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Sondage : légère hausse de popularité pour Macron et Bayrou, Retailleau ministre le plus apprécié
Sondage : légère hausse de popularité pour Macron et Bayrou, Retailleau ministre le plus apprécié

Le Parisien

time7 hours ago

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  • Le Parisien

Sondage : légère hausse de popularité pour Macron et Bayrou, Retailleau ministre le plus apprécié

Emmanuel Macron et François Bayrou grappillent quelques points. Le président de la République et son chef de gouvernement ont vu leur popularité légèrement augmenter en juillet, respectivement trois et deux points de mieux qu'en juin, même si le niveau de satisfaction à leur endroit reste faible, selon un sondage Ipsos pour La Tribune Dimanche . Avec 24 % d'opinions favorables, le chef de l'État regagne un peu d'oxygène dans ce baromètre mensuel, même si sa cote végète dans des étiages similaires à ceux de la crise des Gilets jaunes fin 2018. Un regain attribuable notamment à une popularité en hausse chez les sympathisants écologistes (+ 15 %) selon cette enquête, alors que le chef de l'État a fait la promotion ces dernières semaines de son bilan vert . À quelques jours de présenter ses orientations budgétaires , marquées par un net tour de vis pour tenter de redresser les comptes, François Bayrou reprend aussi quelques couleurs, après un printemps en chute libre. Mais avec 19 % d'opinions favorables, il pâtit toujours d'une popularité bien inférieure à celle de tous ses prédécesseurs sous la Ve République. Si Bruno Retailleau reste le ministre le plus apprécié — 36 % des sondés jugent que le locataire de Beauvau est le meilleur du gouvernement — sa cote de présidentiable recule de quatre points par rapport à juin. Ils ne sont plus que 25 % des personnes interrogées à se dire satisfaites en cas d'élection de l'actuel ministre de l'Intérieur en 2027, contre 27 % à Édouard Philippe , et 33 % au duo à la tête du Rassemblement national, Marine Le Pen et Jordan Bardella . Enfin, un an après la précédente, 42 % des sondés se disent favorables à une nouvelle dissolution , et 31 % contre — le reste n'ayant pas d'avis sur le sujet. Parmi les plus allants à un chamboulement au Palais-Bourbon : les sympathisants RN, qui plaident à 51 % pour… leur cheffe de file Marine Le Pen, quand bien même cette dernière serait interdite de se représenter par la justice. Ce sondage a été réalisé en ligne du 9 au 10 juillet 2025 sur un échantillon de 1 000 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d'erreur se situe entre 0,6 et 3,1 points.

Emmanuel Macron instaure une journée de commémoration en l'honneur d'Alfred Dreyfus
Emmanuel Macron instaure une journée de commémoration en l'honneur d'Alfred Dreyfus

Le Figaro

timea day ago

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Emmanuel Macron instaure une journée de commémoration en l'honneur d'Alfred Dreyfus

Le président de la République a annoncé qu'une cérémonie de commémoration se tiendra chaque année pour Alfred Dreyfus, pour la victoire de la justice et de la vérité contre la haine et l'antisémitisme, à compter du 12 juillet 2026. Emmanuel Macron a instauré samedi une journée nationale de commémoration, le 12 juillet, de la réhabilitation par la justice d'Alfred Dreyfus, officier juif injustement accusé de trahison à la fin du XIXe siècle, en appelant à «toujours» rester vigilant «contre les vieux démons» de l'antisémitisme. «Désormais, chaque 12 juillet, se tiendra une cérémonie de commémoration pour Dreyfus, pour la victoire de la justice et de la vérité contre la haine et l'antisémitisme», écrit le chef de l'État dans une déclaration publiée par l'Élysée. La première aura lieu l'an prochain, en 2026.

Trop de congés, «sélection des citoyens coûteuse»... La Cour des comptes étrille le fonctionnement du Cese
Trop de congés, «sélection des citoyens coûteuse»... La Cour des comptes étrille le fonctionnement du Cese

Le Figaro

time2 days ago

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Trop de congés, «sélection des citoyens coûteuse»... La Cour des comptes étrille le fonctionnement du Cese

