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6 days ago
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Après seulement deux heures de mise en ligne, le Nîmes Olympique totalise plus de 400 nouveaux abonnements
En pleine reconstruction après le départ de Rani Assaf, le Nîmes Olympique s'apprête à renouer avec la ferveur de ses supporters. Deux heures après la mise en ligne, plus de 400 supporters avaient souscrit leur abonnement. Débuts en trombe pour la campagne d'abonnement du Nîmes Olympique. Les supporters des Crocos, remobilisés depuis le départ de l'ancien propriétaire Rani Assaf, se sont jetés sur la billetterie en ligne du club ce mardi. Ouverte à 15 heures, le club comptabilisait déjà plus de 400 nouveaux abonnements aux alentours de 17 heures, selon ICI Gard Lozère. « Ça fait du 200 à l'heure, sur la route on serait carrément en excès de vitesse, en a souri Thierry Cenatiempo, nouveau président de Nîmes à ICI. Mais là c'est autorisé donc c'est vraiment top pour nous. Si on pouvait continuer à cette allure-là ce serait magnifique, mais l'objectif c'est d'atteindre 2 000 abonnés conformément aux pré-engagements (...) ce qui est sûr c'est qu'on ressent une vraie impatience de la part des supporters », a-t-il poursuivi. Nîmes jouera le premier match de sa saison en National 2 le samedi 16 août face à Limonest (18 heures), au stade des Antonins. Avec les contestataires et d'anciens joueurs, Nîmes veut tourner la page Rani Assaf

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24-07-2025
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« On repart sur un vrai projet, séduisant » : avec les contestataires et d'anciens joueurs, Nîmes veut tourner la page Rani Assaf
Le désengagement de Rani Assaf et le nouveau projet qui se met en place au sein du club gardois ont réveillé la ferveur locale, malgré la relégation en National 2. Autour de la Bastide, c'est le calme plat. Le centre d'entraînement des Crocos s'apprête à accueillir la reprise de l'équipe première et, alors qu'on aurait pu s'attendre à une certaine effervescence, sur place, seul le lointain bruit d'une tondeuse et les injonctions étouffées d'un animateur du camping voisin viennent troubler le concert assourdissant des cigales. Sur le parking, derrière les grilles closes, seuls quelques pancartes griffées du logo d'anciens équipementiers et quelques minibus aux couleurs du club rappellent qu'ici, on joue au foot. En ce vendredi midi, rien ne témoigne, à première vue, de la ferveur qui renaît, en ville, après des semaines d'incertitudes et des années d'errance. « Depuis un mois, un mois et demi, c'est redevenu le sujet du moment ici », confirme Patrick Fustier, coprésident du collectif Sauvons le Nîmes Olympique, installé sur la terrasse du Victor Hugo, le bar où est née l'association en septembre 2023 dans un mouvement de protestation contre le président Rani Assaf, en poste depuis 2016. Le Nîmes Olympique fait peau neuve et mise sur le local Le verdict de la commission d'appel de la DNCG, tombé trois jours plus tôt - engagement de Nîmes en N2 après une exclusion des Championnats nationaux prononcée en première instance -, a été vécu comme un soulagement par les supporters. Parce que la convention qui liait la SASP, présidée par Assaf, et l'association a été résiliée fin juin, actant le départ de celui que tout le monde, ou presque, sur place, tenait pour responsable des maux des Crocos (contacté par SMS, Rani Assaf n'a pas donné suite à nos sollicitations). « Malheureusement, au Nîmes Olympique, quand on se coupe des supporters, qui sont l'ADN du club... Ç'a fait de la peine à tout le monde de voir le club descendre en N2 quasiment dans l'anonymat, regrette l'idole locale Renaud Ripart. Ça a été des années très difficiles. » Qu'importe, alors, dans le coeur des passionnés, que Nîmes ait connu, sportivement, sa troisième relégation depuis le printemps 2021 et les dernières heures en Ligue 1. « On repart sur un vrai projet, séduisant. Alors oui, c'est en N2, mais ça aurait pu être bien pire », balaie Dimitri Pialat, vice-président du collectif, loin de verser des larmes de crocodile après le départ d'Assaf. Dans le sillage de l'entrepreneur local et nouveau président Thierry