Dernières actualités avec #RégisLabeaume


La Presse
11-07-2025
- Politics
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Menace de droits de douane, fillette abandonnée et Régis Labeaume égratigne la CAQ
La fillette de trois ans avait été reterouvée sur le bord d'une autoroute, en Ontario, le 18 juin dernier, trois jours après sa disparition Menace de droits de douane, fillette abandonnée et Régis Labeaume égratigne la CAQ La journée passe vite. Voici les trois nouvelles qui ont marqué l'actualité jusqu'ici. La Presse Droits de douane : Mark Carney convoquera son Cabinet mardi Le premier ministre Mark Carney a annoncé vendredi qu'il convoquera son Cabinet mardi prochain face à la nouvelle menace de droits de douane de Donald Trump. Le président américain a menacé d'imposer une surtaxe de 35 % sur les produits canadiens à compter du 1er août. PHOTO BLAIR GABLE, REUTERS Le premier ministre canadien Mark Carney Lisez l'article Fillette de LaSalle : la mère restera détenue pendant le processus judiciaire La mère accusée d'avoir abandonné sa fille de trois ans en juin était dans un état mental « éminemment perturbé » après son arrestation. Elle restera détenue jusqu'à la fin de son procès et devra se soumettre à une évaluation psychiatrique, a tranché un juge vendredi. PHOTO DENIS GERMAIN, LA PRESSE Le dossier est en cour au palais de justice de Salaberry-de-Valleyfield. Lisez l'article


La Presse
11-07-2025
- Politics
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Régis Labeaume reçoit une médaille et écorche la CAQ
(Québec) Régis Labeaume a été honoré vendredi par la Ville de Québec et, malgré des efforts évidents pour éviter les sujets sensibles, l'ancien maire de Québec a servi une gifle en règle au gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ). L'homme de 69 ans est arrivé un peu avant 11 h devant l'hôtel de ville de Québec. Sa compagne était là, tout comme ses enfants, ses petits-enfants et tout le petit gratin municipal de la capitale. M. Labeaume recevait le prix Contribution exceptionnelle pour ses 14 ans à la mairie. « C'est une belle journée, je vois ça comme un party », a lancé M. Labeaume aux journalistes qui l'ont rapidement entouré pour une mêlée de presse, comme aux meilleurs jours de son intense carrière politique. L'ancien maire était connu pour son franc-parler. Mais visiblement vendredi, sous un soleil de plomb devant la fenêtre de son ancien bureau, il a déployé bien des efforts pour rester dans l'atmosphère joyeuse que commande une telle journée. Des commentaires sur le projet de tramway ? « Les dossiers de la Ville de Québec, je regrette, je vais me garder une petite gêne », a lâché M. Labeaume, qui a toujours été clair sur son désir de ne pas tomber dans le rôle de la « belle-mère ». Des commentaires sur la candidature de Sam Hamad à la mairie de Québec ? « Sur aucune candidature. Je ne veux pas donner l'impression que j'appuie ou je renie qui que ce soit. » Sur le conflit de travail avec les employés d'entretien du Réseau de transport de la Capitale ? Même réponse. Ce n'est que lorsqu'il a été question du gouvernement caquiste que l'ancien maire s'est permis une série de gifles. Le projet de 3e lien ? « Ça ne se fera pas tout simplement. Mon idée est faite. » « Je vous dirais que je n'ai jamais vu un caucus… Un caucus aussi faible à Québec », a lancé Régis Labeaume en parlant du gouvernement de la CAQ. « Je pense que je ne suis pas le seul qui le dit. Tout le monde est assez d'accord là-dessus. Tout ça est bien désolant. » Difficile de voir dans cette remarque autre chose qu'un camouflet envers les élus de la région et notamment Geneviève Guilbault, Jonatan Julien et Éric Caire, avec qui l'ancien maire a eu maille à partir dans le passé. Puis sentant qu'il avait glissé, M. Labeaume s'est rebiffé. « Si j'ai quelque chose à dire, je l'écrirai. Écoutez, c'est une belle journée, je vois ça comme un party. Écoutez, vous faites votre travail », s'est excusé l'ancien maire, qui écrit notamment dans les pages de La Presse. Le maire Labeaume n'a aucun goût de revenir en politique. « Je fais une retraite merveilleuse », a-t-il assuré, avant d'entrer dans l'hôtel de ville. Dans le salon du maire, Bruno Marchand a remis la médaille à son prédécesseur. Les relations avaient mal commencé entre les deux hommes. Marchand avait défait la dauphine désignée de Régis Labeaume à l'élection de 2021. Mais une fois l'élection passée, M. Labeaume a toujours refusé de commenter les actions de la nouvelle administration. « M. Labeaume était reconnu pour son franc-parler » et « sa capacité de mettre ses tripes sur la table », a lancé le maire actuel de la capitale, dans une salle pleine à craquer de l'hôtel de ville. « Il est aussi capable de retenue. J'ai apprécié les 4 dernières années. Il avait dit qu'il ne se mêlerait pas de politique municipale et il ne l'a pas fait », a ajouté Bruno Marchand.


