Dernières actualités avec #ThibautCourtois


Le Parisien
4 days ago
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« Un plaisir dingue à les regarder jouer » : le PSG de Luis Enrique est-il la meilleure équipe de l'histoire ?
« Le PSG a été largement au-dessus. » « Paris est la meilleure équipe du monde. » « Le PSG est une grande équipe. » Les mots sont ceux de Simone Inzaghi, Thibaut Courtois et Diego Simone, tous broyés logiquement par le Paris Saint-Germain ces derniers mois. Inarrêtables, les Parisiens sont en passe de décrocher un quintuplé héroïque. Et d'inscrire leurs noms au Panthéon des plus belles équipes de l'histoire. « Depuis le Barça de Guardiola, rarement une équipe m'a autant impressionné », nous glissait Adrien Thomasson après la large victoire parisienne face au Real Madrid en demi-finale de Coupe du monde des clubs (4-0). Un formidable compliment qui fait écho à celui de l'ancien défenseur de Liverpool Jamie Carragher sur X : « Regarder le PSG est comme regarder le Barça de Pep. »


L'Équipe
6 days ago
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« Il veut être au centre de l'attention » : Courtois tacle Tebas, qui refuse de reporter le premier match de Liga du Real Madrid
À la suite de l'élimination du Real Madrid en demi-finales de la Coupe du monde des clubs, Thibaut Courtois a critiqué la décision de Javier Tebas de ne pas reporter le premier match des Merengues en Liga, la saison prochaine. L'omniprésence de Javier Tebas commence à agacer Thibaut Courtois. À la sortie de l'élimination du Real Madrid en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs contre le PSG (4-0) mercredi, le Belge a critiqué le positionnement du président de la Liga, qui peste contre la compétition depuis le début du tournoi. « La Liga, c'est toujours la même histoire. Je n'ai jamais entendu un président anglais ou italien s'exprimer comme ça. Il veut toujours être au centre de l'attention », a d'abord lâché le gardien madrilène. Loin de chercher à aider les joueurs qui participent à la compétition estivale, Tebas a refusé de reporter le premier match de Championnat des Merengues, programmé le 19 août contre Osasuna. « On a besoin de repos pour réaliser une bonne saison. C'est le seul sport au monde avec autant de mois de compétition. Il préférerait que le Mondial des clubs n'existe pas, mais il existe », a insisté Courtois, qui espère tout de même que la Liga déplacera le match : « la santé des joueurs est en jeu ».

Le Soir
6 days ago
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Le coup de gueule de Thibaut Courtois après la débâcle du Real Madrid face au PSG : « Il veut tout le temps être sous les projecteurs » (vidéo)
Thibaut Courtois n'a pas digéré la lourde défaite 4-0 du Real Madrid face au PSG en demi-finale de la Coupe du Monde des Clubs. Et il ne s'est pas gêné pour le dire. Vif, le gardien belge a pointé du doigt le calendrier surchargé du club merengue et a directement visé le président de la Liga, Javier Tebas. « La Liga, c'est toujours pareil. Je n'ai jamais entendu un président en Angleterre ou en Italie parler comme lui », a lancé Courtois depuis le New Jersey. « Il veut toujours être sous les projecteurs. » Le Diable Rouge plaide pour plus de repos et demande que le Real, actif jusqu'au 9 juillet, ne débute pas la Liga dès le 19 août. « On a besoin de repos. Ce n'est pas normal qu'on nous retire nos vacances. » Ce n'est pas la première fois que Courtois s'exprime sur le sujet. Déjà en 2021, il dénonçait des joueurs traités « comme des robots ». Et avec la multiplication des compétitions, sa colère ne fait que grandir.