Cenatiempo, association, collectivités, anciens joueurs, entrepreneurs et supporters ont fait front pour sauver ce qui pouvait l'être. Jusqu'à présenter un budget légèrement supérieur à 3 M€, adossé à plus de 2000 promesses d'abonnements, pour finir de convaincre la DNCG. Une nouvelle page s'ouvre, donc, dans la préfecture du Gard, où tout est plus ou moins à reconstruire. « On arrive sur un projet de renaissance, après trois descentes en quatre ans : l'objectif, c'est de stabiliser le club et, dans un futur proche, de le redorer un petit peu, le remettre à sa place », confirme le nouveau directeur sportif Anthony Dupré, 30 ans, à peine plus jeune que l'entraîneur Mickaël Gas (32 ans), qui passe du banc de la réserve à celui de la première. Un pur produit de la formation locale, qui sait plus que quiconque que « Nîmes est une ville de foot : il va falloir qu'on se mette vite au diapason ». Dans un groupe C de N2 particulièrement relevé, avec une quinzaine de jours de retard dans la préparation et un effectif rebâti du sol au plafond, la réception de Limonest, le 16 août, en ouverture du Championnat, ressemble quand même à un lointain horizon. Encore que, pas pour tout le monde. « Il y a eu un rejet total, ces dernières années, qui s'est traduit par les affluences (environ 1 500 spectateurs en moyenne la saison dernière, la plus faible de l'histoire du club). Pour le premier match, maintenant qu'il n'y a plus Assaf, les gens reviendront au stade, soutenir leur équipe, notre équipe », affirme Pialat, ancien président des Gladiators, groupe de supporters en sommeil depuis le début d'année. Paris, Lyon, Méditerranée : Nîmes dans le groupe de la mort Une équipe à laquelle le public pourra, au moins un peu, s'identifier : si la candidature spontanée de Nicolas Benezet, 34 ans et onze saisons au club, a été classée sans suite - « pas dans le projet », dixit Dupré -, et qu'un retour de Ripart apparaît comme illusoire - « Tout le monde m'en parle beaucoup, mais je pense que pour moi, c'est encore un peu tôt », confirme le couteau suisse de 32 ans, en fin de contrat à Troyes (L2) et qui se remet d'une rupture du ligament croisé d'un genou survenue en janvier -, Clément Depres, lui, a été convaincu par le projet. L'attaquant de 30 ans, 61 matches chez les pros avec Nîmes dont 18 de L1, évoque un « choix du coeur ». Membre, lui aussi, de la « Génération Costières », il a redécouvert la Bastide en fin de semaine. Accueilli, comme ses coéquipiers, dans le vestiaire de la réserve, faute de pouvoir, encore, accéder à celui des pros (*). Après trois saisons à Rodez et une en Thaïlande, il estime que son heure était venue : « C'est une prise de risques de ma part, mais ce club m'a tellement donné... C'est peut-être le moment de lui rendre. On s'est croisés avec Mika (Gas) au baptême du fils de Renaud Ripart, au printemps. Il m'a dit : "Imagine je prends la N2, tu viens ?" Je noie le poisson en disant qu'il faut qu'Assaf parte, que je ne peux pas revenir s'il reste là. J'étais tellement loin d'imaginer tout ce qui pourrait se passer que pour moi, c'était non. Il aurait fallu, à ce moment-là, qu'énormément de choses s'alignent. Et tout s'est aligné... » Ambassadeur de luxe, sur le terrain, de ce nouveau projet, Depres le Gardois arrive toutefois « sans pression et avec beaucoup d'humilité ». En quittant le restaurant de la Bastide, en face du centre d'entraînement, le revenant est apostrophé par un supporter : « Dites, vous, c'est bien Dupres ? C'est vous qui revenez ? Je me souviens du but que vous aviez marqué à Montpellier ! » Si la rivalité avec le voisin est tenace, la mémoire l'est moins : ce jour d'octobre 2020, en pleine Ligue 1 époque Covid, c'est Ripart qui avait marqué l'unique but du match à la Mosson. Là-bas, de l'autre côté du Vidourle. Les Crocos, eux, jouaient encore aux Costières, désormais à l'abandon mais ô combien emblématiques et que supporters et joueurs rêvent de retrouver, un jour. C'était avant le déménagement aux Antonins, deux ans plus tard. « Les générations évoluent, le Nîmes Olympique reste. Mais bien sûr que la question du stade, la question du centre d'entraînement, il faudra se les poser », philosophe Ripart. Preuve qu'à Nîmes, désormais, c'est vers l'avenir que les regards sont tournés.

