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Notre critique de Don Giovanni à Aix-en-Provence: le piège de la confusion
Notre critique de Don Giovanni à Aix-en-Provence: le piège de la confusion

Le Figaro

time19 hours ago

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Notre critique de Don Giovanni à Aix-en-Provence: le piège de la confusion

Réservé aux abonnés Signée par le Britannique Robert Icke, cette version noire du chef-d'œuvre de Mozart ne parvient pas à tisser un récit lisible. Une production copieusement huée à l'ouverture du Festival. Il n'y avait plus eu de nouveau Don Giovanni à Aix-en-Provence depuis 2017. Pour le retour de ce titre phare du Festival, Pierre Audi, dont personne n'imaginait que la soirée d'ouverture aurait lieu sans lui - le directeur artistique est décédé prématurément le 3 mai dernier -, avait choisi un homme de théâtre bien de son temps. Une sorte d'héritier, le Britannique Robert Icke étant associé à l'Almeida Theatre de Londres, dont Audi fit un haut lieu de l'avant-garde dans les années 1980. Pour son premier opéra, Icke s'attaque à forte partie : par son aura comme par sa complexité, Don Giovanni est un des opéras les plus difficiles à réussir. À en juger par les huées, une bonne partie du public de la première a pensé qu'il avait manqué son coup. On sera plus nuancé, tout en ayant de sérieuses réserves. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Les amorces sont plus qu'intéressantes. Quand l'action commence, Don Giovanni est mourant. Ce qui éclaire la question de Leporello : « Qui est mort, vous ou le vieux ? » Jusqu'à…

À Aix-en-Provence, le festival d'art lyrique prépare l'après-Pierre Audi
À Aix-en-Provence, le festival d'art lyrique prépare l'après-Pierre Audi

Le Figaro

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À Aix-en-Provence, le festival d'art lyrique prépare l'après-Pierre Audi

Réservé aux abonnés Sa disparition le 3 mai a laissé orpheline la manifestation dont il avait pris la tête en 2018. Alors que vient de s'ouvrir l'édition 2025, une quarantaine de candidats seraient en lice pour en reprendre les rênes, dans un contexte contraint. Ce dimanche 6 juillet, au Grand Théâtre de Provence, artistes et tutelles (dont la ministre de la Culture, Rachida Dati) étaient rassemblés pour rendre, en fin de matinée, un vibrant hommage au dernier patron du Festival d'Aix-en-Provence, Pierre Audi. Sa disparition, le 3 mai dernier à Pékin, lors d'un déplacement professionnel et à l'âge prématuré de 67 ans, a pris tout le monde de court. Le metteur en scène qui, avant de prendre la tête de la manifestation en 2018 présidait aux destinées de l'Opéra d'Amsterdam, avait été renouvelé une première fois jusqu'en 2027. Personne ne s'attendait à le voir quitter la scène si tôt. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Une fois passé le choc de sa mort, la manifestation a dû très vite retrouver ses esprits et songer à la suite. Les opéras se préparant trois à quatre ans à l'avance, la plupart des productions prévues jusqu'en 2027 sont sur les rails. Mais le festival, déjà fortement éprouvé par la crise financière qu'il a traversée l'an dernier (avec un déficit cumulé pour les éditions…

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