Le Figaro
6 days ago
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- Le Figaro
PSG-Real Madrid : irrésistible, la machine infernale parisienne a encore frappé
DÉCRYPTAGE – Impressionnants mercredi, face au Real Madrid, les joueurs de Luis Enrique ne sont plus qu'à une marche du sacre à la Coupe du monde des clubs. Il n'y a pas eu de match mercredi, au MetLife Stadium. Pas longtemps… Après 25 minutes de jeu, la machine infernale parisienne avait déjà tué une grande partie du suspense. Le Real Madrid n'avait tout simplement pas les armes pour rivaliser avec ce PSG, toujours plus fort, toujours plus impressionnant, toujours plus irrésistible. Après Manchester City, Liverpool, Arsenal et l'Inter en Ligue des champions, puis l'Atlético Madrid et le Bayern Munich en Coupe du monde des clubs, la Casa Blanca a pris le bouillon à son tour face aux hommes de Luis Enrique (4-0). Démonstration de force. Une classe d'écart entre les deux équipes, tactiquement, physiquement, mentalement. «Dans un match comme ça, contre une grande équipe, on voit tout de suite les erreurs, les choses qu'on doit améliorer. Paris, c'est la meilleure équipe du monde sur le terrain», constate Thibaut Courtois. «Faisons preuve d'autocritique, notre niveau n'était pas suffisant», résume Xabi Alonso, qui ne dirigeait que son sixième match sur le banc madrilène. À lire aussi Les notes de PSG-Real Madrid : Ruiz et les Parisiens brillants, Mbappé impuissant, Asencio perdu Publicité Le Real creuse la propre tombe Comme souvent, on pourrait avoir tendance à minimiser la performance parisienne, se dire que ce Real avait des circonstances atténuantes. Et il en a, à commencer par le fait que les Merengue «sont sur un schéma nouveau alors (que le PSG) déjà deux années de boulot» derrière lui, dixit Luis Enrique. Par ailleurs, Trent Alexander-Arnold a été contraint de déclarer forfait, Dean Huijsen était suspendu et Kylian Mbappé, qui a pu mesurer l'écart entre sa nouvelle équipe et la précédente, n'est pas dans les meilleures dispositions. Last but not least, les vice-champions d'Espagne ont creusé leur propre tombe avec les bourdes de Raul Asensio et Antonio Rudiger sur les deux premiers buts parisiens, dans les 10 premières minutes. Deux erreurs «qui changent le match», dixit Courtois. Sauf que la punition appliquée à ce Real Madrid imparfait n'a rien d'un accident ou d'une exception. Les Rouge et Bleu ont simplement joué leur jeu et récité leur football dans le New Jersey. On a fait des efforts incroyables. Achraf Hakimi «On mérite cette victoire, jubile Achraf Hakimi, encore hyperactif samedi face à son club formateur et passeur décisif sur le troisième but parisien. On a fait des efforts incroyables. L'adversaire n'était pas simple, mais on a fait un travail magnifique». Auteur de son premier doublé, Fabian Ruiz, brillant mercredi, ne boudait pas son plaisir : «Je ne pouvais pas rêver mieux. Bravo à toute l'équipe qui m'a permis de marquer ces deux buts. On savait que ce serait difficile, il faisait chaud. On est très contents». Un doublé qui est venu mettre en lumière le match plein de l'international espagnol, discret à ses débuts à Paris, indispensable aujourd'hui. «Changer de pays, de championnat, ce n'est jamais facile. C'était difficile au début, mais l'entraîneur est arrivé. J'essaye de faire le mieux, cette saison a été super. C'était très riche», savoure-t-il. «Mon objectif en tant qu'entraîneur est de voir mes joueurs profiter, que les fans profitent aussi de nous voir jouer», souligne pour sa part Luis Enrique. Mission accomplie. Et comment… Le fond et la forme pour l'Espagnol. Un appétit d'ogre Sa machine est parfaitement huilée. Luis Enrique, c'est la possession, la maîtrise, le contrôle. Mais son équipe est désormais capable de répondre à tous les défis. L'adversaire presse haut ? Pas de problème, les Parisiens peuvent faire le dos rond et piquer en contre, comme ils l'ont fait contre le Bayern. D'ailleurs, ils le font aussi dans des rencontres où ils dominent, comme mercredi. Jamais de baisse en termes d'intensité, de volonté et de courses. «Kvara» est un symbole dans ce domaine. Et surtout, le Paris-SG a faim, encore et toujours. Après avoir remporté tous les trophées disponibles en France (Ligue 1, Coupe de France, Trophée des champions) et en Europe (Ligue des champions), et malgré un niveau de fatigue important, Marquinhos et compagnie veulent vraiment remporter ce Mondial des clubs. À lire aussi PSG-Real Madrid : «Paris, c'est la meilleure équipe du monde», reconnaît Thibaut Courtois «C'est un objectif que l'on a depuis le début, c'est difficile de le réaliser, très peu d'équipes le peuvent, il reste un seul match pour écrire, construire l'histoire. Un club français capable de conquérir tous les trophées, la Ligue des champions et le Mondial des clubs, ça représente beaucoup pour nous», promet Luis Enrique, plus heureux que jamais dans son costume d'entraîneur du club de la capitale. Et de poursuivre : «C'est un plaisir de travailler à Paris en tant qu'entraîneur, dès le début j'ai vu le soutien de la direction sportive et du président pour réaliser nos objectifs, et on ne pensait pas obtenir de si bons résultats pour être honnête». Il n'est pas le seul à être surpris. Encore que, plus personne ne l'est désormais. Le PSG s'est élevé au rang de référence dans le football actuel. La crème de la crème. Publicité Coup double pour Dembélé ? Reste à relever un dernier défi dimanche, toujours dans le New Jersey, face à la surprenante équipe de Chelsea. Un sacre qui rapprocherait encore un peu plus Ousmane Dembélé du Ballon d'or. «Pour moi, sur le Ballon d'or, il doit y avoir des conditions sine qua non, non seulement des buts et passes décisives mais aussi de faire gagner à l'équipe des trophées. Le joueur qui a fait tout ça c'est Dembélé, avec beaucoup d'écart sur les autres joueurs. C'est mon opinion», glisse malicieusement Luis Enrique. Certes, le Paris-SG, c'est une équipe, un groupe, un collectif. Mais il n'y a pas de mal à se faire du bien. Et si un sacre dimanche peut aider «Dembouz» dans sa quête individuelle…


