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Chartwell grossit dans le marché des résidences pour aînés au Québec
Chartwell grossit dans le marché des résidences pour aînés au Québec

La Presse

timea day ago

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Chartwell grossit dans le marché des résidences pour aînés au Québec

Avec les acquisitions et les agrandissements annoncés récemment, le parc immobilier de Chartwell au Québec devrait passer le cap des 10 000 appartements pour aînés dans une trentaine d'immeubles localisés dans les principales régions urbanisées de la province. Chartwell grossit dans le marché des résidences pour aînés au Québec L'entreprise immobilière Chartwell, spécialisée dans les résidences pour personnes âgées, continue de grossir ses actifs au Québec avec l'achat d'un complexe de 449 appartements à Montréal et l'ajout de 338 unités dans deux résidences situées à Terrebonne et à Vaudreuil-Dorion. À Montréal, l'entreprise d'origine torontoise acquiert le complexe résidentiel pour aînés des Tours Angrignon, voisin du parc du même nom dans l'arrondissement de LaSalle, pour une somme annoncée de 88,5 millions de dollars. À Terrebonne, Chartwell investit 34 millions dans l'agrandissement de la résidence Chartwell des Mille-Îles avec l'ajout de 91 appartements pour aînés autonomes dans l'immeuble qui en compte déjà 226. À Vaudreuil-Dorion, Chartwell et un partenaire québécois, EMD-Batimo, lancent un projet d'agrandissement annoncé à 170 millions pour l'ajout de 247 logements à la résidence de retraite Le Prescott. À la fin de ces travaux d'agrandissement, prévue en fin d'année 2026, le complexe résidentiel comptera près de 500 unités pour personnes âgées, dont une vingtaine pour les personnes dites en « vie assistée ». Entre-temps, toujours à Vaudreuil-Dorion, Chartwell et EMB-Batimo sont partenaires à parts égales dans le développement d'un immeuble de 187 appartements sur 14 étages pour les « adultes actifs et autonomes de 55 ans et plus ». Cet immeuble, nommé Lib Vaudreuil-Dorion, est adjacent à la résidence de personnes âgées Le Prescott de Chartwell. Après Québec L'annonce de ces investissements additionnels de Chartwell dans le marché des résidences pour aînés au Québec survient quelques mois après que l'entreprise d'origine torontoise eut réalisé une série d'acquisitions dans la région de la capitale québécoise. Entre autres, dans le quartier Beauport à Québec, Chartwell a acquis la résidence Le Florilège de 345 unités pour personnes âgées, dont 36 en unités de soins, pour un montant annoncé de 112,9 millions de dollars. Dans le quartier Cap-Rouge, en banlieue ouest de Québec, Chartwell a acquis la résidence de retraite L'Envol de 360 appartements, dont 36 en unités de soins, pour un montant annoncé de 117,8 millions. Dans le quartier Charlesbourg à Québec, Chartwell a déboursé 17,2 millions pour l'acquisition de la part restante de 15 % de la propriété de l'immeuble Chartwell Trait-Carré, qui comprend 361 appartements pour personnes âgées, dont 37 en unités de soins. Selon Jonathan Boulakia, directeur des investissements chez Chartwell, cette croissance dans le marché des résidences pour aînés au Québec vise à « développer des propriétés dans des emplacements stratégiques qui sont très attrayants pour les aînés, tout en soutenant des rendements solides et une création de valeur à long terme » pour l'entreprise et ses investisseurs. Avec les acquisitions et les agrandissements annoncés récemment, le parc immobilier de Chartwell au Québec devrait passer le cap des 10 000 appartements pour aînés dans une trentaine d'immeubles localisés dans les principales régions urbanisées de la province. Établie à Mississauga, en banlieue ouest de Toronto, l'entreprise Chartwell Retirement Residences est en fait une fiducie de revenu immobilier qui est spécialisée dans les résidences de retraite et dont les parts de fiducie (au lieu d'actions) sont cotées à la Bourse de Toronto. En date du lundi 14 juillet, avec ses parts proches de leur tout récent sommet historique de 18,59 $ par unité, en hausse de 40 % sur un an, la capitalisation boursière totale de Chartwell s'affichait aux environs de 5,2 milliards de dollars. De l'avis d'analystes, les prochains revenus annuels totaux de Chartwell en 2025 sont prévus aux environs de 1,1 milliard de dollars, en hausse de 18 % sur un an. Quant à la valeur annualisée de ses distributions de revenu parmi les détenteurs de ses parts de fiducie, elle est anticipée aux environs de 173 millions, en hausse de 6 % sur un an.

