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Le Figaro
22-07-2025
- Business
- Le Figaro
Pourquoi le Brésil séduit de plus en plus les Français en juillet-août
DÉCRYPTAGE - +63 % de réservations ! Si le Brésil attire traditionnellement durant l'été austral, entre janvier et mars, il connaît depuis l'an passé un regain d'intérêt en juillet et août. Plages mythiques, atmosphère festive et climat agréable. Le Brésil attire traditionnellement en février pour le carnaval de Rio de Janeiro. Mais depuis quelque temps, il devient également un incontournable pour les vacances d'été des Français. Même si les saisons sont inversées, durant l'hiver austral en juillet et août, les températures restent clémentes, variant entre 22 et 27 °C. De quoi attirer des voyageurs à arpenter ce pays tropical, qui connaît cette année une hausse historique annuelle. Même en début d'année, jamais autant de touristes étrangers n'ont visité le Brésil : près de 4,9 millions entre janvier et mai 2025, progressant ainsi de 49,7 % sur un an, d'après la Embratur, l'Institut brésilien de promotion du tourisme à l'international. Comment expliquer cet engouement ? Publicité Surfer sans avoir froid Depuis son retour à Paris fin juin, Sarah rêve encore des couleurs éclatantes de Salvador de Bahia ou des après-midi sous le soleil d'Itacaré. «C'est la saison sèche dans la plupart des régions, donc on a pu se balader sans trop craindre la pluie», raconte cette auto-entrepreneuse de 37 ans. Partie trois semaines avec une amie, elle a eu un coup de cœur pour l'Atlantique. «J'ai pu surfer sans avoir froid, sans combinaison, dans une eau chaude, avec de belles vagues. Cela change de la France ou du Portugal», compare la passionnée de surf. Séjour de nos partenaires Service Contenus sponsorisés. Lorsque vous cliquez ou effectuez une réservation via nos liens partenaires, Le Figaro peut percevoir une commission. Séjour Brésil | 14 jours | Merveilles du Brésil 14 jours À partir de 2 320 € Voir l'offre Même ressenti pour Maxime, 26 ans. En voyage solo à travers l'Amérique latine, il a parcouru le Nordeste au début du mois. «Je savais que je passerais par le Brésil, mais j'avoue que les vidéos sur Instagram m'ont vraiment donné envie», confie ce Francilien passionné d'aventure. Sur TikTok comme sur Instagram, le hashtag «Brésil» dépasse cette année les trois millions de vues. De quoi inspirer les vacanciers à s'envoler vers l'État lusophone? Il y a de cela. L'année dernière, l'agence de voyage Marco Vasco (groupe Le Figaro, NDLR) constatait déjà une hausse de 60 % entre 2023 et 2024 sur la destination, une tendance qui se maintient cet été. «Nous voyons toujours autant de clients opter pour le Brésil, surtout pour des voyages de dernière minute. Cela concerne en majorité les familles ou les amateurs de sports comme la randonnée ou le kitesurf», déclare au Figaro Caroline Marro, directrice générale de Marco Vasco. Elle observe aussi un regain d'intérêt pour le Pantanal, réserve naturelle propice à l'observation d'animaux (jaguars, caïmans...). La période idéale pour s'y rendre s'étend d'avril à septembre, loin des pluies et des moustiques. «C'est en train de devenir une vraie alternative à l'Amazonie», note-t-elle. +63 % de réservations en juin par rapport à 2024 Le site de réservation Misterfly confirme également l'engouement. Depuis le 1er janvier, les réservations ont augmenté de 46%, et de 63% rien qu'en juin. «Rio, São Paulo, Salvador, Fortaleza ou Bahia figurent parmi les villes les plus recherchées, malgré une légère hausse du prix moyen des billets : 919 euros, contre 900 l'an dernier», développe Frédéric Pilloud, directeur marketing. Publicité Même dynamique chez Voyageurs du Monde, où le Brésil enregistre une hausse réelle, bien que plus modérée, de 24% en plus de clientèle s'envolant vers «l'éternel pays d'avenir» . «C'est un pays très dépaysant, avec seulement cinq heures de décalage horaire, et une vraie diversité : entre nature, culture, plages et villes festives, il y a de quoi satisfaire tous les profils de vacanciers», étaye Jean-François Rial, le PDG l'agence de voyages proposant une dizaine de circuits, des chutes grandioses d'Iguaçu aux plages de la Costa Verde. Les célèbres chutes d'Iguaçu, dans la forêt tropicale, à la frontière entre l'Argentine et le Brésil. Nido Huebl - Toutefois, malgré ce succès, les agences de voyages rappellent que l'Argentine reste la destination la plus plébiscitée en Amérique du Sud. En cause, une image du Brésil encore entachée par des questions de sécurité. «L'un des principaux défauts du pays reste la perception de l'insécurité. Les voyageurs doivent faire preuve de vigilance, éviter les comportements à risque, et ne pas s'aventurer dans les favelas avec des objets de valeur et se renseigner en amont sur les quartiers à éviter», tempère Jean-François Rial. En février 2024, des touristes ont notamment perdu la vie après avoir suivi leur GPS jusque dans des quartiers dangereux contrôlés par des gangs. Un contexte qui n'a pas effrayé Adélaïde et sa famille, venus visiter le Brésil en juin pour une tout autre raison. «La vérité, c'est que j'ai demandé à mes fils de choisir la destination, et ils ont choisi Rio pour le foot. Nous avons adoré», raconte cette mère de famille lyonnaise de 45 ans. L'ascension touristique du pays de Pelé ne risque sûrement pas de s'arrêter. Le Brésil s'impose désormais comme une échappée tropicale très convoitée… en plein été européen. En vidéo - Brésil : les images flamboyantes des carnavals de Rio de Janeiro et de São Paulo.


