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Le Figaro
22-07-2025
- Sport
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Tissot, Richard Mille, Breitling, Tudor... Sur le Tour de France, des vélos et des montres
La passion de la petite reine s'empare également des poignets. Les montres liées à l'univers du cyclisme foisonnent désormais. Inventaire. Au bout de l'effort, et parfois de la souffrance, les routes du Tour de France sont le juge de paix du talent cycliste. Sur la selle, les meilleurs coureurs se mesurent, et les champions se révèlent. Les montres également, que rien n'empêche de porter en pédalant pour les plus légères, ou d'arborer tels des hommages horlogers sur le bord des routes. Bien sûr, discrètement mais efficacement, les capteurs et montres connectées signés Garmin équipent bon nombre de coureurs avides de données précises sur leurs performances au quotidien. Le géant américain est d'ailleurs partenaire d'une bonne quarantaine d'équipes professionnelles à travers le monde. Mais dans l'Hexagone, depuis déjà quelques années et pour cette 112e édition, le chronométreur officiel et la montre officielle demeurent Tissot. Cette année encore, une PR100 Tour de France à quartz, au boîtier en acier de 40 mm de diamètre, est proposée à 495 euros. Tissot PR100 Tour de France Tissot Humbert-Droz HD10 Romain Grégoire Humbert-Droz Publicité Et dans la course ? On peut notamment repérer au poignet du cycliste français Romain Grégoire une HD10 en édition limitée numérotée à 100 exemplaires (890 €), imaginée par les Bisontins d'Humbert-Droz. Une montre automatique cœur ouvert en acier traité avec un revêtement PVD noir qui rend hommage à l'esprit combatif du coureur. Elle bat au rythme d'un mouvement automatique franco-suisse La Joux-Perret G1A0 assemblé à la main dans les ateliers de la marque à Besançon. Un mouvement proposant 68 heures de réserve de marche. Ses petits plus : sa masse oscillante décorée de la silhouette d'un cycliste, réalisée par Bailly Roland à Besançon, et son bracelet aux surpiqures bleues signé Jean-Rousseau. Cette édition limitée est en prévente sur le site de la marque pour 890 euros jusqu'à fin août 2025. Humbert-Droz HD10 Romain Grégoire Humbert-Droz Au guidon des vélos comme dans les paddocks de F1, performance extrême oblige, Richard Mille est omniprésente. La marque est notamment partenaire depuis 2017 de l'UAE Team Emirates, qui a rejoint l'UCI WorldTour, le plus haut niveau du cyclisme professionnel. Avec à la clé victoire de Tadej Pogačar sur le Tour de France 2020, 2021 et 2024. Fin 2024, il devenait également champion du monde pour la première fois de sa carrière. En plus de porter les couleurs de la marque sur leurs vélos et leurs kits, les cyclistes de l'UAE Team Emirates portent également une montre RM 67-02 au poignet. Un miracle d'ergonomie pesant seulement 32 grammes grâce aux matériaux composites TPT et au titane grade 5 qui entrent dans sa composition. Il est associé à un bracelet spécial, totalement dépourvu de coutures, antidérapant et très élastique afin d'épouser parfaitement les contours du poignet de chaque porteur. Une Richard Mille au poignet des coureurs de l'écurie UAE Team Emirates. Richard Mille Richard Mille compte également parmi ses ambassadeurs Mathieu van der Poel, véritable phénomène du cyclisme, qui a hélas dû abandonner sur le Tour cette année, après en avoir arboré le maillot jaune. Le sportif néerlandais champion du monde sur route 2023 a déjà remporté à deux reprises consécutives « l'Enfer du Nord », l'éprouvant Paris-Roubaix, considérée comme la plus rude des classiques du cyclisme. Bon sang ne saurait mentir pour le petit-fils de la légende française Raymond Poulidor et fils de l'ancien champion du monde de cyclo-cross Adrie van der Poel… Mais une autre star porte une montre Richard Mille : Alain Prost, partenaire de la marque depuis 2017, année durant laquelle a été dévoilée la RM 70-01 Tourbillon, conçue en collaboration avec le champion français et inspirée par sa passion (méconnue) pour le cyclisme. Cela fait en effet près de 25 ans que« le Professeur » s'est mis sérieusement au vélo. La Richard Mille RM 70-01 d'Alain Prost. franz j. venzin Le totaliseur inédit de cette RM 70-01 en carbone TPT, une édition limitée à 30 pièces, affiche simplement la distance globale parcourue avec leurs différents vélos. Le poussoir situé à 2 heures permet de sélectionner l'un des 5 rouleaux du compteur kilométrique, dont l'indication est donnée dans une fenêtre en titane. Une pression sur le poussoir situé à 10 heures permet de faire passer le rouleau sélectionné au chiffre supérieur. Le seul effort requis de la part de l'utilisateur consiste à ajouter la distance du jour au total antérieur. Sur cette pièce, les clins d'œil à l'univers du cyclisme sont omniprésents : dans les vis Allen en titane qui fixent les ponts, dans le rocher du barillet, qui rappelle les rayons d'une roue de vélo, sans oublier la cage tourbillon ou la couronne dynamométrique, qui évoque un pédalier de vélo. Tudor Pelagos FXD Chrono Tudor De son côté, la manufacture suisse Tudor a poussé l'intérêt pour le cyclisme jusqu'à désormais posséder sa propre équipe. Elle a ainsi créé le Tudor Pro Cycling Team, qui a déjà remporté de nombreuses victoires. Avec elle, Tudor a lancé un nouveau modèle