Jonathan Huberdeau et le temps qui passe
Jonathan Huberdeau et le temps qui passe

La Presse

time07-07-2025

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Jonathan Huberdeau et le temps qui passe

Dans quelques semaines, Jonathan Huberdeau se rapportera à une équipe de la LNH pour un autre camp d'entraînement. Dans son cas, il s'agira du 14e camp de sa déjà très belle carrière, amorcée en 2012-13 chez les Panthers de la Floride. À 32 ans, il lui reste encore six années de contrat chez les Flames de Calgary, et il lui reste aussi encore beaucoup de temps. Mais pas tant que ça, peut-être. « C'est sûr que je vieillis, a-t-il constaté en marge du tournoi de golf qui porte son nom, lundi, à Terrebonne. Mais je veux continuer à être un joueur compétitif, peu importe mon âge. Je ne sais pas je vais jouer jusqu'à quand, mais je veux au moins compléter ce contrat-là… » Si la réalité du temps qui passe est un sujet, c'est que les Panthers de la Floride reviennent d'une autre Coupe Stanley, pendant que Jonathan Huberdeau demeure à la recherche de la première. Comble de malheur, les succès des Panthers se sont amorcés au moment où lui quittait la Floride, dans le cadre d'une transaction monstre en septembre 2022, qui a aussi impliqué Matthew Tkachuk. Il admet que la première Coupe des Panthers, gagnée sans lui bien sûr, a été difficile à regarder. La deuxième ? Un peu moins. « Ç'a été moins dur de voir ça cette année parce qu'ils l'avaient déjà gagnée… mais c'est sûr que ça fait un petit pincement. C'est une belle équipe, les gars le méritent amplement, je suis content pour ceux que j'ai connus là-bas. » C'est l'une des meilleures équipes des 10 dernières années dans la ligue. Mais ça fait partie de la vie ; j'ai été échangé, et c'est rien que je pouvais contrôler. Ensuite, ils ont changé de coach, ils ont changé leur style de jeu, et c'est devenu complètement différent. Jonathan Huberdeau « C'est sûr que j'aimerais ça gagner une Coupe Stanley. On joue au hockey pour ça. Y'en a pour qui ça arrive, d'autres non, mais je ne m'impose pas de stress avec ça. Des fois, le timing est juste pas bon ; les Panthers m'ont échangé, et ils ont gagné après ! J'aurais pu être là… J'espère que ça va arriver avec Calgary, je pense qu'on va avoir une bonne équipe avec le temps. On a eu 96 points cette saison, on aurait dû participer aux séries… » Les bagues, c'est une chose, mais il y a aussi les points, et à ce chapitre, les chiffres de l'attaquant québécois ont été revus à la baisse. Après la saison de sa vie en 2021-22, avec 115 points, la production de Jonathan Huberdeau a chuté de moitié en trois saisons avec les Flames, avec des récoltes de 55, 52 et 62 points la saison dernière. Il affirme que le joueur aux talents offensifs et aux habiletés naturelles n'a pas disparu. « Le gars de 100 points, ce gars-là est encore là… mais avec notre style de jeu, c'est quasiment impossible d'avoir une saison de 100 points avec les Flames. Depuis que je suis là, personne n'a fait 100 points. On est plutôt une équipe qui est difficile à affronter, c'est comme ça qu'on doit jouer pour être compétitifs. Alors c'est sûr que nous, les joueurs, on va se retrouver à faire moins de points. Mais je pense qu'on va être une équipe plus solide, et c'est de même qu'on va accéder aux séries. Au début, pour moi, ç'a été difficile, mais je me suis dit qu'il fallait que je sois meilleur défensivement, et que je joue de manière plus complète. Jonathan Huberdeau Huberdeau admet que cette transformation d'un joueur de 115 points à un joueur de 55, de 52 ou de 62 points n'a pas été si facile à accepter. Mais c'est le chemin qu'on lui a demandé de suivre, et aussi, c'est ce qu'il va faire, parce qu'il ne veut pas être de ceux qui partent après un certain temps sans avoir pu atteindre le sommet de la montagne. « J'ai dû modifier mon style de jeu et au départ, c'est quelque chose qui a été difficile à avaler… mais aussi, c'est peut-être grâce à ça que je vais pouvoir jouer pendant plus longtemps. »