La Presse
20-07-2025
- Business
- La Presse
Des rapports à l'argent différents
On aime se reconnaître à travers les histoires des autres. D'ailleurs, ma boîte courriel s'est remplie de « merci de m'avoir décrit, je suis exactement pareil comme vous », après ma chronique énumérant mes habitudes financières dignes d'un écureuil. Je m'attendais aux critiques classiques du genre « vous pourriez mourir demain matin, Madame », mais non. Autre grand absent : les récits d'anti-écureuils, ces personnes dépensières qui s'assument… ou pas. Pourtant, j'avais envie d'explorer l'autre réalité. Celle où les chiffres effraient, où l'argent file entre les doigts, où l'on achète pour se réconforter, pour oublier, ou simplement pour se sentir vivant. L'argent, ce n'est pas seulement des colonnes dans un budget. C'est un reflet de notre histoire personnelle, de nos besoins affectifs, de nos insécurités parfois bien enfouies, des aléas d'une vie remplie de mauvaises surprises, parfois. C'est un terrain miné de contradictions où les mauvaises habitudes s'installent vite… et s'accrochent longtemps. C'est exactement ce que démontrent les trois témoignages très personnels que j'ai recueillis. Trois personnes m'ont confié leur histoire, avec des détails et des réflexions qu'elles n'oseraient pas toujours admettre à leurs amis, à leur famille, parfois même à leur conjoint. L'argent est tabou, encore plus lorsqu'on a l'impression de mal le gérer. C'est pourquoi j'ai accepté de changer leur prénom. Sarah, d'abord. Une mère de famille avec une dette de consommation écrasante. Son problème ressemble à une dépendance aux achats en ligne. Les colis qui s'accumulent à sa porte sont devenus, au fil du temps, une source de plaisir et un piège redoutable. Antoine, ensuite. Il a acheté une maison l'an dernier, tout juste avant que la vie ne lui envoie une série de claques financières. Résultat : une spirale d'endettement à laquelle il tente d'échapper avec des offres spéciales de cartes de crédit et un tableau Excel. Et Julie. Même si elle n'a aucune dette, elle dépense tout. Chaque dollar qu'elle gagne y passe. Restaurants, vêtements, voyages, électroménagers de luxe, filet mignon à prix courant. Elle vit comme si elle était très riche… sans l'être. Comme si elle était perpétuellement en vacances. Trois histoires. Trois rapports à l'argent. Dans leurs récits, vous reconnaîtrez peut-être votre propre relation à l'argent, vos habitudes, vos contradictions, vos angles morts. Personne n'y échappe, même ceux qui font partie du club des écureuils.


