Dernières actualités avec #SquidGame


Le HuffPost France
6 days ago
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Avant de voir « Mercredi » saison 2 sur Netflix, voici ce dont il faut se souvenir de la saison 1
SÉRIES TÉLÉ - Dans la famille Adams, je demande la fille. Deuxième série la plus regardée sur Netflix après Squid Game, Mercredi a fait son retour sur la plateforme de streaming, ce mercredi 6 août, à l'occasion de la mise en ligne des quatre premiers épisodes de cette nouvelle saison, près de trois ans après le raz-de-marée de la précédente. La petite gothique au teint pâle incarnée par Jenna Ortega n'a pas changé d'un iota. Elle est toujours coiffée des mêmes tresses, porte les mêmes habits noirs, et ne sourit toujours pas. Rebelote : Mercredi reprend le chemin de Nevermore, cette académie pour « marginaux » où ses parents ont craqué l'un pour l'autre des décennies plus tôt. Sirènes, loups-garous, gorgones et autres ados atypiques s'y croisent. L'aînée de la famille Addams est, elle, dotée d'un don de voyance qui, comme lors de la première saison de cette série à mi-chemin entre Veronica Mars et Les nouvelles aventures de Sabrina, va lui être bien utile pour résoudre de nouvelles enquêtes. Mercredi vs. Laurel Gates Quid des précédentes ? Les avez-vous encore en tête ? Et où l'intrigue nous a-t-elle laissés en 2022 ? Petit rafraîchissement de mémoire. À son arrivée à Nevermore, Mercredi fait une découverte tragique : un de ses camarades est tué devant ses yeux par un monstre en pleine forêt. Il ne sera pas le seul, plusieurs élèves de l'école vont connaître pareil destin. Plus décidée à mettre son nez là où il ne faut pas plutôt qu'à suivre les cours (ou se faire des amis), Mercredi se lance à la recherche du tueur, contre l'avis du shérif ou de sa proviseure. Grâce aux connaissances de son oncle Fétide, la jeune femme apprend alors l'existence des Hyde, de dangereuses créatures libérées par hypnose, et découvre que son crush (un « normi » du nom de Tyler) en est une. Ce que Mercredi découvre aussi, c'est que sa prof de botanique Marilyn Thornhill contrôle le jeune garçon de café, et le fait se transformer en monstre pour s'attaquer aux étudiants. Car contrairement aux apparences, Marilyn Thornhill n'a rien de sympathique et les méprise. Son vrai nom ? Laurel Gates. Elle est la descendante du terrible Joseph Crackstone. « Je te surveille » Le Pilgrim n'a pas seulement fondé Jericho, la ville la plus proche de Nevermore, il y a surtout institué une culture de haine à l'égard des marginaux depuis le début du XVIIe siècle. Assassiné par Goody Addams, une ancêtre de Mercredi avec qui elle entretient une connexion psychique, il va renaître de ses cendres sous l'impulsion de Laurel Gates à l'aide d'une magie noire, et ainsi donné lieu à un affrontement sans merci avec notre héroïne. Grâce à ses nouveaux amis, Mercredi sort victorieuse de ce combat. Le mort-vivant finit en cendres, et celle qui l'a ressuscitée attaquée par un essaim d'abeilles. Mais l'adolescente n'est pas pour autant sortie d'affaires. Les dernières images montrent le Hyde, que sa coloc Enid avait permis de capturer, se libérer de ses chaînes, et Mercredi recevoir un texto inquiétant : « Je te surveille ». « Mon premier harceleur, souffle-t-elle à la lecture du message. Ces vacances risquent d'être plus intéressantes que prévu. Contrairement à mon roman, il reste des questions en suspens. Des secrets planent encore sur Jericho. Laurel Gates et Tyler n'étaient-ils que des pions ? » Il est l'heure des réponses, et de mettre la deuxième saison sur « play ».


