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Arrivée du quinté du lundi 14 juillet à Vichy : Dschingis Spirit repousse encore ses limites
Arrivée du quinté du lundi 14 juillet à Vichy : Dschingis Spirit repousse encore ses limites

Le Parisien

time2 days ago

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  • Le Parisien

Arrivée du quinté du lundi 14 juillet à Vichy : Dschingis Spirit repousse encore ses limites

Les quintés réservés aux 3 ans ne sont pas toujours faciles à déchiffrer. À cet âge, les valeurs ne sont pas parfaitement établies, et force est de constater que les handicapeurs ont sous-estimé Dschingis Spirit (n° 6) puisqu'il a signé son troisième succès en quatre tentatives dans ce type de compétitions. Rapidement sur la ligne de tête, le partenaire d' Hugo Journiac s'est montré le plus fort au terme des 2 000 m imposés malgré l'excellente fin de course de Britania (n° 13), revenue des derniers rangs pour s'emparer du premier accessit. « Bravo à sa cavalière et à toute l'écurie, car c'est un cheval facile à monter, se félicitait le jockey lauréat. Il peut s'énerver avant ses courses mais il a été calme ce lundi. Il n'a fait aucun effort et a su accélérer fort. Il nous étonne tout le temps. » À distance des deux premiers, Coralia (n° 10), représentante de l'écurie Wertheimer montée par Maxime Guyon , s'est montrée courageuse pour préserver la troisième place aux dépens de Miss Tarken (n° 12), bonne finisseuse. Animateur, avec Anthony Crastus en selle, au côté du futur lauréat, Hunter's Luck (n° 1) ne démérite pas en complétant la bonne combinaison de ce premier quinté du Festival du Galop à Vichy.

François Bayrou rend hommage aux parlementaires qui ont dit «non» à Pétain
François Bayrou rend hommage aux parlementaires qui ont dit «non» à Pétain

Le Figaro

time6 days ago

  • Politics
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François Bayrou rend hommage aux parlementaires qui ont dit «non» à Pétain

Il y a 85 ans, le 10 juillet 1940, le Parlement votait la loi constitutionnelle accordant les pleins pouvoirs à Philippe Pétain. Largement adoptée avec 569 votes pour, cette loi a été refusée par 80 parlementaires. Le premier ministre, François Bayrou, a salué leur «honneur» jeudi, lors d'une cérémonie organisée à Vichy. Le premier ministre François Bayrou a salué ce jeudi à Vichy (Allier) «l'honneur» des 80 parlementaires qui ont refusé de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain il y a 85 ans, le 10 juillet 1940. «N'oublions pas qu'il est des moments ou l'attachement aux convictions qui nous font vivre se résume en un mot tout simple qui est l'honneur», a déclaré le premier ministre en présence de descendants ou représentants des 80 parlementaires qui ont voté contre les pleins pouvoirs en faveur de Philippe Pétain, ainsi que des 27 parlementaires qui avaient peu avant rejoint l'Afrique du Nord à bord du paquebot Le Massilia. Publicité Une loi qui a entraîné la «mort» de la République Le 10 juillet 1940, l'Assemblée nationale qui réunit à l'époque le Sénat et la Chambre des députés tient une séance exceptionnelle dans le casino de Vichy. Elle vote alors la loi constitutionnelle qui conduira à attribuer les pleins pouvoirs au maréchal Pétain: 569 parlementaires votent pour, 20 s'abstiennent et 80 votent contre. Si la plupart des opposants étaient des membres du SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière) ou de divers partis de gauche, François Bayrou rappelle qu'«ils étaient bien peu nombreux», une large majorité des parlementaires ayant voté en faveur de la loi constitutionnelle. «Ainsi en quelques heures meurt la République non seulement en tant qu'ensemble institutionnel mais en tant qu'ensemble de valeurs: démocratie, état de droit, liberté, égalité, fraternité, laïcité», a souligné le premier ministre, évoquant «l'effondrement de la France sur elle-même». Un non de «résistance» «Ces 80 hommes ici à Vichy, ces 27 hommes à bord du Massilia, dès le premier moment, ont dit non à Pétain et à Laval», a salué François Bayrou face aux descendants de Jean Zay, Pierre Mendès-France ou encore Léon Blum, qui s'étaient tous opposés aux pleins pouvoirs. «C'est très précieux pour moi, parce que ce qui est honoré dans cette salle, c'est le début de la résistance» a poursuivi le premier ministre. Certains des parlementaires ont en effet rejoint la Résistance à partir de 1940, sous l'Occupation allemande, certains trouvant la mort dans des camps de concentration ou d'extermination. Publicité Après la conférence, François Bayrou a soutenu l'«idée que même quand tout a l'air de s'effondrer, c'est le moment de relever la promesse, de relever la tête, de relever le défi». Certains des parlementaires ayant voté «non» à la loi constitutionnelle ont participé à la reconstruction politique et institutionnelle de la France. Vincent Auriol est ainsi devenu le premier président de la Quatrième République, en 1946.