Critique des Boys, le spectacle
Critique des Boys, le spectacle

La Presse

time04-07-2025

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Critique des Boys, le spectacle

En montant au théâtre Les Boys, un film culte sur l'amitié, la fierté et notre sport national, le metteur en scène Marc St-Martin, à l'invitation de Juste pour rire, a voulu créer « un spectacle drôle, humain et rassembleur ». Mission accomplie ! (Terrebonne) La partie n'était pas gagnée d'avance… Or, Les Boys réussit avec brio son passage de l'écran à la scène au Théâtre du Vieux-Terrebonne. Grâce à un spectacle inventif, porté par une solide équipe d'interprètes. Si le hockey et le théâtre peuvent sembler aux antipodes, la chimie entre les deux univers a eu lieu jeudi soir, lors de la première médias. Par moments, on se saurait cru au Centre Bell, tellement la salle était survoltée ! De plus, pas besoin d'être un fan de hockey pour apprécier ce spectacle, mis en scène avec doigté et inventivité. Dans l'excellente adaptation de Guillaume Corbeil, la pièce revisite le scénario du premier film de la franchise, réalisé par Louis Saïa en 1997, en l'ancrant dans le monde actuel. À la fois très différent et… semblable. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE Les Boys, le spectacle au Théâtre du Vieux-Terrebonne Les travers humains Les Boys, le spectacle reste une comédie sur les travers humains. La scène s'ouvre à la brasserie Chez Stan, que le propriétaire (Emmanuel Bilodeau) met en gage contre une dette de jeu avec Méo (Louis Champagne). Le décor est aussi suranné qu'il y a 30 ans. Nos Boys, que l'on présente à tour de rôle dans un prologue un peu longuet, sont toujours aussi tout croches. Et fort contrastés. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Gabriel Sabourin, Denis Houle et Mikhail Ahooja Le défi de la proposition était donc de faire évoluer les personnages, sans les dénaturer. Malgré leurs vilains défauts, leurs expressions absurdes (« Tu m'accumules au pied du mur » ; « Dans mon livre à moi », etc.), ces gars sont du bon pain. Leurs préjugés sont le reflet de leur faible estime d'eux-mêmes. Si on gratte, ils sont attachants… et ouverts d'esprit. Dans la pièce, ils laissent une fille (Marilou Morin) se joindre à leur équipe pour jouer le match décisif. La mise en scène est inventive et sensible. Le décor se transforme sans lourdeur pour nous faire rapidement passer d'un lieu à l'autre. Au second acte, les amis chaussent leurs patins pour livrer le match de la mort contre l'équipe de méchants goons de Méo. L'avant-scène devient une patinoire pour exécuter de fines prouesses de jeu. Physique et dramatique. Avant la fin, on nous réserve une belle (et touchante) surprise. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Didier Lucien, Gabriel Sabourin et Denis Houle dans Les Boys, le spectacle Les 12 interprètes sont très bien dirigés. Dans le premier trio – Stan, Méo et Bob (David Savard, toujours aussi juste) –, on reconnaît les traits des personnages du film, sans tomber dans l'imitation. La recrue Thomas Derasp-Verge joue Léopold, le fils de Stan, avec une énergie débordante. Le vétéran Denis Houle incarne Fern, le gardien de but immortalisé par Paul Houde à l'écran, avec un jeu comique huilé à la perfection. La polyvalente Marie-Pier Labrecque nous fait crouler de rire avec son interprétation de Marcel, l'arbitre incarné par Luc Guérin dans le film. Bref, toute la distribution est solide et cohérente. « La dureté du mental » PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE David Savard et Emmanuel Bilodeau L'auteur Guillaume Corbeil a dit que le monologue de Bob sur « la dureté du mental », c'est un peu l'équivalent du « Être ou ne pas être » au Québec. Le public attend cette réplique culte tout le long du spectacle. Lorsqu'elle est enfin lancée par Savard, au milieu du second acte, la salle la reprend en chœur ! À mon avis, la clé du succès de cette saga populaire sur le hockey, l'amitié et la solidarité réside dans ce cri du cœur du public québécois. Les Boys, c'est la revanche d'un peuple qui a trop longtemps pilé sur sa fragile fierté. Et qui ne veut plus « scorer » dans son but. Je n'ose pas parier comme Stan et Méo. Mais ces « boys » vont cartonner partout au Québec ! Le spectacle est présenté tout l'été au Théâtre du Vieux-Terrebonne, avant d'entamer à l'hiver 2026 une grande tournée au Québec. Consultez le site du spectacle

