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L'Équipe
3 days ago
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Fin des play-offs, formats de compétition modifiés et Pipeline de retour : le circuit pro va faire peau neuve en 2026
La saison 2026 du circuit pro se débarrasse des play-offs pour revenir à une longue saison régulière. Avec aussi plus de surfeuses et des formats de compétition modifiés. Le point. 2026 c'est déjà demain pour la World Surf League qui veut faire les choses bien pour le 50e anniversaire du circuit pro. Ce lundi, dix jours avant le début de la Tahiti Pro, la WSL a dévoilé les douze épreuves de l'an prochain, les dates ainsi que les petites nouveautés concernant les formats de compétition. Comme nous vous l'annoncions début mai, la WSL revient à une saison régulière, faisant sauter les play-offs pour l'attribution du titre mondial, finalité qui n'a jamais vraiment convaincu, ni la majorité des surfeurs ni les fans. Pipeline de retour pour un épilogue en apothéose En 2026, le circuit pro se déroulera donc d'avril à décembre, avec un départ à Bells Beach pour une fin en apothéose, comme avant, sur le spot mythique de Pipeline à Hawaii. Le Pro France à Hossegor (Landes) est évidemment et sans surprise absent du Tour, mais la France sera toujours représentée par la légendaire étape de Tahiti à Teahupoo, en août. Un cut sera quand même effectué après la 9e manche de Lower Trestles en Californie, mi-septembre. Les sept meilleurs résultats seront pris en compte. Les étapes d'Abu Dhabi sur la piscine à vagues et de Peniche au Portugal seront lancées avec un effectif réduit, avant que tout le monde ne se retrouve sur le North Shore d'Oahu le 8 décembre pour un Pipe Masters dont la victoire comptera 15 000 points contrairement à 10 000 pour les autres manches. Seuls les huit premiers avant Pipeline pourront concourir pour le titre mondial. Le classement final prendra en compte, lui, neuf des douze meilleurs résultats. Au moins deux Français en 2026 Le 1er avril à Bells Beach, 36 hommes et 24 femmes - elles étaient traditionnellement 16 ces dernières années - seront en lice. Les Français Marco Mignot et Vahine Fierro seront de la partie, alors que l'incertitude plane sur la présence de Johanne Defay, actuellement enceinte. Le quota tricolore peut également être augmenté si des surfeurs comme le champion olympique Kauli Vaast venait à se qualifier dans l'élite via le circuit des Challenger Series. Kelly Slater et Kauli Vaast en compétition à Hossegor en septembre De nouveaux formats de compétition Le format de compétition évolue également. Exit le tour de repêchage (round 2) pour les surfeurs battus lors du 1er tour. Lors du round 1, seulement quatre séries de deux pour les surfeurs classés entre la 29e et la 36e place. Les quatre vainqueurs fileront au 2e tour (les quatre perdants seront éliminés), constitué de seize séries de deux. Les vainqueurs seront qualifiés pour les 8es de finale, et ainsi de suite jusqu'à la finale. Dans le tableau féminin, il y aura huit séries au 1er tour pour les surfeuses classées entre la 9e et la 24e place. Les huit vainqueures seront opposées au 2e tour aux huit premières surfeuses du classement, via des séries de deux, avant les quarts, les demies et la finale. Les formats seront légèrement différents pour Abu Dhabi, Peniche et Pipeline.


L'Équipe
24-07-2025
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Tahiti Pro : Teiva Tairoa remplace Alejo Muniz et sera le 6e Français en lice à Teahupoo
En raison du forfait de l'argentino-brésilien Alejo Muniz, le Tahitien Teiva Tairoa, 2e des Trials, s'est vu offrir une wild-card. Il intègre donc le tableau principal de la Tahiti Pro (7-16 août). Trois jours après la fin des Trials et les wild-cards décrochées par l'ovni Kelia Gallina (12 ans) et Mihimana Braye, la World Surf League a dévoilé le nom d'une autre wild-card pour la Tahiti Pro, 11e manche de la saison régulière du circuit qui se déroulera du 7 au 16 août à Teahupoo, soit la dernière étape avant les play-offs qui se disputeront aux Fidji du 27 août au 4 septembre. À Teahupoo, il y aura 6 Français en lice, dont cinq Polynésiens, puisque Teiva Tairoa a été invité à la fête sur le spot olympique. Ce dernier s'était hissé en finale des Trials dimanche avant d'être dominé par Braye et de finir 2e. Mais l'argentino-brésilien Alejo Muniz vient de déclarer forfait en raison d'une blessure à une épaule, et la WSL a offert le sésame à Tairoa. Gabriel Medina a décliné l'invitation Ce dernier, âgé de 35 ans et pompier de profession, s'était distingué en 2023 en remportant l'étape de Teahupoo du Championnat Open de Polynésie et la Taapuna Master. Teiva Tairoa vivra sa première dans le Main event de la Tahiti Pro. Au départ, la WSL avait proposé la wild-card de remplacement à Gabriel Medina, off pour la saison. Mais le Brésilien, triple champion du monde, n'a pas été en mesure d'accepter en raison d'engagements déjà prévus.