Todt, Vasseur, Abiteboul... Avant Laurent Mekies, ces Français devenus directeurs d'écurie en Formule 1
Todt, Vasseur, Abiteboul... Avant Laurent Mekies, ces Français devenus directeurs d'écurie en Formule 1

L'Équipe

time6 days ago

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Todt, Vasseur, Abiteboul... Avant Laurent Mekies, ces Français devenus directeurs d'écurie en Formule 1

Le Français Laurent Mekies (48 ans) a pris la suite de Christian Horner à la tête de Red Bull ce mercredi. Avant lui, d'autres Tricolores ont déjà occupé cette fonction en Formule 1. Avec plus ou moins de réussite. Guy Ligier D'abord pilote - douze participations en Grand Prix de Formule 1, entre 1966 et 1967 -, Guy Ligier ne rapporte, dans sa courte qu'un petit point (8e au GP d'Allemagne en 1967). Le natif de Vichy devient ensuite le directeur de sa propre écurie, qui porte son nom, de 1976 à 1996. La marque Ligier dispute 326 Grands Prix, pour neuf victoires et 50 podiums. Et se classe même deuxième au classement constructeurs en 1980. L'écurie deviendra Prost GP en 1997 après le rachat de l'ex-pilote éponyme, Alain Prost. Gérard Larrousse Directeur sportif de Renault Sport de 1976 à 1984, Gérard Larrousse assiste aux premiers succès en Formule 1 de l'écurie française. Mais le Lyonnais, en désaccord avec la direction, s'en va chez Ligier, où il occupe le même poste de 1985 à 1986, avant de se lancer lui aussi dans une aventure personnelle en créant sa propre marque en 1987, avec Didier Calmels. L'écurie Larrousse prendra part au Championnat du monde jusqu'en 1994 et ramènera 23 points en 125 Grands Prix. Jean Todt Avant sa présidence à la FIA (2009-2021), et après son passage chez Peugeot Sport (1981-1993). Jean Todt (79 ans) façonne l'âge d'or de Ferrari aux côtés de Michael Schumacher, en s'installant seize ans à Maranello (1993-2008). Son bilan est colossal : quatorze titres mondiaux - pilotes et constructeurs confondus -, dont les cinq de Schumi de 2000 à 2004 et 91 victoires en Grand Prix avec la Scuderia jusqu'en 2007. Sous son aile, la F1 écrit l'une des plus belles pages de son histoire. Cyril Abiteboul Patron de Caterham (2012-2014), puis de Renault entre 2014 et 2021, Cyril Abiteboul porte le retour du constructeur français en F1. L'ingénieur motoriste de formation, connu par son franc-parler parfois clivant, décroche six podiums avec l'équipe d'usine. Il est aussi l'un des architectes du succès des moteurs Renault chez Red Bull (quatre titres pilotes et quatre constructeurs entre 2010 et 2013). Frédéric Vasseur Apprécié pour sa bonne humeur et son esprit d'équipe, Frédéric Vasseur s'impose étape par étape, du plus bas de la chaîne chez ART Grand Prix, à la direction de Sauber (2017-2022) puis, tout en haut, aux commandes de Ferrari depuis 2023, en successeur de l'Italien Mattia Binotto. Au palmarès de la Scuderia sous sa houlette : 31 podiums, six victoires et une montée en puissance dans la hiérarchie. Eric Boullier À la tête de Lotus de 2010 à 2014, Éric Boullier relance une structure en crise jusqu'au plus haut niveau avec, en point d'orgue, deux victoires du Finlandais Kimi Räikkönen. Le Mayennais de 51 ans passe ensuite quatre années difficiles chez McLaren, de 2014 à l'été 2018, notamment à cause d'un partenariat embrouillé avec Honda. Il ne sera jamais en mesure de redresser la barre. Bruno Famin Après avoir succédé à l'Américain Otmar Szafnauer à la tête de l'écurie Alpine à l'été 2023, Bruno Famin n'est resté en poste qu'une petite année, jusqu'en juillet 2024. Conséquence d'une année catastrophique, avec neuf points arrachés en treize courses. Famin, 63 ans, ne quitte pas le groupe pour autant : il dirige désormais la branche motorsports d'Alpine. Laurent Mekies Laurent Mekies a pris mercredi la suite de Christian Horner en tant que Team Principal de Red Bull, après que le Britannique a été renvoyé avec effet immédiat de l'écurie qu'il dirigeait depuis 2005. Une casquette qui n'est pas nouvelle pour le natif de Tours, au même poste chez Racing Bulls depuis l'été 2023. Mekies (48 ans) compte par ailleurs une expérience à la FIA (2014-2018), où il a opéré en tant que directeur de la sécurité sous les ordres de Jean Todt, avant de passer directeur de course adjoint auprès de Charlie Whiting.

