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Il prend la fuite alors que son pitbull arrache l'oreille d'une femme
Il prend la fuite alors que son pitbull arrache l'oreille d'une femme

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timea day ago

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Il prend la fuite alors que son pitbull arrache l'oreille d'une femme

Accueil | Suisse | Faits divers | Outre-Sarine, l'attaque d'une femme par un pitbull non attaché relance le débat des chiens sans laisse dans l'espace public. Publié aujourd'hui à 11h24 Un pitbull a violemment attaqué une femme dans le canton de Saint-Gall. Unsplash L'incident fait froid dans le dos. «20 minutes» en livre le récit: à la mi-juin, à Altstätten (Saint-Gall), une cinquantenaire a été violemment attaquée par un pitbull non tenu en laisse. Selon le journal, la victime était assise sur un banc lorsqu'elle a interpellé un homme promenant deux molosses en liberté. L'homme aurait alors regardé un de ses chiens et effectué un geste - un hochement de tête, semble-t-il – soupçonné d'avoir déclenché l'attaque. Vol de téléphone Le pitbull aurait bondi sur la victime, la mordant au cou, à la poitrine, et lui arrachant un tiers de l'oreille droite. Puis, alors qu'elle s'était réfugiée dans une cabane plus loin, le propriétaire du molosse ne lui aurait pas porté secours, au contraire: il lui aurait confisqué son téléphone avant de repartir (avec le chien et l'appareil). La victime a pu par la suite trouver du secours et être hospitalisée. Une enquête a été ouverte, la police confirmant une partie des faits. Le vétérinaire cantonal assure en outre que le chien ne présente plus de danger, sans plus de précisions. Le monde politique réagit Cette attaque, comme celle survenue cet été avec un berger allemand, a relancé le débat sur la législation canine . L'élue cantonale Verte Margot Benz a interpellé le gouvernement saint-gallois sur l'efficacité de la réglementation actuelle. Elle demande au Conseil d'État de fournir des données sur l'évolution des morsures de chiens depuis 2010, en précisant si une distinction est faite selon les races. À Saint-Gall, la loi en vigueur depuis 2020 oblige les propriétaires à garder leur chien «effectivement sous contrôle à tout moment» et impose le port de la laisse dans certains lieux publics. Mais contrairement à d'autres cantons, Saint-Gall n'exige aucune formation obligatoire pour les maîtres de chiens , même pour les grands molosses. Cette position est de plus en plus contestée , tandis que différents cantons suisses durcissent leur réglementation en matière de dressage canin. En lire plus sur la législation canine Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les grands voyageurs aériens, bientôt taxés différemment?
Les grands voyageurs aériens, bientôt taxés différemment?

24 Heures

time2 days ago

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Les grands voyageurs aériens, bientôt taxés différemment?

Christophe Clivaz propose une taxe ciblant uniquement les voyageurs fréquents. L'élu Vert valaisan veut épargner les passagers occasionnels. Publié aujourd'hui à 15h39 Christophe Clivaz, conseiller national (les Verts/VS), a annoncé son intention de déposer deux textes à propos des voyages en avion. KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi Ça chauffe à propos des taxes sur les billets d'avion sous la Coupole. Après l'initiative déposée au parlement par le Canton de Bâle-Ville pour taxer les vols courts s'ils peuvent être remplacés simplement par le rail, c'est dorénavant un élu qui veut s'attaquer aux grands voyageurs aériens et à notre empreinte carbone. Christophe Clivaz, conseiller national (les Verts/VS), a annoncé lundi sur son site internet son intention de déposer deux textes à ce sujet, une motion et un postulat, lors de la prochaine session, rapporte « 2o minutes ». Une carte carbone individuelle Sa première proposition, une motion, viserait à taxer uniquement les voyageurs fréquents, afin de ne pas pénaliser tout le monde. Cette taxe sur les grands voyageurs aériens (TGVA) permettrait de «concentrer la charge fiscale sur les passagers fréquents plus aisés, plutôt que sur les personnes qui prennent l'avion occasionnellement», rapporte le conseiller national sur son site. Son postulat vise pour sa part à évaluer la faisabilité d'une «carte carbone individuelle». Celle-ci «attribuerait à chaque personne un quota d'émissions pour le trafic aérien, correspondant à un budget climatique réparti équitablement entre tous les habitants», détaille l'élu Vert. Ces deux propositions sont novatrices en Suisse. Au sujet des voyages et du climat Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Laure Schmidt est journaliste stagiaire au sein de la rubrique Suisse-Monde-Economie de la rédaction Tamedia depuis septembre 2023. Elle a étudié les sciences sociales et la psychologie à l'Université de Lausanne. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Municipales 2026 : le drôle de jeu des écologistes
Municipales 2026 : le drôle de jeu des écologistes

Le Figaro

time5 days ago

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Municipales 2026 : le drôle de jeu des écologistes

