Dernières actualités avec #Philippe


Le Figaro
3 days ago
- Entertainment
- Le Figaro
«J'ai un an et demi de traitement» : Karine Le Marchand révèle ce qui l'attend après un récent bilan médical
L'animatrice de «L'amour est dans le pré» s'est confiée dans une série de stories Instagram, détaillant les nouvelles habitudes qu'elle devra adopter au quotidien. «J'ai eu plein de questions sur ma santé», entame Karine Le Marchand dans une story publiée sur son compte Instagram, ce samedi 12 juillet. Un peu plus tôt dans la journée, elle avait assuré dans une autre publication qu'elle avait «un an et demi de traitement» devant elle. L'animatrice emblématique de «L'amour est dans le pré» a tenu à rassurer ses abonnés d'emblée : «Je n'ai pas de problèmes de santé, ne soyez pas affolés. Je suis quelqu'un qui veut ralentir le temps qui passe, je n'ai absolument pas de problème à l'avouer.» La femme de télévision poursuit, évoquant tout de même une «fatigue». «J'ai des intolérances, il y a des aliments que je ne digère pas, je digère moins bien qu'avant, je ne dors pas hyper bien», livre Karine Le Marchand. «Je me réveille plusieurs fois la nuit, ce n'est pas normal. Enfin, voilà, plein de petits symptômes comme ça ou je me sentais baissée (sic), comme si j'étais sur la réserve.» À lire aussi «Elle a eu raison de dire qu'elle ne pourra pas travailler avec Cyril Hanouna» : Julien Courbet comprend la réaction de Karine Le Marchand Publicité Sur les conseils de sa «copine Estelle Denis , mon copain Philippe et ma copine Aurélie» qui ont tous consulté le même médecin, l'animatrice a fait de même. «J'ai pris rendez-vous, six mois d'attente, la consultation coûte un bras, les médicaments aussi... J'ai dit qu'on faisait un check-up, (...) donc j'ai fait prise de sang, urine, selles», relate-t-elle. «Et ce qui est bien, c'est que c'est de la prévention : avec les données qu'il a, il croise les informations, et il nous prescrit des compléments.» Vieillir, ça se ménage, ce n'est pas la joie. Karine Le Marchand «J'ai du cholestérol, j'ai des intolérances alimentaires», poursuit-elle, listant la plupart de ces dernières. «Il m'a donc donné plein de compléments alimentaires, pour éviter de prendre un jour des médicaments. (...) Je n'ai que des choses naturelles à prendre. Le suivi dure un an et demi... Mais je le savais. Pendant six mois on soigne, puis on restaure pendant six mois et enfin on reconstruit pendant six mois. Et j'ai des compléments à prendre à vie ! Ce que je dis pour moi n'est pas pour vous, attention, je ne suis surtout pas médecin.» Karine Le Marchand clôt ensuite son propos : «Je dois aussi faire une échographie de la thyroïde, parce qu'il soupçonne quelque chose, comme des nodules. (...) Donc voilà, vieillir, ça se ménage, ce n'est pas la joie. (...) D'ailleurs, je voulais vous remercier, pour tout votre enthousiasme, il y en a qui ont essayé de me trouver des choses... Vous êtes trop gentils, j'ai beaucoup de chance de vous avoir.»


