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Le Figaro
13 hours ago
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Formule 1 : «Je suis maître de mon avenir», assure Verstappen à propos d'une potentielle signature chez Mercedes
Le pilote néerlandais s'est exprimé après les récentes déclarations du patron de Mercedes, Toto Wolff, qui a clairement ouvert la porte à une signature du quadruple champion du monde en 2026. Max Verstappen est sous contrat avec Red Bull jusqu'à la fin de la saison 2028, mais cela n'a pas arrêté les spéculations en cours sur un éventuel transfert chez Mercedes. Une personne qui n'a pas beaucoup commenté le sujet est le quadruple champion du monde lui-même. «Je n'ai pas grand-chose à ajouter à cela», a déclaré Verstappen à Viaplay, interrogé sur les récents commentaires du patron de Mercedes, Toto Wolff, indiquant un intérêt pour la signature du pilote de 27 ans. «Plus j'en parle, plus les médias en parleront. Et je ne le souhaite absolument pas. Je suis maître de mon avenir.» Wolff a confirmé vendredi son intérêt pour la signature de Verstappen, lorsqu'il a été interrogé sur les commentaires du pilote Mercedes George Russell selon lesquels ses propres négociations de contrat étaient retardées en raison de l'intérêt de l'équipe Mercedes pour Verstappen. Le directeur autrichien a déclaré que son intérêt pour Verstappen n'avait rien à voir avec la conclusion d'un nouvel accord pour Russell, 27 ans, dont le contrat expire à la fin de l'année. «Tout d'abord, il n'y a aucun retard dans le contrat de George, car nos délais sont connus depuis longtemps», a déclaré Wolff à Sky Sports. «Nous nous connaissons depuis très longtemps, donc aucun retard n'est envisageable.» Publicité «Cela n'a aucune incidence sur notre signature du contrat de George» «Mais en tant que directeur d'équipe responsable de la meilleure marque automobile au monde, il est clair que vous explorez les perspectives d'avenir d'un quadruple champion du monde, et cela pourrait être dans un avenir lointain. Mais cela n'a aucune incidence sur notre signature du contrat de George». Le contrat de Verstappen avec Red Bull comprendrait des clauses de performance, ce qui rend le succès de sa saison crucial à plus d'un titre. Il occupe la troisième place du classement des pilotes avec 155 points après avoir quitté le Grand Prix d'Autriche dimanche suite à une collision avec Kimi Antonelli de Mercedes lors du virage 3 du premier tour et n'a pas terminé. «Bien sûr, il y aura des mises à jour, donc je ne peux pas dire immédiatement que c'est le cas maintenant. ... Je ne peux pas vraiment donner une réponse définitive quant à savoir si c'est un succès ou non», a-t-il déclaré à propos de sa saison jusqu'à présent. «Pendant la pause estivale, je pense que je saurai clairement ce qui se passera cette saison en termes de performances. Mais je ne pense pas que je réfléchisse plus que l'année dernière ou les années précédentes. Je suis très détendu. Je fais simplement ce que je veux.» À VOIR AUSSI - Ligue 1 : dans les coulisses de l'arrivée de Paul Pogba à l'AS Monaco
Le Figaro
16 hours ago
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Air France KLM va devenir l'actionnaire majoritaire de SAS
Réservé aux abonnés Le transporteur aérien franco-néerlandais qui détenait 19,9% de la compagnie d'Europe du Nord va monter à 60,5% de son capital. Une opération qui va permettre à Air France KLM de peser plus lourd et de gagner des points face à ses rivaux Lufthansa et IAG (British Airways, Iberia...). Air France KLM va grossir. À l'été 2024, le transporteur aérien franco-néerlandais était entré au capital de la compagnie scandinave SAS à hauteur de 19,9%. Un investissement de 144,5 millions de dollars (123 millions d'euros). Vendredi matin, il a annoncé qu'il mettrait tout en œuvre pour devenir l'actionnaire majoritaire de cette société. « Air France-KLM prévoit de porter sa participation au capital de SAS (...) à 60,5 %, en acquérant l'intégralité des parts détenues par Castlelake et Lind Invest », souligne dans un communiqué l'entreprise qui a son siège à Paris. Cette opération n'est pas tout à fait une surprise : cette option figurait dans le contrat signé l'an dernier. Et Air France KLM pouvait l'activer si bon lui semblait. « Nous faisons cette opération car SAS a réussi son redressement et affiche d'excellentes performances, explique au Figaro le directeur général du groupe, Ben Smith. Par exemple, elle a la meilleure ponctualité au monde. Son intégration est en ligne avec…
L'Équipe
a day ago
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Le transfert de Max Verstappen chez Mercedes, est-ce crédible ?
