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Attention aux faux rabais épinglés sur certains sites de vente en ligne
Attention aux faux rabais épinglés sur certains sites de vente en ligne

24 Heures

time5 days ago

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Attention aux faux rabais épinglés sur certains sites de vente en ligne

Près de neuf fois sur dix, les soldes annoncés sur les sites de vente en ligne n'en sont pas, selon une enquête. Publié aujourd'hui à 10h29 Shein et Temu font partie des sites épinglés par l'enquête de UFC-Que choisir. IMAGO/SOPA Images Qui dit été, dit période des soldes. Mais attention, une enquête du magazine français «UFC-Que choisir», relayée par la RTS , démontre que certains sites de vente en ligne utilisent des «pratiques commerciales trompeuses». Mille annonces sur six plateformes ont été analysées par « UFC-Que choisir ». Sont concernées: Zalando, Amazon, Shein, Cdiscount, Asos et Temu. D'après le magazine, toutes utilisent ces pratiques, à plus ou moins grande échelle. Dans 85% des cas, les soldes affichés correspondent à des comparaisons fondées sur un prix de base défini arbitrairement par le vendeur. Et donc pas à de véritables réductions de prix. Certains sites parlent alors de «prix de vente conseillés», de prix «à l'origine», ou encore de «prix moyen constaté». Ces tarifs de base sont également souvent artificiellement gonflés avant les soldes, rapporte la RTS. Le rabais paraît ainsi plus important, et pousse à l'achat. Contre la législation européenne Ces pratiques vont à l'encontre de la législation européenne, selon laquelle «toute réduction de prix affichée se base sur le prix le plus bas pratiqué par le vendeur au cours des 30 jours précédant la promotion», rappelle le magazine français. Le site «Shein» s'est d'ailleurs vu infliger une amende de 40 millions d'euros en France au début du mois, rapporte la RTS. En cause: des prix majorés avant qu'une réduction ne soit appliquée, ainsi que des tarifs de référence ne prenant pas en compte les réductions précédentes. «UFC-Que choisir» a par ailleurs annoncé avoir saisi la Commission européenne, afin «d'alerter sur les dérives persistantes de certains professionnels». Si l'enquête du magazine porte uniquement sur la France, la chaîne publique rappelle que la Suisse n'est pas épargnée : la Fédération romande des consommateurs (FRC) dénonce régulièrement de faux rabais en Suisse. DAVANTAGE SUR LES FAUX RABAIS Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Données personnelles : Shein sous la menace d'une amende record de 150 millions d'euros
Données personnelles : Shein sous la menace d'une amende record de 150 millions d'euros

Le Parisien

time6 days ago

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  • Le Parisien

Données personnelles : Shein sous la menace d'une amende record de 150 millions d'euros

Déjà ciblée en France pour ses pratiques commerciales, la plate-forme de mode en ligne Shein risque de nouveau une lourde sanction financière. Jeudi, le rapporteur de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a requis une amende de 150 millions d'euros à l'encontre du géant du commerce en ligne pour non-respect de la législation sur les cookies . Selon la Cnil, Shein aurait enfreint les règles encadrant l'utilisation des cookies , ces fichiers qui permettent de suivre la navigation des utilisateurs pour leur proposer des publicités ciblées. Le rapporteur évoque « plusieurs manquements à ses obligations prévues par la loi », notamment en matière de consentement. Un contrôle mené le 10 août 2023 a révélé que le site plaçait « des cookies publicitaires sans recueillir le consentement des utilisateurs » ou avec « un mode de recueil du consentement qui prêtait à confusion ». « Le mécanisme de refus de cookie était défaillant », a ajouté le rapporteur, pointant « la négligence dont a fait preuve la société qui a pourtant les moyens humains et techniques d'être en conformité ». Le rapporteur a insisté sur l'impact de ces pratiques menées par le géant du commerce en ligne : « L'économie de la société repose sur l'achat en ligne de ces vêtements et donc en particulier de la publicité en ligne. » Il a rappelé que le site attire « en moyenne, 12 millions de visiteurs uniques par mois » en France. Il a toutefois précisé ne pas réclamer « d'astreinte de 100 000 euros par jour », Shein s'étant mis en conformité « récemment ». À l'audience, le porte-parole de la marque en France, Quentin Ruffat, a contesté l'analyse du rapporteur. Selon lui, le modèle économique de l'entreprise « ne repose pas sur les données personnelles », mais sur « les vêtements ». Shein a également critiqué la méthode de calcul retenue : le rapporteur s'est basé sur le chiffre d'affaires mondial du groupe, et non sur celui réalisé uniquement en France. L'avocate de la marque, Sonia Cissé, a qualifié le montant requis de « parfaitement disproportionné ». Elle a dénoncé « la sévérité exceptionnelle » de la demande du rapporteur, l'attribuant au contexte médiatique : « En France, compte tenu de la mauvaise presse de la marque , il y a la volonté d'adopter des sanctions fortes . » Me Cissé a également ajouté : « On n'est plus dans du droit, on n'est plus dans la conformité, on est dans du spectacle. » La délibération de la Cnil est attendue dans les prochaines semaines. Si l'amende de 150 millions d'euros est confirmée, il s'agirait d'un quasi-record en France : seul Google a déjà écopé d'un tel montant, en 2022, pour des faits similaires. Ce nouveau dossier s'ajoute à d'autres procédures en cours contre Shein. La semaine dernière, la marque s'est déjà vue infliger une amende de 40 millions d'euros par la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) pour « pratiques commerciales trompeuses ». Il lui est reproché d'avoir gonflé artificiellement certains prix avant d'y appliquer des réductions. Très populaire en France , où elle représentait 3 % des dépenses d'habillement en 2024, la plate-forme est régulièrement accusée de pollution, de conditions de travail indignes ou de concurrence déloyale. Pour ses détracteurs, Shein incarne tous les maux de l'« ultra fast fashion » .