Le fonctionnement de la troisième assemblée de la République est critiqué par les Sages de la rue Cambon, estimant qu'elle ne peut «être laissée à l'écart des efforts (budgétaires) demandés». Alors que le gouvernement recherche 40 milliards d'euros d'économies, les dépenses du Conseil économique, social et environnemental (Cese) font, à nouveau, parler d'elles. «Huit jours de congé» à supprimer, «sélection des citoyens coûteuse» : le fonctionnement de la troisième assemblée de la République est étrillé dans un rapport définitif de la Cour des comptes publié vendredi, estimant qu'elle ne peut «être laissée à l'écart des efforts (budgétaires) demandés». Le Cese, né en 1946, compte 175 conseillers, dont 52 représentants des salariés, autant des entreprises, 45 au titre de la vie associative et 26 au titre de la défense de l'environnement depuis une réforme en 2021. La Cour des comptes salue la réduction du nombre des membres du Cese de 25% (de 233 à 175) mais cette baisse «ne s'est pas traduite par une économie budgétaire pour l'État». Les magistrats estiment que «dans un contexte de finances publiques dégradées, le Cese ne peut pas être laissé à l'écart des efforts demandés aux autres entités publiques». «La Cour avait relevé lors de son dernier contrôle que le régime d'organisation du temps de travail ne respectait pas la durée légale de travail de 1607 heures annuelles. Malgré la loi de transformation de la fonction publique, le Cese n'a pas révisé ce régime. Au total, ce sont 8 jours de congé qui devraient être supprimés», ajoute la Cour des comptes. Publicité En outre, si son rôle dans l'organisation de la parole citoyenne a été renforcé par la réforme de 2021 et sa saisine, facilitée par pétition, reste que le Cese est peu saisi et ses avis demeurent confidentiels. Sur l'organisation des conventions citoyennes (Climat, fin de vie ou temps de l'enfant actuellement), «la sélection des citoyens est coûteuse et peut entraîner des biais liés au volontariat», juge encore la Cour des comptes. «Le Cese doit poursuivre ses efforts pour former des animateurs en interne et avoir recours aux agents des trois versants de la fonction publique formés à cette pratique», soulignent les magistrats. À lire aussi Rémunération élevée, absentéisme, congés… Le Cese à nouveau épinglé par un rapport Peu de saisines du gouvernement et du Parlement Ils relèvent également que l'institution «mène la majorité de ses travaux dans le cadre d'auto-saisines (79% de ses productions sur la période)», et peu par saisine du gouvernement et du Parlement (34 entre 2019 et 2024), ou par pétition citoyenne. Ils regrettent par ailleurs que «les modalités de financement par l'État de la participation citoyenne du Cese (4,2 millions d'euros par an) ont évolué, passant d'un financement dédié (...) à un financement intégré dans la dotation de l'État au Cese, sans réelle capacité de cette direction à en suivre précisément la consommation». Le Cese assure de son côté avoir accompli «une transformation profonde et inédite», citant notamment l'organisation de deux conventions citoyennes - une troisième étant en préparation -, l'amélioration des outils de contrôle financiers et administratifs ou encore le pilotage de la performance. Il rappelle aussi que son budget global a diminué en 2025, pour s'élever à 4 millions d'euros. «L'institution a baissé de 26% ses dépenses de fonctionnement», affirme-t-il. Par ailleurs, le Cese «prend note des remarques de la Cour sur les sujets des ressources humaines» et dit avoir des discussions avec les représentants du personnel pour faire «évoluer le contrat social des agents de façon adaptée, négociée et progressive». L'organe consultatif dit regretter de faire «depuis plusieurs mois l'objet de fausses informations et d'attaques caricaturales».

Attaque d'abeilles à Aurillac : la ville envisage d'interdire les ruchers
Attaque d'abeilles à Aurillac : la ville envisage d'interdire les ruchers

Le Parisien

time6 days ago

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Attaque d'abeilles à Aurillac : la ville envisage d'interdire les ruchers

« Une scène de guerre avenue de la République ». C'est par ces mots que le maire PS d'Aurillac, Pierre Mathonet a réagi après la violente attaque d'abeilles survenue ce dimanche dans le centre-ville d'Aurillac. 24 personnes ont été blessées dans l'attaque. Trois d'entre elles ont été placées en urgence absolue après une réaction allergique. « C'est impressionnant. Une personne de 78 ans a été piquée 25 fois », ajoute Pierre Mathonier interrogé par France 3 . Une attaque violente liée selon le maire de la commune à la présence de frelons asiatiques proches des essaims d'abeilles. Notamment celui d'un rucher installé sur le toit d'un hôtel du centre-ville. Le frelon, « c'est un prédateur , peut-être le principal prédateur des abeilles (…) ça peut expliquer cette réaction de défense et ce comportement très agressif des abeilles » affirme Pierre Mathonier. Pour contrer cette soudaine agressivité des abeilles en plein centre-ville, le maire d'Aurillac envisage d'interdire rapidement la présence d'essaim d'abeille dans la commune. « Dès lundi, je vais faire travailler mes services pour voir quels moyens légaux on a d'interdire la présence de ces ruchers » détaille l'élu. Il précise que cette décision n'est pas liée à l'agressivité des abeilles naturelles mais plutôt à « l'évolution des prédateurs de ces ruchers qui induisent certainement un comportement atypique des abeilles » .

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