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À Londres, Emmanuel Macron et le retour de flammes de l'entente cordiale entre la France et le Royaume-Uni

À Londres, Emmanuel Macron et le retour de flammes de l'entente cordiale entre la France et le Royaume-Uni

Le Parisien08-07-2025
Un rare privilège. Avant
Emmanuel Macron
ce mardi, Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac ou François Mitterrand avaient été invités à prononcer un discours à Westminster, siège du Parlement à Londres. Dans la prestigieuse Galerie Royale du palais chargée d'ors, de statues et de fresques épiques, devant les deux Chambres réunies ― Lords et Communes ―, le chef de l'État s'est exprimé en anglais. Tout comme le roi
Charles III
l'avait fait en français dans son discours au Sénat lors de sa visite en France en septembre 2023.
Pour cette visite de « réengagement » ― dixit l'Élysée ―, ou de « reset » selon
Keir Starmer
, le Premier ministre travailliste qui veut une remise à zéro des relations du Royaume avec l'Europe, le discours présidentiel est très géopolitique. Avec des accents clairement anti-trumpistes, au cœur de ce pays jouant traditionnellement le rôle de pont entre Europe et Amérique.
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Reconnaissance de la Palestine : «Pourquoi la France n'aurait pas dû écarter Israël des négociations de paix»
Reconnaissance de la Palestine : «Pourquoi la France n'aurait pas dû écarter Israël des négociations de paix»

Le Figaro

time2 hours ago

  • Le Figaro

Reconnaissance de la Palestine : «Pourquoi la France n'aurait pas dû écarter Israël des négociations de paix»