La Presse
11-07-2025
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Régis Labeaume reçoit une médaille et sert un camouflet à la CAQ
(Québec) Régis Labeaume a été honoré vendredi par la Ville de Québec et, malgré des efforts évidents pour éviter les sujets sensibles, l'ancien maire de Québec a servi une gifle en règle au gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ). L'homme de 69 ans est arrivé un peu avant 11 h devant l'hôtel de ville de Québec. Sa compagne était là, tout comme ses enfants, ses petits-enfants et tout le petit gratin municipal de la capitale. M. Labeaume recevait le prix Contribution exceptionnelle pour ses 14 ans à la mairie. « C'est une belle journée, je vois ça comme un party », a lancé M. Labeaume aux journalistes qui l'ont rapidement entouré pour une mêlée de presse, comme aux meilleurs jours de son intense carrière politique. L'ancien maire était connu pour son franc-parler. Mais visiblement vendredi, sous un soleil de plomb devant la fenêtre de son ancien bureau, il a déployé bien des efforts pour rester dans l'atmosphère joyeuse que commande une telle journée. Des commentaires sur le projet de tramway ? « Les dossiers de la Ville de Québec, je regrette, je vais me garder une petite gêne », a lâché M. Labeaume, qui a toujours été clair sur son désir de ne pas tomber dans le rôle de la « belle-mère ». Des commentaires sur la candidature de Sam Hamad à la mairie de Québec ? « Sur aucune candidature. Je ne veux pas donner l'impression que j'appuie ou je renie qui que ce soit. » Sur le conflit de travail avec les employés d'entretien du Réseau de transport de la Capitale ? Même réponse. Ce n'est que lorsqu'il a été question du gouvernement caquiste que l'ancien maire s'est permis une série de gifles. Le projet de 3e lien ? « Ça ne se fera pas tout simplement. Mon idée est faite. » « Je vous dirais que je n'ai jamais vu un caucus… Un caucus aussi faible à Québec », a lancé Régis Labeaume en parlant du gouvernement de la CAQ. « Je pense que je ne suis pas le seul qui le dit. Tout le monde est assez d'accord là-dessus. Tout ça est bien désolant. » Difficile de voir dans cette remarque autre chose qu'un camouflet envers les élus de la région et notamment Geneviève Guilbault, Jonatan Julien et Éric Caire, avec qui l'ancien maire a eu maille à partir dans le passé. Puis sentant qu'il avait glissé, M. Labeaume s'est rebiffé. « Si j'ai quelque chose à dire, je l'écrirai. Écoutez, c'est une belle journée, je vois ça comme un party. Écoutez, vous faites votre travail », s'est excusé l'ancien maire, qui écrit notamment dans les pages de La Presse. Le maire Labeaume n'a aucun goût de revenir en politique. « Je fais une retraite merveilleuse », a-t-il assuré, avant d'entrer dans l'hôtel de ville. Dans le salon du maire, Bruno Marchand a remis la médaille à son prédécesseur. Les relations avaient mal commencé entre les deux hommes. Marchand avait défait la dauphine désignée de Régis Labeaume à l'élection de 2021. Mais une fois l'élection passée, M. Labeaume a toujours refusé de commenter les actions de la nouvelle administration. « M. Labeaume était reconnu pour son franc-parler » et « sa capacité de mettre ses tripes sur la table », a lancé le maire actuel de la capitale, dans une salle pleine à craquer de l'hôtel de ville. « Il est aussi capable de retenue. J'ai apprécié les 4 dernières années. Il avait dit qu'il ne se mêlerait pas de politique municipale et il ne l'a pas fait », a ajouté Bruno Marchand.