Dernières actualités avec #Stock


Le Parisien
3 days ago
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« Je ne suis pas écrivaine » : le succès XXL du premier roman d'Ambre Chalumeau, chroniqueuse à « Quotidien »
Elle apparaît sur notre écran, souriante. Derrière elle, une grande bibliothèque aux rayonnages bien garnis : « Je ne suis pas chez moi, donc si vous voyez des choses bizarres dans la déco, je ne suis pas responsable », plaisante Ambre Chalumeau. Au contraire, rien de plus normal que des dizaines de livres pour tout horizon quand on rencontre l'un des phénomènes littéraires de cette fin de saison. Après plusieurs mois passés à jongler entre son métier de chroniqueuse culturelle dans l'émission « Quotidien » , un podcast intitulé « Liste de lecture » et la promotion de son premier roman, « Les vivants » (Éd. Stock, 304 pages, 21 euros), dans le top des livres les plus vendus du moment avec déjà plus de 55 000 exemplaires écoulés, la jeune femme de 27 ans s'accorde enfin une pause chez des amis sur la Côte d'Azur.


Le HuffPost France
5 days ago
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Guillaume Gallienne donne de géniaux conseils pour emmener ses enfants au musée
ART - L'été suit son cours, et les moyens pour s'abriter de la chaleur (ou de la pluie) en vacances en ville quand on est en famille demandent un brin d'imagination. Vous pensez au musée? C'est périlleux, même si Guillaume Gallienne a semble-t-il des conseils à prodiguer, d'après sa dernière vidéo poste sur Instagram, ce vendredi 25 juillet. « Comment les amuser ? », s'interroge le comédien de 53 ans, lui-même papa d'un garçon (aujourd'hui en âge de s'occuper tout seul, il a 18 ans). « Un enfant déjà, on lui dit trois salles maximum, pas plus », continue l'acteur, toujours en pleine promo de son dernier roman Le buveur de brume, paru aux éditions Stock en mai. Il précise : « le reste, il a le droit de courir. Ce n'est pas grave. Il va voir de belles choses quand même. » Viennent ensuite « les petits jeux, nous dit-il. L'enfant va dans la salle d'après, il choisit une œuvre, il invente un titre et revient. Il donne le titre, et il faut qu'on devine de quelle œuvre il s'agit. » Lui a, par exemple, dû deviner une œuvre rebaptisée Grand-mère rock'n'roll, en réalité une peinture d'une vieille dame signée Goya. Guillaume Gallienne en Géorgie Autre possibilité : demander à l'enfant d'aller dans la salle d'après choisir une œuvre. Celui-ci doit ensuite emmener ses parents, leur cacher les yeux et leur faire deviner de quoi il s'agit en la décrivant. « Ça permet de poser des questions petit à petit, de préciser, continue Guillaume Gallienne. Est-ce que c'est figuratif ? Est-ce que c'est abstrait ? Est-ce que c'est grand ? Est-ce que c'est petit ? » Voilà. C'est tout ? Non, il reste une dernière option. « On lui donne un téléphone » et on lui demande de faire « un reportage photo ou vidéo » sur ce qu'il a aimé du musée. « Et là, l'idée du cadre dans le cadre, de la mise en abyme, il s'éclate », assure l'acteur. Ces conseils, dit-il, figurent au programme de son livre paru au sein de la collection Ma nuit au musée, une série d'ouvrages dans laquelle des écrivains sont invités à passer une nuit dans un musée de leur choix, à l'instar de Christine Angot à la Bourse de commerce à Paris ou de Christophe Boltanski au Musée royal de l'Afrique centrale, près de Bruxelles. Guillaume Gallienne avait, lui, jeté son dévolu sur le Musée national de Tbilissi, en Géorgie. Mais par erreur, il s'est retrouvé contre sa volonté à la Galerie nationale, un établissement bien plus modeste puisque celui-ci compte seulement deux salles. Tant pis, pas le choix. Il s'est vu contraint de composer avec cet endroit, où le portrait de son arrière-grand-mère, la princesse Mélita Cholokachvili, venait d'y être déplacé.

Le Soir
08-07-2025
- Business
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484 romans, c'est 25 de plus qu'à la rentrée 2024
Lors des cérémonies de présentation de la rentrée littéraire, comme chez Stock, Grasset, L'Olivier, Métailié, tout le monde insiste : on réduit le nombre des sorties pour éviter l'inflation. Merci les éditeurs. Mais alors, pourquoi les données engrangées par Livres Hebdo et Electre Data Services montrent-elles une augmentation du nombre d'ouvrages proposés ? La rentrée d'automne, en fait à partir du 14 août et jusqu'à fin septembre, est composée de 484 romans. C'est 25 de plus qu'en 2024. Allez, admettons, ce n'est pas grand-chose, ça fait 5,45 % de plus. Mais, bon, c'est un arrêt dans la lente baisse des trois années précédentes. Et alors que la plupart des observateurs estiment que le trop-plein de publications tue en partie le marché du livre. 484 = 344 romans français + 140 romans traduits. Et il y a 33 romans français en plus et 8 romans traduits en moins. Applaudissons cependant l'audace des éditeurs : 73 premiers romans français cette année contre 68 l'année passée.