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Tour de France : la neuvième étape a été la deuxième plus rapide de l'histoire
Tour de France : la neuvième étape a été la deuxième plus rapide de l'histoire

Le Figaro

time2 days ago

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Tour de France : la neuvième étape a été la deuxième plus rapide de l'histoire

L'étape entre Chinon et Châteauroux remportée par Tim Merlier a été disputée à une moyenne de 50,013 km/h par le vainqueur. Supersonique Tour de France. Dimanche, la neuvième étape remportée au sprint par Tim Merlier après une très longue échappée de Jonas Rickaert et Mathieu Van der Poel, finalement repris à six kilomètres de l'arrivée, a été la deuxième plus rapide de l'histoire de l'épreuve. Le vainqueur a bouclé les 174,1 km avec une moyenne de 50,13 km/h. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Plusieurs éléments peuvent contribuer à expliquer cette performance accomplie sous un soleil de plomb. Le profil du parcours, extrêmement plat d'abord, un vent très favorable dans le dos aussi et enfin une échappée lancée au kilomètre 0 qui a poussé le peloton à réagir et accélérer pour aller chercher les deux fuyards. La barre des 50 km/h n'a été franchie qu'à deux reprises dans l'histoire de la Grande Boucle. Publicité Le record date de 1999 avec Mario Cipollini Le record date de la quatrième étape du Tour de France 1999 remportée par Mario Cipollini à Blois avec une moyenne de 50,36 km/h sur 194,5 km. «Ça va très vite», a constaté Tadej Pogacar qui dit n'avoir «même plus le temps de se raser» avec aussi les longs transferts en bus à la fin de l'étape. Le peloton devrait aller nettement moins vite avec le parcours qui les attend ce 14 juillet dans le Massif central avec pas moins de huit ascensions.

Tour de France : parcours, horaires, favoris et curiosités de la dixième étape
Tour de France : parcours, horaires, favoris et curiosités de la dixième étape

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time3 days ago

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Tour de France : parcours, horaires, favoris et curiosités de la dixième étape

Tout ce qu'il faut savoir sur la course et ses à-côtés avec la dixième étape entre Ennezat et Le Mont-Dore Puy de Sancy. Le profil de l'étape : Ennezat-Le Mont-Dore Puy de Sancy (165 km,3) Pour entamer cette (longue) deuxième semaine après la victoire du sprinteur Tim Merlier à Châteauroux, le Tour de France nous offre une magnifique étape de moyenne montagne au sein du Massif central. 165,3 kilomètres au programme avec pas moins de huit ascensions répertoriées au classement du meilleur grimpeur et un final très exigeant avec le col de la Croix Saint-Robert (5,1 km à 6,4% ; km 155,4) et l'arrivée au sommet du Mont-Dore Puy de Sancy (3,3 km à 8,8%). Un parcours très difficile qui devrait ravir les prétendants au maillot à pois et offrir une belle opportunité aux favoris de faire des écarts. On pourrait aussi voir les Français à l'œuvre, en ce 14 juillet. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Les favoris de la rédaction et la grosse cote Comment ne pas penser à Tadej Pogacar avec ce parcours qui lui convient comme un gant. Le Slovène, qui a perdu son premier lieutenant en montagne Joao Almeida (abandon) dimanche, ne va pas attendre les Pyréenes pour tenter d'assommer la concurrence. Le maillot jaune va attaque, c'est une certitude. Reste à savoir quand ? Dans la dernière ascension ? Possible. Publicité La grosse cote : les cadors pourraient attendre le final de cette étape pour lancer les hostilités, laissant la possibilité à des baroudeurs convoitant le maillot à pois de lancer une attaque précoce. On mise sur Felix Gall, l'Autrichien de l'équipe Décathlon-AG2R La Mondiale. Les horaires de la dixième étape Le départ fictif sera donné à 13h10 depuis Ennezat et le départ réel à 13h25. L'arrivée est prévue à 17h38 avec une moyenne de 39 km/h. Comment suivre l'étape à la télé France 3 à partir de 13h00 puis sur France 2 à 15h00. En intégralité en payant sur Eurosport. La curiosité du jour Ennezat, avec sa collègiale Saint-Victor et Sainte-Couronne (collégiale romane et gothique du XIIe siècle, peintures murales du XVe siècle) et son pigeonnier à pans de bois sur pilotis couvert d'un toit en pavillon (XVIIe siècle), va découvrir le Tour de France ce lundi 14 juillet. L'occasion, entre autres, d'évoquer l'une des spécialités gastronomiques locales : la truffade (jambon d'Auvergne, pommes de terre, tomme fraîche). Publicité Pour Le Mont-Dore Puy de Sancy, ce sera aussi une première. Le point culminant du Massif central (1885 m) est connu pour ses termes du XIXe siècle, et le palace Sarciron (XXe siècle), considéré dans le passé comme l'un des cinq plus grands de France. Pour la petite histoire, la commune est la troisième station de ski à avoir ouvert en France après Montgenèvre et Chamonix. La collègiale Saint-Victor et Sainte-Couronne à Ennezat. DR L'expression du jour : «Faire l'élastique» Être lâché d'un groupe et ensuite le rattraper, et ainsi de suite.