L'Équipe
23-07-2025
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« L'objectif, c'est de stabiliser le club et le remettre à sa place » : Nîmes veut tourner la page Rani Assaf et rallumer la flamme
Le désengagement de Rani Assaf et le nouveau projet qui se met en place au sein du club gardois ont réveillé la ferveur locale, malgré la relégation en National 2. Autour de la Bastide, c'est le calme plat. Le centre d'entraînement des Crocos s'apprête à accueillir la reprise de l'équipe première et, alors qu'on aurait pu s'attendre à une certaine effervescence, sur place, seul le lointain bruit d'une tondeuse et les injonctions étouffées d'un animateur du camping voisin viennent troubler le concert assourdissant des cigales. Sur le parking, derrière les grilles closes, seuls quelques pancartes griffées du logo d'anciens équipementiers et quelques minibus aux couleurs du club rappellent qu'ici, on joue au foot. En ce vendredi midi, rien ne témoigne, à première vue, de la ferveur qui renaît, en ville, après des semaines d'incertitudes et des années d'errance. « Depuis un mois, un mois et demi, c'est redevenu le sujet du moment ici », confirme Patrick Fustier, coprésident du collectif Sauvons le Nîmes Olympique, installé sur la terrasse du Victor Hugo, le bar où est née l'association en septembre 2023 dans un mouvement de protestation contre le président Rani Assaf, en poste depuis 2016. Le Nîmes Olympique fait peau neuve et mise sur le local Le verdict de la commission d'appel de la DNCG, tombé trois jours plus tôt - engagement de Nîmes en N2 après une exclusion des Championnats nationaux prononcée en première instance -, a été vécu comme un soulagement par les supporters. Parce que la convention qui liait la SASP, présidée par Assaf, et l'association a été résiliée fin juin, actant le départ de celui que tout le monde, ou presque, sur place, tenait pour responsable des maux des Crocos (contacté par SMS, Rani Assaf n'a pas donné suite à nos sollicitations). « Malheureusement, au Nîmes Olympique, quand on se coupe des supporters, qui sont l'ADN du club... Ça a fait de la peine à tout le monde de voir le club descendre en N2 quasiment dans l'anonymat, regrette l'idole locale Renaud Ripart. Ça a été des années très difficiles. » « On repart sur un vrai projet, séduisant. Alors oui, c'est en N2, mais ça aurait pu être bien pire » Dimitri Pialat, vice-président du collectif Sauvons le Nîmes Olympique Qu'importe, alors, dans le coeur des passionnés, que Nîmes ait connu, sportivement, sa troisième relégation depuis le printemps 2021 et les dernières heures en Ligue 1. « On repart sur un vrai projet, séduisant. Alors oui, c'est en N2, mais ça aurait pu être bien pire », balaie Dimitri Pialat, vice-président du collectif, loin de verser des larmes de crocodile après le départ d'Assaf. Dans le sillage de l'entrepreneur local et nouveau président Thierry Cenatiempo, association, collectivités, anciens joueurs, entrepreneurs et supporters ont fait front pour sauver ce qui pouvait l'être. Jusqu'à présenter un budget légèrement supérieur à 3 M€, adossé à plus de 2000 promesses d'abonnements, pour finir de convaincre la DNCG. Une nouvelle page s'ouvre, donc, dans la préfecture du Gard, où tout est plus ou moins à reconstruire. « On arrive sur un projet de renaissance, après trois descentes en quatre ans : l'objectif, c'est de stabiliser le club et, dans un futur proche, de le redorer un petit peu, le remettre à sa place », confirme le nouveau directeur sportif Anthony Dupré, 30 ans, à peine plus jeune que l'entraîneur Mickaël Gas (32), qui passe du banc de la réserve à celui de la