L'Équipe
21-07-2025
- Sport
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Kelia Gallina, 12 ans, s'est qualifiée pour la Tahiti Pro grâce à sa victoire à Teahupoo lors des Trials
La jeune Kelia Gallina (12 ans) et Mihimana Braye ont remporté les Trials de la Tahiti Pro ce dimanche à Teahupoo. Ils sont donc qualifiés pour la compétition du circuit pro en août, où il y aura aussi trois autres Français : Marco Mignot, Vahine Fierro et Kauli Vaast. En 2017, elle était haute comme trois pommes. Cela n'avait pas empêché Kelia Gallina de défrayer la chronique après avoir surfé la puissante Teahupoo à seulement... 4 ans. Ce week-end, sur le spot olympique des Jeux de Paris 2024, la Tahitienne surdouée, surnommée « Miss Teahupoo » et qui habite à La Pointe, juste en face de la vague mythique, a décroché son ticket pour la Tahiti Pro, la 11e manche du circuit pro. Pour une fois organisés très en avance - la compétition n'aura lieu qu'en août (du 7 au 16) - et ouverts aux surfeuses, les Trials (tournoi de qualification entre surfeurs locaux mettant en jeu deux wild-cards, une par genre) ont donc couronné la très jeune Kelia Gallina, 13 ans le 10 août prochain, et fille d'un père bodyboarder hawaïen (Ryan) et d'une maman tahitienne (Fleurette). « Je suis surprise aussi. Je me disais que ce n'était pas possible. C'est un rêve » Kelia Gallina, vainqueure des Trials Dans le tableau féminin, et alors que les vagues étaient moyennes (1,5 mètre) et pas forcément tubesques, six surfeuses étaient en lice. En finale, Kelia Gallina a dominé Aelan Vaast, soeur du champion olympique. Grâce à un 7,67 en début de série puis à un 3,6 à 5 minutes de la fin, « Miss Teahupoo » s'est imposée de justesse face à Vaast, qui s'est vu octroyer un 5,5 sur sa dernière tentative alors qu'elle avait besoin d'un 5,78. « Je suis carrément contente, je n'ai pas de mots, a confié Kelia Gallina au micro de Polynésie la 1ère. Je suis surprise aussi. Je me disais que ce n'était pas possible. C'est un rêve. » Braye pour la 3e fois Dans le tableau masculin, Mihimana Braye a de nouveau remporté le tournoi, comme l'an passé. Tombeur de l'excellent et fougueux tuberider Eimeo Czermak en demies, Braye s'est défait de la surprise Teiva Tairoa en finale grâce à un 8,33 (tube et 2 manoeuvres) à la fin de la série. « Ce n'était pas facile, a reconnu Mihimana Braye lui aussi au micro de Polynésie la 1ère. J'avais beaucoup de pression. J'étais bien encadré. Les 13 dernières minutes, c'était long. Cette vague m'a tout apporté. Je la remercie encore. » Braye sera dans le tableau principal de la Tahiti Pro pour la 3e fois après ses belles expériences en 2023 (5e) et 2024 (9e). 5 Français en lice en août Il y aura donc quatre surfeurs tahitiens à la Tahiti Pro 2025 : Kelia Gallina, Mihimana Braye, mais aussi Kauli Vaast et Vahine Fierro. Vaast a reçu une wild-card en tant que champion olympique invité par la World Surf League alors que Fierro, qui était dans l'élite en début de saison jusqu'au cut de mi-saison, a une wild-card personnelle. En plus des quatre Tahitiens, la France comptera un 5e représentant en la personne de Marco Mignot, pensionnaire du Championship Tour et actuellement 19e mondial.


Le Figaro
12-07-2025
- Science
- Le Figaro
«J'y ai laissé une partie de moi-même» : pourquoi avons-nous parfois cette sensation en revenant d'un voyage ?