Tim Merlier, sprinteur fabuleux et homme simple avec l'héritage en mémoire
Tim Merlier, sprinteur fabuleux et homme simple avec l'héritage en mémoire

L'Équipe

time3 days ago

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Tim Merlier, sprinteur fabuleux et homme simple avec l'héritage en mémoire

Compagnon de la fille de Frank Vandenbroucke, le sprinteur belge, vainqueur de sa deuxième étape hier sur ce Tour, vit et respire le vélo au sein de la famille de l'ancien champion disparu en 2009. Comme par procuration. Dans une petite maison blanche à la sortie de Ploegsteert, tout proche de la frontière française, bat le coeur d'une partie de l'histoire du cyclisme belge. Au bout de la rue, on aperçoit par temps clair le haut du beffroi d'Armentières. On est en pleine Flandre occidentale néerlandophone mais on y parle le français car cet endroit fait partie d'une enclave linguistique comme il y en a quelques-unes en Belgique. Souvent, on aperçoit le maillot de champion d'Europe rouler dans le coin, le long de la Lys. Tim Merlier s'arrête dans cette petite demeure chez Jean-Jacques et Chantal, les parents de Frank Vandenbroucke. Il y a six ans, il rencontre Cameron, leur petite-fille, qui a longtemps vécu chez eux après le décès de son père. Ici, on l'appelle Tim, mais on tient à la prononciation flamande « Merlire ». Il est devenu l'enfant de la famille. Le vélo, une histoire de (belle)-famille Quelques jours avant le départ du Tour, le sprinteur de 32 ans est venu dîner à la maison avec Cameron et le petit Jules, âgé de deux ans. « J'essaie de ne pas le déranger en parlant toujours de vélo mais dans notre famille, c'est difficile d'y échapper, rigole Jean-Jacques. Je me souviens de Cameron quand elle m'a annoncé sa rencontre avec lui sur un cyclo-cross : "Papy, j'ai rencontré un garçon, mais bon il est cycliste." C'était inévitable chez nous. » Il y a encore six ans, Tim Merlier ne s'imaginait pas faire une carrière sur route. Son hiver était consacré au cyclo-cross et l'été, c'était plutôt relâche. Mais René De Clercq, le frère de Mario, star du cyclo-cross dans les années 90, trois fois champion du monde, l'a découvert lors du Tour du Brabant flamand en Espoir et l'a vu batailler pour la... 18e place. « Je n'ai jamais vu quelqu'un sprinter comme ça », lâcha-t-il alors à son frère. Celui-ci lui confirma, quelques jours plus tard, que ce Tim Merlier méritait peut-être d'avoir sa chance sur la route. Il s'entraînait alors avec Angelo De Clercq, le fils de Mario, et Massimo Van Lancker, le fils d'Eric, ancien champion des années 80 et 90. Mais il n'avait pas imaginé changer quoique ce soit à cette vie, à ses attaches à Wortegem près de Waregem où il a toujours vécu, dans le petit café Sint-Arnoldus't Pleintje tenu par sa mère, désormais devenu le lieu de rendez-vous de ses supporters qu'il retrouve parfois pour fêter ses victoires. Et il en a à fêter. Hier, il a engrangé la 62e de sa carrière, loin devant Jasper Philipsen (54) et Wout Van Aert (50). « Mais ça ne change rien à sa vie, raconte Jean-Jacques Vandenbroucke toujours aussi passionné. C'est un garçon tellement simple, il écoute bien plus mes conseils que ne le faisait Frank à l'époque. » Au-dessus du bar de la cuisine, trône un portrait de Frank Vandenbroucke, champion disparu à 34 ans (le 12 octobre 2009). Un souvenir auquel Tim Merlier ne peut échapper. Chaque année, en juin, il participe à la cyclosportive « VDB for ever » en hommage au père de sa compagne. « Il nous pose des questions sur Frank, poursuit Jean-Jacques. Parfois quand il voit le petit Jules trotter, il rigole en disant que ça serait bien qu'il ait à la fois sa pointe de vitesse et le moteur du grand-père. » Naissance d'un sprinteur redouté et aimé Son parcours n'a pas toujours été aussi linéaire. Au début de la saison 2019, il s'était retrouvé sans équipe alors que Nick Nuyens, le patron de Verandas Willems-Crelan en conflit avec Wout Van Aert, avait mis la clé sous la porte. « Les frères Roodhooft (Philip et Christoph) l'avaient récupéré chez Coredon (devenu Alpecin) au mois de mai seulement, se souvient Chantal Vandenbroucke, il ne leur coûtait pas beaucoup d'argent. » Tim Merlier était censé alors se glisser dans la peau de poisson-pilote pour Jasper Philipsen. Au bout d'un mois, il remportait un sprint royal à Bruges sur la semi-classique Elfstedenronde devant Fabio Jakobsen et le Limbourgeois, une semaine avant de décrocher le titre national devant Timothy Dupont, Wout Van Aert et Philippe Gilbert. « Tim n'était pas habitué à être au centre de l'attention, il a dû apprendre à parler devant les micros, sourit Jean-Jacques Vandenbroucke. Jusque-là, on ne faisait pas attention à lui, c'était juste un cyclo-crossman de deuxième zone. Il était sélectionné en équipe nationale mais il ne faisait jamais mieux qu'une 5e ou 6e place sur les Coupes du monde. » Toujours en quête de héros flandriens, le public flamand s'est pris de passion pour ce garçon qui sortait (presque) de nulle part. « Parce qu'il colle à l'image qu'on se fait des champions flandriens, soutient son voisin Hugo Coorevits, ancien journaliste au quotidien flamand Het Nieuwsblad. Il est simple et vient de ce peuple de terriens qui se bat avec ses armes pour réussir. Il coche toutes les cases. » C'est sans doute aussi pour cette raison qu'il continue à écouter les conseils de Jean-Jacques Vandenbroucke qui l'appelle deux fois par jour, le matin à 9 heures avant sa sortie d'entraînement et en début de soirée pour connaitre le déroulement de sa journée. Et si par malheur il ne répond pas, le grand-père contacte sa petite-fille Cameron avec inquiétude. « Tim est à l'écoute, bien plus que ne l'était Frank, rigole-t-il. Mais c'est surtout quand Patrick (Lefévère) est entré dans le jeu en l'embauchant en 2023 alors qu'il avait Fabio Jakobsen dans son équipe qu'il a changé de dimension. » Sa timidité devant les micros tranche avec son caractère bien trempé au sein de l'équipe Soudal-Quick Step où il apparaît comme le modérateur, « celui qui est toujours optimiste, qui remonte le moral à tout le monde, confie un membre du staff. Vu de l'extérieur, il n'y paraît peut-être pas mais c'est lui, le moteur de la vie de l'équipe. » À lire aussi Van der Poel lance la rébellion Privé d'Almeida, que perd Pogacar ? «Chez les puncheurs, Vauquelin commence à arriver au meilleur niveau mondial» Qui est le meilleur poisson-pilote ?

