Dernières actualités avec #ValériePécresse


Le Parisien
18-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Pistes cyclables, espaces verts… À Paris, le réaménagement de la place Denfert-Rochereau ralentira-t-il les bus ?
Les bus pâtiront-ils ou pas du nouveau visage de la place Denfert-Rochereau (Paris XIVe) ? Rendez-vous début 2027 pour le savoir. Alors que la mairie de Paris, la RATP et Île-de-France Mobilités (IDFM) ont signé un protocole d'accord et travaillaient depuis plusieurs mois, main dans la main pour améliorer la circulation des bus dans la capitale, aujourd'hui, IDFM, présidé par Valérie Pécresse (LR), a décidé de ne pas participer au financement d'un projet majeur de transformation de l'espace public engagé par la mairie de Paris. L'objet de cette discorde : le réaménagement de la place Denfert-Rochereau.

Le Figaro
09-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Au siège des Républicains, Bruno Retailleau crée un moment de communion politique en mémoire d'Olivier Marleix
Juste avant l'hommage de l'Assemblée nationale mardi après-midi, le président des Républicains a réuni parlementaires et élus de droite autour d'une grande photographie en noir et blanc du député d'Eure-et-Loir. Avant de rejoindre l'hommage à Olivier Marleix prévu à l'Assemblée nationale, Bruno Retailleau avait souhaité réunir les parlementaires et les élus LR au siège du parti. On remarque notamment la présence de l'ex-premier ministre Michel Barnier, du président du Sénat Gérard Larcher, des présidents de groupes Laurent Wauquiez et Mathieu Darnaud, de la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse. Le chef de file de la droite, visiblement bouleversé par la disparition brutale du député d'Eure-et-Loir, commence par évoquer le « besoin d'être ensemble après le choc de sa disparition ». Puis, en guise d'introduction, il a choisi ces mots de la philosophe Simone Weil, prononcés devant une cour intérieure pleine et recueillie: « Chaque être crie en silence ». Publicité Le ministre de l'Intérieur a rappelé que chaque vie comportait une « part de douleurs secrètes, de souffrances intimes », comme pour souligner à la fois l'incompréhension générale des Républicains face au probable suicide d'Olivier Marleix (une autopsie doit être réalisée mercredi pour le confirmer), mais aussi peut-être les regrets de ceux qui s'interrogeront longtemps sur les gestes ou les signes qui auraient pu éviter cette tragédie. « Oui, nous ne comprenons pas. Quels cris Olivier étouffait-il ? Quelle nuit traversait-il ? Pourquoi ? Qu'aurions dû nous voir ? Quels combats intérieurs livrait-il pour qu'il se résolve à un tel geste ? », a poursuivi Bruno Retailleau. Convictions Au-delà du mystère de cette disparition, le président des Républicains a aussi voulu faire de ces heures tristes un moment de communion politique inspiré par le parcours d'un homme largement salué par la classe politique, même par les « plus farouches adversaires » de la droite, relèvera-t-il à la fin. Il a notamment salué les « convictions gaullistes » du député, héritées de son père Alain Marleix, en faisant observer que le parlementaire « poursuivait une histoire » et « pas une carrière ». Le ministre a également souligné un trait de caractère, souvent mentionné par les proches du député Marleix. « Olivier était un pudique, un taiseux même. Ceux qui, comme moi, ont mis du temps à le connaître, savent qu'il n'était pas dénué de sentiments, bien au contraire : seulement, il peinait à les exprimer. Comme s'il n'avait pu canaliser sa grande sensibilité qu'en la dissimulant ». Enfin, Bruno Retailleau a voulu saluer la « vision » d'un politique qui « donnait du sens aux choses », vantant son expertise sur les questions industrielles traitées « à travers le prisme de la souveraineté nationale et des intérêts de la France ». Avant une minute de silence et le retour des Républicains vers l'hémicycle, Bruno Retailleau s'est désolé de la « vie trop courte » d'Olivier Marleix mais en jugeant que celle-ci avait été « droite » et que cette droiture restait un « combat à poursuivre et une promesse à tenir ». Devant une grande photographie en noir et blanc de l'élu disparu à 54 ans, posée dans la cour du siège parisien des Républicains, Bruno Retailleau, très affecté, a fini par murmurer un dernier regret. « L'ordre des choses est que les fils enterrent les pères, pas que les pères enterrent les fils ».