sportif, hommage au champion suisse Fabian Cancellara, champion olympique et champion du monde. La nouvelle Pelagos FXD Chrono (5490 €), au boîtier de 43 mm mariant fibres de carbone et titane, est produite à seulement 300 exemplaires d'une série dont le numéro 7, nombre fétiche de Fabian Cancellara, lui a été réservé. Signe particulier de ce modèle : une échelle tachymétrique adaptée non pas à la vitesse d'une voiture mais à celle d'un cycliste. Elle propose une graduation en spirale sur le rehaut incliné à 45° sur le pourtour du cadran, permettant d'établir la vitesse moyenne sur une distance donnée. Son calibre Manufacture MT5813, certifié par le Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (COSC) possède une réserve de marche de 70 heures. Ici, son bracelet en tissu d'une seule pièce est tissé de manière artisanale sur des métiers Jacquard à navette du XIXe siècle par l'entreprise Julien Faure, dans la région de Saint‑Étienne. Fausto Coppi et Gino Bartali ArchiviFarabola Publicité Chez Breitling, dont le président George Kern est un véritable passionné de deux roues et pratiquant émérite, on rend cette année hommage à deux légendes du cyclisme et anciens ambassadeurs de la marque : Fausto Coppi et Gino Bartali. Il faut dire qu'au milieu du XXe siècle, Breitling a été le chronométreur lors des événements cyclistes les plus importants du monde, notamment le Tour de France, le Giro d'Italia, le Milano San Remo et la Flèche Wallonne. La marque dévoile ainsi deux chronographes Top Time de 41 mm animés par le Calibre B01, offrant une précision certifiée COSC et une réserve de marche d'environ 70 heures. Des éditions limitées à 750 pièces aux couleurs éclatantes inspirées des vélos et des maillots des champions de jadis. « Coppi et Bartali ont entretenu l'une des plus grandes rivalités de l'histoire du sport, déclare Georges Kern. Ils se sont mutuellement poussés vers le haut. Ces montres ravivent ainsi une histoire des plus inspirantes. » Breitling Top Time Fausto Coppi et Gino Bartali Breitling La Top Time B01 Fausto Coppi arbore des compteurs turquoise sur un cadran blanc, avec une aiguille des secondes en forme d'éclair orange faisant écho aux couleurs du vélo de Coppi. La Top Time B01 Gino Bartali présente quant à elle un cadran bleu aux accents jaunes, inspirés de son maillot. Ces deux éditions limitées de 750 pièces arborent les surnoms des légendaires cyclistes sur l'échelle tachymétrique : « Il Campionissimo » (le champion des champions) pour Coppi et « L'Intramontabile » (l'intemporel) pour Bartali. Leurs signatures à six heures ajoutent une touche encore plus personnelle. Ces chronographes de 41 mm sont équipés du calibre manufacture 01 de Breitling, à la précision certifiée COSC, proposant une réserve de marche d'environ 70 heures.


Le Figaro
16-07-2025
- Le Figaro
Avec Tissot, les femmes passent à l'heure solaire
L'horloger suisse propose désormais dans un diamètre de seulement 34 mm de nouvelles déclinaisons de sa gamme équipée de mouvements à quartz solaire Lightmaster. C'est la nouvelle vague de l'univers des montres à quartz : après des décennies de piles bouton, place à l'énergie photovoltaïque pour alimenter le mouvement des aiguilles. Si de nombreuses marques se reposent sur les mouvements créés par les Japonais de Citizen, et également proposés par La Joux-Perret, le Swatch Group reste fidèle à ses principes fondateurs : produire en interne et ne dépendre de personnes. C'est ainsi qu'en mars dernier, Tissot créait la surprise avec sa nouvelle gamme PRC 100 Solar de 39 mm de diamètre, puisant son énergie dans la lumière. Tissot PRC 100 Solar 34 mm Tissot Équipée d'un mouvement solaire à quartz et de la technologie révolutionnaire Lightmaster, elle absorbe la lumière naturelle et artificielle à travers sa glace saphir, dont les très discrets panneaux solaires la transforment et la stockent dans un accumulateur rechargeable. La montre continue également de charger dans les environnements peu ensoleillés, mais aussi sous un éclairage artificiel. La lumière traverse la glace saphir et atteint des cellules solaires alvéolaires microscopiques qui optimisent l'absorption sans compromettre l'esthétique du cadran. L'énergie est ensuite transférée par le connecteur intégré à la boîte au mouvement à quartz de fabrication suisse Le surplus d'énergie est stocké dans un accumulateur rechargeable, ce qui garantit à cette montre une autonomie de 14 mois dans l'obscurité avec une charge complète. Grâce à son mouvement suisse à faible consommation, la rétention d'énergie est maximisée pour un fonctionnement continu, même en cas d'exposition lumineuse minimale. Tissot PRC 100 Solar Tissot Publicité Dix minutes de luminosité suffisent pour obtenir 24 heures d'autonomie. Dit autrement, quelques minutes de port quotidien peuvent permettre à la montre de fonctionner indéfiniment. Cet été, au tour des femmes de pouvoir profiter de cette nouvelle technologie, avec de nouvelles déclinaisons en 34 mm de diamètre, toujours avec la même lunette dodécagonale emblématique. Place cette fois à un revêtement PVD or jaune, bicolore PVD or rose, ou bien en acier gris, avec par ailleurs de nouveaux cadrans bleu ciel ou en nacre, et toujours des aiguilles et index revêtus de Super-LumiNova. Comptez 495 à 595 euros pour en arborer une au poignet.