Le marché des transferts aurait dû se dérouler sans surprise cet été puisque la plupart des contrats pour la saison 2026 étaient verrouillés. C'était sans compter sur la nouvelle rumeur envoyant Max Verstappen chez Mercedes. Même Isack Hadjar n'en savait rien et fut étonné du nombre de questions qu'on lui posa sur le sujet. Soit la nouvelle avait été soigneusement préservée dans le clan Red Bull, soit il n'y avait rien à savoir. Sans doute avez-vous même échappé à cette nouvelle rumeur qui est tombée dans la nuit de lundi. Selon Sky Italia, Max Verstappen aurait dit oui à Mercedes. Oui, cela concerne encore le champion néerlandais. Comme toujours aurait-on tendance à rajouter puisque c'est un gros nom et qu'il intéresse, vu son talent, énormément de monde. Il y avait déjà eu l'improbable contrat à un milliard chez Aston Martin mi-janvier. Revoilà donc, comme depuis dix-huit mois, le second épisode du show de l'été, un retour de la revanche avec, dans les rôles principaux, le manager de Verstappen, Raymond Vermeulen, le meilleur ennemi de Christian Horner, Toto Wolff, le pilote George Russell, en invité exceptionnel, et le manitou d'Alpine, Flavio Briatore, qui tient un second rôle. Le contrat de Russell arrive à son terme La question n'est pas de signer, mais de faire parler. La question n'est pas de négociation, mais de mise en pression. Car, comme l'a rappelé Erik Van Haaren, le journaliste néerlandais du quotidien De Telegraaf, très proche du clan Verstappen, il n'y a rien de nouveau dans ce dossier. On sait depuis le début de l'affaire Horner à l'hiver 2024 que Wolff est très intéressé par le recrutement du quadruple champion du monde. Parce que cela ferait mal au boss de Red Bull, parce que cette signature permettrait d'effacer la perte de Lewis Hamilton parti chez Ferrari et car personne ne remet en cause son talent. La semaine dernière, le patron de Mercedes réaffirmait cet intérêt pour le Néerlandais. Qui ne le serait pas ? Remettre la discussion au coeur des débats n'est pas stupide. Bien au contraire, surtout si dans le même temps, ce même boss vient d'engager des discussions avec l'un des rares pilotes dont le contrat arrive à échéance, Russell. Pour limiter les demandes d'augmentation et le nombre d'années d'engagement, il n'y a pas mieux, même si ce ne sont que des spéculations. « Je veux continuer avec Mercedes dans le futur, confirmait jeudi après-midi le Britannique. Je ne parle avec personne d'autre. J'ai confiance en Toto car il ne m'a jamais déçu. » Son intérêt est bien évidemment de laisser son nom dans l'actualité. En gagnant mais également en laissant fleurir les supputations sur son avenir. Faire parler de soi, c'est la clé de cet été. D'autres rumeurs tout aussi dingues, cintrées ou absurdes fleurissent cette semaine. Mercedes, qui prêterait son troisième pilote Valtteri Bottas à Alpine, alors que Franco Colapinto peine à convaincre. Ou alors Fernando Alonso, aperçu avec son père à Montréal dans l'hospitalité Alpine et qui reviendrait à ses premières amours. Une bonne manière pour le boss de l'écurie d'Enstone d'essayer de masquer les difficultés qu'elle rencontre depuis des semaines. Dans ce merveilleux paysage complotiste, cela laisserait la place à Russell, chassé de Mercedes. À condition qu'il soit poussé dehors et l'on revient, comme toujours, à Verstappen. « J'ai un contrat avec Red Bull » Max Verstappen Jeudi soir, tout ce que le paddock compte de médias - et en Angleterre, il y en a énormément - se trouvait au point presse du Néerlandais. Il avait pourtant, dès jeudi dernier, répondu à ces rumeurs, lors de la conférence de presse d'avant-Grand Prix à Spielberg (Autriche). Cela n'a manifestement pas suffi. Les mêmes questions sont revenues, provoquant l'ire bien naturelle du pilote, excédé du retour de ces sempiternelles interrogations. Alors ses réponses furent laconiques, dépassant rarement une phrase ou deux. « Je n'ai rien à ajouter sur ces rumeurs, répétera-t-il durant dix minutes. J'ai déjà répondu à ces questions. Plus je parle de cela, plus on en parle. Je préfère éviter. Ce n'est pas comme si, soudainement, je voulais changer d'équipe. J'ai un contrat avec Red Bull. » Le seul décisionnaire reste Verstappen, maître du temps. Lié à l'écurie autrichienne jusqu'au terme de la saison 2028, il peut réfléchir et laisser les autres parler. La « silly season » vient bien de commencer. Personne ne l'attendait, mais elle a toujours débuté autour du Grand Prix d'Angleterre. Elle vient juste de changer de forme. On ne négocie plus des contrats, on les fantasme... À lire aussi Norris, une victoire digne d'un candidat au titre Le carnet de notes Prost : «Hadjar m'a bluffé » La pole position qui peut relancer Norris ?
