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Deux frères, un père de famille : qui sont les victimes fauchées lors du rallye de la Fourme d'Ambert ?
Deux frères, un père de famille : qui sont les victimes fauchées lors du rallye de la Fourme d'Ambert ?

Le Parisien

time4 days ago

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Deux frères, un père de famille : qui sont les victimes fauchées lors du rallye de la Fourme d'Ambert ?

Dans la matinée de ce samedi 26 juillet, le rallye de la Fourme d'Ambert a tourné au drame. Trois personnes ont été tuées, lors de la sortie de route d'une voiture participant au rallye automobile. Les trois victimes sont des hommes, âgés de 44 à 70 ans. Deux sont morts sur le coup, puis un troisième dans l'après-midi de samedi. Dans un état grave, ce dernier avait été transporté à l'hôpital par hélicoptère. Selon le préfet du Puy-de-Dôme Joël Mathurin, les premiers éléments indiquent qu'ils se trouvaient dans une zone interdite, délimitée par des rubalises rouges. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident. Les trois spectateurs décédés sont notamment deux frères de 60 et 70 ans. Selon France 3 Auvergne-Rhône-Alpes , ils étaient originaires de Vollore-Montagne (Puy-de-Dôme) et le plus âgé était conseiller municipal depuis 2020. L'un des frères vivait à Noirétable (Loire), selon Actu Saint-Étienne . La troisième victime est un homme de 44 ans. Il était le père d'un enfant de 10 ans. Il habitait dans la commune de Saint-Ferréol-des-Côtes (Puy-de-Dôme), selon Actu Saint-Étienne. La pilote de la voiture impliquée dans l'accident, âgée de 22 ans, et la copilote de 51 ans, ont été hospitalisées. Leurs jours ne sont pas en danger. Leur véhicule, une Peugeot 208 spécialement aménagée pour la course, doit être examiné. Au total, « une douzaine » de personnes « impliquées » ou « choquées » ont été recueillies à la salle des fêtes de Saint-Just, indiquait Laure Moisset, procureure adjointe de Clermont-Ferrand. Une cellule psychologique avait aussi été mise en place. L'an dernier, le commissaire de course, âgé de 42 ans, avait été tué en tentant de sécuriser un secteur dangereux après une sortie de route. Une autre voiture avait perdu le contrôle et l'avait percuté.

« Un si petit village et tant de malheur » : tragédie dans le Puy-de-Dôme avec la mort de 3 personnes lors d'un rallye
« Un si petit village et tant de malheur » : tragédie dans le Puy-de-Dôme avec la mort de 3 personnes lors d'un rallye

Le Parisien

time6 days ago

  • Sport
  • Le Parisien

« Un si petit village et tant de malheur » : tragédie dans le Puy-de-Dôme avec la mort de 3 personnes lors d'un rallye

Les routes sinueuses et bucoliques, au cœur du Livradois-Forez, ont connu ce samedi une terrible tragédie . Alors que le Rallye de la Fourme d'Ambert s'étirait depuis ce samedi matin sur les communes aux alentours d'Ambert, l'un des véhicules de course a subitement quitté la route et percuté de plein fouet le public sur la commune de Saint-Just ( Puy-de-Dôme ). L'accident est survenu peu avant 11 heures, sur la départementale 251, au lieu-dit Le Cros, une portion de circuit pourtant jugée sans difficulté particulière. Le véhicule en cause, une Peugeot 208 préparée pour la compétition, était engagé dans une spéciale, portion de 7,2 km ouverte au public et bordée de zones balisées. Selon les premiers éléments, la voiture aurait quitté sa trajectoire dans une ligne droite, poursuivant sa course folle dans un champ de maïs où se trouvaient plusieurs spectateurs.

«Freinage fantôme» de sa Peugeot 208 : une victime Lyonnaise veut lancer une action collective pour «faire bouger le constructeur»
«Freinage fantôme» de sa Peugeot 208 : une victime Lyonnaise veut lancer une action collective pour «faire bouger le constructeur»

Le Figaro

time22-07-2025

  • Business
  • Le Figaro

«Freinage fantôme» de sa Peugeot 208 : une victime Lyonnaise veut lancer une action collective pour «faire bouger le constructeur»

Après un accident causé en avril dernier par le freinage brutal et sans raison de sa voiture sur l'autoroute A40, Johanna a décidé de collecter les témoignages d'incidents similaires pour comprendre ce qui lui est arrivé. Que s'est-il passé sur l'A40 dans l'Ain dans la Peugeot 208 de Johanna en avril dernier ? Cette habitante de la métropole de Lyon roulait sur l'autoroute quand son véhicule a freiné brutalement passant de 120 km/h à 0 km/h. Un arrêt si brutal que le conducteur qui circulait derrière elle a totalement embouti sa 208. Une mésaventure qui aurait pu être «dramatique», ont confié les secours à la jeune femme, mais qui s'est finalement terminée sans trop de dommages pour sa personne. La voiture, elle, a été détruite par la violence du choc. Un «freinage fantôme» Une histoire de «freinage fantôme» que Johanna a confiée au Progrès début juillet. Entre-temps, le journal et la jeune femme ont reçu plusieurs dizaines de témoignages similaires de conducteurs de Peugeot. Assez pour que Johanna décide de créer une adresse mail dédiée ( pour compiler ces différentes expériences de «freinage fantôme». «Je me rends compte que beaucoup de conducteurs ont vécu la même chose que moi. Mais souvent c'est resté au stade d'incident sans conséquence parce que la voiture a freiné sans accident derrière. D'autres ont eu un accident mais comme il s'agissait d'une voiture d'entreprise ce n'est pas allé plus loin. Moi j'ai décidé de prendre mes responsabilités». Publicité Car depuis l'accident, la conductrice est allée de désillusion en désillusion. «Une enquête a été ouverte et la gendarmerie a demandé que le véhicule soit expertisé. Finalement le parquet a refusé cette expertise car elle estimait que c'était trop cher car nous étions toujours vivants donc que ce n'était pas nécessaire», raconte Johanna qui déplore «qu'il faille un mort pour que l'on cherche ce qui se passe». Côté assurance, là aussi ça coince. Ni la sienne, ni celle du conducteur qui a embouti sa voiture n'ont demandé d'expertise. Elles n'ont pas non plus contacté la marque assure Peugeot au Figaro : «Le dossier est entre les mains de l'assurance du client. Vraisemblablement, elle ne souhaite pas nous solliciter pour l'instant». À lire aussi Action de groupe contre Stellantis sur les airbags Takata, couvre-feu pour mineurs à Nîmes, bilan des soldes d'été... Les 5 infos à connaître ce 22 juillet Une action collective à venir ? Malgré les obstacles, Johanna a décidé de ne pas lâcher. « L'assurance demande à racheter le véhicule pour le mettre à la casse avant de nous indemniser mais je refuse.» Les témoignages recueillis la confortent dans son combat. En essayant de prendre la tête d'une action collective, elle espère pouvoir «faire bouger le constructeur». «On voit bien en ce moment avec l'affaire des airbags Takata que la somme des mauvaises expériences individuelles peut faire émerger un problème technique plus général», poursuit Johanna. Un combat qui lui coûte «cher en frais de gardiennage» mais qu'elle veut poursuivre malgré tout. «Je ne sais pas où ça ira. Moi j'ai vécu cet accident dans ma chair et ça me gêne de me dire que d'autres voitures puissent faire ça, éventuellement causer des morts et de me dire que je n'ai rien fait pour éviter ça», conclut la jeune femme.

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