24 Heures
11-07-2025
- Sport
- 24 Heures
C'est tout un stade qui a porté la Suisse vers l'exploit à l'Euro 2025
A Genève, les Suissesses reviennent de l'enfer dans les arrêts de jeu pour s'offrir un quart de finale historique. Tout a été magique. Publié aujourd'hui à 08h26 Un bonheur au bout de la douleur, avec un stade tout entier pour porter la Suisse vers l'exploit. Freshfocus En bref: Un stade plein comme un œuf est un animal curieux. Il vit sa propre existence, animé par lui-même, nourri de ses émotions, tendu tout entier vers son centre. Jeudi soir, il était rouge, tout rouge, si rouge. Lézardé ici d'une bande blanche, là de quelques taches blanchâtres, mais partout rouge, une passion, une passion suisse de la tête aux pieds. Il flottait un doux parfum, celui de l'exploit et ce stade tout entier le sentait, même s'il a tremblé avant de voir «sa» Suisse filer en quart de finale . C'est dans les yeux de la petite Sarah que ces espoirs flottent, bien avant le coup d'envoi. Petit bout de chou de six ans, elle est couvée par son papa, Fabrice. Ils sont venus du canton de Vaud, de Savigny, pour l'événement, ce Finlande-Suisse décisif. Première pour la petite Sarah «C'est la première fois que je l'emmène au stade, sourit le papa. Elle a pu voir le dernier match à la télé, la victoire sur l'Islande, mais cette fois-là, nous sommes tous les deux sur place, je voulais qu'elle vive ça.» La petite Sarah et son papa Fabrice sont venus de Savigny pour prendre très tôt leurs places au Stade de Genève. La petite fille de six est rentrée avec des étoiles plein les yeux après une soirée magique. DR La petite Sarah aime-t-elle le foot? Y joue-t-elle déjà? Veut-elle y jouer plus tard, sinon, quand elle sera plus grande? Pudeur infantile, elle se tourne d'abord vers son père avant de répondre. «Oui, j'aime le foot, quand les filles tirent au but, comme lors du dernier match, murmure-t-elle. J'aime quand la Suisse gagne. Je ne sais pas si je ferai du foot plus tard.» À six ans, elle a encore le temps d'y penser. Mais elle a déjà, pour toujours, l'image de ce Stade de Genève qui s'est tordu dans tous les sens, qui a chanté, qui a vibré, qui a porté. La petite Sarah, par timidité, ne sait pas encore, sans doute, mais si un jour elle chausse des crampons pour de bon, alors cette soirée genevoise n'y sera pas pour rien. Émotions autour de l'équipe de Suisse Combien de petites Sarah, dans cette enceinte? Des milliers? Toutes à faire la ola, à grimper sur le siège pour lever les bras au ciel en même temps que les 26 388 spectateurs (guichets fermés). À crier, à s'époumoner quand les Suissesses s'approchent du but finlandais. À frissonner quand Livia Peng sauve les siennes. À gronder quand une Finnoise joue des coudes. La ola pour une fête dans le Stade de Genève BASTIEN GALLAY/GALLAYPHOTO À pleurer. À laisser perler de grandes larmes de crocodile sur de si petites joues. C'était à la 79e minute de jeu. La Suisse venait d'encaisser ce but synonyme d'élimination, un penalty. Au moment où la Finlandaise s'est élancée, plus un bruit, une douleur suspendue, qui devient réelle dans la seconde. Cruauté de l'instant. Un monde qui s'effondre, une enceinte égarée. Ce sera la seule fois. Ce stade plein à craquer n'a pas craqué: il a refait corps et toutes les petites Sarah se sont levées avec lui. Toutes les Sarah de ce stade, tous leurs papas, toutes leurs mamans, tous leurs frères, tout le monde n'a fait qu'un pour porter la Suisse et pour pousser, avec Riola Xhemaili, le ballon au fond de la cage finlandaise, durant les arrêts de jeu. De la douleur au bonheur: une communion. Un tour de joie au Stade de Genève Les dernières frayeurs n'ont pas compté, la Suisse tenait sa place en quart de finale. Une part d'histoire s'est écrite et ce Stade de Genève , animal curieux comme tous les stades, est resté plein comme un œuf pour saluer ses championnes dans leur tour d'honneur, leur tour de joie. Moment inoubliable. La petite Sarah est rentrée à Savigny avec des étoiles plein les yeux. Comme toutes les petites Sarah présentes hier soir et toutes celles à venir encore. La Suisse a gagné plus qu'un quart de finale. A lire sur l'Euro 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Daniel Visentini est journaliste pour la Tribune de Genève, 24 Heures et le Matin Dimanche. Il a été durant sept ans le chef de la rubrique Sports de la Tribune de Genève. Il suit de près l'actualité du football, notamment celle du Servette FC et de l'équipe de Suisse. Il est juré du Ballon d'or pour la Suisse. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
08-07-2025
- Business
- 24 Heures
Délestée de son vélo, une avocate dénonce la passivité de la police