FIGAROVOX/TRIBUNE - En reconnaissant un État palestinien mi-juillet, Emmanuel Macron a agi trop vite. Il fallait d'abord conférer aux Palestiniens des institutions viables et négocier avec Israël, sans lequel aucune paix ne sera possible, estime la géopolitologue Léa Landman. Léa Landman est géopolitologue et spécialiste du Moyen-Orient. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Depuis les images de famine à Gaza, l'opinion publique occidentale a basculé. Peu importe que l'ONU ait refusé d'aider à la distribution, que le Hamas ait volé et revendu la nourriture, ou que l'armée israélienne ait ouvert les corridors humanitaires : dans la rue, à Paris comme à Londres, cela n'a plus d'importance. Pour beaucoup, la Palestine est LA cause par excellence, et la reconnaissance d'un État palestinien devient un geste de justice. La brutalité et la destruction à Gaza, ajoutées à des négociations pour la libération des otages qui progressent trop lentement, rendent les justifications d'Israël de plus en plus inaudibles. Publicité C'est dans ce contexte qu'Emmanuel Macron, au nom d'un «devoir moral », a reconnu un État palestinien. Mais un devoir envers qui ? Les Palestiniens ? Leur direction actuelle ? Ou envers une image abstraite de la paix ? Car au fond, Emmanuel Macron sait que cette reconnaissance ne nourrira pas Gaza, ne ramènera pas les otages, ni ne changera la réalité militaire sur le terrain. Quel est donc le but de cette reconnaissance ? La reconnaissance d'Israël par la France, en 1949, n'était pas gratuite. Elle s'est faite dans le cadre des résolutions 181 et 194, avec l'idée que la reconnaissance internationale devait aller de pair avec des garanties concrètes : accès aux Lieux Saints, respect des minorités, négociations sur le statut des réfugiés. Aujourd'hui, Emmanuel Macron reconnaît un État palestinien sans cadre, sans exigence. Ni sur la gouvernance palestinienne. Ni sur le démantèlement du Hamas. Ni sur la sécurité régionale. Ni sur la fin des incitations à la haine. La reconnaissance devient une fin, plus un levier. Et pourtant, la position française dans d'autres conflits récents montre une tout autre logique. Elle a reconnu le Sahara occidental comme marocain en 2024 en rupture avec sa position historique, soutient l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan face au Nagorno-Karabakh malgré les pressions, tout en ayant reconnu l'indépendance du Kosovo dans un cadre international négocié et encadré. La France, en matière de reconnaissance, adapte sa stratégie au contexte. Mais ici, dans le cas palestinien, elle choisit l'absolu. Un saut diplomatique sans filet. L'impunité précédera-t-elle l'État ? Reconnaître un État sans frontières, sans responsabilités, sans institutions viables, c'est ouvrir la porte à un simulacre d'État, pas à une solution Léa Landman Emmanuel Macron a offert un État avant toute négociation. Cela revient à poser la ligne d'arrivée sans avoir couru. Gaza, Cisjordanie (quelles zones ? A, B, C ?), Jérusalem Est comme capitale, et quoi ? Un droit de visite «supervisé» au mur des Lamentations ? Que fait-on des réfugiés, du contrôle sécuritaire, de la démilitarisation de Gaza ? Et les responsabilités de cet État ? Qui les assume ? L'Autorité palestinienne ? L'impunité précédera-t-elle l'État ? Reconnaître un État sans frontières, sans responsabilités, sans institutions viables, c'est ouvrir la porte à un simulacre d'État, pas à une solution. En offrant un État avant tout compromis, Emmanuel Macron change les règles du jeu. Pourquoi se réformer, pourquoi négocier, pourquoi désarmer, si la récompense vient d'abord ? L'Autorité palestinienne, affaiblie, corrompue et illégitime, n'a aucun intérêt à se transformer. Le Hamas peut tranquillement se présenter comme «résistant» tout en sabotant toute perspective d'État. Publicité Le Kosovo n'a pas été reconnu d'un claquement de doigts. Sa déclaration d'indépendance a été accompagnée d'un mandat international, d'une supervision civile et militaire, d'un calendrier de transition. Pourquoi ne pas envisager un modèle similaire pour la Palestine ? Une gouvernance provisoire, un désarmement supervisé, un plan de développement économique piloté par les puissances régionales. Bref, un minimum de sérieux avant de parler de reconnaissance. Et maintenant ? D'autres pays occidentaux vont suivre : l'Australie, le Portugal, le Luxembourg et d'autres. On aura bientôt une majorité de membres l'UE reconnaissant un État palestinien sans contour, sans réforme, sans discussion. Résultat : siège à l'ONU, accords bilatéraux, et une nouvelle série d'armes diplomatiques pour accuser Israël de «bloquer la mise en œuvre». Même le Royaume-Uni, qui n'a pourtant rien d'un bastion pro-israélien, conditionne sa propre reconnaissance à des demandes précises - mais exclusivement adressées à Israël. Suspension de la colonisation, engagements territoriaux, garanties diplomatiques. Aucun mot sur la réforme de l'Autorité palestinienne, sur la fin du financement des familles de terroristes, ou sur la question des manuels scolaires. Une diplomatie asymétrique, qui risque de produire l'effet inverse de celui recherché. Tout le monde sait qu'aucun accord de paix ne verra le jour sans Israël. L'éloigner, c'est saboter l'avenir Léa Landman Oui, l'Europe a des leviers : suspension du programme Horizon Europe (dont Israël est un bénéficiaire stratégique mais qui n'est pas passée), gels d'accords commerciaux, sanctions ciblées. Mais les utiliser dans ce contexte, sans coordination avec Washington, revient