première. Un pur produit de la formation locale, qui sait plus que quiconque que « Nîmes est une ville de foot : il va falloir qu'on se mette vite au diapason ». Dans un groupe C de N2 particulièrement relevé, avec une quinzaine de jours de retard dans la préparation et un effectif rebâti du sol au plafond, la réception de Limonest, le 16 août, en ouverture du Championnat, ressemble quand même à un lointain horizon. Encore que, pas pour tout le monde. « Il y a eu un rejet total, ces dernières années, qui s'est traduit par les affluences (environ 1 500 spectateurs en moyenne la saison dernière, la plus faible de l'histoire du club). Pour le premier match, maintenant qu'il n'y a plus Assaf, les gens reviendront au stade, soutenir leur équipe, notre équipe », affirme Pialat, ancien président des Gladiators, groupe de supporters en sommeil depuis le début d'année. « C'est une prise de risques de ma part, mais ce club m'a tellement donné... C'est peut-être le moment de lui rendre » Clément Depres, attaquant de retour à Nîmes Une équipe à laquelle le public pourra, au moins un peu, s'identifier : si la candidature spontanée de Nicolas Benezet, 34 ans et onze saisons au club, a été classée sans suite - « pas dans le projet », dixit Dupré -, et qu'un retour de Ripart apparaît comme illusoire - « Tout le monde m'en parle beaucoup, mais je pense que pour moi, c'est encore un peu tôt », confirme le couteau suisse de 32 ans, en fin de contrat à Troyes (L2) et qui se remet d'une rupture du ligament croisé d'un genou survenue en janvier -, Clément Depres, lui, a été convaincu par le projet. L'attaquant de 30 ans, 61 matches chez les pros avec Nîmes dont 18 de L1, évoque un « choix du coeur ». Membre, lui aussi, de la « Génération Costières », il a redécouvert la Bastide en fin de semaine. Accueilli, comme ses coéquipiers, dans le vestiaire de la réserve, faute de pouvoir, encore, accéder à celui des pros (*). Après trois saisons à Rodez et une en Thaïlande, il estime que son heure était venue : « C'est une prise de risques de ma part, mais ce club m'a tellement donné... C'est peut-être le moment de lui rendre. On s'est croisés avec Mika (Gas) au baptême du fils de Renaud Ripart, au printemps. Il m'a dit : "Imagine je prends la N2, tu viens ?" Je noie le poisson en disant qu'il faut qu'Assaf parte, que je ne peux pas revenir s'il reste là. J'étais tellement loin d'imaginer tout ce qui pourrait se passer que pour moi, c'était non. Il aurait fallu, à ce moment-là, qu'énormément de choses s'alignent. Et tout s'est aligné... » Ambassadeur de luxe, sur le terrain, de ce nouveau projet, Depres le Gardois arrive toutefois « sans pression et avec beaucoup d'humilité ». En quittant le restaurant de la Bastide, en face du centre d'entraînement, le revenant est apostrophé par un supporter : « Dites, vous, c'est bien Dupres ? C'est vous qui revenez ? Je me souviens du but que vous aviez marqué à Montpellier ! » Si la rivalité avec le voisin est tenace, la mémoire l'est moins : ce jour d'octobre 2020, en pleine Ligue 1 époque Covid, c'est Ripart qui avait marqué l'unique but du match à la Mosson. Là-bas, de l'autre côté du Vidourle. Les Crocos, eux, jouaient encore aux Costières, désormais à l'abandon mais ô combien emblématiques et que supporters et joueurs rêvent de retrouver, un jour. C'était avant le déménagement aux Antonins, deux ans plus tard. « Les générations évoluent, le Nîmes Olympique reste. Mais bien sûr que la question du stade, la question du centre d'entraînement, il faudra se les poser », philosophe Ripart. Preuve qu'à Nîmes, désormais, c'est vers l'avenir que les regards sont tournés.