Le Parisien
6 days ago
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- Le Parisien
« Paris est la meilleure équipe du monde » : les Madrilènes dans leurs petits souliers après la gifle en demi-finale
Ils n'en menaient pas large, les Madrilènes, à l'issue de cette défaite qui s'est transformée en déroute (4-0) à l'occasion de la demi-finale de la Coupe du monde des clubs. Qui aurait pu croire, il y a encore quelques mois, qu'au cœur de ce mois de juillet brûlant, ce seraient les joueurs du Real Madrid qui regarderaient benoîtement leurs souliers en évoquant la maîtrise absolue de leur adversaire, ce PSG que plus personne ne sait arrêter ? « Paris est la meilleure équipe du monde », a simplement constaté Thibaut Courtois, qu'on a connu moins élégant après une défaite contre une formation française. Les forces parisiennes ont impressionné les Madrilènes. « Ils sont en très bonne forme, ils jouent tous à un très bon niveau, a relevé l'entraîneur de la Maison Blanche, Xabi Alonso. On a souffert comme d'autres face à eux. » De son but, Courtois a pu observer le rouleau compresseur adverse. « Ils pressent très bien, très haut, et ils trouvaient toujours quelqu'un de libre et créaient beaucoup de danger, a analysé le gardien belge. Avec autant d'espaces pour eux, c'est difficile. Les deux premiers buts ont décidé du match : ils étaient à l'aise, nous moins. » La différence de niveau a été cruelle pour la formation espagnole qui a perdu de sa superbe depuis sa victoire en Ligue des champions, il y a un an. Xabi Alonso a essayé de faire passer l'idée d'un nouveau cycle, après le départ de Carlo Ancelotti. Même si l'effectif n'a pas beaucoup bougé. « Le PSG est une équipe qui s'est construite au fil du temps, et nous, on n'en est quasiment qu'à nos débuts, a-t-il déclaré. On aura besoin de temps pour se remettre sur pied, et même si c'est certainement difficile à expliquer en ce moment, je suis certain que cela va nous servir à être plus fort la saison prochaine. Notre niveau n'a pas été suffisant, mais nous allons opérer une réinitialisation dans l'optique de la saison prochaine. » L'entraîneur des Merengue a refusé de commenter les sorts individuels de ses joueurs phares, notamment de Kylian Mbappé qui a traversé la rencontre comme un fantôme à l'occasion de ses retrouvailles avec ses anciens coéquipiers, ou encore de Vinicius qui n'a pas paru davantage concerné. Rodrigo, lui, est une nouvelle fois resté sur le banc, ce qui interroge sur les choix de Xabi Alonso, qui jouit d'une cote d'amour très élevée à Madrid depuis son passage réussi en tant que joueur (2009-2014). « Je ferai mon autocritique, promet-il. Mais cette compétition m'a fourni quelques certitudes. Cette compétition et ce match m'ont beaucoup appris sur qui nous sommes et ce que nous devons améliorer. Ma composition d'équipe l'an prochain pourra se reposer sur les joueurs que nous récupérons. » Eder Militao et Dani Carvajal ont notamment retrouvé la compétition à l'occasion de cette demi-finale. Dans le même temps, Madrid a aussi perdu Luka Modric, dont le dernier match sous le maillot blanc aura donc été une défaite nette et sans appel. « Ce n'est pas la fin que je souhaitais pour lui, c'est une fin un peu amère, concède Xabi Alonso. C'est une légende du football mondial, du Real Madrid. Nous avons eu le plaisir et l'honneur d'être à ses côtés sur le terrain. On se souviendra de lui pour bien plus de bonnes choses que les 25 minutes d'aujourd'hui. » « Luka est toujours ovationné, où qu'on joue, constate quant à lui Thibaut Courtois. C'est un grand joueur, un excellent coéquipier, et il nous manquera. »