Le Figaro
5 days ago
- Business
- Le Figaro
Achat à l'aveugle, galères d'immatriculation... Philippe, 60 ans, roule enfin avec la Mustang de ses rêves
DANS MON GARAGE - Chaque semaine, des automobilistes présentent au Figaro leurs véhicules d'exception. Aujourd'hui, Philippe, habitant de Saint-Cloud, nous parle de sa Ford Mustang cabriolet de 1965 qu'il utilise au quotidien depuis 2018. Depuis son domicile à Saint-Cloud, Philippe nous raconte toutes les étapes de son rêve : celui de posséder une voiture de collection. «J'y ai pensé pendant au moins cinq années avant de sauter le pas», lance-t-il. L'homme de 60 ans est un passionné, quelqu'un qui a commencé à suivre le monde de l'automobile en se rendant régulièrement à des expositions pour en admirer les voitures. «J'ai fait le salon Rétromobile à plusieurs reprises, cet univers me fascinait», témoigne Philippe. En tête de ses désirs, les modèles des années 60, une époque où l'on fabriquait des voitures qui avaient «un charme unique». Son désir se transforme vite en objectif. «Dès que j'ai eu un peu de sous, je me suis lancé avec deux critères : je voulais une voiture d'utilisation - pas une voiture de garage qu'on regarde amoureusement trois fois par an - et je voulais surtout emmener mes gamins dedans, donc il me fallait 4-5 places». Nous sommes en 2018. Publicité Philippe fait le tour des garages et des propriétaires de voitures anciennes pour récolter les bons conseils. «Je ne sais rien faire de mes mains, donc il fallait une voiture robuste avec des pièces accessibles que l'on trouve facilement». Il réfléchit aux anglaises ou aux Mercedes, mais raté, les proprios de ce type de modèle lui font comprendre que les pièces coûtent un bras : à la moindre réparation, c'est un gouffre financier. Sa quête de voitures américaines Ne trouvant pas son bonheur en France ou chez nos voisins proches, Philippe se tourne vers l'import. « J'ai cherché en France, rien trouvé qui correspondait à ce que je cherchais. J'ai pris contact avec une boîte qui s'était spécialisée dans l'import, le gars m'a rassuré, m'a donné confiance, m'a présenté une voiture quelques semaines après en m'expliquant qu'elle était magnifique, plus belle en vrai selon ses dires». Voilà comment Philippe a rencontré la voiture de ses rêves : la Mustang. «Elle cochait toutes les cases : facile à entretenir, une 'super gueule'... Cerise sur le gâteau, je voulais une voiture ayant exactement mon âge, et l'importateur m'a proposé un modèle de mon année de naissance : 1965 ». Pourtant, la petite opération n'est pas sans risque. Ses amis le préviennent : « tu es fou, il faut payer 100 % du prix avant l'import ! ». Malgré leurs inquiétudes, Philippe franchit le pas, effectuant un virement de 37.000 euros. L'attente est longue, ponctuée de doutes et d'excitation. Puis, un jour, le coup de fil tant attendu arrive. « Voilà votre voiture est arrivée, elle est au Havre ». Philippe sent son cœur s'emballer, l'adrénaline monte : le rêve est enfin à portée de main. Les mauvaises surprises La réception de la voiture réserve à Philippe quelques surprises. Lorsqu'il découvre la Mustang, il remarque plusieurs détails qui ne correspondent pas exactement à ce que l'exportateur lui avait promis : un éclat sur la planche de bord, une imperfection sur la peinture, et la moquette arrière qui, sans être complètement abîmée, n'est pas impeccable. La voiture, annoncée comme étant en parfait état, se révèle simplement «en très bon état», remarque Philippe. Face à ses plaintes, l'exportateur reste inflexible : « Je ne vous rendrai pas votre argent, faites ce que vous voulez de la voiture». Publicité Contrarié, Philippe décide de consulter un expert. Ce spécialiste l'examine attentivement et le rassure : « vous avez fait une bonne affaire , la base est saine, le moteur est en excellent état». Philippe peut enfin se reposer et conduire sereinement sa voiture. Les péripéties de l'immatriculation C'est sans compter la paperasse pour faire immatriculer la voiture. Au moment où il entame les démarches, il découvre que la procédure vient tout juste de basculer vers la numérisation, rendant le système «totalement dysfonctionnel». Bref, il doit patienter six mois avant d'obtenir véritablement l'immatriculation. Face à son urgente envie de conduire enfin sa Mustang, il opte pour une solution de fortune. «J'ai demandé à un concessionnaire s'il n'avait pas une plaque américaine sous la main et j'ai fini par rouler pendant six mois avec des plaques qui n'avaient aucune valeur légale... » Philippe reçoit finalement la carte grise tant attendue. «L'apothéose, c'est que l'immatriculation se termine par mes initiales : PR. Cette voiture est faite pour moi ! », s'exclame le sexagénaire. Comment profiter de Mustang ? Depuis, Philippe profite pleinement de sa Mustang : il l'utilise chaque semaine pour aller travailler ou simplement s'évader dans sa maison de campagne. L'entretien reste accessible grâce à un garagiste de confiance, et depuis plusieurs années, la voiture ne connaît que des révisions : aucune réparation à effectuer. Le plaisir réside aussi dans le regard qu'éprouvent les autres pour son bijou. Un jour, alors que la Mustang était garée à Saint-Cloud, Philippe a surpris deux adolescentes en pleine séance photo devant la voiture, prenant la pose pour Instagram. Un peu gênées à son arrivée, elles ont été invitées à monter à bord pour immortaliser l'instant. «Ce qui est incroyable, c'est que la Mustang fait rêver aussi bien les jeunes que les vieux. Ça traverse vraiment toutes les générations», résume-t-il. Publicité Mais la véritable délectation, Philippe la trouve à chaque fois qu'il prend le volant. « Ici, pas d'électronique, pas d'aides à la conduite. Il faut vraiment sentir la voiture, écouter le moteur, être attentif à chaque geste », pointe-t-il. Le grondement du V8, la direction brute, le freinage exigeant… Tout rappelle une époque où la mécanique primait sur les capteurs. Pour Philippe, conduire sa Mustang, c'est vivre une expérience authentique et retrouver le goût simple et puissant de la passion automobile.