à isoler Israël davantage - et donc à saboter toute perspective de dialogue. Car au fond, tout le monde sait qu'aucun accord de paix ne verra le jour sans Israël. L'éloigner, c'est saboter l'avenir. Emmanuel Macron aurait pu faire autrement. Il aurait pu lier sa déclaration à la libération des otages. Il aurait pu l'inscrire dans une initiative régionale, comme celle des Accords d'Abraham. Il aurait pu attendre une sortie de guerre. Il aurait pu poser des jalons clairs pour un État conditionné à une réforme. Il a préféré l'effet d'annonce. Publicité Si la France était sérieuse, elle coordonnerait ses efforts avec les États-Unis, seul acteur ayant des leviers sur tous les protagonistes : Israéliens, Palestiniens, et Arabes. Elle proposerait des pas concrets, utiles. Emmanuel Macron avait même proposé, au tout début de la guerre, la création d'une coalition internationale contre le Hamas. Où en est-on ? Initiative oubliée, élan dissipé, voix inaudible. Là où la France aurait pu peser, elle s'est effacée. Elle construirait sa politique avec ceux qui ont du poids en Israël – et non des conseillers nostalgiques d'Oslo, qui n'y ont aucun pouvoir. Elle poserait des conditions aux deux parties, pas à une seule. Elle s'inspirerait des propositions concrètes portées par des experts israéliens comme Koby Huberman, moteur de la pensée régionale depuis 20 ans, à la tête d'Israël Initie et de l'Initiative de paix israélienne. Il invite à repenser un modèle à deux États, mais à horizon long, dans un cadre régional ; exiger un leadership pragmatique des deux côtés, passer par une période de transition (mandat international, zones démilitarisées, sécurité conjointe) ; réformer l'Autorité palestinienne ; superviser la démilitarisation de Gaza ; intégrer les États arabes dans une logique de reconstruction. Le 7 octobre a tout bouleversé. Et pourtant, des opportunités ont émergé : Le Liban a une fenêtre historique pour se libérer du Hezbollah, Bachar el-Assad est tombé, l'Iran est affaibli, replié sur ses lignes intérieures Léa Landman La plus grande erreur stratégique de Paris est peut-être d'avoir ignoré les changements profonds dans la région post-7 octobre. Depuis les Accords d'Abraham, une dynamique nouvelle s'était enclenchée. L'Arabie saoudite s'approchait d'une normalisation avec Israël. L'accord IMEC (corridor Inde-Moyen-Orient-Europe) signé en septembre 2023 aurait pu concrétiser une architecture régionale inédite. Mais le 7 octobre a tout bouleversé. Et pourtant, des opportunités ont émergé : Le Liban a une fenêtre historique pour se libérer du Hezbollah, Bachar el-Assad est tombé, l'Iran est affaibli, replié sur ses lignes intérieures. Dans cette région où, à part la Turquie, aucun acteur majeur n'a de projet expansionniste, la stabilisation est devenue la priorité. Et dans cette stabilisation, Israël est un pilier du paysage régional. Alors que fait cette reconnaissance unilatérale ? Elle impose un découplage absurde : la paix sans Israël, la solution sans coordination régionale. C'est l'anti-Accords d'Abraham. Au lieu de cela, la France aurait pu - aurait dû - poser ses conditions aussi aux États arabes partenaires : accompagner une réforme profonde de l'Autorité palestinienne ; garantir le démantèlement militaire et politique du Hamas ; s'engager à une reconstruction coordonnée de Gaza ; intégrer la Palestine dans une vision régionale de coopération et de stabilité. En outre, si l'aide humanitaire constitue un argument moral est puissant, il ne peut masquer la réalité du terrain. Celui qui contrôle la distribution de l'aide à Gaza contrôle Gaza. Et aujourd'hui, ce contrôle est entre les mains du Hamas. Les entrepôts de l'ONU et de l'UNRWA sont infiltrés. Le Hamas y place ses hommes, détourne les convois, revend et redistribue à sa guise. L'ONU elle-même a reconnu avoir perdu le contrôle logistique dans plusieurs zones de la bande. La majorité des camions humanitaires sont contraints de verser un «droit de passage». Et pourtant, rien de tout cela n'a de poids dans l'opinion publique internationale. Les images de famine ont suffi. Les accusations de pillage, les détournements, les missiles lancés depuis les zones d'aide n'ont pas de voix médiatique. La France aurait pu insister pour créer une chaîne d'aide indépendante, neutre, contrôlée par des acteurs régionaux. Elle aurait pu construire une coalition autour de la logistique humanitaire. Elle a préféré déclarer un État. À lire aussi «Inefficace et dangereux», «effet de communication»... Le largage d'aide humanitaire à Gaza par la France décrié par les ONG Israël a indéniablement réaffirmé sa position de puissance militaire régionale ; il lui revient désormais de la convertir en influence diplomatique. La France pourrait en faire le point de départ de sa propre stratégie. Il est encore temps pour la France de changer de cap. Non pas en retirant sa reconnaissance, mais en décidant d'y adosser une vraie stratégie. En mettant tout son poids diplomatique derrière une reconstruction des rapports au Levant : Israël, Liban, Syrie, Jordanie, Égypte. En redevenant un acteur d'équilibre, pas de slogans. En s'adressant aux voix qui comptent réellement dans le paysage politique et diplomatique israélien - celles du mainstream - et pas seulement à celles qui réconfortent mais restent sans influence en Israël. En s'alignant sur la seule puissance qui pèse dans la région - les États-Unis. En cessant de parler de paix comme d'un mot magique, mais comme d'un processus exigeant, long, douloureux, mais possible.