PSYCHO - Certains retours sont plus difficiles que d'autres. Quitter une ville ou un pays qu'on a aimé peut laisser une sensation de ne pas revenir tout à fait entier. Qu'est-ce qui provoque cela ? «On laisse un peu de soi-même en toute heure et dans tout lieu», s'épanchait l'écrivain Edmond Haraucourt dans son roman Seul, publié en 1890. C'est parfois ce que l'on éprouve en revenant d'un endroit qui nous a profondément marqués, au point de s'y sentir comme chez soi, comme si notre identité s'y trouvait désormais partagée. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires C'est ce qu'ont confié certains voyageurs au Figaro. Plages de sable fin, sentiers de randonnée, effervescence citadine... En revenant, ces Français n'ont pas seulement quitté des paysages, mais aussi un aspect de leur personnalité. D'où vient ce sentiment si particulier ? Publicité « J'y ai laissé une partie de mon adolescence » Perrine n'avait que 16 ans lorsqu'elle s'envola pour quelques mois à Tahiti. Là-bas, elle y découvre le surf, les couchers de soleil interminables et organise des escapades jusqu'en Nouvelle-Zélande. «Je me sentais comme sur un nuage», s'émerveille encore la chargée de communication de 22 ans. Pourtant, sur la plus grande île de la Polynésie française, elle y apprend aussi le divorce de ses parents, ainsi que le décès de sa grand-mère. «J'ai vécu là-bas des moments très forts que je n'ai pas réussi à ramener avec moi. J'ai eu l'impression d'y laisser une partie de mon adolescence», analyse-t-elle aujourd'hui. Une sensation de « bien-être » Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes partagent aussi leurs retours de vacances teintés de mélancolie, évoquant une sensation de vide, comme si une de leurs facettes était restée sur place. D'après la psychologue Gwenaël Thing-Leoh, spécialisée dans le voyage, plusieurs éléments entraînent cette impression. «Notre personnalité s'adapte à un autre mode de vie, et au retour, nous pouvons avoir l'impression de perdre la personne qu'on était devenue à l'étranger », étaye-t-elle. À cela peut aussi s'ajouter un sentiment de « bien-être » porté par un coup de cœur profond pour une région, rendant le retour plus brutal. «Au moment de quitter cette atmosphère, on peut avoir cette sensation de scinder une parcelle de son identité», éclaire la psychologue. Cette phrase résonne pour Céline. À 37 ans, elle garde intact le souvenir de son séjour passé au Costa Rica à 15 ans. «C'était mon premier grand voyage, chaque jour était un choc culturel», raconte-t-elle. Ce qui l'a le plus marquée ? Lorsqu'elle parlait espagnol – langue apprise sur place au fil des rencontres – sa voix changeait de ton, ainsi que son caractère. Elle l'admet : «Je me sentais moins introvertie dans cette langue. En rentrant en France, j'ai eu le sentiment d'avoir perdu une part de moi». Si elle disait facilement « je t'aime » en espagnol à ses amis des Caraïbes, elle ressentait trop de pudeur pour le formuler en français à ses proches. Publicité Transmission intergénérationnelle ? Gwenaël Thing-Leoh y voit également l'empreinte d'une mémoire transgénérationnelle. «On peut se sentir bien dans un lieu car, inconsciemment, on le connaît déjà. Par exemple, un patient avait éprouvé une profonde connexion en visitant Taïwan, avant d'apprendre, des années plus tard, que ses arrière-grands-parents y avaient résidé», examine la spécialiste. La jetée de Brighton, station balnéaire au sud de Londres, qui a bouleversé Marie-Alexia, serveuse à Paris. Andrei Nekrassov / Andrei Nekrassov - C'est peut-être aussi ce qui justifie l'émotion de Marie-Alexia lors de son séjour à Brighton en juin. Qu'est-ce qui l'a inspirée à partir dans cette ville côtière du sud-est de l'Angleterre ? «Je n'arrive pas à l'expliquer, mais j'ai toujours voulu aller là-bas. Lorsque je suis arrivée en train, j'ai eu envie de pleurer», raconte la serveuse parisienne de 26 ans. Sur place, elle explore le pavillon royal, sillonne sa célèbre jetée donnant sur la Manche et teste tous les coffee-shops de la ville. «Même si je n'ai rien fait d'extraordinaire, je me suis sentie pleinement moi-même. Je n'avais jamais connu ça ailleurs, et au moment du départ, j'ai eu l'impression de laisser un fragment de moi là-bas, sans savoir lequel, ni pourquoi», confie-t-elle. D'autant plus que si elle ignore où sa grand-mère a vécu, elle sait que celle-ci est originaire du Royaume-Uni. Un héritage invisible ? «Il n'y a pas de théorie officielle sur le sujet», nuance Gwenaël Thing-Leoh. Mais s'attacher à un lieu au point de s'en sentir déchiré en repartant n'est pas anodin. Ne reste plus qu'à s'expatrier... À lire aussi Le «choc du retour» ou ce sentiment de déprime qui nous saisit après un long voyage à l'étranger À écouter - Est-ce que voyager peut aider à aller mieux ?