Le Figaro
08-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Au siège des Républicains, Bruno Retailleau crée un moment de communion politique en mémoire à Olivier Marleix
Juste avant l'hommage de l'Assemblée nationale mardi après-midi, le président des Républicains a réuni parlementaires et élus de droite autour d'une grande photographie en noir et blanc du député d'Eure-et-Loir. Avant de rejoindre l'hommage à Olivier Marleix prévu à l'Assemblée nationale, Bruno Retailleau avait souhaité réunir les parlementaires et les élus LR au siège du parti. On remarque notamment la présence du président du Sénat Gérard Larcher, des présidents de groupes Laurent Wauquiez et Mathieu Darnaud, de la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse. Le chef de file de la droite, visiblement bouleversé par la disparition brutale du député d'Eure-et-Loir, commence par évoquer le « besoin d'être ensemble après le choc de sa disparition ». Puis, en guise d'introduction, il a choisi ces mots de la philosophe Simone Weil, prononcés devant une cour intérieure pleine et recueillie: « Chaque être crie en silence ». Publicité Le ministre de l'Intérieur a rappelé que chaque vie comportait une « part de douleurs secrètes, de souffrances intimes », comme pour souligner à la fois l'incompréhension générale des Républicains face au probable suicide d'Olivier Marleix (une autopsie doit être réalisée mercredi pour le confirmer), mais aussi peut-être les regrets de ceux qui s'interrogeront longtemps sur les gestes ou les signes qui auraient pu éviter cette tragédie. « Oui, nous ne comprenons pas. Quels cris Olivier étouffait-il ? Quelle nuit traversait-il ? Pourquoi ? Qu'aurions dû nous voir ? Quels combats intérieurs livrait-il pour qu'il se résolve à un tel geste ? », a poursuivi Bruno Retailleau. Convictions Au-delà du mystère de cette disparition, le président des Républicains a aussi voulu faire de ces heures tristes un moment de communion politique inspiré par le parcours d'un homme largement salué par la classe politique, même par les « plus farouches adversaires » de la droite, relèvera-t-il à la fin. Il a notamment salué les « convictions gaullistes » du député, héritées de son père Alain Marleix, en faisant observer que le parlementaire « poursuivait une histoire » et « pas une carrière ». Le ministre a également souligné un trait de caractère, souvent mentionné par les proches du député Marleix. « Olivier était un pudique, un taiseux même. Ceux qui, comme moi, ont mis du temps à le connaître, savent qu'il n'était pas dénué de sentiments, bien au contraire : seulement, il peinait à les exprimer. Comme s'il n'avait pu canaliser sa grande sensibilité qu'en la dissimulant ». Enfin, Bruno Retailleau a voulu saluer la « vision » d'un politique qui « donnait du sens aux choses », vantant son expertise sur les questions industrielles traitées « à travers le prisme de la souveraineté nationale et des intérêts de la France ». Avant une minute de silence et le retour des Républicains vers l'hémicycle, Bruno Retailleau s'est désolé de la « vie trop courte » d'Olivier Marleix mais en jugeant que celle-ci avait été « droite » et que cette droiture restait un « combat à poursuivre et une promesse à tenir ». Devant une grande photographie en noir et blanc de l'élu disparu à 54 ans, posée dans la cour du siège parisien des Républicains, Bruno Retailleau, très affecté, a fini par murmurer un dernier regret. « L'ordre des choses est que les fils enterrent les pères, pas que les pères enterrent les fils ».


Le Figaro
08-07-2025
- Business
- Le Figaro
RER B: l'amélioration graduelle de la ponctualité se confirme
Le RER B, qui traverse l'Île-de-France du nord au sud via Paris, voit sa ponctualité s'améliorer légèrement depuis début 2025, après avoir renversé la tendance à la dégradation l'année précédente, s'est félicité mardi Île-de-France mobilités (IDFM). Ligne ferroviaire parmi les plus fréquentées d'Europe, derrière le RER A (est ouest de l'Île-de-France), le RER B, qui dessert en particulier l'aéroport Charles-de-Gaulle (CDG), est considéré comme «fragile» en raison d'un matériel vieillissant et de contraintes d'exploitation spécifiques. Avec deux exploitants - SNCF au nord, RATP au sud - et un bout de tunnel à partager avec le RER D, la ligne B était la moins fiable pour les voyageurs de la région parisienne en 2023, sa ponctualité étant passée de 90% en 2015 à 85,7%. «Les résultats du RER B sont à nouveau en amélioration sur le début de l'année 2025. La ponctualité entre janvier et mai 2025 est à 89,2% contre 88% à la même date en 2024 et 85,1% en 2023», a souligné l'autorité organisatrice de transports de la région dans un communiqué. IDFM a attribué ce succès à un «plan d'action efficace commandé en 2023 par Valérie Pécresse», sa présidente, également dirigeante de la région. Le «plein engagement dans l'application des actions prioritaires et la coordination de l'ensemble des acteurs portent leurs fruits», a souligné IDFM. Publicité Valérie Pécresse, fin 2023, avait dit viser une ponctualité de 95% en 2031, en gagnant un point par an. Elle «demande aux opérateurs de dépasser durablement les 90% le plus rapidement possible», selon IDFM, dans un contexte de «vigilance» rendu nécessaire par de nombreux bouleversements à venir sur la ligne d'ici au début de la prochaine décennie. Parmi ceux-ci: l'arrivée de nouveaux matériels roulants, la mise en service d'un centre de commandement unique pour le RER B et le RER D, l'arrivée du pilotage automatique et l'interface avec le CDG Express, ligne qui reliera sans arrêt en 2027 la gare de l'Est, à Paris, à l'aéroport CDG.


Le Parisien
08-07-2025
- Business
- Le Parisien
Métro, tramway, RER : l'arrivée des rames neuves sur le réseau francilien s'accélère
Ils arrivent ! Enfin… Réfrigérés, mieux éclairés, moins bruyants et moins énergivores : les trains neufs tant attendus en Île-de-France sortent désormais des usines d' Alstom à un rythme plus soutenu. Le constructeur ferroviaire français s'est vu confier la quasi-totalité des commandes de trains, métros et tramways sur le réseau du Grand Paris. Promis de longue date par Île-de-France Mobilités (IDFM) et sa présidente, Valérie Pécresse (LR), le renouvellement massif du matériel roulant entre désormais dans une phase d'accélération. Il était plus que temps. Élue il y a près de dix ans, la présidente de région a maintes fois rappelé à l'ordre son fournisseur, en exigeant des pénalités et des explications sur les incessants reports de livraisons. Exemple : le RER Nouvelle Génération (NG), dont la conception a commencé en 2017, n'arrive qu'aujourd'hui sur les voies du RER E et du D, près de huit ans plus tard… Sans parler du futur train du RER B ( le MI20, commandé en 2020 ), dont le premier des 137 exemplaires n'est pas attendu avant 2027, au mieux.