Critique de Les Boys, le spectacle
Critique de Les Boys, le spectacle

La Presse

time04-07-2025

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Critique de Les Boys, le spectacle

En montant au théâtre Les Boys, un film culte sur l'amitié, la fierté et notre sport national, le metteur en scène Marc St-Martin, à l'invitation de Juste pour rire, a voulu créer « un spectacle drôle, humain et rassembleur ». Mission accomplie ! (Terrebonne) La partie n'était pas gagnée d'avance… Or, Les Boys réussit avec brio son passage de l'écran à la scène au Théâtre du Vieux-Terrebonne. Grâce à un spectacle inventif, porté par une solide équipe d'interprètes. Si le hockey et le théâtre peuvent sembler aux antipodes, la chimie entre les deux univers a eu lieu jeudi soir, lors de la première médias. Par moments, on se saurait cru au Centre Bell, tellement la salle était survoltée ! De plus, pas besoin d'être un fan de hockey pour apprécier ce spectacle, mis en scène avec doigté et inventivité. Dans l'excellente adaptation de Guillaume Corbeil, la pièce revisite le scénario du premier film de la franchise, réalisé par Louis Saïa, en 1997, en l'ancrant dans le monde actuel. À la fois très différent et… semblable. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE Les Boys, le spectacle au Théâtre du Vieux-Terrebonne. Les travers humains Les Boys, le spectacle reste une comédie sur les travers humains. La scène s'ouvre Chez Stan, la brasserie que le propriétaire (Emmanuel Bilodeau) met en gage, contre une dette de jeu avec Méo (Louis Champagne). Le décor est aussi suranné qu'il y a 30 ans. Nos Boys, que l'on présente à tour de rôle dans un prologue un peu longuet, sont toujours aussi tout croches. Et fort contrastés. CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Gabriel Sabourin, Denis Houle et Mikhail Ahooja. Le défi de la proposition était donc de faire évoluer les personnages, sans les dénaturer. Malgré leurs vilains défauts, leurs expressions absurdes (« Tu m'accumules au pied du mur » ; « Dans mon livre à moi », etc.), ces gars sont du bon pain. Leurs préjugés sont le reflet de leur faible estime d'eux-mêmes. Si on gratte, ils sont attachants… et ouverts d'esprit. Dans la pièce, ils laissent une fille (Marilou Morin) se joindre à leur équipe pour jouer le match décisif. La mise en scène est inventive et sensible. Le décor se transforme sans lourdeur pour nous faire rapidement passer d'un lieu à l'autre. Au second acte, les amis chaussent leurs patins pour livrer le match de la mort contre l'équipe de méchants « goons » de Méo. L'avant-scène devient une patinoire pour exécuter de fines prouesses de jeu. Physique et dramatique. Avant la fin, on nous réserve une belle (et touchante) surprise. CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Didier Lucien, Gabriel Sabourin et Denis Houle dans Les Boys, le spectacle Les 12 interprètes sont très bien dirigées. Dans le premier trio – Stan, Méo et Bob (David Savard, toujours aussi juste), on reconnaît les traits des personnages du film, sans tomber dans l'imitation. La recrue Thomas Derasp-Verge joue Léopold, le fils de Stan, avec une énergie débordante. Le vétéran, Denis Houle, incarne Fern, le gardien de but immortalisé par Paul Houde à l'écran, avec un jeu comique huilé à la perfection. La polyvalente Marie-Pier Labrecque nous fait crouler de rire avec son interprétation de Marcel, l'arbitre incarné par Luc Guérin dans le film. Bref, toute la distribution est solide et cohérente. « La dureté du mental » CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE David Savard et Emmanuel Bilodeau L'auteur Guillaume Corbeil a dit que le monologue de Bob sur « la dureté du mental », c'est un peu l'équivalent du « Être ou ne pas être » au Québec. Le public attend cette réplique culte tout le long du spectacle. Lorsqu'elle est enfin lancée par Savard, au milieu du second acte, la salle la reprend en chœur ! À mon avis, la clé du succès de cette saga populaire sur le hockey, l'amitié et la solidarité réside dans ce cri du cœur du public québécois. Les Boys, c'est la revanche d'un peuple qui a trop longtemps pilé sur sa fragile fierté. Et qui ne veut plus « scorer » dans son but. Je n'ose pas parier comme Stan et Méo. Mais ces « boys » vont cartonner partout au Québec ! Le spectacle est présenté tout l'été au Théâtre du Vieux-Terrebonne, avant d'entamer à l'hiver 2026 une grande tournée à travers le Québec. Consultez le site du spectacle

Un massothérapeute de Terrebonne accusé d'avoir agressé sexuellement une femme
Un massothérapeute de Terrebonne accusé d'avoir agressé sexuellement une femme

La Presse

time04-07-2025

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Un massothérapeute de Terrebonne accusé d'avoir agressé sexuellement une femme

PHOTO FOURNIE PAR LE SERVICE DE POLICE DE TERREBONNE Un massothérapeute de Lanaudière accusé d'avoir agressé sexuellement une patiente pourrait avoir fait d'autres victimes, selon les forces de l'ordre, qui lancent un appel au public. Ken Jacques, un résidant de Terrebonne de 48 ans, a comparu le 3 juillet dernier au palais de justice de Laval. Il est accusé d'avoir agressé sexuellement une femme entre septembre 2022 et mars 2023 à Terrebonne. Il a été libéré sous conditions. Selon son compte LinkedIn, Ken Jacques pratique la massothérapie depuis une quinzaine d'années. « Le Service de police de Terrebonne avise la population de ses préoccupations quant à la possibilité que Ken Jacques ait fait d'autres victimes, puisqu'il a été en contact avec de nombreuses personnes dans le cadre de son travail », affirme la police de Terrebonne dans un communiqué. Toute personne détenant de l'information à ce sujet est invitée à communiquer de façon confidentielle avec les enquêteurs au numéro suivant 450-471-4121 (dossier TRB-250 326-018).

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