Sarah déplore le manque de diligence des forces de l'ordre genevoises et salue le travail des agents français, qui ont arrêté les voleurs et ont retrouvé l'objet dérobé. Publié aujourd'hui à 16h32 Sarah roule à vélo depuis plusieurs années à Genève. Son ancien véhicule a été volé à la fin du mois de mai. LAURENT GUIRAUD/TAMEDIA En bref: Avocate à Genève, Sarah a envoyé le 3 juillet un courrier irrité à la commandante de la police Monica Bonfanti. L'auteure de la lettre que nous avons consultée explique avoir été victime du vol de son vélo électrique à la fin du mois de mai au centre-ville. «Je voulais prendre mon véhicule, qui avait été cadenassé à une barre de vélo, nous raconte Sarah. C'était un samedi aux Eaux-Vives, il n'y était plus. Vu qu'il était équipé d'un AirTag (système de détection) et que je voyais clairement sa localisation à Valence en France , j'ai téléphoné à la police genevoise, mais on m'a d'emblée dit de laisser tomber, qu'il n'y avait que très peu de chances de le retrouver.» Un jeu d'enfant? Lors du dépôt de plainte, le fonctionnaire chargé d'enregistrer le document a été informé que l'objet dérobé (valant environ 3000 fr) avait été localisé à une adresse précise en France, déclare Sarah. Un jeu d'enfant pour récupérer le vélo? Pas vraiment. Selon le courrier envoyé à la cheffe de la police, l'agent a répondu qu'aucune demande d'entraide ne serait adressée à ses collègues français, qu'il ne fallait en aucun cas penser que le vélo pourrait être retrouvé et qu'il convenait de se limiter à utiliser la plainte pour effectuer la déclaration à son assurance ménage afin d'obtenir un remboursement. «Nous avons dû insister pour que l'adresse soit mentionnée dans la plainte», ajoute Sarah. Refus d'instruire D'après l'avocate, «la police a refusé d'instruire le dossier alors qu'elle était en possession du lieu exact du vélo qui venait d'être dérobé». Qu'à cela ne tienne, la Genevoise, tenace et soucieuse de ses droits, décide d'informer les forces de l'ordre de Valence de ce vol et de la localisation du véhicule: «La police française s'est montrée collaborante, rapide et efficace: le lendemain de la plainte, soit le lundi 26 mai, elle est intervenue sur les lieux et a récupéré non seulement mon vélo, mais aussi plusieurs autres véhicules électriques manifestement volés en même temps que le mien.» Les agents locaux ont interpellé le voleur et, «selon mes informations, ont pu remonter la chaîne en interpellant son commanditaire». L'objet dérobé vient d'être acheminé en Suisse, ajoute Sarah. Sur le principe, elle s'étonne d'avoir dû faire ces démarches: «On sait très bien qu'à Genève, des voleurs débarquent avec une camionnette et volent des véhicules. Je ne comprends pas cette passivité de la police genevoise, ce d'autant plus au vu de la collaboration des autorités françaises.» «Incompréhensible» Et de conclure dans sa lettre: «Il est incompréhensible que les forces de l'ordre refusent d'agir pour retrouver les auteurs de ces infractions pénales, et qu'elles se limitent à renvoyer les plaignants vers leur assurance civile, ce d'autant plus au vu de la constante augmentation des vols de vélos électriques dans notre canton.» «Attention particulière» La police genevoise assure prêter une attention particulière aux infractions en lien avec cette thématique, «qui font d'ailleurs partie des axes identifiés et suivis dans le cadre des statistiques policières de la criminalité». «S'agissant des objets localisés à l'étranger, une demande d'entraide judiciaire est envisageable, explique la porte-parole Léna Keller. Cette procédure passe par les autorités judiciaires et implique des délais qui peuvent être conséquents. Dans le cas d'un vélo, ces délais rendent incertaines les chances de succès: le véhicule peut avoir été déplacé avant que les autorités du pays concerné ne puissent intervenir.» À Genève, les patrouilles interviennent régulièrement lorsque les faits sont constatés ou signalés en flagrant délit. «À de nombreuses reprises, lors de vols d'objets connectés, un appel immédiat au 117 de la part de la victime a permis d'appréhender le voleur qui se trouvait dans notre canton et de récupérer le bien dérobé par géolocalisation.» Tant la réactivité du plaignant au moment de l'annonce que celle des services de police lors de l'intervention ont contribué à l'issue favorable de ces affaires, poursuit Léna Keller. «En effet, plus l'annonce du vol est tardive, plus la récupération de l'objet et l'appréhension du ou des voleurs, si ces derniers se trouvent à l'étranger, est complexifiée par les modalités de l'entraide judiciaire internationale.» Pour la police, «les recherches peuvent se heurter à des obstacles lorsque le système de détection se trouve dans un immeuble. Il n'est alors pas possible de déterminer dans quel appartement, cave ou garage se trouve l'objet volé.» Danger pour la victime Enfin, les forces de l'ordre tiennent à souligner qu'elles déconseillent vivement à toute personne victime de vol d'intervenir directement pour récupérer son bien, notamment à l'étranger: une telle démarche peut représenter un risque pour sa sécurité, en cas de confrontation avec le voleur. Alors que faire? «Il est fortement conseillé d'appeler la Centrale d'engagement, de coordination et d'alarme (Cecal) et de donner un maximum d'informations (position, direction, signalement).» Détecter à distance l'objet volé: un atout ou un danger? Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Fedele Mendicino est journaliste à la rubrique genevoise depuis 2002. Il couvre en particulier les faits divers et l'actualité judiciaire. Plus d'infos @MendicinoF Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.