Miss France 2026 : l'Auvergne et le Centre-Val de Loire ont élu leur représentante
Miss France 2026 : l'Auvergne et le Centre-Val de Loire ont élu leur représentante

Le Figaro

time07-07-2025

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Miss France 2026 : l'Auvergne et le Centre-Val de Loire ont élu leur représentante

Alice De Lima Guimaraes et Anna Valero défendront les couleurs de leur région à l'élection nationale qui doit se tenir en décembre. Les vacances ont débuté de la plus belle manière pour Alice De Lima Guimaraes et Anna Valero. Les deux jeunes femmes ont respectivement été élues Miss Auvergne et Miss Centre-Val de Loire. La première est âgée de 19 ans et vit à Vichy (Allier). L'étudiante en prépa littéraire au lycée Fénelon à Clermont-Ferrand a été la préférée parmi les seize candidates qui se sont présentées à l'élection qui s'est tenu samedi soir. C'est Indira Ampiot, Miss France 2023, qui lui a remis la couronne et l'écharpe devant les 1200 personnes du public. «J'étais très émue. Je n'ai pas du tout réalisé. J'étais partagée entre la joie et le stress. Il y a beaucoup d'émotions qui entraient en jeu. J'ai hâte de pouvoir porter la voix des Auvergnats sur la scène nationale et représenter notre belle région», a-t-elle confié à nos confrères de France 3 Auvergne Rhône-Alpes. À lire aussi Miss France 2026 : Hinaupoko Devèze, vue dans un clip des rappeurs Koba LaD et Naps, couronnée Miss Tahiti 2025 Publicité En effet, à la fin de l'année, Alice De Lima Guimaraes défendra fièrement les couleurs de sa région à l'élection de Miss France 2026 et espère faire mieux que sa prédécesseure Romane Agostinho qui ne s'était pas classée dans les quinze à l'élection Miss France 2025. «Je suis déterminée. Je vais tout faire pour réussir. J'ai déjà fait un très beau parcours. Tout s'enchaîne assez vite mais je suis prête à relever le défi. Je me suis lancée sans forcément imaginer tout ce qui allait se passer», a ajouté la jeune femme. Pour ce faire, elle a décidé de mettre ses études entre parenthèses. «Je vais réfléchir à la suite. J'ai fini mon année de Khâgne en avril. J'étais censée démarrer une licence de journalisme à la Sorbonne», a déclaré celle qui, par le passé, a fait de la danse et du piano. Le lendemain, c'était l'effervescence au parc des expositions de Dreux (Eure-et-Loir) où avait lieu l'élection de Miss Centre-Val de Loire à laquelle ont concouru 18 candidates. À l'issue de la soirée, c'est Anna Valero qui