Réservé aux abonnés ANALYSE - Au nom d'un «principe de subsidiarité», ce sont les militants écologistes qui décident au niveau local avec qui nouer des alliances pour les municipales. Ce qui empêche, par définition, toute stratégie nationale claire. Faut-il s'allier avec le PS ? Avec LFI ? Partir en solitaire ? Marine Tondelier, la patronne des Écologistes, botte en touche lorsqu'elle est interrogée sur la question des alliances aux élections municipales de 2026. La secrétaire nationale rappelle que le « principe de subsidiarité » est inscrit dans les statuts du parti. Chez les Verts, ce sont les militants locaux qui tranchent car ce sont eux qui ont la meilleure connaissance du terrain. Pratique aussi car cela permet à la direction nationale, et donc à Marine Tondelier, de s'épargner des choix difficiles. « C'est confortable car ça lui permet de ne se fâcher ni avec les militants, ni avec les partenaires de gauche. Ça lui évite de trancher et d'assumer, tout ce qu'elle déteste faire », raille une cadre. Cette règle du « cas par cas » empêche, de fait, d'avoir une ligne stratégique claire au niveau national. De quoi sérieusement agacer leurs homologues de gauche, et notamment les socialistes avec qui ils…

Économie: le peuple n'aura pas le dernier mot sur l'accord avec l'Inde
Économie: le peuple n'aura pas le dernier mot sur l'accord avec l'Inde

24 Heures

time14-07-2025

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Économie: le peuple n'aura pas le dernier mot sur l'accord avec l'Inde

Exportations suisses – Le peuple suisse n'aura pas le dernier mot sur l'accord avec l'Inde À l'issue du délai référendaire, personne n'a contesté ce traité de libre-échange. Les Verts préfèrent concentrer leurs forces sur le Mercosur. Florent Quiquerez Une vue de Mumbai, la ville la plus peuplée de l'Inde. AFP Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : L'accord de libre-échange avec l'Inde devrait entrer en vigueur cet automne déjà. Le traité supprimera 95% des droits de douane sur les exportations industrielles suisses. Les Verts ne l'ont pas contesté, mais menacent de lancer un référendum contre l'accord avec le Mercosur. Son impact environnemental inquiète en effet davantage que celui de l'accord avec l'Inde. L'événement est majeur pour l'économie, mais il est passé inaperçu. L'accord de libre-échange avec l'Inde va pouvoir entrer en vigueur. Le délai pour le dépôt d'un référendum a expiré le 30 juin et personne n'a décidé de le saisir. Pour le conseiller fédéral Guy Parmelin, c'est un succès, après 16 ans de négociations. À terme, 95% des droits de douane sur les exportations de produits industriels suisse seront supprimés. Le potentiel d'économie? 166 millions par an. «Un accord de libre-échange avec le pays le plus peuplé du monde arrive au bon moment», réagit EconomieSuisse, qui rappelle les «actuelles tensions géopolitiques et incertitudes en matière de politique commerciale». Allusion aux taxes de Donald Trump. Le Mercosur est un autre accord «géant» Mais la faîtière ajoute une dimension politique à l'affaire. L'absence de référendum montrerait «que l'opinion publique reconnaît l'importance de l'accord». L'allusion porte cette fois-ci sur la politique intérieure. Car un autre traité de libre-échange est sur toutes les lèvres: le Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay et Uruguay). La Suisse vient de conclure les négociations. Lisa Mazzone, présidente des Verts. J-P GUINNARD Le contenu du paquet doit encore être publié, mais Les Verts menacent déjà de le torpiller dans les urnes. «En pleine canicule, le Conseil fédéral signe un accord au détriment du climat et de la forêt amazonienne, réagissait sa présidente Lisa Mazzone, juste après sa conclusion. Les Verts examineront les détails de l'accord, mais sont prêts pour le référendum.» Des déclarations à prendre au sérieux. En 2021, les opposants à l'accord avec l'Indonésie avaient convaincu 48,3% des votants. L'importance de la forêt amazonienne Face à ces velléités, Guy Parmelin rétorque que des avancées majeures ont été obtenues avec le Mercosur. «Le chapitre sur la durabilité couvre la protection du climat, la lutte contre la déforestation, un engagement pour la reforestation, des mesures strictes pour les droits des travailleurs et la participation des peuples autochtones. Un panel d'experts indépendant a aussi été créé pour surveiller l'application de l'accord. Ce sont autant de points réclamés par le camp rose-vert.» Guy Parmelin, ministre de l'Économie. Foto: Nicole Philipp Pour Olivier Feller (PLR/VD) l'équation est simple. «Quand on parle de libre-échange, il y a deux écueils. Le premier est lié aux droits humains et à l'environnement. Avec cette question: est-ce que cela vaut la peine d'importer sur de longues distances des marchandises, qui ne sont pas produites selon nos normes. Le second est lié à l'agriculture et à tout ce que cela implique dans l'alimentation. Or, avec l'Inde, ces deux écueils ont été surmontés avec des garanties.» «Il faudra voir les détails de l'accord avec Mercosur, mais si les mêmes garanties ont été obtenues, je ne vois pas pourquoi Les Verts devraient lancer un référendum. À moins qu'ils ne le fassent par pure stratégie politique.» Il serait en effet plus facile de polémiquer «sur le bœuf aux hormones ou la forêt amazonienne» que d'attirer l'attention sur l'Inde, qui – comme pays «non aligné et démocratique» à quelque chose de «sympathique». Une analyse que ne partage pas le vice-président des Verts, Nicolas Walder (GE). «L'accord avec l'Inde n'a que peu à voir avec celui du Mercosur. Le premier n'est pas parfait, mais on peut vivre avec. Même si nous regrettons qu'il n'y ait pas de critère de durabilité dans les investissements prévus, nous saluons la volonté d'investir pour développer l'économie indienne et non pas uniquement d'exploiter ses ressources.» Et d'insister: «Pour le Mercosur, l'impact potentiel en termes de biodiversité et d'environnement est d'une tout autre ampleur, notamment en raison de l'agriculture. Ce secteur n'est pas directement concerné par l'accord avec l'Inde, qui ne cherche pas à exporter à tout prix dans ce domaine. La logique dans les pays du Mercosur est tout autre. C'est précisément cette hausse des exportations agricoles, en particulier la viande, qui met en danger la forêt amazonienne et tout ce qu'elle représente en termes d'environnement et de biodiversité.» L'accord doit désormais passer devant le parlement. On saura courant 2026 si le peuple aura le dernier mot. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Se connecter Florent Quiquerez est journaliste à la rubrique Suisse depuis 2015. Spécialisé en politique, il couvre avant tout l'actualité fédérale. Auparavant, il a travaillé comme correspondant parlementaire pour les Radios Régionales Romandes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