Cookies publicitaires : une amende de 150 millions d'euros d'amende requise contre Shein devant la Cnil
Cookies publicitaires : une amende de 150 millions d'euros d'amende requise contre Shein devant la Cnil

Le Figaro

time7 days ago

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Cookies publicitaires : une amende de 150 millions d'euros d'amende requise contre Shein devant la Cnil

Sont dénoncés «plusieurs manquements à ses obligations prévues par la loi» concernant les cookies, notamment le «consentement des utilisateurs» et le respect de ce consentement. Shein mis à l'amende. Le rapporteur de l'autorité de contrôle du respect de la vie privée en France (Cnil) a requis jeudi 10 juillet 150 millions d'euros d'amende contre le géant asiatique de la mode éphémère, pour non-respect de la législation sur les cookies. Le rapporteur reproche à ce poids lourd du commerce en ligne «plusieurs manquements à ses obligations prévues par la loi» concernant les cookies - ces fichiers informatiques utilisés pour tracer la navigation des internautes et leur proposer des publicités ciblées -, notamment le «consentement des utilisateurs» et le respect de ce consentement. La délibération de la Cnil doit être rendue dans les prochaines semaines. Publicité Plus d'informations à venir...

« L'impact est déjà très important » : le tsunami des colis non contrôlés menace l'économie belge
« L'impact est déjà très important » : le tsunami des colis non contrôlés menace l'économie belge

Le Soir

time7 days ago

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« L'impact est déjà très important » : le tsunami des colis non contrôlés menace l'économie belge

Un tsunami. La métaphore pour qualifier l'afflux de petits colis provenant de pays hors de l'Union européenne – et singulièrement de Chine – est souvent utilisée. Mais comment qualifier autrement ce phénomène ? En Belgique, 1.600 colis étaient enregistrés quotidiennement aux douanes belges en 2017. Ce chiffre est passé à quatre millions en 2024. Une hausse qui n'est pas étrangère au succès de plateformes telles que Temu, Shein ou Alibaba.

« Seuls 15 % des prix barrés sont de réelles réductions » : l'UFC-Que Choisir alerte sur les fausses promotions en ligne
« Seuls 15 % des prix barrés sont de réelles réductions » : l'UFC-Que Choisir alerte sur les fausses promotions en ligne

Le Parisien

time09-07-2025

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  • Le Parisien

« Seuls 15 % des prix barrés sont de réelles réductions » : l'UFC-Que Choisir alerte sur les fausses promotions en ligne

Les acheteurs seraient, selon elle, trompés. L' association de défense des consommateurs UFC-Que choisir a annoncé ce mercredi saisir la Commission européenne « afin de l'alerter sur les dérives persistantes » de certains vendeurs en ligne comme Amazon , Shein ou Cdiscount, qui pratiquent selon elle de « fausses promotions » . L'UFC-Que Choisir « a analysé près de 1 000 annonces comportant un prix barré, issues de six sites majeurs d'e-commerce. Il en ressort que seuls 15 % des prix barrés sont de réelles réductions », déplore l'association dans son communiqué . Au total, l'UFC-Que Choisir s'est penchée sur six des plus gros vendeurs en ligne : Amazon, ASOS, Cdiscount, Shein, Temu, et Zalando, le tout sur une période étalée de février à avril 2025. Dans son analyse, l'association s'en prend à une notion fréquemment utilisée dans le commerce en ligne : le « prix de référence ». « À côté du prix effectif, le commerçant affiche un prix qui est plus élevé. Ce prix de référence est souvent barré et peut être accompagné par un pourcentage ou une somme en euros indiquant le rabais proposé », explique l'association. Or selon l'UFC, ce prix de référence « est utilisé par le vendeur pour donner l'impression au consommateur que l'offre actuelle est particulièrement avantageuse ». « Certains vendeurs ne fournissent tout simplement aucune explication quant à la nature du prix barré affiché », note l'association. Pourtant, depuis une directive européenne de 2019 entrée en vigueur en France en 2022, toute annonce d'une réduction de prix doit indiquer le prix précédent pratiqué par le vendeur et le « prix antérieur correspond au prix le plus bas pratiqué par le professionnel à l'égard de tous les consommateurs au cours des trente derniers jours », selon la loi. « Alors qu'une réduction de prix souligne que le prix réel a effectivement baissé, un prix de comparaison peut être manipulé librement par le vendeur pour afficher une remise supposée aussi élevée que virtuelle », souligne l'UFC-Que Choisir, qui ajoute que « plus le prix barré est opaque ou arbitraire, plus la prétendue réduction affichée est importante ». Récemment, le géant asiatique de la mode éphémère Shein s'est vu infliger une amende de 40 millions d'euros pour « pratiques commerciales trompeuses » après une enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Concrètement, il est notamment reproché à Shein d'avoir majoré « certains prix avant de leur appliquer une réduction », ou de ne pas avoir tenu compte « des promotions précédentes » lorsqu'il indiquait un prix de référence.

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