct de la fin de la guerre froide au début des années 1990. Élu en 1995, Jacques Chirac décide l'arrêt de nos essais nucléaires, puis la « suspension » du service militaire obligatoire, en fait d'en finir avec la conscription vécue à l'époque comme inutile et inégalitaire. Dans l'euphorie de la prétendue « fin de l'Histoire », la guerre en Europe appartenait au passé ; l'avenir serait fait d'interventions ponctuelles à l'extérieur. La guerre du Golfe venait de montrer que d'envoyer des conscrits se battre en Irak était compliqué, notamment pour les familles, et que l'armée de la guerre froide n'était pas dimensionnée pour ce type d'opérations. Notre modèle d'armée allait donc être profondément bouleversé avec le passage à une armée professionnalisée…


Le Parisien
7 days ago
- Politics
- Le Parisien
À Londres, Emmanuel Macron et le retour de flammes de l'entente cordiale entre la France et le Royaume-Uni
Un rare privilège. Avant Emmanuel Macron ce mardi, Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac ou François Mitterrand avaient été invités à prononcer un discours à Westminster, siège du Parlement à Londres. Dans la prestigieuse Galerie Royale du palais chargée d'ors, de statues et de fresques épiques, devant les deux Chambres réunies ― Lords et Communes ―, le chef de l'État s'est exprimé en anglais. Tout comme le roi Charles III l'avait fait en français dans son discours au Sénat lors de sa visite en France en septembre 2023. Pour cette visite de « réengagement » ― dixit l'Élysée ―, ou de « reset » selon Keir Starmer , le Premier ministre travailliste qui veut une remise à zéro des relations du Royaume avec l'Europe, le discours présidentiel est très géopolitique. Avec des accents clairement anti-trumpistes, au cœur de ce pays jouant traditionnellement le rôle de pont entre Europe et Amérique.


Le Figaro
7 days ago
- Business
- Le Figaro
Bertille Bayart : « La cerisaie européenne, ou la chronique d'un monde qui tombe »
Réservé aux abonnés CHRONIQUE - Les décideurs économiques réunis le week-end dernier à Aix-en-Provence ont laissé apparaître leur sentiment de désillusion. Comme chaque année depuis vingt-cinq ans, Paris - essentiellement ses 7e et 8e arrondissements, ainsi que quelques étages élevés des tours de la Défense - s'est vidé pendant trois jours de plusieurs centaines de ses plus éminents résidents. Patrons, économistes, politiques, consultants et journalistes ont pris d'assaut les TGV, et débarqué à Aix-en-Provence pour les Rencontres annuelles du Cerce des économistes, du 3 au 5 juillet. L'élite était priée de phosphorer sur le « choc des réalités », de produire un jus de cervelles cuites à l'étuvée d'un soleil de plomb. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Ambiance moite mais sympathique, voire festive. On ne peut s'empêcher de penser à cette une du magazine The Economist au printemps 2012, qui figurait Le Déjeuner sur l'herbe, de Manet, où se prélassaient les deux finalistes de la présidentielle, François Hollande et Nicolas Sarkozy. Déni de la situation économique et financière du pays et frivolité des débats politiques restent d'actualité, treize ans plus tard. Que peut-on…


Le Parisien
08-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Visite d'Emmanuel Macron à Charles III : le french bashing, une tradition qui se perd au Royaume-Uni
« En cas de doute, blâmez les Français. » Le dicton britannique aurait-il pris un coup de vieux ? Ces derniers mois, la rengaine anti-française semble être passée en mode « sourdine ». Si les tabloïds continuent d'accuser quasi quotidiennement Emmanuel Macron et le gouvernement français de laxisme face au phénomène des migrants qui traversent la Manche , le french bashing connaît un répit qui sera le bienvenu de ce mardi à jeudi, pour la visite d'État au Royaume-Uni du président. La première en dix-sept ans. Depuis la venue de Nicolas Sarkozy à Windsor, l'invitation se faisait attendre, la faute ― peut-être ― à François Hollande . La reine Elizabeth II aurait peu apprécié les manières du chef d'État socialiste lors de sa visite en France, en juin 2014. Il avait planté son invitée en plein banquet pour aller répondre au téléphone à Vladimir Poutine.