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08-07-2025
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Président, direction, entraîneur... En péril, le Nîmes Olympique fait peau neuve et mise sur le local
Exclu de toutes compétitions nationales par la DNCG et en sursis pour une relégation en Régional, le Nîmes Olympique est en pleine crise. Présent depuis presque dix ans, le propriétaire et président Rani Assaf laisse sa place à Thierry Cenatiempo et un groupe d'entrepreneurs locaux. Le début d'un nouvel espoir pour les supporters nîmois ? Après des années à critiquer la direction de leur club, les fidèles du Nîmes Olympique voient le propriétaire et président Rani Assaf quitter son poste et la direction. Depuis la décision de la DNCG le 24 juin dernier, excluant Nîmes de toutes compétitions nationales, les choses ont évolué. Désormais, le club s'avance vers la commission d'appel de la DNCG - prévue le 15 juillet prochain - avec un nouvel homme fort, Thierry Cenatiempo. « Après le passage à la DNCG, un ami m'a appelé en me disant que le club était en grande difficulté, et que les entrepreneurs locaux se réunissaient pour mettre au pot,a déclaré Cenatiempo au Midi Libre. J'ai dit oui. » Thierry Cenamiento, 62 ans, est chef d'entreprise dans le Gard depuis trois décennies, et a été maire de la commune de Saint-Hilaire-d'Ozilhan entre 2014 et 2020. C'est lui qui incarnera le projet collectif mis en place pour tenter de sauver les Crocodiles d'une descente en amateur, en accord avec Yannick Liron, président de l'Association du Nîmes Olympique, et de l'adjoint au maire. « Je serai la locomotive et derrière, avec les wagons, on va tous mettre du charbon pour avancer. » Thierry Cenamiento sur le projet collectif avec les entrepreneurs locaux Un projet collectif qui repose sur le seul engagement des entrepreneurs locaux. Déjà, il y a quelques semaines, l'association « Sauvons Nîmes » avait tenté de réunir les élus locaux avec des entrepreneurs du coin pour envisager une reprise du club à Rani Assaf, comme l'avait rapporté Ici Gard Lozère. « Plus que de trouver un homme providentiel à 5 M€, j'ai senti une volonté de garder le club aux Gardois, a expliqué Cenamiento au Midi Libre. Moi, j'amène 1 M€ que je verserai de façon étalée dans la SAS (société par actions simplifiée) que l'on est en train de créer. Je serai la locomotive et derrière, avec les wagons, on va tous mettre du charbon pour avancer. » De nouveaux hommes forts à la tête du sportif Thierry Cenamiento vient avec ses idées fraîches et son renouveau. Il a installé deux jeunes dirigeants à la tête du sportif du Nîmes Olympique : Anthony Dupré (30 ans) comme nouveau chargé de recrutement, et Mickaël Gas (32 ans) - qui dirigeait l'équipe réserve de Régional 1 la saison passée - comme nouvel entraîneur des Crocodiles. Pragmatique, Cenamiento s'inscrit dans le « moyen terme, deux ans, trois ans, cinq ans », avec l'objectif de faire remonter le club en Ligue 2... mais surtout de « fédérer, remplir le stade, redonner de l'envie, de la joie, car cela fait trop longtemps que les supporters nîmois sont malheureux. » Pour cela, il faudra sortir vainqueur de la commission d'appel de la DNCG, où Cenamiento et ses compères veulent présenter un budget à 2,8 millions d'euros et un capital à 500 000 euros. « Je dois dire que ce qu'ont fait les chefs d'entreprise locaux, c'est fantastique », a-t-il conclu. Est-ce que cela suffira ? Réponse le mardi 15 juillet.