Le Figaro
7 days ago
- Entertainment
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«Nous allons parachuter 26 candidats sur une île» : après Squid Game, MrBeast va adapter les jeux d'une saga culte
Invité de l'émission «Today» mardi aux États-Unis, le YouTubeur le plus suivi au monde a dévoilé les contours de son nouveau projet fou avec un million de dollars à gagner. Avec plus de 419 millions d'abonnés sur YouTube, William Donaldson, alias MrBeast, est le créateur de contenu le plus suivi au monde sur cette plateforme. À 27 ans, l'entrepreneur américain n'a de cesse de relever de nouveaux et ambitieux défis. Il y a trois ans, il avait entièrement recréé les épreuves de la série Squid Game et confronté 456 participants pour un gain final de 456.000 dollars. L'an dernier, il a vendu son format « Beast Games » à Prime Video, un gigantesque jeu avec 2000 candidats et plus de 15 millions de dollars de gains versés. Mardi, dans l'émission « Today », MrBeast a révélé préparer une adaptation de la saga Hunger Games , portée à l'écran au cinéma avec Jennifer Lawrence dans le rôle phare. « Nous allons parachuter 26 candidats sur une île, sans avoir recours à de véritables armes, et le vainqueur remportera un million de dollars », a-t-il expliqué. À lire aussi «Il a une parfaite compréhension des attentes du public»: comment l'Américain MrBeast est devenu en deux ans la première star mondiale de YouTube Publicité Le gigantesque projet Team Water de MrBeast Sur sa chaîne YouTube, William Donaldson a développé plusieurs jeux originaux avec des gains considérables mais il aime aussi adapter de grandes fictions populaires dans la vraie vie. Comme pour Squid Game, son Hunger Game sera sans danger pour les participants. Dans l'univers dystopique de la saga créée par Suzanne Collins, les candidats de différentes communautés sont contraints d'y participer et, à la manière des jeux de la Rome antique, la survie est leur seule récompense. Avec son associé Mark Rober, MrBeast a également lancé le projet Team Water pour apporter durablement de l'eau potable à des millions de gens dans le monde qui ont des difficultés pour en obtenir. « Notre mission est de collecter 40 millions de dollars afin de fournir de l'eau potable à 2 millions de personnes », explique-t-il dans une vidéo où il montre l'aboutissement d'un projet dans un village du Malawi. « C'est la plus vaste collaboration de toute l'histoire », souligne-t-il au sujet des 3000 créateurs de contenu qui se sont associés au projet.


La Presse
11-07-2025
- Sport
- La Presse
Où on en est, où on s'en va
Lorsqu'une série télé captivante revient enfin en ondes après plusieurs années d'attente (Squid Game, on te salue), il nous faut souvent consulter des récapitulatifs pour nous rafraîchir la mémoire. C'est un peu le même sentiment qui nous habite à l'approche du retour en activité des Roses de Montréal, ce week-end, au stade Boréale. C'est qu'en raison de la pause internationale prévue au calendrier, les Montréalaises n'ont pas joué de match depuis le 22 juin dernier. Pis encore, leur dernière rencontre à domicile date du… 7 juin. Voici donc où en sont les Roses dans cette saison inaugurale de la Super Ligue du Nord (SLN). Et où elles s'en vont. Début de saison sur les chapeaux de roue PHOTO ARLYN MCADOREY, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE Tanya Boychuk célébrant son but lors du premier match de la saison des Roses, le 19 avril Difficile de faire mieux que trois victoires en trois matchs pour commencer la saison, n'est-ce pas ? Mais surtout, c'est dans la manière que les joueuses de Robert Rositoiu se sont démarquées. La victoire de 1-0 à Toronto en lever de rideau était loin d'être parfaite, mais on a senti les Roses investies d'une mission pour garder leur filet étanche. Elles sont ensuite allées l'emporter de façon décisive par la marque de 3-1 à Vancouver. Début mai, le premier match à domicile a été spectaculaire : une remontée, deux beaux buts de Latifah Abdu et de Tanya Boychuk, et des pirouettes de cette dernière au milieu du terrain pour un gain de 2-1. Abdu et Boychuk ont été les noms à retenir de cette entame de campagne. Creux de vague PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE Les Roses ont subi une défaite de 2-0 à domicile contre l'AFC Toronto, le 22 mai. Ces flammèches s'éteignent quelque