« Plus une minute à perdre » : la France commence à larguer de l'aide humanitaire sur Gaza ce vendredi
« Plus une minute à perdre » : la France commence à larguer de l'aide humanitaire sur Gaza ce vendredi

Le Parisien

time3 hours ago

  • Le Parisien

« Plus une minute à perdre » : la France commence à larguer de l'aide humanitaire sur Gaza ce vendredi

L'aide française va commencer à arriver des airs. Ce vendredi, les premiers avions tricolores transportant de l'aide humanitaire doivent décoller de Jordanie pour larguer leur contenu au-dessus de la bande de Gaza . Cette opération aura lieu « en coopération avec les autorités jordaniennes et les agences des Nations Unies », a précisé Jean-Noël Barrot sur France info ce vendredi matin. Quatre vols, transportant 10 tonnes chacun, sont prévus, a-t-il rappelé. Mais cette « aide d'urgence » est « évidemment insuffisante », a estimé le ministre des Affaires étrangères. « Il faut inonder la bande de Gaza d'eau, de nourriture, de médicaments. Il n'y a plus une minute à perdre », a-t-il martelé. Il faut que « le gouvernement israélien rouvre toutes les voies d'accès (à l'enclave palestinienne) - aériennes, terrestre, maritime - pour permettre l'accès massif de l'aide humanitaire à la population gazaouie », a plaidé le ministre. Selon lui, « 52 tonnes (d'aide) attendent depuis des mois à quelques kilomètres de la bande de Gaza », à El-Arich, en Égypte, où il s'était rendu avec Emmanuel Macron en avril dernier . Face à la situation « révoltante » et « intolérable » pour la population Gazaouie, Jean-Noël Barrot a appelé Israël à opter pour une « réaction vigoureuse », estimant que c'est la pression internationale qui a, déjà, permis un premier pas dans le retour de l'aide humanitaire dans l'enclave après des mois de blocus. Car « tant que l'aide humanitaire sera aussi rare qu'aujourd'hui, sa distribution soulèvera des difficultés très importantes », craint-il, rappelant que le « système militarisé de distribution, mis en place par le gouvernement israélien, a provoqué des bains de sang dans des files d'attente ». Selon l'organisation Human Rights Watch, au moins 859 Palestiniens ont été tués alors qu'ils tentaient d'obtenir de la nourriture sur des sites de la Fondation humanitaire pour Gaza (organisme soutenu par Israël et les États-Unis, mais avec laquelle les organisations internationales refusent de travailler) entre le 27 mai et le 31 juillet. « La plupart par l'armée israélienne, selon les Nations Unies », précise le document.