Le Parisien
6 days ago
- Science
- Le Parisien
Des moines de l'Orne produisent une bière… comme au XIXe siècle !
« C'est presque une mousse sacrée ! En tout cas, celle-là, elle vient de loin ! », sourit Philippe, la soixantaine. Il est l'un des premiers à goûter la Hercelin, une bière pas comme les autres qu'il a découverte à l'abbaye de la Trappe, à Soligny ( Orne ). Cette boisson qui vient tout juste d'être commercialisée est en effet inspirée d'une recette datant sans doute de plus de trois siècles. « Il y a quelques années, l'un des moines qui travaillait sur les archives, a découvert une feuille volante datant de 1846 sur laquelle figurait une recette manuscrite. La recette de la bière que les moines brassaient alors pour leur consommation ! », explique, enthousiaste, le père abbé Thomas. Mais l'histoire ne s'arrête pas là… On sait que dès 1675, un abbé nommé Rance a construit ici une brasserie. Et les moines ont produit leur bière jusqu'à ce qu'ils soient chassés pendant la Révolution. Puis ils sont revenus à la Trappe en 1815 pour se remettre aussitôt à brasser cette fois jusqu'à la fin du XIXe siècle. « Notre recette a donc probablement plus de trois siècles. Il nous semblait important et beau de faire revivre avec les techniques modernes. J'ai pris contact avec la brasserie locale, à Montligeon. Et ils ont tout de suite été enthousiastes. On leur a donné la recette avec un cahier des charges précis, qui imposait par exemple que la bière soit brassée avec l'excellente eau de source de l'abbaye. » « Et nous sommes vraiment heureux du résultat. C'est une bière bio à 5,9 degrés, aux notes d'agrumes et clous de girofle, qui coûte 3,50 euros. Elle est en vente exclusivement à la boutique de l'abbaye. Et elle fait désormais partie de l'histoire de la maison. » L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.


Le Parisien
05-07-2025
- Politics
- Le Parisien
« On n'est jamais sûr de rentrer le soir » : les agents routiers en première ligne des départs en vacances
Philippe ( le prénom a été modifié ) a encore en tête cette nuit de Noël, où il a failli perdre la vie. Sur la nationale 10, alors qu'il balisait avec deux collègues un véhicule accidenté, un chauffard, alcoolisé et en excès de vitesse, percute leur fourgon de plein fouet. « Je me demande encore pourquoi on est en vie. Ce soir-là, on aurait dû mourir », confie l'agent routier de 53 ans. Deux gendarmes, présents sur place, ont perdu la vie. Traumatisé, un collègue de Philippe n'a toujours pas repris le travail. Ces dernières semaines, les accidents impliquant des agents routiers se sont multipliés. Ce mardi, un poids lourd a percuté un camion de la Direction interdépartementale des routes atlantique (DIRA) signalant une zone de travaux sur la RN 10. Le 24 juin, Killian, un jeune agent de 24 ans, est mort en sécurisant un véhicule en panne. Le lendemain, un agent a été grièvement blessé sur l'A88 alors qu'il balisait la bande d'arrêt d'urgence.