24 Heures
11-07-2025
- Entertainment
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Une Vaudoise à Tahiti se mesure à la crème de la danse traditionnelle
Installée sur l'île depuis cet hiver, Aurélie Meylan participera vendredi au Heiva i Tahiti, le plus grand événement culturel de l'année. Publié aujourd'hui à 08h55 Partie à Tahiti en laissant Suchy derrière elle, Aurélie Meylan (au centre et au premier plan avec une couronne) a rejoint une prestigieuse troupe de danse professionnelle. DR En bref: «Quand j'ai assisté au Heiva à Papeete en 2018, j'ai été émerveillée. Mais il me semblait totalement impossible d'y participer un jour.» Sept ans plus tard, à Tahiti, Aurélie Meylan va pourtant réaliser son rêve. Ce vendredi soir, elle participera à ce qui est la plus grande manifestation culturelle annuelle de cette île du Pacifique. Elle dansera au sein d'une troupe professionnelle, et pas n'importe laquelle, puisqu'il s'agit de Temaeva, la plus ancienne de l'île. Aurélie Meylan participe à une compétition de danse tahitienne de premier plan à Papeete ce vendredi. DR La passion de la Vaudoise pour la danse remonte à son enfance, et pour la danse tahitienne à quelques années. À sa grande surprise, l'autodidacte avait remporté en 2021 la Heiva Ori Tahiti Nui International Competition, un concours organisé par vidéos interposées. Devenue maman depuis, elle continuait de danser mais ne prévoyait pas de se rendre dans le Pacifique jusqu'à ce que des événements imprévus se produisent. Au bout du rêve «Il y a eu des moments difficiles, mais j'y ai vu un signe d'encouragement à aller au bout de mon rêve, explique-t-elle par visioconférence. Je me suis installée à Papeete seule avec mon fils en février.» Encore fallait-il trouver une troupe qui l'accepte. Au culot, elle contacte alors Temaeva . «Ils ont regardé mon travail en ligne, puis m'ont fait passer des sélections. J'étais inquiète, mais ça a passé.» Sa maîtrise technique et, en particulier, celle du fa'arapu – un mouvement des hanches très rapide et difficile à exécuter – les ont convaincus. Depuis, le travail est intense en vue de l'édition 2025 de cet événement, né en 1881 mais reprenant des traditions bien plus anciennes. «Au début, nous répétions trois soirs par semaine durant deux heures et demie, mais depuis quelque temps, c'est tous les soirs.» Il s'agit en effet d'apprendre les chorégraphies des différents tableaux que la troupe de 120 danseuses et danseurs (dont une dizaine d'étrangers) va présenter durant une heure ce vendredi sur la scène de la place To'ata. Mais Aurélie Meylan doit aussi apprendre les chants qui les accompagnent, en tahitien évidemment. «Le mariage des deux est indispensable pour vivre et transmettre les émotions. C'est très profond et spirituel.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. L'ancienne habitante de Suchy, dans le Nord vaudois, explique être souvent prise dans ce qui se rapproche d'une transe. «C'est la première fois que je danse avec la musique live et notamment les percussions. Cela provoque des émotions très fortes, qui nous transportent. Souvent, je n'arrive plus à m'arrêter de danser.» Une réceptivité qui la surprend encore: «Je ne sais vraiment pas pourquoi cette culture de l'autre bout du monde me fait un tel effet. Mais ici, j'ai vraiment le sentiment d'être à ma place!» Aurélie Meylan sera donc à sa place vendredi, entourée de danseurs et danseuses en costumes. Car l'habillement est aussi très important. «On change plusieurs fois de costumes pendant la prestation, car ils ont aussi une signification.» Certains sont fournis par la troupe, mais d'autres doivent être élaborés par les danseurs eux-mêmes, comme celui en végétaux. Voilà pourquoi, jeudi, la danseuse vaudoise ira au marché et dans la nature pour trouver les plantes qu'elle devra tresser et assembler pour confectionner son costume complet selon des consignes bien précises. Celui-ci passera ensuite la nuit au frigo. Professeure de danse Même si rien n'est décidé, la jeune maman se verrait bien prolonger son séjour à Tahiti. Elle continue de donner ses cours de danse en ligne aux femmes qui veulent apprendre. «J'ai aussi accueilli quelques élèves européennes qui souhaitaient venir me voir et danser ici.» Aucune Tahitienne n'est toutefois encore venue suivre ses enseignements. «Elles disent que ce serait la honte, rigole la Vaudoise. Mais, sinon, je reçois beaucoup d'encouragements. Les Tahitiens sont fiers que des étrangers aiment et représentent leur culture. Et ils sont impressionnés qu'une Suissesse danse mieux que certaines femmes d'ici.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. De la danse et encore de la danse Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Sylvain Muller est journaliste à la rubrique Vaudoise depuis 2005. Il est responsable du bureau d'Echallens et couvre à ce titre l'actualité du district du Gros-de-Vaud. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.