Tim Merlier devant Jonathan Milan et Arnaud De Lie : le classement de la 9e étape du Tour de France 2025
Tim Merlier devant Jonathan Milan et Arnaud De Lie : le classement de la 9e étape du Tour de France 2025

L'Équipe

time3 days ago

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Tim Merlier devant Jonathan Milan et Arnaud De Lie : le classement de la 9e étape du Tour de France 2025

Déjà vainqueur de la 3e étape, Tim Merlier a de nouveau triomphé au sprint ce dimanche à Châteauroux pour la 9e étape du Tour. Il a devancé de peu Jonathan Milan et Arnaud De Lie sur la ligne. Bis repetita pour Tim Merlier, de nouveau vainqueur au lancer de vélo ce dimanche devant Jonathan Milan, comme lors de la 3e étape. Le champion d'Europe 2024, déjà vainqueur d'une étape en 2021, signe son troisième succès sur le Tour de France. Son rival italien, vainqueur la veille alors que Merlier n'avait pas pu se mêler à l'emballement final à cause d'une crevaison, conforte son maillot vert. Mathieu Van der Poel et Jonas Rickaert (Alpecin-Deceuninck) ont bien failli jouer un vilain tour aux équipes de sprinteurs. Partis en échappée dès les premiers kilomètres, les deux hommes ont compté jusqu'à 5'40'' d'avance sur le peloton et l'ancien champion du monde néerlandais a résisté jusqu'au bout, seulement repris dans le dernier kilomètre à Châteauroux. Le top 10 de la 9e étape du Tour de France 2025 1. Tim Merlier (Soudal Quick-Step)2. Jonathan Milan (Lidl-Trek) en 3h50'26''3. Arnaud De Lie (Lotto) à 0''4. Pavel Bittner (Picnic PostNL) à 0''5. Paul Penhoët (Groupama-FDJ) à 0''6. Biniam Girmay (Intermarché-Wanty) à 0''7. Phil Bauhaus (Bahrain Victorious) à 0''8. Jordi Meeus (RedBull-Bora-Hansgrohe) à 0''9. Stian Fredheim (Uno-X Mobility) à 0''10. Kaden Groves (Alpecin-Deceuninck) à 0'' Le top 10 du général du Tour de France 2025 après la 9e étape 1. Tadej Pogacar (UAE Emirates - XRG) en 25h58'04''2. Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step) à 54''3. Kévin Vauquelin (Arkéa - B&B Hotels) à 1'11''4. Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike) à 1'17''5. Mathieu Van der Poel (Alpecin-Deceuninck) à 1'29''6. Matteo Jorgenson (Visma-Lease a Bike) à 1'34''7. Oscar Onley (Team Picnic PostNL) à 2'49''8. Florian Lipowitz (Red Bull - Bora-Hansgroe) à 3'02''9. Primoz Roglic (Red Bull - Bora-Hansgroe) à 3'06''10. Mattias Skjelmose (Lidl-Trek) à 3'43''

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