a été élue. La jeune femme de 19 ans, cadette d'une fratrie de quatre, est étudiante en deuxième année de médecine à Tours et vit à Orléans. S'il remporte l'élection de Miss France 2026, elle souhaite mettre en avant des causes qui lui tiennent à cœur comme la valorisation des femmes, la santé, la jeunesse et l'environnement. «Cette aventure est pour moi bien plus qu'un concours : c'est une opportunité d'incarner des valeurs d'engagement, de solidarité et de proximité avec les habitants de notre territoire», a-t-elle déclaré à France Bleu. Calendrier des élections régionales pour Miss France 2026 Samedi 12 juillet 2025 Miss Guyane au Progt de Matoury (9 candidates) Samedi 19 juillet 2025 Miss Guadeloupe au Palais des sports et de la culture du Gosier (10 candidates) Publicité Jeudi 24 juillet 2025 Miss Corse à Porticcio Vendredi 25 juillet 2025 Miss Provence à Saint-Raphaël Dimanche 27 juillet 2025 Miss Côte d'Azur aux Arènes de Fréjus Mercredi 30 juillet 2025 Miss Languedoc à Alès Samedi 2 août 2025 Miss Roussillon au Barcarès (14 candidates) Publicité Samedi 23 août 2025 Miss Réunion au Téat Champ Fleuri à Saint-Denis (12 candidates) Samedi 30 août 2025 Miss Mayotte Samedi 6 septembre 2025 Miss Midi-Pyrénées au Château de la Garrigue à Villemur-sur-Tarn (14 candidates) Miss Nouvelle-Calédonie au Méridien à Nouméa (8 candidates) Samedi 13 septembre 2025 Miss Martinique (10 candidates) Dimanche 14 septembre 2025 Miss Franche-Comté à Port-sur-Saône (13 candidates) Vendredi 19 septembre 2025 Miss Rhône-Alpes au Parc des expositions de Villefranche-sur-Saône Samedi 20 septembre 2025 Miss Île-de-France à l'Espace Pierre Bachelet de Dammarie-les-Lys (16 candidates) Dimanche 21 septembre 2025 Miss Bourgogne au Parc des Expositions de Chalon-sur-Saône Vendredi 26 septembre 2025 Miss Bretagne à Ploemeur Samedi 27 septembre 2025 Miss Nord-Pas-de-Calais à l'Arena Stade Couvert de Liévin (20 candidates) Dimanche 28 septembre 2025 Miss Picardie à Beauvais Vendredi 3 octobre 2025 Miss Poitou-Charentes au Futuroscope de Poitiers (16 candidates) Samedi 4 octobre 2025 Miss Limousin à Aubusson Dimanche 5 octobre 2025 Miss Aquitaine Vendredi 10 octobre 2025 Miss Pays de la Loire à l'Espace Saint-Fiacre à Château-Gontier-sur-Mayenne Samedi 11 octobre 2025 Miss Lorraine à Amnéville (16 candidates) Dimanche 12 octobre 2025 Miss Champagne-Ardenne (12 candidates) Candidates élues pour Miss France 2026

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