peu par la suite. En fait, l'équipe ne parviendra plus à marquer de but pendant trois longs matchs (une nulle et deux défaites) au cours du mois de mai. Les Roses plient notamment l'échine 2-0 face à l'AFC Toronto, au stade Boréale, un jeudi soir frisquet et pluvieux. Mais l'inquiétude ne s'installe pas. D'un naturel optimiste, Rositoiu estime que le « défi » devant son équipe est « magnifique ». « C'est là que le caractère se bâtit, dit-il. Et je pense qu'on a besoin de ça. » Les sourires reviennent PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE Les joueuses des Roses célèbrent un but de Charlotte Bilbault lors du match contre Vancouver, le 7 juin. Les Roses débloquent offensivement le 25 mai (1-1 à Ottawa), puis à domicile en s'imposant contre le Rise de Vancouver au match suivant, le 7 juin. Rositoiu qualifie cette victoire de 2-0 au stade Boréale de « match référence ». « Les filles sont récompensées, elles ont joué le football qu'on veut jouer », lance-t-il. Elles enchaînent ensuite avec une jolie victoire de 2-1 dans la capitale canadienne. Abdu et Boychuk retrouvent enfin le fond des filets dans cette rencontre, marquant leurs troisièmes respectifs. « On est récompensées pour le travail qu'on fait », juge Abdu. Ce gain est suivi d'un match nul de 0-0 à saveur de victoire devant une bonne équipe de Vancouver, le 22 juin. Et c'est là qu'on les a laissées. Profiter des matchs à domicile PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Les Roses de Montréal à l'entraînement au stade Boréale, lundi Après trois semaines de pause, les Roses de Montréal sont maintenant prêtes à reprendre le collier et à retrouver leur public au stade Boréale. C'est ce qu'elles feront lors de cinq des sept prochains matchs, d'ailleurs. À commencer par samedi, face aux Tides d'Halifax, qui viennent de changer d'entraîneur. Les Néo-Écossaises vivent une première saison compliquée en SLN, avec une récolte de 7 points, bonne pour le dernier rang. Les Roses, quant à elles, ont longtemps été premières au classement, mais viennent d'être dépassées par Toronto. Avec 18 unités, 4 points séparent les Montréalaises des Torontoises. Quoi de mieux qu'une période prolongée à domicile pour engranger des points et reprendre les devants ? Après les « surprises », les « ajustements » PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE Mégane Sauvé (à droite) Et comme la SLN est un circuit à six équipes, la portion médiane de cette saison sera un bon test pour voir lesquelles auront appris de leurs premiers affrontements, et lesquelles sauront s'ajuster pour les prochains. Chez les Roses, on a profité de la pause pour peaufiner certains éléments. « Robert a pris le temps, avec chaque joueuse, de faire un petit bilan de ce qu'elle a fait de bien et moins bien durant le début de l'année », a indiqué Mégane Sauvé devant La Presse, jeudi. « On se rend compte que oui, la première fois qu'on les a jouées, on a créé des surprises, ajoute-t-elle. Mais la deuxième fois, ça a toujours été un peu plus difficile. [C'est de voir] comment on fait pour s'ajuster. »


La Presse
10-07-2025
- Entertainment
- La Presse
Du pain, des jeux et des gardes roses !
La dernière saison de la série phénomène Squid Game est en ligne depuis deux semaines. Sur la photo, Seong Gi-hun, alias joueur 456. Du pain, des jeux et des gardes roses ! Oui, la troisième et ultime saison de la série phénomène Squid Game de Netflix, en ligne depuis deux semaines, renferme des longueurs, des répétitions, des incohérences et des éléments confus. Mais ça demeure une production avant-gardiste, originale et audacieuse, qui a pulvérisé tous les records d'écoute de la planète. Il existera un avant et un après Squid Game (Le jeu du calmar, en version française) dans l'histoire de la télévision. Qui aurait pu imaginer qu'une émission sud-coréenne aussi violente et sanglante, bricolée autour de jeux d'enfants macabres, remporterait un succès aussi fracassant ? Le sixième et dernier épisode de Squid Game 3 attache toutes les intrigues de façon satisfaisante, en plus d'ouvrir une porte à une possible série dérivée américaine, que chapeauterait le réalisateur David Fincher (Mindhunter, Fight Club, Seven), qui en connaît un rayon sur l'horreur et les maniaques. J'ai d'ailleurs dû reculer plusieurs fois la scène finale de Squid Game 3 pour être certain de ne pas avoir halluciné la présence d'une supervedette hollywoodienne, qui n'avait pas été annoncée dans ce rôle très titillant. Quel punch, quand même. Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Cette troisième saison de Squid Game surpasse la deuxième, mais n'accote pas la brillance de la première, qui demeure la plus réussie, la plus aboutie et la plus surprenante. Jamais plus on n'entendra ces comptines cristallines sans penser à un massacre humain à la mitraillette. Squid Game 3 reprend peu de temps après la mutinerie avortée de la deuxième saison, qui a décimé le bassin de compétiteurs encore dans l'arène. Le plan de révolte du brave Seong Gi-hun, le joueur vedette numéro 456, a échoué. Déprimé, écrasé et quasi aphone, Gi-hun reprend goût à ce tournoi morbide à la suite d'un évènement qui entache la crédibilité du récit, déjà assez flyé, merci. C'est très dur à avaler comme retournement, mais bon, nous regardons ici Squid Game, où des êtres humains paumés et endettés se font fusiller par des gardes roses s'ils échouent à une partie de « un, deux, trois, soleil ». Côté plausibilité, on peut en laisser passer. Les jeux géants de Squid Game restent les parties les plus impressionnantes et stressantes des épisodes. Après le carrousel infernal et sa ritournelle aliénante, les concurrents de Squid Game 3 s'affrontent d'abord dans une partie de cache-cache digne du pire des cauchemars. Séparés en deux équipes, les chasseurs et les proies, les participants envahissent un immense labyrinthe rempli de recoins, de pièges et de portes verrouillées. Pour s'en échapper, il faut a) trouver la porte de sortie bien dissimulée ou b) assassiner un camarade à coups de poignard. Cette séance de cachette débouche sur des moments d'une cruauté et d'une violence inouïes. D'autant plus que la majorité des cris de mort qui résonnent dans le labyrinthe de Squid Game 3 sont ceux de femmes que l'on égorge impunément. Sans surprise et sans divulgâcheur, vous déduisez que les candidats qui progressent le plus loin dans la joute sont tous des hommes. Ou presque. Avant-dernière étape du concours doté d'une cagnotte de 45 millions, la corde à danser qui tourne au-dessus d'un ravin s'inscrit parfaitement dans l'esthétique gamine et terrifiante qui a forgé l'image de Squid Game. Pendant que deux poupées mécaniques activent une longue corde métallique, les concurrents doivent traverser une poutre et sauter de façon synchronisée pour éviter d'être fauchés et de tomber dans le précipice. PHOTO FOURNIE PAR NETFLIX Une des terrifiantes poupées mécaniques qui fait tourner la corde à danser de l'avant-dernier jeu Peu de gens en uniforme sarcelle survivent à cette boucherie pour atteindre le jeu final : une version sauvage du roi de la montagne. Si vous pensez que Game of Thrones zigouille trop de personnages principaux, vous n'êtes pas prêts pour le carnage qui s'abat sur Squid Game 3. Hécatombe n'est pas un mot assez fort pour décrire le charnier qui vous pend au bout du nez. De retour alors que personne ne les réclamait, les clients VIP de Squid Game, ceux qui paient pour assister – en vrai – à cette compétition sinistre, n'apportent rien de constructif ou d'intéressant à cette fable sur le pouvoir corrupteur de l'argent. Ces spectateurs VIP portent des costumes loufoques, utilisent des jumelles d'opéra ridicules et s'expriment comme dans une pièce de théâtre d'été. Ils sonnent super faux quand ils commentent l'action, comme s'il s'agissait d'un match de hockey ou d'une course de chevaux. Bien sûr, on comprend que ces VIP incarnent la facette la plus horrible des ultrariches, qui deviennent déconnectés, insensibles et barbares, assis sur leur pile de fric. Mais ça ne marche juste pas. À l'extérieur des installations futuristes de Squid Game, le détective Hwang s'acharne à retrouver l'île mystérieuse où son grand frère In-ho supervise l'organisation de ces olympiques du sadisme. Squid Game est l'émission où les personnages se remettent le plus rapidement de blessures graves. Mollet lacéré, rein perforé ou cheville fracturée, pas de problème, ce n'est pas une rafale de balles qui les empêchera de sortir un rival de la course. Mais, que voulez-vous, c'est Squid Game. On rabat le masque sur notre visage et quand vient le temps de voter X ou O, on choisit la deuxième option. Juste pour une autre ronde.