La Nati à l'Euro, le taureau de Neuchâtel et la climatisation: l'essentiel de ce vendredi 11 juillet
La Nati à l'Euro, le taureau de Neuchâtel et la climatisation: l'essentiel de ce vendredi 11 juillet

24 Heures

time11-07-2025

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La Nati à l'Euro, le taureau de Neuchâtel et la climatisation: l'essentiel de ce vendredi 11 juillet

Accueil | L'essentiel du jour | La Suisse triomphe à l'Euro, fierté de Pia Sundhage Clash entre PLR et Verts sur la climatisation Escapade dangereuse, le taureau de Montalchez retrouvé sain et sauf Publié aujourd'hui à 17h15 La Nati a déjoué les pronostics en se qualifiant pour les quarts de finale de l'Euro 2025, suscitant une vague d'émotions à travers le pays. Un but crucial à la 92e minute contre la Finlande a permis aux Suissesses d'écrire l'histoire, emportant l'enthousiasme de tout un stade . La sélectionneuse, Pia Sundhage, exprime sa fierté alors que l'équipe se prépare désormais à affronter des adversaires redoutables en quarts. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Débat sur la climatisation: frictions entre le PLR et les Verts En Suisse, un débat houleux oppose le PLR aux Verts sur l'usage de la climatisation face aux canicules. Tandis que le PLR accuse les Verts de vouloir interdire la climatisation pour des raisons écologiques, les Verts plaident pour des solutions alternatives tout en critiquant les accusations de fake news. Un débat qui reflète les tensions politiques dont l'enjeu va bien au-delà du confort estival. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Voyage en Ukraine: la présidente du National sous une attaque Maja Riniker, présidente du Conseil national suisse, a vécu une expérience inquiétante lors de son voyage en Ukraine. Après des attaques de drones, elle a dû se réfugier dans un abri antiatomique, rappelant les défis auxquels fait face la population ukrainienne. Cette visite visait à renforcer les liens entre la Suisse et l'Ukraine dans ce contexte difficile. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Quand un taureau sème la panique dans le canton de Neuchâtel Un taureau limousin de 600 kilos s'est échappé en Suisse, provoquant une mobilisation policière massive. Retrouvé sans incident après une escapade dans la campagne, l'événement a suscité l'intérêt et l'humour des réseaux sociaux, démontrant une fois de plus que la réalité peut parfois dépasser la fiction. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Et la météo de ce week-end? Ce week-end en Suisse sera marqué par des contrastes climatiques. Alors que samedi promet des températures estivales allant de 13 à 28 degrés sous un ciel ensoleillé, dimanche s'annonce perturbé par des averses et des orages. Ces intempéries débuteront dans le bassin lémanique et les Alpes, pour finalement s'étendre dans tout le pays. Les allergiques doivent rester prudents, car malgré le passage du pic des pollens, les concentrations demeurent modérées. Pour en savoir plus sur le sujet: lisez l'article détaillé. Aussi dans l'actu Cyclisme féminin: la Bernoise Marlen Reusser a conservé le maillot rose au terme de la 6e étape du Giro dames. Retour sur l'essentiel de la semaine Leonardo Pescante est rédacteur en chef adjoint de 24heures depuis 2011. Après des études à l'Université de Lausanne en mathématiques et des cours supérieurs de management au CRPM, il a travaillé près de 15 ans à Radio Suisse internationale. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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