Pour le chef d'état-major des armées, d'ici à 2030, la Russie représentera «une réelle menace» pour l'Europe
Pour le chef d'état-major des armées, d'ici à 2030, la Russie représentera «une réelle menace» pour l'Europe

Le Figaro

time3 hours ago

  • Le Figaro

Pour le chef d'état-major des armées, d'ici à 2030, la Russie représentera «une réelle menace» pour l'Europe

Pour Thierry Burkhard, qui quittera ses fonctions le 1er septembre prochain, les méthodes militaires des Européens doivent évoluer et s'adapter au nouveau contexte. Le chef d'État-major des armées (CEMA) se veut lucide. Selon lui, dans un conflit, le peuple russe survivra toujours «cinq minutes de plus que nous». Son expérience, ses effectifs massifs et sa capacité d'endurance font de l'armée russe un corps efficace... et donc dangereux. Thierry Burkhard estime que d'ici cinq ans, le pays pourra constituer «une réelle menace» pour l'Europe. À un mois de son départ, celui qui a été pendant quatre ans à la tête des forces armées françaises, a livré un état des lieux de la situation militaire européenne au journal britannique The Economist . Alors que la guerre fait rage en Ukraine depuis 2022, le Kremlin ne cesse de développer son arsenal et a clairement réorienté son économie sur l'effort de guerre. Très récemment, le chef du renseignement militaire ukrainien Kirill Boudanov, affirmait que la Russie prévoyait de dépenser près de 1100 milliards de dollars (950 milliars d'euros) d'ici à 2026 dans la perspective... «d'une guerre à grande échelle». Le pays actuellement dirigé par Vladimir Poutine fait donc partie des adversaires les plus redoutables de ces prochaines années. Publicité Face à cette menace qu'il reconnaît, le chef d'État-Major a exprimé quelques motifs d'espoirs pour les Européens : non seulement, selon lui, les États-Unis ne quitteront pas l'Europe mais le développement des liens bilatéraux entre la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne représenteront, à l'avenir, un levier de puissance. Thierry Burkard affirme d'ailleurs que cette alliance qui se renforce ces derniers mois pourrait être «le pilier européen de l'OTAN». «On ne gagnera pas la guerre avec des Ferrari» Sur le plan purement militaire, les champs de bataille évoluent et les méthodes guerrières doivent également s'adapter. En Ukraine, les combattants peuvent «voir derrière chaque buisson» décrit-il, c'est-à-dire que le terrain est dégagé. En conséquence, les armes de haute technologie, comme les missiles de croisière SCALP, sont cruciales pour surprendre l'adversaire. Toutefois, elles sont coûteuses et doivent s'accompagner de munitions bon marché visant, elles, à épuiser l'ennemi. Le général résume d'une formule : «On ne gagnera pas la guerre avec des Ferrari.» Au-delà du matériel, la tactique et l'organisation ne doivent pas être négligées. Si les toutes les armées disposent aujourd'hui de drones, les plus performantes seront celles qui sauront les combiner «sur terre, dans les airs et sur mer». Après toutes ces préconisations, Burkhard admet que si la France devait être réellement menacée par la Russie, «ce ne serait pas une question d'armes conventionnelles, mais une question de dissuasion nucléaire». Toutefois, bien qu'Emmanuel Macron ait dit ces derniers mois vouloir se coordonner davantage avec le Royaume-Uni sur ce volet, le CEMA coupe court aux fantasmes : les deux forces nucléaires resteront indépendantes. Le 1er septembre prochain, le général Thierry Burkhard cédera sa place au général d'armée aérienne, Fabien Mandon. Depuis 2023, ce dernier était l'un des conseillers très spéciaux du président de la République, en sa qualité de chef d'état-major particulier (CEMP). Son rôle était d'aider Emmanuel Macron dans sa compréhension des enjeux internationaux et de l'aiguiller dans certaines prises de décisions diplomatiques. Cet aviateur prendra la tête de l'armée française dans un moment de très hautes tensions internationales...

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